Eglise de St Crépin

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L'église de Saint-Crépin-aux-Bois

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Situé dans un vallon à l'orée de la forêt de Laigue (du latin "agua"), Saint-Crépin-aux-Bois dépendait autrefois de l'importante seigneurie d'Offémont qui fut un rendez-vous de chasse royale dès le VIe siècle.

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Situé dans un vallon à l'orée de la forêt de Laigue (du latin "agua"), Saint-Crépin-aux-Bois dépendait autrefois de l'importante seigneurie d'Offémont qui fut un rendez-vous de chasse royale dès le VIe siècle.

L'église doit son existence, comme le Prieuré de Saint Croix, aux seigneurs d'Offémont. Ce prieuré, situé dans le parc du château d'Offémont, est fondé en 1331 par quatre Célestins, moines originaires d'Italie, pour y déposer un fragment de la vraie Croix. Les Célestins le quittent en 1779.

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Situé dans un vallon à l'orée de la forêt de Laigue (du latin "agua"), Saint-Crépin-aux-Bois dépendait autrefois de l'importante seigneurie d'Offémont qui fut un rendez-vous de chasse royale dès le VIe siècle.

La construction de l'église est entreprise vers 1550. Le chantier est interrompu pendant les guerres de religion qui, dans notre région, durèrent vingt-huit ans. Les travaux reprennent pour se terminer en 1604.

L'église doit son existence, comme le Prieuré de Saint Croix, aux seigneurs d'Offémont. Ce prieuré, situé dans le parc du château d'Offémont, est fondé en 1331 par quatre Célestins, moines originaires d'Italie, pour y déposer un fragment de la vraie Croix. Les Célestins le quittent en 1779.

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Situé dans un vallon à l'orée de la forêt de Laigue (du latin "agua"), Saint-Crépin-aux-Bois dépendait autrefois de l'importante seigneurie d'Offémont qui fut un rendez-vous de chasse royale dès le VIe siècle.

En savoir plus sur Saint Crépin et Saint Crépinien

En savoir plus sur LA RENAISSANCE

Cette église, remarquable par son unité, est des plus typiques de la Renaissance. Elle est dédiée à Saint Crépin et Saint Crépinien, saints patrons des métiers du cuir.

La construction de l'église est entreprise vers 1550. Le chantier est interrompu pendant les guerres de religion qui, dans notre région, durèrent vingt-huit ans. Les travaux reprennent pour se terminer en 1604.

L'église doit son existence, comme le Prieuré de Saint Croix, aux seigneurs d'Offémont. Ce prieuré, situé dans le parc du château d'Offémont, est fondé en 1331 par quatre Célestins, moines originaires d'Italie, pour y déposer un fragment de la vraie Croix. Les Célestins le quittent en 1779.

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Situé dans un vallon à l'orée de la forêt de Laigue (du latin "agua"), Saint-Crépin-aux-Bois dépendait autrefois de l'importante seigneurie d'Offémont qui fut un rendez-vous de chasse royale dès le VIe siècle.

En savoir plus sur Saint Crépin et Saint Crépinien

En savoir plus sur LA RENAISSANCE

Cette église, remarquable par son unité, est des plus typiques de la Renaissance. Elle est dédiée à Saint Crépin et Saint Crépinien, saints patrons des métiers du cuir.

La construction de l'église est entreprise vers 1550. Le chantier est interrompu pendant les guerres de religion qui, dans notre région, durèrent vingt-huit ans. Les travaux reprennent pour se terminer en 1604.

L'église doit son existence, comme le Prieuré de Saint Croix, aux seigneurs d'Offémont. Ce prieuré, situé dans le parc du château d'Offémont, est fondé en 1331 par quatre Célestins, moines originaires d'Italie, pour y déposer un fragment de la vraie Croix. Les Célestins le quittent en 1779.

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Situé dans un vallon à l'orée de la forêt de Laigue (du latin "agua"), Saint-Crépin-aux-Bois dépendait autrefois de l'importante seigneurie d'Offémont qui fut un rendez-vous de chasse royale dès le VIe siècle.

Au XVIIIe siècle, des travaux de restaurations sont menés dans le choeur et la nef. La date de 1751 est inscrite sur le premier pilier du choeur.

Cette église, remarquable par son unité, est des plus typiques de la Renaissance. Elle est dédiée à Saint Crépin et Saint Crépinien, saints patrons des métiers du cuir.

La construction de l'église est entreprise vers 1550. Le chantier est interrompu pendant les guerres de religion qui, dans notre région, durèrent vingt-huit ans. Les travaux reprennent pour se terminer en 1604.

L'église doit son existence, comme le Prieuré de Saint Croix, aux seigneurs d'Offémont. Ce prieuré, situé dans le parc du château d'Offémont, est fondé en 1331 par quatre Célestins, moines originaires d'Italie, pour y déposer un fragment de la vraie Croix. Les Célestins le quittent en 1779.

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Situé dans un vallon à l'orée de la forêt de Laigue (du latin "agua"), Saint-Crépin-aux-Bois dépendait autrefois de l'importante seigneurie d'Offémont qui fut un rendez-vous de chasse royale dès le VIe siècle.

Au XVIIIe siècle, des travaux de restaurations sont menés dans le choeur et la nef. La date de 1751 est inscrite sur le premier pilier du choeur.

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Cette église, remarquable par son unité, est des plus typiques de la Renaissance. Elle est dédiée à Saint Crépin et Saint Crépinien, saints patrons des métiers du cuir.

La construction de l'église est entreprise vers 1550. Le chantier est interrompu pendant les guerres de religion qui, dans notre région, durèrent vingt-huit ans. Les travaux reprennent pour se terminer en 1604.

L'église doit son existence, comme le Prieuré de Saint Croix, aux seigneurs d'Offémont. Ce prieuré, situé dans le parc du château d'Offémont, est fondé en 1331 par quatre Célestins, moines originaires d'Italie, pour y déposer un fragment de la vraie Croix. Les Célestins le quittent en 1779.

D'importants travaux permirent d'effacer avec succès les injures du temps et les méfaits des guerres de 1914 et 1939.

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La façade, typique de la Renaissance, est percée de trois portails surmontés d'un linteau traité en anse de panier, avec un décor sculpté typique de l'époque.

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la façade est pourvue de quatre niches abritant des statues disparues depuis la Révolution.

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A ses extrémités Nord et Sud, on remarque des gargouilles en forme d'animaux fantastiques. Servant à évacuer l'eau de pluie. Elles évoquent les démons qui n'ont pas leur place au sein de l'église.

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Sur le côté Sud, un cadran solaire est là pour rappeler, en donnant l'heure (du moins les jours ensoleillés), la brièveté de l'existence et la nécessité de se convertir. Certains cadrans solaires sont accompagnés d'une sentence comme : "convertis-toi, la vie est courte" ou "il est plus tard que tu ne le penses"...

(c) Gil Giulio

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Sur le toit de l'église, un clocher de petites dimensions est dominé par un coq.

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En effet les coqs sont présents sur les clochers depuis le Xe siècle sur ordonnance du pape de l'époque. Le coq est riche en symboles pour les chrétiens : son chant appelle le reniement de Saint Pierre et son cri invite le chrétien à ne pas s'endormir au cours de son trajet terrestre. Il symbolise aussi, notamment pour les Français, la virilité et la bravoure.

Sur le toit de l'église, un clocher de petites dimensions est dominé par un coq.

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A l'entrée de l'église, on est accueilli par un très beau Christ en bois du début du XVIe siècle. C'est un Christ en croix dont les bras manquent.

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En savoir plus sur la polychromie

L'accueil se poursuit par une très belle statue d'une Vierge à l'Enfant en bois polychrome du XVIIe siècle.

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Le confessionnal en bois sculpté date du XVIIIe siècle. On y découvre, dans le fond à gauche, Saint Pierre qui a reçu de Jésus le pouvoir de remettre les péchés. Dans le fond à droite, Sainte Marie-Madeleine, pécheresse repentante. Elle est représentée avec un vase et un crâne, symbolisant tous deux le moment où elle verse un parfum sur les pieds du Christ, annonçant son ensevelissement.

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Au-dessus de l'autel, une peinture montre la mort (à Rome en 288) de Saint Sébastien criblé de flèches. Pour cette raison, il a été choisi comme patron des archers. Le tir à l'arc est un sport toujours très pratiqué dans la région.

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En savoir plus sur saint Sébastien

Au-dessus de l'autel, une peinture montre la mort (à Rome en 288) de Saint Sébastien criblé de flèches. Pour cette raison, il a été choisi comme patron des archers. Le tir à l'arc est un sport toujours très pratiqué dans la région.

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Sur le retable, la peinture centrale représente une Adoration des Bergers. Population exclue à cette époque, ils accourent à Bethléem, avertis par un ange de la naissance de Jésus.Cette Nativité constitue le coeur de l'oeuvre qui s'ouvre sur un ciel constellé d'angelots chantant la gloire de Dieu.

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Le tableau central est surmonté d'une Annonciation qui nous introduit au mystère de l'annonce faite à Marie par l'archange Gabriel de la naissance de Jésus.

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Ce très beau retable du XVIIe siècle provient du Prieuré de Saint Croix, d'où il a été transporté lors de la Révolution.

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De part et d'autre du retable dominent deux statues de pierre représentant Saint Crépin et Saint Crépinien.Vers l'an 285, issus de la haute société romaine, ils distribuèrent leurs biens aux pauvres avant de se rendre en Gaule dans un but d'évangélisation. Ils s'établirent comme cordonniers dans le Soissonais, travaillant gratuitement pour les plus pauvres. Ils moururent martyrs au nom de leur foi.

En savoir plus sur Saint Crépin et Saint Crépinien

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De part et d'autre du retable dominent deux statues de pierre représentant Saint Crépin et Saint Crépinien.Vers l'an 285, issus de la haute société romaine, ils distribuèrent leurs biens aux pauvres avant de se rendre en Gaule dans un but d'évangélisation. Ils s'établirent comme cordonniers dans le Soissonais, travaillant gratuitement pour les plus pauvres. Ils moururent martyrs au nom de leur foi.

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De part et d'autre du retable dominent deux statues de pierre représentant Saint Crépin et Saint Crépinien.Vers l'an 285, issus de la haute société romaine, ils distribuèrent leurs biens aux pauvres avant de se rendre en Gaule dans un but d'évangélisation. Ils s'établirent comme cordonniers dans le Soissonais, travaillant gratuitement pour les plus pauvres. Ils moururent martyrs au nom de leur foi.

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Aujourd'hui encore, "crépins" désigne les outils et accessoires servant au cordonnier !

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Aujourd'hui encore, "crépins" désigne les outils et accessoires servant au cordonnier !

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De part et d'autre du retable dominent deux statues de pierre représentant Saint Crépin et Saint Crépinien.Vers l'an 285, issus de la haute société romaine, ils distribuèrent leurs biens aux pauvres avant de se rendre en Gaule dans un but d'évangélisation. Ils s'établirent comme cordonniers dans le Soissonais, travaillant gratuitement pour les plus pauvres. Ils moururent martyrs au nom de leur foi.

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A l'entrée du choeur, les bâtons de procession représentent l'un la Vierge Marie, l'autre Saint Crépin et Saint Crépinien. Au XXe siècle, ils accompagnaient encore les processions qui avaient lieu lors de grandes fêtes.

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Le retable est surmonté par une croix entrelacée d'un serpent. Elle évoque le serpent de bronze qui, lors de la révolte des Hébreux en marche vers la Terre Promise, guérissait des morsures de serpents ceux qui levaient les yeux vers lui. C'était une préfiguration du Jésus sauveur.

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Sur l'autel de la Vierge se trouve une Vierge à l'Enfant en marbre du XVIIe siècle.

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Dans l'espace laissé libre au sommet d'une ouverture murée, un petit vitrail a été réalisé en 2010 à l'initiative de la municipalité de Saint-Crépin.Ce blason est composé des armoiries des anciens seigneurs, les Nesles, Offémont et Montmorency. C'est grâce à ceux-ci que furent bâtis le château d'Offémont, l'église et le Prieuré de Sainte-Croix.

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Une fleur de lys, symbole de pureté attaché à Marie et Joseph, est encadrée tout naturellement par leurs statues en bois sculpté.

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Une fleur de lys, symbole de pureté attaché à Marie et Joseph, est encadrée tout naturellement par leurs statues en bois sculpté.

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On remarque un beau baptistère en pierre, où sont baptisés les enfants encore aujourd'hui.

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Proche de la porte se trouve un bénitier en marbre noir et blanc, orné d'une croix entrelacée d'un S.

Ce sont les armes des Célestins, originaires de Sulmone en Italie, qui occupèrent jusqu'au XVIIIe siècle le Prieuré de Sainte Croix d'où vient ce bénitier. Certains voient dans la croix entrelacée d'un S une représentation symbolique du Prieuré. D'autre y voient le S de Sulmone.

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des vitrauxde la nef

A la découverte

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Les vitraux ont été réalisés par Jean-Jacques Gruber en 1967. Merci au Père Philippe Gruson pour son expertise et son aide dans la description de ces oeuvres.

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La Renaissance est une période historique qui marque la fin du Moyen-Age dans toute l'Europe.

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La Renaissance est une période historique qui marque la fin du Moyen-Age dans toute l'Europe.

Bien que ses limites temporelles soient un peu différentes d'un pays à l'autre, on s'accorde en France à dire qu'elle a touché tout le XVIe siècle.

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La Renaissance est une période historique qui marque la fin du Moyen-Age dans toute l'Europe.

C'est un bouleversement dans tous les domaines : les arts, la science, la philosophie... Même la religion est touchée puisque la pensée ne se centre plus sur Dieu mais sur l'Homme en tant que tel.

Bien que ses limites temporelles soient un peu différentes d'un pays à l'autre, on s'accorde en France à dire qu'elle a touché tout le XVIe siècle.

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La Renaissance est une période historique qui marque la fin du Moyen-Age dans toute l'Europe.

C'est un bouleversement dans tous les domaines : les arts, la science, la philosophie... Même la religion est touchée puisque la pensée ne se centre plus sur Dieu mais sur l'Homme en tant que tel.

Bien que ses limites temporelles soient un peu différentes d'un pays à l'autre, on s'accorde en France à dire qu'elle a touché tout le XVIe siècle.

Initiée en Italie, cette période se tourne vers l'Antiquité gréco-romaine, vu comme un modèle de société idéale.

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En architecture religieuse, les églises se parent de décors floraux, reprenant les codes des temples grecs : deux colonnes autour d'un portail, suportant un architrave, la partie droite et sculptée au-dessus des portes de l'église de Saint-Crépin-aux-Bois.

La Renaissance est une période historique qui marque la fin du Moyen-Age dans toute l'Europe.

C'est un bouleversement dans tous les domaines : les arts, la science, la philosophie... Même la religion est touchée puisque la pensée ne se centre plus sur Dieu mais sur l'Homme en tant que tel.

Bien que ses limites temporelles soient un peu différentes d'un pays à l'autre, on s'accorde en France à dire qu'elle a touché tout le XVIe siècle.

Initiée en Italie, cette période se tourne vers l'Antiquité gréco-romaine, vu comme un modèle de société idéale.

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Les monuments religieux, comme le mobilier présent à l'intérieur, n'ont pas toujours laissé voir la pierre brute sur leurs murs.

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Les monuments religieux, comme le mobilier présent à l'intérieur, n'ont pas toujours laissé voir la pierre brute sur leurs murs.

Sur cette Vierge, on repère encore quelques traces de rouge, de bleu et d'or. On ne peut alors qu'imaginer une statue éclatante de lumière et de couleurs.

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Les monuments religieux, comme le mobilier présent à l'intérieur, n'ont pas toujours laissé voir la pierre brute sur leurs murs.

Sur cette Vierge, on repère encore quelques traces de rouge, de bleu et d'or. On ne peut alors qu'imaginer une statue éclatante de lumière et de couleurs.

Aujourd'hui, de nombreuses initiatives sont prises en France et même au-delà de nos frontières pour retrouver les couleurs d'antan. Des sons et lumières et des expositions sont organisés partout pour permettre au public de voir avec les yeux des médiévaux.

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Les monuments religieux, comme le mobilier présent à l'intérieur, n'ont pas toujours laissé voir la pierre brute sur leurs murs.

Sur cette Vierge, on repère encore quelques traces de rouge, de bleu et d'or. On ne peut alors qu'imaginer une statue éclatante de lumière et de couleurs.

Aujourd'hui, de nombreuses initiatives sont prises en France et même au-delà de nos frontières pour retrouver les couleurs d'antan. Des sons et lumières et des expositions sont organisés partout pour permettre au public de voir avec les yeux des médiévaux.

A Amiens, la cathédrale est souvent illuminée dans le cadre de cette quête de couleurs.Si vous voulez en savoir plus, ou assister vous-mêmes à ce spectacle, cliquez ici !

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Le Verbe Créateur

Adam

Eve

Adam cultive le sol

Eve portant Abel, Caïn à droite

Caïn tue Abel

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La Sagesse révélatrice de la Loi

Moïse avec le rouleau de la Torah

Aaron avec le pectoral

Sarah

Abraham et Isaac vont vers le sacrifice

Un gros poisson prend le pied de Tobie

Tobie se lave au fleuve

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Christ aux outrages, prédits par une Sibylle

La Sibylle Libyque tient une grande torche car Jésus éclaire toutes les nations

La Sibylle Erythréenne tient un cerlce sombre nimbé de blanc, représentant l'Annonciation

La Sibylle Cimmérienne tient une grande croix annonçant la mort du Sauveur

La Sibylle Phrygienne tient une croix avec une oriflamme blanche, signe de la Résurrection

Une chouette, symbole d'Athéna, déesse grecque de la sagesse

Une lyre, évoquant l'oracle des Sibylles

"Locutus est per Sibyllas""Cela a été dit par les Sibylles"

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Jean Baptiste, le dernier des prophètes

Daniel avec un lion

Ezechiel tenant une roue

Jérémie avec une marmite

Isaïe et une scie

Un hérisson de ruines

La baleine de Jonas

"Locutus est per Prophetas""Cela a été dit par les Prophètes"

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Ils sont ornés en leur sommet des signes du zodiaque. En partant du bas-côté gauche et en se dirigeant vers le choeur, on observe successivement :

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le Poisson

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le Bélier

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le Taureau

Symbolisant Saint Luc

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le Gémeau

Et une figure de Saint Crépin

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le Cancer

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le Lion

Symbolisant Saint Marc

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la Vierge

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la Balance

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le Scorpion

Symbolisant Saint Jean

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le Sagittaire

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le Capricorne

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le Capricorne

Signe du Christ, il est aussi représenté au-dessus du porche, face au choeur représentant la Nativité

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le Verseau

Symbolisant Saint Matthieu

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Les vitraux ont été réalisés par Jean-Jacques Gruber en 1967. Merci au Père Philippe Gruson pour son expertise et son aide dans la description de ces oeuvres.

Découvrir les vitraux du choeur

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A ses extrémités Nord et Sud, on remarque des gargouilles en forme d'animaux fantastiques. Servant à évacuer l'eau de pluie. Elles évoquent les démons qui n'ont pas leur place au sein de l'église.

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Remerciements

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Textes : Marie-Hélène de CarpentierSite internet : Malvina BonneauPhotos : Office de Tourisme Pierrefonds, Lisières de l'Oise et Gil Gulio

Retour à la visite

Nous remercions le Père Philippe Gruson pour son aide dans la lecture et la compréhension de l'église.Un grand merci enfin à la commune de Saint-Crépin-aux-Bois, la Communauté de Communes des Lisières de l'Oise et la Direction Régionales de Affaires Culturelles des Hauts-de-France pour leur soutien dans la réalisation de ce projet.