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Transcript

Changements à prioriser

Structure

La nouvelle structure du programme invite à l’enseignement intégré du français et de la littératie, ainsi que de l’enseignement interdisciplinaire. 4 domaines sont proposés : établissement de liens et mise en application de la littératie, notions fondamentales sur la langue, compréhension, rédaction.

2

1

Continuum

Les annexes proposent des continuums pour l’apprentissage de la langue en tant qu’objet d’étude en soi. Ces continuums renferment ainsi une progression cohérente de notions linguistiques à enseigner. Cela dit, l’enseignant doit se soucier de mettre en relation ces notions avec les autres composantes du cours de français.

Annexe A

Annexe B

Enseignement préconisé

Enseignement par la découverte

Littératie structurée

Littératie médiatique multimodale

L'approche par étapes

Approches plurilingues

4

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Évaluation

Grilles d'évaluation

Bulletin

Chacune des composantes de la période de français est cloisonnée : aucun lien n’est fait entre l’oral, la lecture, l’écriture, la grammaire et le lexique. L’enseignement de la langue se limite à la période de français: on n’amène pas l’élève à comprendre que la langue est partout et qu’elle permet de véhiculer des savoirs disciplinaires autres que le français.

Annexe A : Continuum des notions fondamentales de la lecture et de l’écriture, de la 1re à la 4e année, attente B2

Annexe A : Continuum des notions fondamentales de la lecture et de l’écriture, de la 1re à la 4e année, attente B2

Annexe A : Continuum des notions fondamentales de la lecture et de l’écriture, de la 1re à la 4e année, attente B2

Ce continuum repose principalement sur les principes de la science de la lecture et liste les composantes à enseigner du jardin jusqu’à la quatrième année : la conscience phonologique/phonémique, la connaissance des lettres et l’association graphèmes-phonèmes, le vocabulaire, la fluidité et la compréhension.

Chacune des composantes de la période de français est cloisonnée : aucun lien n’est fait entre l’oral, la lecture, l’écriture, la grammaire et le lexique. L’enseignement de la langue se limite à la période de français: on n’amène pas l’élève à comprendre que la langue est partout et qu’elle permet de véhiculer des savoirs disciplinaires autres que le français.

L’enseignant.e cloisonne son enseignement des composantes linguistiques et ne fait pas de liens entre elles et leurs contextes d’utilisation.

La littératie médiatique multimodale repose sur le fait que le sens n’est pas seulement véhiculé par les modes traditionnels de communication associés à la langue écrite. Un enseignement de la langue qui repose sur la littératie médiatique multimodale aborde les multiples formes de communication, qu’elles soient orales, écrites, numériques, audio, visuelles ou spatiales

Reposant sur les principes de la conception universelle de l’apprentissage et de la différenciation pédagogique, l’approche par étapes est mise en oeuvre pour satisfaire les besoins de tous les élèves. Ce modèle proactif et préventif est conçu pour apporter un soutien opportun à l’ensemble des élèves afin de prévenir l’apparition de difficultés en littératie. Le soutien à plusieurs niveaux permet aux élèves de recevoir des interventions précises et de plus en plus intensives, selon leurs besoins. Les données obtenues par l’entremise des évaluations orientent les décisions relatives à l’enseignement pour chaque élève et aident à déterminer l’intensification de l’enseignement pour quelques élèves, au besoin.

L’enseignement grammatical préconisé dans le programme est dit inductif. Autrement dit, l’enseignant.e est appelé.e à faire observer le fonctionnement d’unités linguistiques à partir de textes authentiques par les élèves. L’enseignement est moins magistral : l’élève doit ainsi analyser des textes, poser des hypothèses et faire ressortir, avec le soutien de ses pairs, les règles grammaticales à dégager.

Chacune des composantes de la période de français est cloisonnée : aucun lien n’est fait entre l’oral, la lecture, l’écriture, la grammaire et le lexique. L’enseignement de la langue se limite à la période de français: on n’amène pas l’élève à comprendre que la langue est partout et qu’elle permet de véhiculer des savoirs disciplinaires autres que le français.

Chacune des composantes de la période de français est cloisonnée : aucun lien n’est fait entre l’oral, la lecture, l’écriture, la grammaire et le lexique. L’enseignement de la langue se limite à la période de français: on n’amène pas l’élève à comprendre que la langue est partout et qu’elle permet de véhiculer des savoirs disciplinaires autres que le français.

La littératie structurée, reposant sur une approche d’enseignement se voulant explicite et systématique, mise sur les différentes composantes de la littératie : “la conscience phonologique, l'identification et la structure des mots, la phonétique, le décodage, l'orthographe (lexicale et grammaticale) et la syntaxe relative à la lecture des phrases et des paragraphes”. En ce sens, la littératie structurée propose l’enseignement explicite et systématique des habiletés fondamentales (p. ex, le décodage en lecture) et des habiletés de niveau élevé (p. ex., l’écriture d’une nouvelle littéraire)

Une seule cote globale au lieu d'une par domaine comme avant. L’apprentissage et l’évaluation liés au domaine d’étude A sont intégrés dans le contexte de l’apprentissage des domaines B à D. Le rendement de l’élève par rapport aux attentes du domaine A doit être évalué tout au long de l’année et peut être inclus dans la case des commentaires du bulletin scolaire.

Les approches plurilingues visent la valorisation des langues que connait l’élève. Dans le cadre d’approches plurilingues, les autres langues que le français que connait l’élève deviennent un outil que peut utiliser l’enseignant.e pour aborder ce qui est relatif au français.

  • L’enseignant.e développe les notions fondamentales de la langue en mettant l’accent sur l’enseignement explicite et systématique de la lecture des mots (en termes de décodage, mais aussi de fluidité) et de leur orthographe. Il/elle insiste sur la conscience phonémique, le principe alphabétique et les correspondances sons-lettres pendant au moins 30 minutes quotidiennement dans le cadre de son bloc de littératie. Ensuite, il/elle utilise le Message du jour ainsi que la lecture aux élèves d’un album jeunesse pour appliquer ces notions.
  • L’enseignant.e profite de sa leçon d’études sociales pour enseigner les notions relatives à l’harmonisation des temps verbaux du passé : l’usage du passé composé, de l’imparfait, la reconnaissance du passé simple.
  • L’enseignant.e utilise un album jeunesse documentaire sur la musique (arts) pour enseigner les façons de compléter les noms (les groupes adjectivaux, les groupes prépositionnels, etc.).

Chacune des composantes de la période de français est cloisonnée : aucun lien n’est fait entre l’oral, la lecture, l’écriture, la grammaire et le lexique. L’enseignement de la langue se limite à la période de français: on n’amène pas l’élève à comprendre que la langue est partout et qu’elle permet de véhiculer des savoirs disciplinaires autres que le français.

La nouvelle structure du programme invite à l’enseignement intégré du français et de la littératie, ainsi que de l’enseignement interdisciplinaire. 4 domaines sont proposés : établissement de liens et mise en application de la littératie, notions fondamentales sur la langue, compréhension, rédaction.

Chacune des composantes de la période de français est cloisonnée : aucun lien n’est fait entre l’oral, la lecture, l’écriture, la grammaire et le lexique. L’enseignement de la langue se limite à la période de français: on n’amène pas l’élève à comprendre que la langue est partout et qu’elle permet de véhiculer des savoirs disciplinaires autres que le français.

Chacune des composantes de la période de français est cloisonnée : aucun lien n’est fait entre l’oral, la lecture, l’écriture, la grammaire et le lexique. L’enseignement de la langue se limite à la période de français: on n’amène pas l’élève à comprendre que la langue est partout et qu’elle permet de véhiculer des savoirs disciplinaires autres que le français.

L’enseignant.e cloisonne son enseignement des composantes linguistiques et ne fait pas de liens entre elles et leurs contextes d’utilisation.

L’enseignant.e cloisonne son enseignement des composantes linguistiques et ne fait pas de liens entre elles et leurs contextes d’utilisation.

Chacune des composantes de la période de français est cloisonnée : aucun lien n’est fait entre l’oral, la lecture, l’écriture, la grammaire et le lexique. L’enseignement de la langue se limite à la période de français: on n’amène pas l’élève à comprendre que la langue est partout et qu’elle permet de véhiculer des savoirs disciplinaires autres que le français.

Les annexes proposent des continuums pour l’apprentissage de la langue en tant qu’objet d’étude en soi. Ces continuums renferment ainsi une progression cohérente de notions linguistiques à enseigner. Cela dit, l’enseignant doit se soucier de mettre en relation ces notions avec les autres composantes du cours de français.

L’enseignant.e cloisonne son enseignement des composantes linguistiques et ne fait pas de liens entre elles et leurs contextes d’utilisation.

L’enseignant.e choisit d’enseigner de façon parallèle des genres oraux et écrits partageant des similitudes. Par exemple, il/elle enseigne certains éléments liés au débat (oral) en faisant des liens avec l’enseignemen t de la lettre d’opinion (écriture), car ces deux genres revêtent une composante argumentative.L’enseignant.e lisant un livre de littérature de jeunesse avec ses élèves fait une pause et demande à ses élèves d’utiliser une stratégie, la prédiction, pour envisager la suite de l’histoire (lecture). Pour faire des liens interdisciplinaires avec le domaine artistique, il/elle invite ses élèves, en petits groupes, à mettre en scène leurs prédictions dans le cadre de saynètes (art dramatique). Il/elle termine ensuite la lecture du livre. Cela dit, à partir du travail en art dramatique, l’enseignant.e a remarqué que plusieurs élèves peinent à utiliser les gestes pour véhiculer leur message et, donc, décident de faire un enseignement des éléments non verbaux qui contribuent à la communication (oral).

L’enseignant.e cloisonne son enseignement des composantes linguistiques et ne fait pas de liens entre elles et leurs contextes d’utilisation.

  • Mise à jour des exemples .
  • Ajout du terme “non verbale" aux critères de la compétence Communication

L’enseignant.e cloisonne son enseignement des composantes linguistiques et ne fait pas de liens entre elles et leurs contextes d’utilisation.

L’enseignant.e cloisonne son enseignement des composantes linguistiques et ne fait pas de liens entre elles et leurs contextes d’utilisation.

Ce continuum repose surtout sur les principes de la grammaire nouvelle, prend la phrase comme pivot (sujet, prédicat, complément de P) et aborde progressivement les différentes notions à enseigner à partir du pivot de la phrase. On y présente aussi des notions relatives au lexique et à la cohérence textuelle, entre autres.