Egalité Homme Femme 2023 Matrimoine

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proposé par P. PIERRE professeure documentaliste, F. DALVAL professeure HGO - Académie de Besançon - Année scolaire 2022-2023

Quel bilan ?

Listes des noms

Consignes travail 2

Rendu des élèves travail 1

Consignes travail 1

Mise en contexte et programmes

Problématique

Rendu des élèves travail 2

Objectifs

Rappel d'aide à la recherche

Glossaire

Et ont été invisibilisées

Portraits de femmes qui ont fait l'histoire

Programme EMC de première : Axe 2 : Les recompositions du lien social : la promotion de l'égalité entre les femmes et les hommes : orientation, formation, travail, emploi, salaire, représentation, reconnaissance. Objet d'enseignement possible : La défense des droits des femmes : renouveau du féminisme ou évolution sociétale. Capacités attendues : Savoir exercer son jugement et l’inscrire dans une recherche de vérité ; être capable de mettre à distance ses propres opinions et représentations, comprendre le sens de la complexité des choses, être capable de considérer les autres dans leur diversité et leurs différences. Identifier différents types de documents (récits de vie, textes littéraires, œuvres d’art, documents juridiques, textes administratifs, etc.), les contextualiser, en saisir les statuts, repérer et apprécier les intentions des auteurs. Rechercher, collecter, analyser et savoir publier des textes ou témoignages ; être rigoureux dans ses recherches et ses traitements de l’information. S’exprimer en public de manière claire, argumentée, nuancée et posée ; savoir écouter et apprendre à débattre ; respecter la diversité des points de vue. Développer des capacités à contribuer à un travail coopératif/collaboratif en groupe, s’impliquer dans un travail en équipe et les projets de classe.

Vidéos hors ligne : féminisme ? pourquoi et quand l'histoire des Femmes est-elle née ? Le XIXe : siècle noire pour les femmes issue de Y Rippa et F Thébaud, la Condition des femmes, Documentation photographique n°8147, CNRS édition, 2022

Quelle est la place des femmes dans votre programme actuel d'histoire de 1ère ?

« L’Histoire, dans notre pays, a été très longtemps celle de la Nation et de sa construction, une histoire où seuls les évènements, les guerres, les grands hommes, structurent un récit qui, de ce fait, laisse par définition peu de place aux femmes. Cette occultation des femmes dans l’histoire se trouve confortée par le fait que l’école de la République est fondée sur un Universel qui tend à ignorer les différences, y compris celles des sexes. Mais cet Universel n’est, en l’espèce, qu’un demi universel : comme l’écrivent Georges Duby et Michelle Perrot dans leur Histoire des femmes en Occident, l’histoire a été un « métier d’hommes qui écrivent l’histoire des hommes présentée comme universelle… ». La faible place laissée aux femmes dans l’histoire enseignée contraste pourtant avec le dynamisme de la recherche et la qualité des publications en matière d’histoire des femmes.( ....) Dans l’enseignement secondaire, la représentation des femmes lors de la Révolution française est de même très dépréciée : frivolité de Marie-Antoinette, violence de Charlotte Corday, frivolité et stérilité de Joséphine de Beauharnais… Olympe de Gouges, auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, est évoquée dans un seul manuel récent ( paru entre 2000 et 2003). Des femmes apparaissent en groupe, dans la vie quotidienne ou dans le travail (filatures, notamment) mais surtout sous la forme d’illustrations, rarement assorties de commentaires. Même si un souci de prendre en compte l’histoire des femmes apparaît dans certains des manuels les plus récents (2000-2003), le bilan reste ainsi très inégal. Les dossiers, qui peuvent servir aux enseignants pour préparer leur cours, pour l’étude de documents, dénotent de même un progrès, mais, présentés comme extérieurs au récit historique, ils maintiennent les femmes dans les marges de l’histoire. Celles-ci ne sont alors présentes, en ce qui concerne l’histoire contemporaine, que dans trois domaines : leur rôle dans l’industrialisation, leur travail à « l’arrière » pendant la guerre de 14-18, et l’évocation du droit de vote. ( ....) La deuxième vague d’acquisition des droits concernent les droits civils avec la reconnaissance d’un véritable statut des individus. Là encore certains individus sont « pluségaux » que d’autres et ces aspects ne sont pas toujours traités de manière satisfaisante dans les manuels d’histoire du secondaire. Ce domaine des droits civils permet de mettre en évidence le traitement des notions de tutelle, de droit à l’éducation et montre que les manuels proposent encore une définition naturalisante des femmes. (Un exemple) LE CODE CIVIL : L’élaboration du Code civil est traitée comme un événement important dans l’Histoire de France. Son analyse apparaît donc dans les manuels, aussi bien dans le corps du texte que dans des dossiers spécialisés sur ce point. Il faut souligner d’emblée que les passages sur le Code civil dans le corps de la leçon ne proposent pas, à une exception près, une analyse fine qui mettrait en évidence la tutelle juridique et, de fait, sociale des femmes. Un seul manuel cite Napoléon lorsqu’il déclare que « les femmes ne sont en réalité que des machines à faire des enfants » AVIS ET RAPPORTS DU CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL 2004 rédigée par l'historienne A Wievorka

Les analyses portant sur les programmes et les manuels d'histoire ( 2000-2003) de l'historienne A Wievorka sont-elles toujours d'actualité ? Justifiez votre réponse en vous appuyant sur l'analyse du programme d'histoire et la consultation des manuels. Et si nous jetions un coup d'oeil à vos manuels scolaires ? Combien de femmes scientifiques évoquées dans vos manuels de sciences ? Combien de femmes mentionnées dans les exercices et que font-elles ? Combien d'écrivaines, de compositrices, sculptrices ..... dans les programmes de Lettres, Musiques, Arts plastiques ...Voici l'état des lieux de votre programme d'histoire ....

dans vos programmes

Coup d'

Un peu de vocabulaire :Féminisme : mouvement de défense des femmes en faveur de leur émancipation Définition transformée positivement par les féministes : Hystérique : femme avec une opinion (slogan XIXe siècle)Terme aujourd'hui péjoratif dont le sens premier a été oublié : Virago : femme guerrière, forte et courageuse. Une héroïne. (Ovide, 1er siècle av. J.C.)

QUEL MATRIMOINE A MONTBÉLIARD ?

"Les femmes qui ont le toupet de marquer l'histoire , on les efface soigneusement elles aussi. Rappelez-vous, il n'y a que 4% des rues en France qui portent des noms de femmes, et il n'y a que 37 statues représentant des femmes célèbres dans l'espace public parisien, sur 350 !"Lauren Bastide, "Présentes, ville, médias, politique...Quelle place pour les femmes ?" (Allary Editions)

Années 1980 Margaret Rossiter (historienne des sciences) théorise l'effet Matilda :

Problématique

OU ?

COMMENT ?

POURQUOI?

QUOI ?

QUAND ?

QUI ?

RENDU 1 : Photographie commentée d'un élément de la ville faisant référence aux femmesConsignes et barème ici :

Documentation d'appui disponible sur ECLAT

Où trouver les informations complémentaires si nécessaires ?Travail distribué via ECLATA rendre via ECLAT dans "Travail à faire". Aucun retard ne sera acceptéRendre uniquement sous la forme demandée.

Vous choisirez parmi la liste de travailler sur une de ces personnes et de leur place dans la ville :

PLAN VILLE DE MONTBELIARD : localisation des points d'arrêts

Détail des consignes du travail attendu

Pour les élèves absents lors de la sortie : 1) créer des groupes de 3-4 maximum 2) rendre numériquement dans "Travail à faire"3) effectuer le travail à l'appui de la carte de Montbéliard et la liste du nom des rues de la ville qui se situe sur la diapo suivante

Dans "Matrimoine (...)" : accessibles plan de la ville de Montbéliard avec zoom possible pour grossir les rues + liste des noms de rues de la ville

Les élèves et les représentants légaux ont autorisé les publications liées au projet. Les autorisations sont consultables dans les dossiers des élèves au secrétariat élèves de l'établissement.

Les photos ont été prises par les élèves.

RENDU 1Voici les travaux des élèves. Si une correction papier précise leur a été remise, ici seules les erreurs les plus importantes ont été corrigées.

Au vu du nombre d’habitants que compte la ville de Montbéliard (25806 source INSE de 2019), le pourcentage de femmes est plus élevé que celui des hommes. En effet, la population compte 13427 femmes et 12379 hommes (toujours en 2019).Malgré l’importance du nombre de femmes habitant à Montbéliard, celles-ci ne sont pas assez reconnues pas la commune. A notre époque, seul 1% des rues ou bâtiments de la ville leur rend hommage.Autre travail : Hugo, Mathis et Constant :

Lucas

Travail sur le plan : quel matrimoine dans la ville ?

Par Clara, Estelle et Nassima

Sculpture de Marianne sur le monument aux morts du Square du Souvenir, Montbéliard.

Des représentations féministes ou misogynes ?Depuis toujours, les femmes sont sous-représentées, en effet, les femmes qui ont « osé » marquer l’histoire, sont soigneusement effacées. Il y a seulement 4% des rues qui portent des noms de femmes en France. Dans l'espace public parisien, il n'y a que 37 statues sur 350 représentants des femmes célèbres.Nous nous intéresserons ici à deux femmes « allégorie » : Marianne et la Diaichotte.En 1792, la révolution fait rage en France, le peuple aalors besoin d'une icône pour représenter la république et la nation, il met en place : MarianneMarianne, une femme libre, révolutionnaire et nourrice du peuple. Un nom composé de Marie et Anne, fille du petit peuple. Son bonnet phrygien sera ensuite porté par les sans culotte, petit peuple de Paris.Représentée partout, cette femme s'adapte à son temps, ici elle est gravée au square du souvenir par Armand Block. Ce graveur est né le 1er juillet 1866 à Montbéliard, il va à l'Ecole des beaux-arts de Paris en 1884, au Salon des artistes français en 1885 et obtient une médaille d'argent en 1924. Marianne est représentée en plus avec une épée, symbolisant le châtiment et la défense mais aussi une branche d'Olivier, comme une femme de paix et de force.Néanmoins elle est souvent représentée comme une femme simple et sans attributs. En effet, on peut se demander pourquoi une femme représente la nation et la république alors qu'aucune femme ne possédait de pouvoir ou n’était reconnue. L'explication est très simple, il fallait une image, une allégorie sans pouvoir, pour que les citoyens sans roi, ne se rattachent pas à une personne forte, les femmes ne possédant pas de pouvoir, sont donc parfaite.Marianne n’est cependant pas la 1re allégorie de la France, d'autres femmes avaient déjà représenté des citoyens français.

Sculpture de La Diaichotte sur l’un des monuments aux morts du Square du Souvenir, Montbéliard

En effet, La Diaichotte apparaît lors de la bataille de la Lizaine, de 1870 à 1871, on appelle ainsi la femme du pays de Montbéliard. Représentée par son Diairi, fameuse coiffe en satin décorée de pierre et de broderie. Sur ce monument aux morts, au square du souvenir, Armand Block représente cette femme comme la figure des Montbéliardais(e), en effet elle est la paysanne du pays mais une paysanne libre et battante. Ainsi, ces femmes ici représentées, sont présentes pour commémorer les pertes des guerres respectives de 1870 et 1914. On peut alors penser que les femmes devraient être reconnaissante de ces allégories féminines, mais en connaissant la vérité, nous nous rendons compte qu'elles sont finalement rabaissées par ces images. Ces deux femmes, sont de plus, très particulières, en effet nous pouvons nous demander si elles ont réellement existé. Des femmes comme simple icône de l'imaginaire français ou bien, réelle représentation de la femme de l'époque ?

Par Nawfal, Elias

De la révolution à l'économie : un voyage à travers Marianne, la Diaichotte et l'Épargne Revoir titre. Vendredi 10 mars 2023, durant une visite au cœur de Montbéliard, nous remarquons plusieurs statues, gravures et sculptures. Celles-ci représentent le pays et l'histoire de Montbéliard. Durant le XIXème siècle, les femmes n'avaient aucuns droits. Ces allégories nous rappellent l'importance des femmes durant la Révolution Française et qu'il ne faut pas les négliger dans l'histoire.Érigée au Square du Souvenir à Montbéliard (crée suite aux guerres de 1870-71 où née la République, lieu pour commémorer les jeunes soldats), la sculpture haute de plusieurs mètres présente une femme debout, vêtue d'une robe longue, de bottines et de la coiffe traditionnelle de Montbéliard. La diaichotte tient dans ses mains une couronne de feuilles et de fruits, symbole de la prospérité de la région. Son regard est tourné vers l'horizon, exprimant ainsi la fierté et l'optimisme des habitants de Montbéliard. Cette sculpture imposante est un hommage à l'histoire et à la culture de cette région. Au fil des siècles, Montbéliard a été le théâtre de nombreuses invasions et guerres. Mais malgré ces épreuves, la région a su préserver sa culture et son patrimoine. La statue de l'allégorie du pays de Montbéliard symbolise cette résilience et cette fierté.

La gravure de l'Épargne, située au dessus de la caisse d'épargne , auj. de l'état civil de Montbéliard, représente une figure allégorique féminine piochant dans un coffre (probablement avec des pièces d'or dedans). Cette gravure symbolise l'importance de l'épargne. Elle est significative dans le contexte historique de Montbéliard, une ville qui a connu une histoire économique riche et variée qui était autrefois un centre industriel important, connu pour sa production de montres et de textiles.

A coté de celle-ci trône une statue de Marianne, allégorie de la République française. Cette statue en bronze représente une femme avec son bonnet phrygien drapée dans un manteau, tenant d'une main du laurier et de l'autre une épée. Ces objets représentent la victoire, la gloire (tel que Apollon). La statue de Marianne symbolise les valeurs républicaines de liberté, d'égalité et de fraternité qui ont guidé la France depuis la Révolution de 1789. Elle est également un hommage aux nombreuses personnes qui ont lutté pour défendre ces valeurs tout au long de l'histoire de la République dans toute la France.

Par Lola, Louise, Ninon et Hana

Site du collège Lou Blazer

Par Anaïs, Arnaud, Eleonore et Clara

Par Hala,Safae et Sara

Pourquoi cette rue rend hommage à Maryse Bastie? Trouvez un titre accrocheur Marie-Louise Bombec , nait le 27 février 1898 à Limoges elle subit beaucoup de difficultés notamment suite à la mort de son père . Après son mariage , grâce à son mari Louis Bastié , elle découvre sa passion pour l’aviation . En 1925, elle obtient son brevet de pilote et cumuleles records. Durant la Seconde Guerre Mondial elle décide de s’engage dans la Croix-Rouge . Suite à ça elle rejoins les services de renseignements alliés . Cet activité lui permettra de recueillir des renseignements sur l’occupant. Bousculée par un soldat allemand, elle se fracture le coude et sa blessure ne guérira jamais complètement ; Maryse ne pilotera plus. En 1944, elle s’engage comme pilote militaire. Première femme promue commandeur de la Légion d’honneur à titre militaire en 1947. Elle est aussi connu pour son combat pour les femme aux côtés d’Adrienne Bolland et d’Hélène Boucher. En 1935, elle crée son école d’aviation. En 1936, elle traverse l’Atlantique de Dakar à Natal en 15 heures 5 minutes. Le 6 juillet 1952, elle est victime d’un accident aérien lors de l’essai d’un avion prototype dont elle est passagère. Suite a son engagement humanitaire durant la Seconde Guerre Mondial , en son honneur il y eu beaucoup de monuments en son nom , à Montbéliard il existe un rue a son nom .

Par Mathys et Marwan

Le château de Montbéliard ou château des ducs de Wurtemberg abrite de nombreux vestiges du passé, parmi eux, on retrouve la Tour Henriette (tour de calcaire), érigée en 1424, au moyen âge.Cette tour de 12 mètres de haut perpétue le souvenir d’une femme seul a la tête d’un état entre 1419 à 1444, Henriette d’Orbe-Montfaucon.Henriette était l’épouse de Louis de Wurtemberg, comte de Montbéliard, et elle était connue pour son gout raffiné et son amour pour les arts. Elle a non seulement collectionné des œuvres d’arts, mais a également encouragé et soutenu les artistes et les musiciens de son temps. Henriette a été une figure centrale de la cour de Montbéliard, ou elle a organisé des spectacles et des concerts pour la noblesse locale. Henriette a été impliquée dans la réforme religieuse qui a agité l’Europe a cette époque, et elle a soutenu les réformateurs qui cherchaient à reformer l’Eglise catholique. Elle a notamment soutenu la traduction de la bible en français, pour que la population puisse comprendre les textes sacrés par eux-mêmes.En effet, cette "Tour Henriette" a été construite en son nom pour que la comtesse puisse y résider. Son règne d'une vingtaine d'années a été difficile en raison des circonstances, des crises de la fin du Moyen Âge. Elle a su diriger et faire face aux crises comme la peste qui touche la région de Montbéliard à plusieurs reprises lors de la période de 1418 à 1442. La situation politique est très instable au XVème siècle notamment avec la Guerre de Cent ans. La région de Montbéliard est victime d'attaques des Écorcheurs ; ce sont des troupes armées qui pratiquent le pillage et le rançonnement. Malgré ces instabilités, Henriette a su renforcer et exercer son autorité. C'est une dirigeante raffinée qui a vite su s'adapter aux conditions de son règne. Son empreinte à Montbéliard est clairement visible dès l'entrée dans la ville. Elle fait partie maintenant des héroïnes de Montbéliard parmi d'autres comme Sophie-Dorothée.

Par Gabin

Sophie Dorothée à l’origine d’une complicité sens du titre ? ophie Dorothée, née le 25 octobre 1759, fait partie du matrimoine de Montbéliard. En effet, mariée à Paul 1er (Tsar de Russie) en 1776, Sophie parait être une femme intelligente et maligne. Devenu Maria Feodorovna par son mariage, elle reproduit une cour semblable à celle qu'elle a connue dans l’ancien château d'Étupes où elle a grandi durant son enfance. Elle fait donc déjà un premier lien entre la France et la Russie dans le domaine architectural. En 1796, à la mort de son mari, avec lequel elle aura eu 10 garçons, elle devient Tsarine de Russie. Photo du château de Montbéliard où vivait Sophie Dorothée https://www.montbeliard.fr/ De plus, selon “ Les russiens de Montbéliard”, Alexandre 1er, héritier de Paul 1er, décida d’aller visiter Montbéliard, afin de connaître le paysage que sa mère a connu et notamment le château de Montbéliard où sa mère vivait ( voir image). Grâce à cette visite, certains Montbéliardais et Montbéliardaises sont allé(e)s en Russie afin de partager leurs compétences. Par exemple, Henri Mouot (explorateur), ou encore Georges Frédérique Parot (physicien et médecin), tentèrent leur chance. Ces personnes étaient surnommées “Russiens” et une grande amitié apparue entre la France et la Russie grâce à Sophie Dorothée ou Maria Feodorovna, mais aussi grâce à son fils Alexandre 1er.

Wiki source.

L’HISTOIRE D’UNE PETITE PRINCESSE DE MONTBELIARD, DEVENUE IMPERATRICE DE TOUTES LES RUSSIES Au niveau de la 6ème rue des Tours à la commune de Montbéliard, qui auparavant était une enclave allemande dépendant du Saint-Empire romain germanique, on peut en effet trouver le symbole d’un matrimoine historique (ceci étant le Château des ducs de Wurtemberg ci-contre) qui au XVIII-XIXèmes siècles appertenait à la famille de la petite Princesse Sophie Dorothée de Wurtemberg. En effet, bien que Sophie-Dorothée de Wurtemberg vit le jour au palais Grumbkow à Stettin, en Prusse. En 1769, son père ayant reçu la principauté de Montbéliard, la famille de la petite princesse s'installe à Montbéliard où elle s’intéresse à la mode et art français. Par ailleurs, en 1773, Sophie-Dorothée de Wurtemberg fut l'une des princesses allemandes pressenties pour devenir l'épouse de Paul Petrovitch de Russie. Par conséquent, cette pricesse se rendit à Saint-Pétersbourg où elle se convertit à la foi orthodoxe russe en prenant le nom de Marie Féodorovna et épousa le 26 septembre 1776 le futur Paul Ier de Russie. Elle témoigna de son bonheur dans une lettre écrite à son ami « Mon cher mari est un ange parfait et je l’aime à la folie ». En somme, c’est notamment dans la ville de Montbeliard que cette chère petite princesse est encore de nos jours présente dans la mémoire collective en tant qu’une femme de pouvoir qui mit en place grâce à son union avec le tsar russe, une relation étroite entre Montbéliard et l’Empire russe.Mariam, Hajar, Aya.

Par Mathilde, Loanne et Sherine

La maison de F Duchbach rue Clémenceau

Fanny Dürbach, franc-comtoise née à Montbéliard en 1822 et y est aujourd’hui enterrée. Elle possédait une plaque à son nom mais celle-ci à été enlevée tandis que en face de la maison on trouve une plaque avec un nom d’homme. Tous ce qu’elle a donc accompli a été mis de coté . Depuis sa plus tendre enfance, Fanny Dübarch à reçu un enseignement protestant et plus tard des cours dispensés par des pasteurs qui lui ont permis, même sans aller à l’université la possibilité de devenir préceptrice. Malgré tout à cette époque bénéficier de cette éducation n’était pas donnée à tous le monde. Contrairement au reste du pays, les Montbéliardaises et les Montbéliardais, grâce au princes de Montbéliard étaient les seuls à accéder à l’éducation quelque soit leur condition sociale.A l’age de 22ans, elle décide de partir en Russie dans le but de devenir préceptrice et espérer de meilleurs conditions de vie. Une vie plus large, plus luxueuse. C’est à cette période qu’elle rencontre Pierre Tchaïkovski et sa famille à qui elle apportera une éducation et qui, petit à petit créera un lien fort avec Pierre jusqu’à devenir en quelque sorte une « mère » pour lui. Après une grande partie de sa jeunesse passé en Russie et 13 ans de service au sein de la famille Tchaïkovski elle décide de retourner à Montbéliard à l’age de 35 ans. Plus tard elle continuera de donner des cours particuliers aux enfants privilégiés jusqu’à sa mort en 1901. Evoquez les Russiens et Russiennes

Fanny Dürbach ? La Montbéliardaise qui se cache derrière l’enfance du talentueux Pierre Tchaïkovski

Pour pistes de correction

Par Clara, Tom, Lucas et Clémence

Geneviève Jonte, première femme prêtre du pays de Montbeliard.Ecoutez lors de la visite et lisez les documents que vous citez en source ....

Geneviève Jonte est une figure emblématique de la ville de Montbéliard. Celle-ci se voit quand même attribuer durant le 20e siècle une place spéciale dans ce temple protestant qu’est le Temple Saint Martin de Montbéliard.Cette femme, née en 1906 et morte en 1983, est une des premières femmes prêtres de France. Étant fille et petite fille de pasteur, elle fut très rapidement très engagée dans la religion. Dans un temple > Pasteur. Lors de la première guerre mondiale, les épouses des pasteurs tués ou mobilisés vont remplacer leurs maris dans leurs fonctions. Geneviève Jonte va donc devenir l'une des premières femmes prêtres protestantes de France et la première du pays de Montbéliard, avec l’aide de la famille Peugeot qui crea ce temple, lui permettant d’accéder à cette profession. Elle fut ordonnée en 1934 dans cette paroisse de Montbéliard.C'est donc dans ce temple de Saint Martin qu'elle s’est battue pour faire reconnaître le genre féminin dans le rôle de prêtre, et a prouvé que les responsabilités qu’entraînent ce rôle important pouvaient être endossées par une femme pour la première fois dans le pays de Montbeliard.En plein centre-ville de Montbéliard, en face de l'hôtel de ville, se situe le temple Saint-Martin ce qui démontre la place importante de Jonte au cœur de la ville. La rénovation de ce monument historique en 1991, puis en 2007 montre une volonté de conservation dess ouvenirs, de la place de la femme dans Montbeliard et notamment celle de Geneviève Jonte.

Par Clara, Ilona, Maude et Sara

La place des femmes en politique au sein de la mairie de Montbéliard a considérablement évolué / augmenté , s'est réduite ? depuis le droit de vote de celles-ci en 1944 pour permettre à Marie-Noëlle Biguinet de devenir,en 2014,la première femme maire de la ville.

L’émergence des femmes en politique : Marie-Noëlle Biguinet, maire de Montbéliard

Depuis le 21 avril 1944, les femmes sont électrices et éligibles dans les mêmes conditions que les hommes. Ce n'est pourtant qu'après quelques années avec la mise en place de dispositifs contraignants que la parité politique a progressé en France.Les femmes sont à présent détentrices du droit de vote suite aux longs combats menés par Hubertine Auclert, Olympe de Gouge et bien d’autres. Toutes militant pour les droits des femmes, elles leur permettent ainsi de s’investir dans la vie politique. Dès cette date, les femmes de France prennent leur rôle très à cœur et se précipitent dans les mairies afin de glisser leur tout premier bulletin de vote en 1945 en l’honneur des élections municipales. A Montbéliard, Yvonne Gaulard affirme lors des 70 ans de l’acquisition du suffrage féminin, n’avoir jamais manqué un vote depuis que ce droit lui a été conféré. Elles représentent dès lors 43% des votants à Montbéliard ce qui correspond à 2773 femmes engagées montrant ainsi que la femme s’intéresse elle aussi à la politique. A l’issue de ces élections, Louise Blazer, Eugenie Schwander et Simone Lévy sont les trois premières femmes constituant le conseil municipal de Montbéliard. Ce n’est cependant que très récemment, avec Marie-Noëlle Biguinet, qu’une femme se hisse jusqu’au poste de maire de la ville. Les maires ne sont que très rarement des femmes. Si leur nombre augmente à chaque nouvelle élection, il reste largement minoritaire.En Bourgogne-Franche-Comté, 36% des élus des conseils municipaux en 2018 sont des femmes. La parité est presque atteinte dans les conseils des communes de 1 000 habitants et plus où la loi l’impose sur les listes. Ce n’est pas le cas pour les autres communes où 33% de femmes siègent dans les conseils municipaux. Si la féminisation progresse, elle demeure moins forte dans la région qu’au niveau national (elle est l’une des plus basses de France avec le Grand-Est et la Corse), car la Bourgogne-Franche-Comté compte de nombreuses communes de moins de 1 000 habitants où la parité n’est donc pas imposée sur les listes.Notre région compte 660 femmes parmi les 3 700 maires, ce qui représente près de 18%, à peine plus qu’en 2008 (17%). La féminisation est plus forte parmi les premiers adjoints (27%), parmi les seconds adjoints (33%) et surtout parmi les autres conseillers municipaux (38%).Marie-Noëlle Biguinet, première femme maire d’une grande ville de Bourgogne-Franche-Comté qu’est Montbéliard, permet de montrer l’amélioration de la considération des femmes en politique. Parité sur les listes, donc autant d'hommes et femmes élus, alors pourquoi c'est un homme que le conseil municipal élit comme maire ? Cette femme élue en 2014 a été adjointe de l'ancienne municipalité UMP jusqu'en 2008 et évolue actuellement au poste de conseillère générale UMP.Chef de file de l'opposition au conseil municipal de Montbéliard, cette assistante sociale mariée et mère de trois enfants est aussi conseillère générale du canton de Montbéliard Est depuis mars 2011. Marie-Noëlle Biguinet avait alors fait basculer à droite ce canton détenu auparavant par Jacques Hélias. Elle succède au maire sortant à l'issue d'une quadrangulaire avec le FN et un candidat divers gauche.Ancienne conseillère régionale, cette native de Montbéliard, inconnue du grand public, a aussi été vice-présidente du centre communal d'action sociale (CCAS) et élue à la communauté d'agglomération (CAPM) de 2001 à 2008. Elle siège à PMA (Pays de Montbéliard Agglomération) en tant que 1ère vice-présidente depuis 2020. Elle s’impose en devenant la première femme maire de Montbéliard et s’engage pour les femmes en organisant des évènements en leur honneur au sein de la ville. A l'occasion de la journée des droits des femmes notamment, plusieurs associations et collectifs ont organisé, le 10 mars 2023, en sous-préfecture de Montbéliard, un rassemblement festif. A l’issue de ce rassemblement nommé « Montbéliard, les femmes ont décidé de ne plus se taire », nombreuses sont celles qui ont pris la parole afin de partager des témoignages poignants. Plusieurs femmes ont évoqué leur rôle de mère, de femme, d’épouse dans la société. De plus, certaines ont lu des témoignages de féminicides, de harcèlement, tout particulièrement le harcèlement de rue subi par la plupart des femmes.Cet événement montre l’engagement de la ville de Montbéliard auprès des femmes citoyennes également.

Par Insafe, Sarah et Antonio

Vous récupérerez le panneau type sur ECLAT et le renverrez selon les modalités demandées par vos professeurs.

Former des groupes de 2 pour une durée de présentation de 3 à 4 minutes maximum.

un exemple de proposition :

Ethnologue, Résistante, Créatrice des centres sociaux en Algérie

1907- 2008

Germaine TILLION

statut, fonction

(dates vie)

Prénom NOM

Détail et constitution du jury

RENDU 2 : Soutenance pour la défense d’une plaque de nom de rue mémorielle Consignes et barème ici :

Demande de production de capsules audio sur des femmes ayant marqué le XIXe siècle ( cadre chronologique du programme de première, ce long XIX va de 1789 à 1918). Dans le portrait devait figurer : - des éléments de contexte historique, - des éléments de biographie de la personnalité,- des éléments d'analyse de la personnalité (en quoi vaut-elle la peine d'être connue et étudiée ?), - un ou plusieurs extraits de textes lus, rédigés par (ou sur) la personnalité étudiée

JUSQU'A PRÉSENT ...

Révolution et Empire

Olympe de Gouges Marie-Antoinette AJ Théroine de Méricourt Nicolas et Sophie CondorcetMarie Charpentier, femme Haucourt Pauline Léon Louise de keralioCamile et Lucile DesmoulinsRosalie JullienReine Audules tricotteusesClaire Lacombe Solitude Charlotte CordayFrançoise DesprèsJoséphine de Boharnais Caroline Bonaparte ( Murat)Guillemine Benoist

Révolution et Empire

Marie Adélaïde Durieux Rose BertinElisabeth -Louise Vigée- LebrunMarie-Victoire Lemoine Genevièvre Brossard de BeaulieuMarguerite GuérardConstance MayerNanine VallainAngélique MongezPauline AuzouHenriette LorimierLouise Joséphine Sarazin de BelmontMarie-Armande Gacon-DufourAlberyine Clément-HémeryFanny RaoulVeuve ClicquotMadame TalmaLaure Regaud de Saint Angély

Europe entre Restauration et Révolution 1814-1848

Germaine de Staël Juliette Récamier Louise ColetCristina Trivulzio BelgiojosoMathilde Franziska AnnekeEmilia Casanova de VillaverdeEmilie PlatterMary ShelleyFanny Mendelsohn1848 : les femmes en révolution Pauline ViardotLa liberté guidant le peuple ( Delacroix )Julie Duvidal de MontferrierLouise HersantMarie-Amélie CognietMarie TaglioniEmilie Oberkampf Mallet Marie Pape CarpantierAimata Pomare IV Louise PommeryPauline Jaricot

Stuart MillFourierElisa LemonnierLes ovalistesJeanne GarnierLucie BaudLes ouvrièresSophie RostopchineLoïsa Puget Clémence de GRANDVAL et les autres musiciennesRachel

1848-1871. Industrialisation au XIXe

Les Mariannes Incarnant la IInde République Eugénie NiboyetDésirée Veret, Marie-Reine Guindorf, Suzanne VoilquinAdèle Esquiros la femme libreJeanne Derouin Comtesse de CastigiloneDésirée GayAnais SagalasJenny d'HéricourtG ElliottAlphonsine PlessisVictor Hugo Lalla Fatma N'SoumerLéon RicherFlora Tristanjuliette DrouetLouise ColetClara SchumannElisabeth impératrice d'Autriche La reine VictoriaLa Princesse Nazli FazilMargueritte Boucicautclémence RoyerMel Bonisflorence Nightingaleelisabeth Thomsonles soeurs BrontéMarie Brignole-Sale, duchesse de GalLieraZélie Martin, dentellière

II ème république - second empire1848-1871. Europe des nationalités

Jeanne AvriLMay MiltonMay BelfortBerthe Morizot Maria Martinez A M Javouhey Camille ClaudelBlanche HoschédéMarie-Anne Leroudier

Louise MichelNathalie LemelPaule Minckles pétroleuseselisabeth dimitrieffJeanne Duval SéverineLes Mariannes de la III ème RépubliqueM Laurencin Nathalia GoncharovaPaula Modersohn BeckerSuzanne Valzadon Rosa BonheurCamille ClaudelMarie BashkirtseffSéraphine de SenlisLes Danseuses de DegasSarah BernardLa Goulue, Yvette Guilbert, JaneAvrilAlice GuyGermaine TailleferBronia Dluska ( soeur de Marie Curie)Madeleine BrèsJeanne ChauvinMargueritte ThibertEmma CouriauMary Cassatt Camille Séeles SignaresRanavalona IIIZitkala-Sa ( Gerturde Simmons Bonnin)BécassineMarcelle Lender (peinte par Toulouse-Lautrec) Les Courtisanes et les cocottes : La belle Otéro, Liane de Pougy...

Les Mariannes incarnant la III ème RépubliqueMarcelline Desbordes ValmoreGypAnna de NoaillesColette Loie FullerIsadora DuncanIsabelle EberhardtNelly BlyCharlotte SohyJohanna SpyriAline ValettePaul Poiret Madeleine Vionnet Genevièvre VixPauline Reclus KergomardMaria MontessoriNadia BoulangerAugusta Klumpe Marthe Distel madeleine pelletierhubertine Auclaircaroline kauffmannMargueritte Durand

Margarete SteiffMarie de Heredia Jane Dieulafoyla ligue patriote des françaises( conservatrice)l'alliance internationale pour le suffrage des femmesla ligue des femmes française( feministe) : jeanne lestra et la comtesse octavie thomas de saint laurentjeanne Scmahl ( union française pour le suffrage des femmesJudith ducret Matsu( ligue nationale pour le vote des femmes)Marie GuillotHenriette BrunhesMaria DeraismesJeanne BouvierSophie GermainLise MeitnerGenevière JonteCaroline KauffmannLes suffragettes anglaisesLouise WeissMaria VeroneClara Zetkin et la journée du 8 marsAugustine Fouilléles institutrices de la IIIème RépubliqueVoltairine de CleyreFlorene DixieAlice MilliatMargueritte MorenoBlanche HoschédéLes ouvrières ( Fourmies la rouge)Martha Harper

III ème république jusqu'à 1914 : un régime politique, un empire colonial

Monument en hommage aux femmes du monde rural durant les 2 guerres mondiales inauguré à Verdun en 2016.

Marie et Irène Curie: " les petites CurieBertha Kinsky baronne von Suttner Suzanne Noël et les gueules casséesalexandra KolentaïRosa LuxembourgA Bebel Emma GoldmannEdith Cavell Nicole Girard ManginAna Coleman LaddYashka Maria BotchkarevaLouise de BettigniesAlexandra David Neel Zabel Essayan

• Les femmes durant la 1ère guerre mondiale

Guerre de 1914-1918

Documents pour trouver des informations déposés dans ECLAT > dossier EMC

Les Montbéliardaises et Franc-Comtoises méconnues ....

1. -Des femmes de pouvoir : la comtesse Henriette d’Orbe-Montfaucon, Sophie-Dorothée de Wurtemberg et sa dame de compagnie la baronne d’Oberkirch-Des résistantes : Lou Blazer, Alice Galliot, Elisabeth Scott, Sœur Baverez -Des bienfaitrices : Lucie Diemer Duperret et Rosalie Morel -Une scandaleuse : Elisabeth le Michaud d’Arçon de Vaudey-Une russienne : Fanny Durbach
2. - Une pasteure : Genevièvre Jonte
3. -Des féministes : Gabrielle Petit et Madame Baigue (Besançon)-Une journaliste engagée : Suzanne Peuteil (Besançon)-Une intellectuelle : Mathilde Laigle-Des artistes du Pays de Montbéliard fin XIX - XXème: Laure Boname, Louise Emma Bourquin, Henriette Dubois Damard, Laure Cuvier, Suzanne Lods, Hélène Marmier,Lucie Parrand, Marianne Ferrand Parrand, Margueritte Pheulpin, Eugenie Mauvilly. ...

On vous oriente...

L'objectif info-documentaire principalement ciblé : le prélèvement pertinent d'information et sa synthèse.

UTILISEZ Esidoc et Europresse.Ci-dessous, quelques exemples de documents utiles ... IL Y EN A D'AUTRES ! Remobilisez le cours et la méthode...

RECHERCHER ...?

L'hébergement des capsules audio est fait sur Médiacad. Pour consulter celles-ci, vous devrez nécessairement vous connecter avec vos identifiants académiques.

Les élèves et les représentants légaux ont autorisé les publications liées au projet. Les autorisations sont consultables dans les dossiers des élèves au secrétariat élèves de l'établissement.

Les panneaux et les présentations ont été réalisés par les élèves.

RENDU 2Voici les travaux des élèves. Seules les captations orales les plus précises et répondant le mieux à la consigne sont disponibles.

Retrouvez ici quelques bons travaux effectués par des élèves des deux classes et soutenus à l'oral devant un jury officiel

Ecoutez-les...

Mariam et Hala vous parlent de Anna Coleman

Carole-Anne vous parle de Geneviève Jonte

Sherine et Mathile vous parlent de Alexandra Kollontai

Clémence et Aya vous parlent de Alice Milliat

Ecoutez-les...

Retrouvez ici quelques bons travaux effectués par des élèves des deux classes et soutenus à l'oral devant un jury officiel

Estelle et Clara vous parlent de Suzanne Noël

Maude et Sara vous parlent de Jeanne Schmahl

Louise et Ninon vous parlent de Sidonie Gabrielle Colette

Anaïs et Clara vous parlent de Florence Dixie

NB. Des problèmes techniques d'enregistrement n'ont pas permis la diffusion et présentation du travail effectué sur Nicole Girard-Mangin.

Voici les retours des élèves : Synthèse sur les 62 élèves des 2 classes de première générale

Quel bilan ?

Qu’est ce qui vous a le plus intéressé : le spectacle, la visite de la ville, le jury extérieur, autre ... ? Les 3 apparaissent , sans que l’un de ces points ne se détachent nettement, d’ailleurs plusieurs pouvaient apparaître ensemble. « Le spectacle comme entrée dans le thème » ; « il était original et j’ai aimé la forme, le talent des comédiennes » « les actrices étaient superbes, bien intégrées dans leur rôle, de plus la narration était bien trouvée sous forme de discours et de musique ainsi que l’explication » « touchant » « ça change de ce qu’on a l’habitude de faire, de voir » « il faisait bon dans la salle, pas comme lors de la visite » « j’y ai appris beaucoup de choses » « comédiennes drôles et spectacle intéressant » « divertissant et en même temps très instructif » « manière plus originale d’apprendre que d’habitude et le visuel aide mieux à comprendre "

Quel bilan ?

«La visite de la ville car pas dans une classe à rester sans bouger » «Montbéliard jamais visitée auparavant » « visite longue mais intéressante quand même » « intéressante mais il aurait fallu la faire pendant une saison plus estivale » « découvrir des figures et statues de Montbéliard que je ne connaissais pas » « moyen plus ludique de chercher le matrimoine qu’avec internet » « apprendre sur des figures féminines emblématiques de la région, dont on n’entend pas parler » « connaître l’histoire des lieux où on passe tous les jours » « on ne fait pas souvent de sorties » « découvrir une nouvelle facette » « Le jury, cet exercice plutôt difficile était gratifiant un fois accompli » « c’est bien de défendre des noms de femmes et d’avoir des avis extérieurs » « permet de faire entrer dans le jeu plus rapidement » « car on se devait de convaincre » «cela change des exposés habituels » « j’ai adoré car cela permet de se préparer pour n’importe quel type d’oral devant tout type de public. » « Globalement être en contact avec des personnes de l’extérieur »

Autre ? « apprécié de faire des recherches sur une femme que je ne connaissais pas mais qui a toute sa place dans l’histoire. » « important d’attribuer aux femmes le mérite qu’elle doivent recevoir » Voici des Remarques récurrentes sous des formes variées. « j'ai apprécié la recherche avec les livres qui a permis d’apprendre des choses sur le contexte historique »« aimé découvrir la femme choisie » Revient souvent la pratique de l’oral : « cela nous permettait de mettre notre travail en avant » Sur 62 élèves un seul « rien » !

Quel bilan ?

Que retiendrez-vous de ce projet ? Soyez précis : Sont notés les aspects qui reviennent le plus. en terme de méthodologie :

• exercice respiratoire pour gérer le stress
• la méthode du QQQOCP pour analyser un sujet et en faire la carte mentale
• recherche documentaire
• trier les informations
• faire une bibliographie
• Mettre en contexte

« se forcer à lire »« recherche d’infos papier »« j’ai mieux retenu grâce à l’oral et la sortie »

Quel bilan ?

Que retiendrez-vous de ce projet ? Soyez précis : Sont notés les aspects qui reviennent le plus. en terme de connaissances :

• connaissances sur l’histoire des femmes « qui n’ont pas reçu le respect qu’elles méritaient. »
• le matrimoine , notamment celui de Montbéliard
• nombreuses femmes découvertes

« j’ai aimé travaillé sur la femme choisie » « je ne savais pas que les femmes avaient participé à l’histoire de la France » « comment les femmes étaient traitées en fonction du siècle » « l’évolution du féminisme » « l’histoire de l’éducation des femmes »« féminisme, émancipation »

Quel bilan ?

Quelles difficultés êtes vous content d’avoir surmontées au cours de ce projet ? Globalement, tous apprécient d’être plus à l’aise à l’oral. Timidité, réserve, appréhension / à l’oral. « s’exprimer sans paniquer »maîtriser la voix, gérer les gestes Réussir l’oral sans notes « content d’être plus à l’aise à l’oral » « j’ai surévalué mon aisance à l’oral avec un fond superficiel » « les difficultés d’analyse en français » « difficulté avec la langue »... et quelles qualités êtes-vous content d’avoir exprimées ? « Rigueur et professionnalisme » ; « recherches précises »; « persévérance »« S’exprimer clairement »; « s’exprimer sans notes »; « travail de groupes »« dialogue avec le jury »; « recherche et analyses sur différents supports »

Quel bilan ?

« Organiser un discours rendant hommage aux femmes à une date précise au lycée »« faire une affiche à mettre dans le lycée »« femmes et sport » « un débat avec des élèves qui défendent les femmes et d’autres les hommes afin de confronter les idées » « étudier des œuvres : littérature, peinture …. faites par des femmes »

Sur ce thème égalité femmes-hommes, quels autres aspects pourraient être développés ?

• Spectacles, sorties
• Sexisme aujourd’hui
• Remise en cause actuelle des droits des femmes.
• Différence dans les doits entre hommes et femmes »
• Stéréotypes sur les femmes
• Les contraintes imposées par les normes de beauté
• Place des femmes : études, salaires , emplois occupés …
• Rôle de l’homme, rôle des la femme ( revient 5 fois) une fois est précisé « dans la famille »

Les élèves font leurs propositions

1GE oraux le mardi 16 mai de 13h40 à 15h40. Salle A 107. Site GC1 GB oraux le mardi 23 mai de 9 à 10h et le jeudi 25 mai de 12 à 13h. Salle A 107. Site GCMembres du Jury : Constitué de personnes représentants la Ville de Montbéliard et PMA : - Monsieur Kalyntschuk, Conseiller Délégué en charge du patrimoine historique à Pays de Montbéliard Agglomération- Madame Rolhion, Directrice du service développement territorial et urbanisme à la ville de Montbéliard- Mmes Poletto, Lacour, Damongeot du service Animation Patrimoine Constitué de personnes du Lycée G Tillion : - Monsieur Risser, professeur référent égalité fille/garçon de l'établissement- Mesdames Dalval et Pierre, vos professeurs d'EMC et documentation

1) Relevez le nom de la rue ou du bâtiment public portant le nom d'une femme. Constatez la visibilité et/ou l'importance du bâtiment. Pour les rues : s'agit-il d'une grande rue, ruelle, impasse, avenue, une place ; dans un lieu passant, à l'écart ?2) Qui est cette femme ? Quelle est sa notoriété (= est-elle connue )? A quelle échelle (locale, régionale, nationale, européenne, mondiale) ? Une notoriété qui s'explique par ? Vous devez effectuer des recherches… en utilisant les documents fournis sur ECLAT.3) Une notoriété à quelle époque * ? Pourquoi à ce moment là, cette femme là est rendue visible ? = * A quelle date le nom de la rue ou du bâtiment a t-elle/il été donné ?Aide : Il suffit de réfléchir un peu et de chercher la date de création de la Petite Hollande, du quartier de la Chiffogne, de l'inauguration du centre Simone Veil etc ... Parfois il n'est pas possible de savoir, et vous le mentionnerez. Cependant il suffit souvent d'être logique. Si la femme vit entre 1802 et 1879, même si la rue est dans la partie XVème siècle de la ville ... la plaque de rue ne peut exister avant ?... 4) Concluez sur l'importance des femmes dans l'espace public de la ville de Montbéliard. Commencez par rappeler, en recherchant sur le site de l' INSEE,et en précisant l'année, le nombre total d’habitants de la ville, le nombre d'habitantes. Puis représentez par un "camembert" statistique la part des rues et des bâtiments publics renvoyant à des femmes dans la ville de Montbéliard. Enfin, quels constats tirez-vous du relevé des informations que vous avez fait précédemment ?

Vous pouvez pour plus de clarté relever les informations dans un tableau

Rechercher le matrimoine dans l'ensemble de la ville de Montbéliard

A l'aide du plan de la ville fourni (disponible en document PDF sur ECLAT) utilisez la fonction zoom ainsi que la liste globale des rues.