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Le rapport de Bertrand Schwartz part du constat que l’entrée des jeunes dans la vie active après la fin de la scolarité est devenue, pour beaucoup d’entre eux, une véritable course d’obstacles et une période d’incertitude et de déstabilisation.

Création des Missions locales sont créées (articles L.322-4-17-1 et 2 du Code du travail) avec un objectif de mission de service public pour l’insertion professionnelle et sociale des jeunes : « Toute personne de 16 à 25 ans révolus en difficulté et confrontée à un risque d’exclusion professionnelle a droit à un accompagnement […] mis en œuvre par les Missions Locales ».

La loi d’orientation fixe comme objectif de « conduire d’ici dix ans, l’ensemble d’une classe d’âge au minimum au niveau du certificat d’aptitude professionnelle (CAP) ou du brevet d’études professionnelles (BEP) et 80 % au niveau du baccalauréat » (Lionel Jospin).

Le sommet de Lisbonne affiche clairement la volonté au niveau européen de réduire le nombre des sorties précoces du système éducatif.

La lutte contre le décrochage scolaire devient un des objectifs des expérimentations par le Haut-commissariat à la jeunesse (Martin Hirsch).

Loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la république dont l’un des objectifs est de réduire le nombre de sorties sans qualification. La notion de prévention du décrochage apparait à la place de l’insertion. En même temps, la Mission Générale d’Insertion MGI change de nom et devient la Mission de Lutte contre le Décrochage Scolaire (MLDS).

Le plan « Tous mobilisés contre le décrochage scolaire » est engagé (Najat Vallaud-Belkacem).

En étroite collaboration avec l’État, les Régions sont chargées du pilotage et de l'animation des actions de prise en charge des jeunes sans qualification et sans diplôme.

Élargissement des responsabilités des Régions en matière d’orientation l’article 18 de la loi du 5 septembre 2018 charge les Régions « d’organiser des actions d’information sur les métiers et les formations, d’élaborer et de diffuser la documentation correspondante, en direction des élèves et de leurs familles, ainsi que des étudiants et des apprentis, notamment dans les établissements scolaires et universitaires ».

La loi « pour une école de la confiance » renforce au travers son article 15 la lutte contre le décrochage scolaire en prolongeant l’instruction obligatoire de formation pour tous les jeunes de 16 à 18 ans.

  • Le volet n°1 du Plan de France relance est prévu pour soutenir et accompagner les jeunes dans leur insertion sociale et professionnelle. Le Plan #1jeune1solution est mis en place.
  • Mise en œuvre de l’obligation de formation.

1er mars : Lancement du dispositif "1jeune,1mentor" un bénévole accompagne et conseille des jeunes en particulier ceux vivant dans un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV) ou en zone rurale.

1er mars : mise en place d'un contrat engagement jeune CEJ qui remplace la garantie jeune. Destiné aux jeunes âgés de 16 à 25 ans (dérogation jusqu'à 29 ans pour des jeunes porteurs de handicap) qui ne sont ni en formation, ni en emploi, ni en étude. Le contrat comprend un accompagnement par un conseiller dédié de 6 à 12 mois, un programme de 15 à 20 h par semaine de formation, ou de suivi. Une allocation qui peut aller jusqu''à 500 euros par mois en fonction des ressources et sous condition de respecter ses engagements. En septembre 2022, l'allocation a été revalorisée : 520 €.

Le rapport de Bertrand Schwartz part du constat que l’entrée des jeunes dans la vie active après la fin de la scolarité est devenue, pour beaucoup d’entre eux, une véritable course d’obstacles et une période d’incertitude et de déstabilisation.

Création des Missions locales avec un objectif de mission de service public pour l’insertion professionnelle et sociale des jeunes : « Toute personne de 16 à 25 ans révolus en difficulté et confrontée à un risque d’exclusion professionnelle a droit à un accompagnement […] mis en œuvre par les Missions Locales ».(articles L.322-4-17-1 et 2 du Code du travail)

La loi d’orientation fixe comme objectif de « conduire d’ici dix ans, l’ensemble d’une classe d’âge au minimum au niveau du certificat d’aptitude professionnelle (CAP) ou du brevet d’études professionnelles (BEP) et 80 % au niveau du baccalauréat » (Lionel Jospin).

Le sommet de Lisbonne affiche clairement la volonté au niveau européen de réduire le nombre des sorties précoces du système éducatif.

La lutte contre le décrochage scolaire devient un des objectifs des expérimentations par le Haut-commissariat à la jeunesse (Martin Hirsch).

Loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la république dont l’un des objectifs est de réduire le nombre de sorties sans qualification. La notion de prévention du décrochage remplace la notion d’insertion. En même temps, la Mission Générale d’Insertion MGI change de nom et devient la Mission de Lutte contre le Décrochage Scolaire (MLDS).

Le plan « Tous mobilisés contre le décrochage scolaire » est engagé (Najat Vallaud-Belkacem).

En étroite collaboration avec l’État, les Régions sont chargées du pilotage et de l'animation des actions de prise en charge des jeunes sans qualification et sans diplôme.

Élargissement des responsabilités des Régions en matière d’orientation l’article 18 de la loi du 5 septembre 2018 charge les Régions « d’organiser des actions d’information sur les métiers et les formations, d’élaborer et de diffuser la documentation correspondante, en direction des élèves et de leurs familles, ainsi que des étudiants et des apprentis, notamment dans les établissements scolaires et universitaires ».

La loi « pour une école de la confiance » renforce au travers son article 15 la lutte contre le décrochage scolaire en prolongeant l’instruction obligatoire de formation pour tous les jeunes de 16 à 18 ans.

Le Plan de France relance prévoit de soutenir et d'accompagner les jeunes dans leur insertion sociale et professionnelle. Mise en place du Plan #1jeune1solution et de l’obligation de formation.

1er mars : Lancement du dispositif "1jeune,1mentor" un bénévole accompagne et conseille des jeunes en particulier ceux vivant dans un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV) ou en zone rurale.

Le contrat engagement jeune CEJ remplace la garantie jeune. Destiné aux jeunes âgés de 16 à 25 ans (dérogation jusqu'à 29 ans pour des jeunes porteurs de handicap) qui ne sont ni en formation, ni en emploi, ni en étude.

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