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Partez à l'aventure !

Prix du livre des Ecrans de l'Aventure 2022

Qui remportera la Toison d'or du livre d'aventure (récompensant à la fois la valeur d’un voyage au long cours, l’engagement physique et moral et le style littéraire du récit de l’auteur) et le Prix du public de la bibliothèque de Dijon 2022 ?Découvrez la sélection officielle !

Alias Lejean

de Guillaume Jan

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Guillaume Jan a déjà été lauréat du prix de la Toison d’or du livre d’aventure en 2018 avec le magnifique "Samouraïs dans la brousse" (Paulsen, 2018) où il était parti sur les traces de Takayoshi Kano, le premier scientifique à avoir étudié les bonobos dans leur habitat naturel. De traces, il en est encore question dans Alias Lejean. Celles laissées par Guillaume Jean devenu Lejean, inlassable cartographe vagabond épris de liberté. Nos deux Guillaume sont tous les deux Bretons et ont voyagé dans les mêmes coins du monde... Lire la suite

Exemplaires disponibles à la BM

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À plus d’un siècle d’intervalle, ils ont aimé les mêmes pays, les mêmes paysages. Et c’est sans doute pour cela que le Guillaume des XXème et XXIème siècles a reconnu dans cet alias du XIXème un frère, un mentor et l’a choisi comme ancêtre tutélaire.Entre biographie intime, poésie, pérégrinations, regard acéré sur les paysages et sur l’évolution de notre monde, Guillaume Jan dresse le portrait d’un homme pudique, sans doute incompris. Ces allers-retours entre deux époques dessinent aussi en creux les mutations que notre monde a connu, et quelles évolutions… Livre hommage sans doute, à n’en pas douter un livre miroir sensible qui ravira celles et ceux qui aiment à arpenter le monde.

Les fidèles des écrans et du prix ont découvert ce jeune auteur en 2019 avec son premier récit "Le syndrome Tom Sawyer" (également aux Equateurs) qui reçut d’ailleurs une "mention spéciale" cette année-là. On y suivait Samuel à pied sur les routes qui allaient le conduire de Paris à Jérusalem. Particularité de ce "pèlerinage" d’un nouveau genre ? Aucune ressource en poche et le souhait de compter uniquement sur l’hospitalité et la solidarité des chemins... Lire la suite

Une année sur la route

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de Samuel Adrian

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Une année sur la route relate un nouveau périple, une nouvelle traversée d’un tout autre genre. A bord d’une Peugeot 204 en fin de vie emplie de livres et de divers élixirs, Samuel et son cousin (et meilleur ami) Xavier mettent le cap à l’Est pour un "road trip" autour du monde qui ne sera pas un long fleuve tranquille. Leur point de départ ? L’idée qu’un voyage réussi est toujours l’apprentissage d’un abandon. Et c’est parti, cap à l’Est vers l’Allemagne, la Serbie, la Roumanie, la Turquie, la Russie, le Japon puis les États-Unis (et un confinement). Partout une forme de laideur mais aussi de fraternité. 15 mois autour du monde donc avec des questions autour de la vanité du voyage, sur la foi également.On retrouve dans ce livre le style vif et mordant de Samuel Adrian. A travers des confidences, les descriptions évocatrices d’endroits ne donnant pas franchement envie d’y aller, à travers des aphorismes et aussi une écriture sensible et délicate lorsqu’il conte sa relation aux autres et d’abord celle qui le lie à Xavier, Samuel Adrian se cherche et réfléchit, expose ses paradoxes et ceux de notre époque également.

Marcher vers son essentiel

de Pauline Wald

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A l’aube de ses 30 ans, Pauline a écouté sa voix intérieure et a décidé de quitter sa vie parisienne « succes full ». En 2017, elle a pris le chemin de Compostelle en partant symboliquement de Strasbourg, sa ville de naissance. De ce périple de 4 mois et 2000 km, Pauline a tenu un carnet de voyage et réalisé le documentaire « Chemins de vie, marcher vers son essentiel ». Ecrire sur les chemins de Compostelle n’est pas nouveau, pourtant Pauline Wald réussit à rendre son aventure unique... Lire la suite

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Sans doute parce que son histoire et son expérience sont tout à la fois intimes et universelles. Elle a d’abord mis en images son périple avant de le mettre en mots. Ce passage, réussi, lui a permis de livrer un témoignage clair, fluide, dépouillé aussi. Il y a une forme d’apaisement qui en émane et qui nous invite aussi à nous poser des questions importantes et ce sans détours. Au-delà du récit du chemin, Pauline Wald va du côté du développement personnel, de la spiritualité et nous réconcilie avec nous-même. C’est doux et lumineux comme un coucher de soleil.

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Décidemment les marcheurs sont mis à l’honneur dans cette sélection. Place à Didier Guillot qui s’attaque à un monument des GR en France, le GR70 que nous connaissons mieux sous le nom de chemin de Stevenson.Nous ne retrouverons ni Antoinette ni Modestine mais un récit de marche, un périple dans une belle nature et dans ses souvenirs aussi. ... Lire la suite

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J'ai appris à rêver

de Didier Guillot

Parce que certes Didier Guillot nous narre les rencontres faites en chemin, quelques détails sont alors savoureux, mais il se sert surtout de cette déambulation pour convoquer le frère disparu trop tôt. Il retrouve son ainé dans les sensations du chemin, dans le contemplation de la nature. Les courts chapitres se succèdent et convoquent tout à la fois le périple, des émotions, des impressions. Comme une rivière qui coule, charrie et gronde, l’écriture de Didier Guillot nous emporte dans le flot de sa vie.

Ma biosphère

de Corentin de Chatelperron

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Là encore un nom qui résonne aux oreilles des fidèles du festival. Vous avez du croiser Corentin au détour de Tara Tari (le livre du même nom a reçu une mention spéciale du jury de la Toison d’or du livre d’aventure en 2011) ou bien lors de la remise de son prix d’aventurier de l’année en 2021. Il était venu présenter son film "Quatre mois sur ma biosphère" qui a remporté le prix des jeunes de la ville de Dijon. Et justement "Ma biosphère" est le pendant littéraire de cette folle aventure... Lire la suite

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Depuis plusieurs années, Corentin de Chatelperron part à la recherche d’innovations, réalisées à partir de matériaux de récupération et locaux. Ces initiatives peuvent-elles devenir des modes courants de vie ? C’est pour répondre à cette question que Corentin s’est isolé sur une plateforme en Thaïlande. Pendant quatre mois avec une trentaine de low-techs, il a cherché à atteindre un objectif simple : arriver au niveau maximal d’autonomie en étant en bonne santé. Avec ses poules et le formidable canard, entouré de ses patates douces, sa spiruline, ses grillons, Corentin nous livre un récit passionnant qui est tout à la fois un traité moderne d’innovation écologique, un précis scientifique, le rappel que beaucoup de personnes sur cette terre se mobilisent pour construire un monde plus durable mais aussi plus juste socialement. Ce voyage immobile et intense est aussi l’occasion de faire un point sur soi, ses aspirations et sa connexion, ses liens au vivant. A l’image de son auteur, ce livre est chaleureux et se lit d’une traite.

Tempête sur l'Aconcagua

d'Aymeric de Lamotte

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En décembre 2019, trois amis Belges, Harold, Tanguy et Aymeric, entreprennent l'ascension du plus haut sommet du continent américain, l’Aconcagua, qui culmine à 6 962 mètres dans la cordillère des Andes en territoire argentin. L'ascension ne présente pas de difficulté majeure sur le plan technique, mais requiert une volonté de fer car il faut lutter contre la rareté d'oxygène dans les dernières centaines de mètres et parer à l'imprévu. Une tempête peut s'abattre à tout moment.... Lire la suite

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C'est ce récit que raconte Aymeric de Lamotte dans un livre dense, truffé de réflexions philosophiques et de références historiques.Si l’auteur a déjà gravi quelques sommets, il reste quand même impressionné par la majesté des lieux où l’Homme ne peut qu’être petit face à l’immensité de la nature.L'écriture est belle, classique ; le récit monte crescendo au fur et à mesure que le trio gravit la montagne. On avance par paliers, d'un camp de base à un autre, avec 25 kilos sur le dos. Aymeric de Lamotte prend la peine de raconter leurs rencontres, comme cet alpiniste chevronné qui leur donne un conseil majeur : « sois lent et tu vaincras ». Grimper à son rythme et doucement pour éviter de contracter le mal aigu des montagnes, cette « puna », un mélange de nausées, d'insomnie, de perte d'appétit, et dans les cas les plus sévères qui débouche sur un œdème pulmonaire ou cérébral. Les récits de montagne ont toujours un petit quelque chose de fascinant, celui-là ne fait pas exception.