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par les élèves de 5°3

Nos récits pour la planète

Citation

Thank you!

Introduction

6.La Panda Roux

7.Le Harfang des neiges

5.Le koala

4.L'interview du Tigre

3. Les Tortues Luth

2. La Raie Manta

1. Le Kakapo

Sommaire

Suite à la hausse des températures et la modification du climat, de nombreuses espèces sont confrontées à des conditions qu’elles n’ont jamais affrontées et qui , bien souvent, dépassent leur capacité à s’adapter. La principale perturbation réside en la modification du calendrier saisonnier d’événements biologiques majeurs (floraisons, fin des hibernations, migrations annuelles…), ce qui engendre cdes déséquilibres importants dans les écosystèmes et les chaînes alimentaires. Ces nouvelles conditions favorisent aussi la propagation de certains insectes et parasites, amplifiant la transmission de maladies chez les animaux et végétaux.. Le climat entraîne par ailleurs des disparitions locales : près de la moitié (47 %) des espèces étudiées par le GIEC ont subi des extinctions de populations locales, associées à une hausse des températures. Les espèces peuvent aussi être contraintes à se déplacer pour survivre, afin d’atteindre, lorsque c’est possible, des latitudes plus hautes, des altitudes plus élevées, des eaux plus profondes… Cela peut les sauver mais aussi générer de nouvelles formes de compétition entre elles au sein des écosystèmes.Les différents impacts du changement climatique entraîneront de graves conséquences pour les sociétés humaines : comme l’explique le GIEC, “la survie de l’espèce humaine dépend d’écosystèmes sains et d’une biodiversité riche”. Nous faisons partie du tissu du vivant et en sommes directement dépendants pour respirer, nous habiller ou encore nous nourrir, puisque tout ce que nous mangeons est issu du vivant.

Introduction

par Jeanne, Julia, Anthony & Elias

01. Le Kakapo

Le kakapo sera-t-il l'heureux gagnant du réchauffement climatique ?

LE KAKAPO Un jour, des hommes de Nouvelle-Zélande sont allés explorer une île. Sur cette île, ils ont découvert un nouvel animal, d'une espèce qu'ils ne connaissaient pas. L'animal s'est mis à leur parler. - "Bonjour, je suis un Kakapo qui vit ici depuis 1995. En effet, là où je vivais auparavant, j'étais devenu une espèce en danger. Alors les hommes m'ont amené sur cette île pour me protéger. Comme vous le voyez, je mesure environ 60 cm de long et je peux peser jusqu'à 4kg. Mon dos est gris-vert, avec des taches grises et brunes. Mon ventre, un peu plus clair, tire sur le jaune. L'ensemble constitue un excellent camouflage ! - Pourquoi donc es-tu plus à l'abri sur cette île ? En quoi cela te protège ? -Avant, mon seul prédateur était l'Aigle de Haast, mais depuis que les humains sont arrivés en Nouvelle Zélande, mon espèce est menacée car ils ont importé des animaux comme le chat et le chien, et aussi des rats qui se nourrissent de nos œufs ! Je suis un animal végétarien principalement herbivore : je me nourris d'un grand nombre de plantes différentes ; mais je mange aussi des fruits, des graines, du pollen, de la sève qui coule des arbres. - Et comment te reproduis-tu ? -Pour me reproduire, après avoir charmé la femelle, celle-ci pond ses œufs dans un nid, creusé à même le sol, sous une couche de feuilles ou dans le creux d'un arbre. Pendant les 3 premiers mois de notre vie, c'est notre mère qui nous nourrit. - Et combien y-a-t-il de kakapos dans le monde aujourd’hui ? - Actuellement, nous sommes environ 150 dans le monde."

Les principaux dangers qui pour le kakapo

  • La déforestation
Pour l’agriculture, le pâturage ou l’habitation, la zone habitable du kakapo ne cesse de se réduire au profit de la déforestation. L’espèce ne survit plus que dans quelques zones fragmentées de ce qui constituait son aire de répartition initiale.
  • Le réchauffement climatique
La hausse des températures peut jouer un rôle dans la prolifération des virus et des bactéries. La chaleur enregistrée ces dernières années en Nouvelle-Zélande a ainsi contribué à la multiplication de certains champignons pathogènes à l’origine d’une infection respiratoire fongique appelée aspergillose. L’introduction de nouveaux prédateurs Habitué aux oiseaux de proie indigènes auxquels l’espèce a très vite été confrontée à travers les îles néo-zélandaises, le kakapo a adopté un mode de vie nocturne et s’est doté d’un plumage vert, parfait pour le camouflage. Des techniques qui se sont rapidement révélées inefficaces face aux chiens, aux chats et aux rats introduits par l’Homme et qui comptent davantage sur leur ouïe et leur odorat pour débusquer leurs proies.

par Clara, Chloé, Mathéo & Neil

02. La Raie Manta

Bonjour à tous, Je m’appelle Réna, je suis en voie de disparition. Je vais me décrire pour que vous puissiez me reconnaître : J’ai un corps aplati, un dos sombre, un ventre clair, de larges nageoires latérales. Je mesure de 5 à 8mètres de long. Je pèse 1 à 2 tonnes. Je peux vivre jusqu’à 50 ans minimum. Je vis dans les eaux tempérées, tropicales et subtropicales. Je mange des crevettes, du krill et des crabes planctoniques. Avez-vous trouvé quel animal je suis sinon continuée la lecture et vous apprendrez beaucoup de choses sur moi. Je suis un mammifère très proche des requins, un poisson cartilagineux. Je suis dotée du plus gros cerveau de tous les poissons du monde. J’ai un faible taux de reproduction, depuis de nombreuses années. Alors avez-vous trouvé maintenant ? Je vais vous raconter l’histoire de mon mari Roudi qui est mort pris par des filets. Il y a quelques années, nous avons eu une belle petite fille Raïcha. Les humains nous capturent pour de nombreuses raisons : pour ma chair, mon huile de foie ou ma peau, recherchée pour mes propriétés abrasives, font l’objet d’un important commerce à travers le Mexique, l’Inde et les Philippines. Mes amies et moi nous sommes particulièrement vulnérables face aux filets et aux lignes de pêche abandonnés en mer. On ne peut ni nager ni s’arrêter car c’est en nageant qu’on fait circuler l’oxygène à travers nos branchies. C’est comme ça que mon mari est mort, donc maintenant essayer de faire un petit peu plus attention à nous car nous sommes en voie de disparition. Nous pouvons aussi mourir de l’augmentation de la température et de l’acidification des mers et des océans, le cycle de vie du plancton, notre principale source de nourriture est déjà nettement perturbée. La modification du courant gêne nos migrations et influe négativement sur nos capacités d’orientation. Je voudrais que nous soyons placées en espèce protégée afin que les braconniers ne nous chassent plus, que notre espèce ne s’éteigne pas et ne disparaisse pas.

par Marinette, Sofia, Faton & Jean

03. Les Tortues Luth

Les Tortues Luth Nous sommes les tortues luth, il y a quelques années encore, nous vivions dans de très bonnes conditions, mais depuis peu, cela se dégrade ... Je m’appelle Somajafar et voici mon histoire. Étant petite mes parents m’avaient toujours dit de faire attention, et ce, bien que nous soyons le quatrième plus grand reptile du monde. Un jour ,j’ai eu l’audace de franchir la limite que mes parents m’avaient interdit de dépasser. Ce jour là, les vagues étaient plus agitées. En avançant dans les profondeurs, j'ai commencé à sentir quelque chose s’attacher à ma nageoire, c’était un filet de pêche ! J’ai alors essayé de me libérer, mais j’étais bloquée. A ce moment précis, j'ai cru que j’allais mourir. Mais, fort heureusement pour moi, mon père arriva pour me sauver. Il coupa le filet d’une seule morsure. Il me questionna afin de s'assurer que je ne me sois pas fait mal, puis il ne m’adressa plus la parole. Sur le chemin du retour, nous avons vu énormément de sacs plastiques et de déchets. Après être rentrés, à la maison, mes parents me disputèrent énormément et m’interdirent de sortir. Ce soir-là, mon dîner ne fut composé que de végétaux, alors que mes parents, eux, avaient à déguster des méduses et des mollusques. Le lendemain matin, à mon réveil, mes parents n’étaient plus là. Une ombre apparue au dessus de ma tête et c’est à ce moment là, que j’ai compris que les pêcheurs avaient capturé mes parents. Je pris la fuite et, le plus rapidement possible, je m'éloignai en songeant à tout ce que j'aurais aimé dire et vivre avec mes parents. En une fraction de secondes, mon univers s'est écroulé, je ne pourrai plus jamais les voir, leur parler, dans ma tête, je n'arrêtai pas de repenser à cette dernière soirée. Quelques mètres plus tard , j’aperçus une plage où il y avait un groupe de tortues femelles. Je décidai de les rejoindre afin de trouver un peu de réconfort. Arrivée sur la plage, je demandai à une autre tortue ce qu’il se passait. Elle m’expliqua qu’elle et toutes les autres femelles essayaient de pondre ,mais qu’à cause du réchauffement climatique ,c’était plus dur. En effet, la hausse de la température du sable des plages, provoquée par le changement climatique, tend à tuer les œufs avant même qu’ils n’aient éclos. De plus, il faut savoir que chez les tortues Luth, le sexe de l’individu à l’éclosion varie en fonction de

la température lors de l’incubation. Les œufs de tortue Luth sont pondus dans un trou dans le sable creusé par la femelle. Le développement des œufs jusqu’à l’éclosion est appelé l’incubation. Sachant que c’est la température qui induit le sexe de la tortue.De ce fait, des températures plus chaudes entraînent la naissance de femelles, alors que les températures plus froides signifient que ce seront des mâles. Pour un nombre exact de femelles et de mâles à naître, les scientifiques se réfèrent à la température pivot qui se situe environ à 29,3° Celsius. Toutefois, il n’y a qu’une mince limite de degré qui fera qu’il y aura 100% de tortue mâle ou 100% de tortue femelle. La barrière est donc infime. Autrement dit, la plupart des éclosions donnent aujourd’hui naissance à des femelles, ce qui promet de compliquer le processus de reproduction.J’aurais tellement aimé lui dire que je pouvais l’aider à résoudre ce problème, mais malheureusement je ne pouvais rien sauf les réconforter. Seuls les êtres humains auraient les moyens de les aider , en adoptant les quatre mesures principales suivantes: protéger les lieux de pontes en créant des zones protégées, faire de la prévention près de ces lieux, faire de la tortue luth un attrait touristique dans certaines régions (sites d’observations de pontes des tortues) et limiter la présence de filets près des côtes. Quelques jours plus tard, des bénévoles d’une association sont venus en aide à mes nouvelles amies. Néanmoins, leur aide reste malheureusement insuffisante, car nous avons besoin de vous et de tous vos efforts contre le réchauffement climatique et la pollution , pour pouvoir croire que notre espèce ne sera pas bientôt en voie de disparition.

par Alice, Léna, Manon & Samad

04. L'interview du Tigre

L’INTERVIEW DU TIGREUn jour, une grande journaliste très connue décida d’interviewer un tigre qui vivait dans une forêt tropicale et se nommait Wejdene. Cette grande journaliste n’était autre que Choupi ! Applaudissez-la bien fort ! Enfin arrivée, Choupi posa toutes sortes de questions : - « Holà ! » - « Grrr, salem » - « Je suis là pour poser des questions afin d’en connaître un peu plus sur votre espèce, les tigres. D’abord, quel poids faites-vous ? » - « De 100 à 300kg selon les individus. » - « D’accord et quelle taille faites-vous ? » - « Entre 80 centimètres à 1 mètre au garrot (quand on se tient debout). » - « Combien êtes-vous en population ? » - « 3890 individus. » - « Et quel est votre régime alimentaire ? » - « Nous sommes carnivores, nous mangeons du sanglier, des gaurs mais aussi des oiseaux, des singes ou des poissons. Nous pouvons avaler jusqu’à 18kg de viande en un seul repas à la suite mais quelquefois nous jeûnons pendant quelques jours. » Un autre tigre arriva, c’était le cousin de Wejdene qui s’appelait Bryan. - « Moi c’est Bryan ! » - « Oh mais Bryan, qui êtes-vous ? » - « Je suis le cousin de Wejdene et j’arrive tout droit d’Asie, il faisait trop chaud. » - « Ok Bryan, puis-je vous posez quelques questions pour l’interview que passait votre cousin Wejdene ? » - « Yesssss, okay, mais seulement pour une question car je dois vite repartir ! » - « Pas de soucis. Alors, vous venez donc d’Asie, ce qui veut dire que tous les tigres ne vivent pas aux mêmes endroits ? » - « Yes sure ! Il y a des tigres qui viennent l’Himalaya jusqu’au Sud Est de l’Asie continentale. » Choupi et Bryan repartirent juste après, Tchoupi les a remerciés pour leur temps et leur écoute.

De retour chez elle, notre journaliste écrivit un article afin d'inciter les populations à sauver les tigres de l'extinction. En faisant des recherches complémentaires, elle s'aperçut que le tigre est un animal qui a besoin de grands habitats sauvages pour s'épanouir. Elle prit conscience que conserver l'habitat du tignre est essentiel , car cela permet de protéger de nombreuses autres espèces qui en dépendent également. De plus, le tigre se situe au sommet de la chaîne alimentaire, de ce fait, assurer son avenir permet de garantir l'équilibre de l'écosystème. Et un écosystème sain permet de conserver ses fonctions essentielles dont des millions d'hommes et femmes dépendent. Protéger l'espèce est donc positif pour la biodiversité, mais aussi pour le climat et les populations humaines.

par Kévin, Léo, Louis & Noa

05. Le Koala

L’histoire du koala Dans une forêt humide de la côte Est de l’Australie un jeune koala parle avec son grand-père autour d’un repas d’eucalyptus. -Grand-père? -Oui. -C’est quoi cette marque que tu as sur la patte gauche ? -Eh bien mon petit je vais te raconter mon histoire, quand on trouvait encore des koalas par milliers en Australie, je vivais paisiblement dans un arbre, mais un jour un immense feu s’est déclaré. Tous les animaux tentaient de fuir les flammes qui se rapprochaient à une vitesse phénoménale, je suis parti aussi vite que je le pouvais mais les flammes ont fini par me rattraper, Dans ma fuite, j’ai été brûlé à la patte gauche mais dans un dernier effort j’ai réussi à me réfugier dans une prairie et à bout de force je me suis évanoui. Quand je me suis réveillé, j’étais dans un grand enclos et j’avais un bandage autour de la patte. Un humain est venu, il m’a pris et m’a emmené dans une pièce où il m’a pesé, je pesais dix kilogrammes, et il m’a mesuré, je faisais soixante-dix centimètres. Ensuite, il m’a remis dans mon enclos, j’y suis resté quelques semaines. Puis, quand j’ai été totalement rétabli, on m’a mis dans une camionnette pour aller me relâcher au cœur de la forêt encore préservée. Voilà, cette marque est donc la cicatrice de ma brûlure.

* Pour en savoir plus sur les koalas

  • Qui est il ?
Le koala est un mammifère marsupial, il pèse de 5 à 15 kg et mesure entre 65 et 78 cm, son espérance de vie est de 13 à 18 ans. Il y a 3 espèces de koalas dans le monde, le koala de New South Wales, le koala de Queensland et le koala de Victoria .Son nom scientifique est Phascolarctos Cinereus et il est surnommé paresseux australien.
  • Où vit il ? il et comment ?
Les koalas ne vivent qu’en Australie sur la côte Est. Ils aiment les forêts humides et passent le plus clair de leur temps dans les arbres. Les koalas passent presque toutes leurs journées à dormir (environ 19 heures par jour) et le peu de temps où ils sont éveillés ils restent immobiles , occupés à manger et à se nettoyer.
  • Comment se nourrit-il ?
Les koalas sont herbivores et ne consomment que les feuilles, écorces et fruits d’eucalyptus, ils peuvent stocker des feuilles non mâchées dans les poches de leurs joues. Ils n’ont pas besoins de boire, car les feuilles d’eucalyptus couvrent leurs besoins en eau.
  • La reproduction
Le koala se reproduit en été, la période où le mâle marque son territoire en frottant sa poitrine sur les troncs d’arbres. La femelle émet des gémissements pour attirer les mâles. La gestation ne dure qu’un mois. La femelle ne donne vit à un bébé qu’une fois par an, le bébé n’est guère plus grand qu’un petit pois, sa taille n’atteint un centimètre qu’après un mois et vit dans la poche ventrale de sa mère pendant ses cinq premiers mois.
  • Quelles menaces pèsent sur le koala ?
La perte d’habitat est l’une des plus grandes menaces qui pèse sur le koala. Cette situation est due : -au défrichement -à la déforestation -à l’urbanisation -aux feux de forêt. Leur habitat étant perturbé, le koala devient vulnérable aux prédateurs (chiens) et aux collisions avec des véhicules. Ces dernières années, les effets du changement climatique, notamment les sécheresses et les feux de brousse ont conduit à l’extinction de certaine population de koala
  • Comment palier à sa disparition ?
Pour stopper la disparition des koalas il faudrait arrêter d'autoriser que leurs habitats soient rasés pour des mines, des projets immobiliers ou agricoles et des exploitations forestières industrielles.

par Lissandra, Nina, Miguel & Yoris

06. Le Panda Roux

Bonjour je suis Steve, je suis un panda roux en voie de disparition. Je peux mesurer jusqu'à 58 cm. Je peux peser jusqu'à 3 à 6 kilos. J’habite dans les montages de l’Himalaya. Ma fourrure est rousse et brune. Je suis un panda roux qui vit pendant le changement climatique. Ce n'est pas facile à vivre car il fait de plus en plus chaud, les forêts brûlent donc notre espace de vie diminue. Pour notre petite espèce qui fait environs 58 cm c’est difficile car nous vivons dans les arbres donc si ils brûlent nous ne pourrons plus vivre ni nous nourrir. Notre habitat se dégrade et des centaines de panda roux disparaissent par mois. Avant les forêts étaient belles et grandes maintenant elles sont petites et brûlées. Nous nous nourrissons de bambous, avant ce n’était pas un problème d’en trouver mais maintenant avec le changement climatique, les feux de forêts et la production de produits commerciaux, trouver du bambou et devenu compliqué. Voici mon quotidien donc ensemble stoppons le réchauffement climatique !!!!!! Cordialement Steve le panda roux .

par Firdaousse, Maroua, Arthur & Erion

07. Le Harfang des neiges

Bonjour je suis Aya, une harfang des neiges, je vais me présenter à travers ces quelques lignes.Mon plumage est sombre et aborde des plumes striées de brun foncé, alors que mon frère a le plumage tout blanc. Toute ma famille mesure entre 55 et 70 cm. Ma famille et moi vivons dans le nord du cercle polaire où règne une température moyenne de -50°C.Ma nourriture préférée est le lemming, mais je mange aussi d'autres petits rongeurs, des petits mammifères, des oiseaux de mer lorsqu’ils sont disponibles.J’ai 5 ans, je pèse 1,8 kg, je mesure presque 1 mètre lorsque je déploie mes ailes, mais certains membres de ma famille mesurent près de 1,5 mètre.Notre espérance de vie peut atteindre 10 ans.J’ai un frère, une grande sœur et une petite sœur. Mon frère s’appelle Ric,, ma petite sœur s’appelle Leya et enfin ma grande sœur s’appelle Méli. Ma maman se prénomme Tamara et mon papa Rico.Aujourd’hui je vais vous raconter mon histoire :Tout commence un soir, où la neige tombait à gros flocons, il y avait beaucoup d’agitation, d'ailleurs une bagarre a éclaté pour un oiseau de mer.

Tous les harfangs de ma ville voulaient cet oiseau, tous volaient dans les airs, mais il y avait de nombreuses lignes électriques. Certains harfangs, épuisés par le combat, ont souhaité se hâter, pensant bluffer leurs adversaires, ils ont effectué un looping arrière, malheureusement, ils en sont morts. En effet, ils avaient oublié que, depuis plusieurs années, l'Homme a envahi notre territoire et ils sont entrés en collision avec des automobiles, des clôtures ou des lignes électriques.Depuis ce soir, c’est interdit de se bagarrer ou d'aller à proximité des lignes électriques, c’est dans notre loi harfangienne. Néanmoins, encore aujourd'hui, il y a des harfangs qui meurent à cause de cela sans le faire exprès.Moi je fais très attention, je ne vole plus à proximité des lignes électriques. Ma famille aussi fait très attention. D'ailleurs, ma maman me dit toujours de faire très attention à chacune de mes sorties. Mon frère, pour sa part, n'en fait qu'à sa tête, il n’écoute rien. Il dit toujours « Il ne va rien m’arriver, je suis grand, tu n’as pas besoin de me faire la leçon.» Il verra, le jour où il va se faire mal, il comprendra, mais ce sera peut-être trop tard. Certes, le harfang des neiges est une espèce protégée à l’échelle internationale, y compris en France. Il n'en demeure pas moins que notre environnement a changé et que nous avons beaucoup de difficultés à nous y adapter.

Leonardo DiCaprio

"Le changement climatique est réel, il se produit maintenant. Il s'agit de la menace la plus urgente pour toutes les espèces et nous devons travailler ensemble et ne plus tergiverser."

Thank you!