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Dia de muertos

Bruxelles 30 oct. -5 nov. 2023

Los muertos, kezaco(alt) ?

Le festival aux Marolles

Le son jarocho

Perspectives

La symbolique

A notre époque

L'origine

Los muertos, kezaco(alt) ?

Les références culturelles incontournables

Pour comprendre l'origine...

Mictlán

Mictecacihuatl

El Día de los Muertos

Calendrier

Culture, culture...Une affaire de femmes !

Diego Rivera

La LLorona

La Catrina de Posada

Une caricature du début XXe s reprise par le grand peintre mexicain...

Et une femme fantôme qui pleure...

La Catrina

Les fleurs de Cempasuchil

L'encens de copal

Les calaveras

Le "papel picado"

Les autels

Le "pan de muertos"

Le chien "escuincle"

Le résultat ?Une esthétique élégante et joyeuse !

Sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l'UNESCO depuis 2008. (originellement proclamé en 2003)

Les différents éléments symboliques

A notre époqueUn univers toujours très sollicité

Chansons pour enfants

Publicités

Muralistas et grafiteros actuels

Films

Procession

Café mortel

Atelier linterna de muertos

Ingénierie duFestival

Inauguration de l'autel

Atelier offrande

Le festival aux Marolles

Interview des organisateurs

Ingénierie du festival

Programme de l'édition 2023

Dia de Muertos aux Marolles : un festival à l'échelle d'un quartier, mais ambitieux : chaque année, il mobilise les forces vives du quartier des Marolles et de trois organisations (Tas d'os, MetX et le Centre Bruegel) pour enchanter les rues, les places et les lieux culturels de toutes les beautés de la tradition mexicaine : son jarocho, grand autel des morts, ateliers de confection d'offrandes et de costumes pour adultes et enfants, projection de documentaires, procession grandiose avec Catrinas et une foule d'êtres surnaturels... L'évènement est aussi un outil puissant pour interroger les rites et la place de la mort dans nos sociétés contemporaines, qui ont tendance à la réduire à la sphère intime, familiale, voire à l'invisibiliser. La mort, un impensé collectif ? Tout au contraire, la société mexicaine a su préserver un antique héritage d'accompagnement collectif, chaleureux et réconfortant pour appréhender la mort et le deuil des vivants, partagé par tous dans un élan oecuménique certain. Ainsi, Dia de Muertos aux Marolles offre des espaces de parole comme les cafés mortels, et met sur le devant de la scène des projets innovants tels que ceux des coopératives funéraires. Un modèle d'ingénierie culturelle locale en même temps qu'une belle réflexion collective sur le sens de la mort ... et de la vie !

Tas d'os

Centre Bruegel

MetX

Le témoignagede Mathilde

Le témoignagede Dominique

L'atelier offrandes

Centre Bruegel - 31/10

Cet atelier est un espace de création qui propose d'honorer la mémoire d'un défunt en fabriquant un mobile décoré d'objets symboliques évoquant pour nous des émotions et souvenirs liés à cette personne. Ces offrandes émouvantes ont été accrochées sur le grand autel des morts.

Le café mortel

Bosch - 01/11 et 04/11

C’est un espace de parole ni philosophique ni thérapeutique très original développé par le sociologue et anthropologue suisse Bernard Crettaz, où les gens partagent leur expérience de la mort. Animé par une sociologue, le café mortel est organisé de façon à ce que les gens s’y sentent bien (boissons chaudes, poêle, décorations et fauteuils confortables). Une trentaine de personnes y participent, un public plutôt jeune et féminin. Les témoignages personnels s’enchaînent sans jugement ni commentaire, avec une grande diversité selon les vécus heureux ou malheureux et les expériences anciennes ou récentes. Le dispositif permet la libération d’une parole et la collecte de ressentis différenciés, expérience réparatrice difficile à reproduire dans un autre contexte, qu’il soit amical ou familial.

Le témoignagede Dominique

Inauguration du grand autel des morts

Centre Bruegel 31/10

Le travail réalisé durant les ateliers conduisent au premier grand temps festif du Dia de Muertos : l'inauguration du grand autel des morts.Un concert des quatre continents réhausse l'événement, avec des chants sur la mort dans 10 langues et cultures différentes. On retrouve lors de l'inauguration tous les éléments caractéristiques du dia de muertos mexicain, à savoir l'autel, l'encens, le chocolat chaud aux épices, et une joie enveloppante et réconfortante.

Okoué, chant en langue fon du Bénin

Huecanias, chant en langue précolombienne nahualt

Atelier linterna de muertos

Fiche conception

Club de jeunes des Marolles 04/11

Cet atelier pour enfants et adultes a pour but de construire des lanternes qui serviront pendant la procession du soir. Différents modèles de lanternes sont proposés : des squelettes, des chapeaux de Catrina ou des tambourins. Les matériaux nécessaires pour le moulage et des guirlandes lumineuses sont à disposition. Tous les éléments lumineux construits font beaucoup d'effet lors de la procession de nuit.

La grande procession

Quartier des Marolles 04/11

Une grande procession a parcouru le quartier des Marolles à la lumière des flambeaux. Une procession chaleureuse, festive et colorée à laquelle de nombreux collectifs ont participé : groupes de percussions comme Bruital, fanfare jarocho avec Israel et Zenén, catrinas gigantesques, serpent de Quetzacoatl etc. La parade s'est conclue place du Jeu de balle, au coeur des Marolles, avec un feu d'artifice très animé (toro de fuego) et un concert de Orquesta Basura, collectif mexicain jouant sur des instruments issus du recyclage.

Le chant

LE SON JAROCHO

L'instrumentation

Le son jarocho tire son nom d'une région du Mexique située dans l'État de Veracruz. Il est pratiqué dans la fête traditionnelle du fandango jarocho où il se conjugue avec la danse zapateada et la poésie chantée. Son origine est rurale - les chanteurs trouvent leur voix et s’entraînent lors du tomeo del ganado (intonation propre au guidage des troupeaux). Celui qui participe à un fandango est porteur de toute la culture de la Veracruz rurale ; il ne vient pas seulement chanter, jouer ou danser. Il connaît la gastronomie, sait préparer les tamales, s’occuper du feu, des animaux etc. Il est porteur de ce bagage culturel et le transmet dans la tradition orale. Ce style musical a été récupéré parfois à la manière des mariachis, mais sa forme authentique demeure à Veracruz où les connaisseurs savent identifier le son de chaque famille en fonction du rasgueo, de ses accents, du zapateado qui se transmettent de père en fils.

Nous avons suivi 2 masterclass de son jarocho animées par Zenén Zeferino, de Veracruz, invité dans le cadre du festival. Les ateliers ont permis d’aborder le contexte culturel, la pratique du rasgueo, l’organisation du chant et l’improvisation.

Masterclass de Son Jarocho – Zenén Zeferino - 30/10 et 2/11

L'instrumentation

Le chant est accompagné par des guitares spécifiques dont la principale est la jarana. Les rythmes sont essentiellement ternaires, sur des cadences harmoniques simples : V-I ou IV-V-I maj ou min. Les variations rythmiques des guitares sont ponctuées de nombreux rasgueos et hémioles, qui peuvent aller jusqu'à différencier deux styles quand elles sont prédominantes : son por derecho (sur le temps) ou a contratiempo (accents principaux sur les hémioles). Le pandeiro est la percussion principale, dont la rythmique ternaire de base est enseignée par le moyen mnémotechnique café con pan. On trouve aussi la quijada, mâchoire d'âne dont on gratte les dents à la manière d'un guiro cubain.

Le chant

Le chant jarocho s'inscrit dans une tradition orale riche et très codifiée qui laisse une large part à improvisation - commentaire de la vie quotidienne, duels poétiques et humoristiques. Il répond aux règles de composition poétique héritées de l'Espagne avec l'emploi de l’octosyllabe, vers de prédilection de la poésie légère de cancionero au XVe siècle, vers d’arte menor par excellence, et vers du théâtre classique. Une structure courante est la décima (le dizain), strophe composée de dix vers octosyllabiques (rimes : abbaaccddc). Dès le plus jeune âge, les chanteurs s’entraînent à improviser en dizain pour rendre compte du quotidien, pour se moquer gentiment d’eux-mêmes et de leurs proches. Le chant jarocho intègre aussi les subtilités de la métrique espagnole : le comput final des syllabes métriques d’un vers pourra être différent de son nombre purement arithmétique en fonction du placement de l'accent dans le dernier mot du vers. Il existe trois règles pour compter les syllabes en fonction du type de mot :

  • ceux dont la dernière syllabe est tonique appelés palabras agudas = n+1 syllabes
  • ceux dont l’avant-dernière syllabe est tonique, de loin les plus courants, appelés palabras llanas = n syllabes
  • ceux dont l’antépénultième syllabe est tonique, appelés palabras esdrújulas = n-1 syllabes

Improvisation de Zenén Zeferino

Les perspectives pour Samba Résille

Améliorer notre méthodologie de coopération interculturelle

Le Dia de Muertos aux Marolles, évènement qui parvient à enchanter un quartier en misant sur la particpation des habitants, en faisant la part belle à la culture mexicaine et ses acteurs tout en invitant au dialogue interculturel, représente une source d'inspiration précieuse pour enrichir nos saisons et gammes d'activités artistiques et culturelles, et améliorer notre méthodologie de coopération interculturelle.

Propositions pour Samba Résille

Si toutes les cultures vivantes sont le produit d'échanges interculturels, il est désormais recommandé de ne pas "emprunter" les éléments d'une culture sans considérer l'histoire et le contexte d'échanges culturels souvent marqués par des rapports de domination, ni prendre en compte le point de vue et les intérêts des acteurs et des communautés concernées. On évitera ainsi l'appropriation culturelle en développant au contraire une responsabilité interculturelle. Il est donc recommandé, pour nos projets et activités, de veiller à toujours :

  • s'informer et informer sur les cultures sources qui sont les termes de l'échange (alphabétisation culturelle, communication interculturelle)
  • dialoguer avec les personnes concernées pour déterminer ensemble ce qu'il est possible de partager (dialogue interculturel)
  • co-construire sur ces bases les activités avec les personnes concernées (créativité interculturelle) en veillant à une juste répartition des bénéfices sociaux, économiques et symboliques de ces activités (éthique/responsabilité interculturelle)

L'équipe projet de la mobilité souhaite

  • proposition 1 : organiser un temps de reversement festif en janvier 2024 : exposition des dessins de Sabrina, présentation du Genially, repas mexicain Samba Chef, musique/dj set mexicain
  • proposition 2 : enrichir le projet Mundo Kanaval avec les propositions d'Israel Abresu de MetX (mobilités K1 ACM février 2024 + autre mobilité K1 en juillet ?)
  • proposition 3 : développer un projet K2 avec le Mexique portant sur Mundo Kanaval/Coro Sambado (dépôt mars 2024)
  • proposition 4 : organiser un Dia de Muertos pour le quartier dans le cadre de Toulouse ville créative UNESCO + projet participation des jeunes + mobilité d'accueil du K2 pour avoir une équipe mexicaine

Pour aller plus loin : les ressources de l'UNESCO

[UNESCO] Déclaration universelle de l'UNESCO sur la diversité culturelle

[UNESCO] Compétences interculturelles: cadre conceptuel et opérationnel

[UNESCO] Glossaire interculturel - en anglais

Pour les anciens Méso-Américains, la mort n'avait pas les connotations morales de la religion chrétienne, dans laquelle les idées d'enfer et de paradis servent à punir ou à récompenser. Au contraire, ils pensaient que le destin des âmes des défunts était déterminé par le type de mort qu'ils avaient subie, et non par leur comportement dans la vie.Les principales civilisations représentatives de l'aire mésoaméricaine, les Aztèques et les Mayas, ont développé un riche rituel autour du culte des ancêtres et de la mort elle-même, qui a constitué le précédent de l'actuel Jour des morts, dans lequel la cosmovision de ces peuples survit encore en partie.Plusieurs dates > 1 et 2 novembre (cf. religion chrétienne, XI°s. Cluny)

Mictecacihuatl, appelée aussi Mictlancihuatl dans la mythologie aztèque, est la reine de l'inframonde, c'est la déesse de la mort. Cette « Dame de la mort », qui est l'épouse du dieu de la mort, Mictlantecuhtli, veillait sur les os des défunts.

Peinture "Graphenstone", qui se caractérise par l'utilisation de la lumière du soleil pour réduire les polluants nocifs dans l'air, purifiant ainsi l'air qui nous entoure. Le muraliste mexicain Edgar Flores "Saner" a créé cette œuvre d'art pour représenter la vie éternelle. Converse célèbre la dualité de la tradition mexicaine du retour à la terre des êtres chers, tout en créant de l'air frais dans la communauté grâce à une peinture murale qui purifie l'air.

La calavera garbancera, une invention du caricaturiste mexicain José Guadalupe Posada - tout début du XX°s.

Ce personnage, représentation d’un squelette de femme portant un chapeau très élégant, provenant d’Europe et caractéristique de la bourgeoisie porfirienne, a une fonction de memento mori, destiné à rappeler que les différences de statut social n'ont aucune importance face à la mort. En effet, la critique de Posada était explicitement dirigée contre les « garbanceras », des femmes d'origine indigène qui mangeaient (ou vendaient, selon les sources) des pois chiches (« garbanzos » en espagnol), ou une préparation à base de pois chiches (la garbanza), qui méprisaient leur classe sociale et copiaient la mode et les usages européens, en portant de grands chapeaux décorés de tous les ornements possibles, en délaissant et en méprisant leurs origines et les coutumes locales pour se donner l’air d'avoir accédé à un niveau social supérieur à leur condition, selon les critères des castes définies par la société coloniale.

  • "La mort est démocratique"
  • Catrín > "un dandy"

Pour faciliter le retour des esprits sur la terre, les familles parsèment de pétales de fleurs, de bougies et d’offrandes, le chemin qui mène de la maison au cimetière. Les plats préférés du défunt sont préparés et disposés autour de l’hôtel familial et de la tombe, au milieu de fleurs et de divers objets d’artisanat typiques comme les silhouettes en papier. Le plus grand soin est apporté à tous les aspects des préparatifs car dans l’imaginaire populaire, un mort peut attirer la prospérité (par exemple, une bonne récolte de maïs) ou le malheur (maladie, accident, difficultés financières etc.) sur sa famille selon le sérieux avec lequel les rituels sont accomplis. Les morts sont répartis en plusieurs catégories en fonction de la cause du décès, de l’âge, du sexe et, dans certains cas, de la profession. Un jour de culte est attribué à chacune de ces catégories. Cette rencontre entre les vivants et les morts est une affirmation du rôle de l’individu dans la société. Elle contribue en outre à renforcer le statut politique et social des communautés indigènes du Mexique.

El Día de los Muertos célèbre le retour transitoire sur terre des parents et des êtres chers décédés. Les festivités ont lieu chaque année, entre fin octobre et début novembre, période qui marque la fin du cycle annuel de la culture du maïs, la principale culture vivrière du pays.

Mictlán (du nahuatl « micqui » (la mort) et « tlan » (endroit, lieu) , ou par extension, « lieu des morts ») désigne dans la mythologie aztèque, les régions de l'au-delà que doivent parcourir les défunts en vue de libérer leur âme et leur énergie vitale. Ces régions sont souvent désignées comme l'inframonde par les ethnologues. L'inframonde du Mictlán est composé de huit ou neuf régions selon les sources, où les morts réalisent un voyage posthume qui dure quatre ans et à travers duquel ils doivent affronter des épreuves et de nombreux dangers. Durant ce processus le défunt passe par plusieurs stades, se décharne puis se dématérialise jusqu'à la réussite de la libération de la force vitale et de l'âme.

  • Tlalocan ou paradis de Tlaloc, dieu de la pluie. C'est le lieu où se rendaient les personnes décédées dans des circonstances liées à l'eau.
  • Omeyocán, paradis du soleil, présidé par Huitzilopochtli, le dieu de la guerre.
  • Chichihuacuauhco, l'endroit où vont les enfants morts.

Epoque précolombienne

  • Papalotlaxcalli, pan de mariposa
  • Cf sacrifices humains > couleur rouge
  • Pain à base de graines d’amarante
Epoque coloniale
  • Pain des âmes (XVI-XIX°s) dans la péninsule ibérique ; pain, vin, fleurs
  • Pain à base de blé, lait, beurre
Fusion de 2 mondes ? Métissage hispano-indigène ?

Titre original : 007 Spectre De Sam Mendes 2015 / 2h28min / Avec Daniel Craig, Christoph Waltz, Léa Seydoux Un message cryptique surgi du passé entraîne James Bond dans une mission très personnelle à Mexico puis à Rome, où il rencontre Lucia Sciarra, la très belle veuve d'un célèbre criminel. Bond réussit à infiltrer une réunion secrète révélant une redoutable organisation baptisée Spectre. Pendant ce temps, à Londres, Max Denbigh, le nouveau directeur du Centre pour la Sécurité Nationale, remet en cause les actions de Bond et l'existence même du MI6, dirigé par M.

Titre : Coco 2017 / 1h 45m / Animation, Fantastique, Famille Depuis déjà plusieurs générations, la musique est bannie dans la famille de Miguel. Un vrai déchirement pour le jeune garçon dont le rêve ultime est de devenir un musicien aussi accompli que son idole, Ernesto de la Cruz. Bien décidé à prouver son talent, Miguel, par un étrange concours de circonstances, se retrouve propulsé dans un endroit aussi étonnant que coloré : le Pays des Morts. Là, il se lie d’amitié avec Hector, un gentil garçon mais un peu filou sur les bords. Ensemble, ils vont accomplir un voyage extraordinaire qui leur révèlera la véritable histoire qui se cache derrière celle de la famille de Miguel…

"La llorona", chanson mexicaine emblématique, même dans ses versions les plus romantiques, ne raconte pas d'histoire mais évoque poétiquement une femme liée à la mort et aux pleurs. Elle s'inspire de la légende d'une femme fantôme qui erre encore la nuit en appelant ses enfants en larmes et en gémissant, et dont la première apparition remonte à l'époque de l'empire aztèque, comme un signe avant-coureur de grands malheurs.

Pour arriver à l'inframonde du Mictlán, les morts doivent traverser le fleuve Apanohuacalhuia. Pour cela, il leur fallait l'aide d'un chien Xoloitzcuintle qui évaluaient tout d'abord si le défunt était digne de poursuivre. Si le candidat avait maltraité des chiens durant sa vie, il était condamné à errer telle une ombre sur les rives du fleuve sans pouvoir le traverser.

Sueño de una tarde dominical en la Alameda Central 1947 (4,8 x 15 m.)

Détail central

La reprise de la caricature de Posada dans cette oeuvre monumentale de Diego Rivera lance la popularité de la Catrina, désormais symbole de la Fête des morts au Mexique.