2nde SVT. Test 9.Enjeux planétaires : Agrosystèmes
Sandra Rivière
Created on July 14, 2022
Questions-réponses
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Transcript
EMPEZAR
START
QUESTION 1
Réponse
Comment définir un écosystème ?
QUESTION 2
Réponse
Comment définir un agrosystème ?
QUESTION 3
Pourquoi dit-on qu'un écosystème fonctionne en circuit fermé ?
Réponse
Réponse
Dans un agrosystème, qu'appelle-t-on "extrants" ?
QUESTION 5
Dans un agrosystème, qu'appelle-t-on "intrants" ?
Réponse
QUESTION 6
Réponse
Pourquoi utilise-t-on des pesticides en agriculture ?
QUESTION 7
Pouvez-vous compléter ce schéma fonctionnel comparatif d'un écosystème et d'un agrosystème ?
Réponse
QUESTION 8
Qu'appelle-t-on "rendement agricole" ?
Réponse
On appelle « rendement agricole », la récolte de l’agrosystème en tonnes par hectare et par an.
QUESTION 9
Qu'appelle-t-on "rendement écologique" ?
Réponse
QUESTION 10
Réponse
QUESTION 11
Que représente-t-on toujours à la base d'un réseau trophique ?
Réponse
À la base d’un écosystème, il y a toujours les producteurs primaires qui, à l’aide de l’énergie lumineuse, des sels minéraux, du CO2 et de l’eau, produisent de la matière organique végétale.
QUESTION 12
Dans un réseau trophique, que représente-t-on au dessus des producteurs primaires ?
Réponse
La matière organique végétale, produite par les producteurs primaires situés à la base du réseau trophique, va être consommée par des phytophages. Ces derniers, à leur tour, vont produire de la matière organique animale qui va être consommée par des zoophages pour également produire de la matière organique animale. Phytophages et zoophages sont des producteurs secondaires. Ils sont donc représentés au dessus des producteurs primaires dans la schématisation du réseau trophique.
QUESTION 13
Quelle est l'origine de la perte de matière et d'énergie à chaque passage de niveau dans un réseau trophique ?
Réponse
À chaque passage de niveau, il y a des pertes de matière et des pertes d’énergie : de la matière organique a été consommée pour produire de l’énergie grâce à la respiration.
QUESTION 14
Quel est le rôle des décomposeurs dans un réseau trophique ?
Réponse
Tous les producteurs finissent par mourir et leur matière organique morte va être décomposée, par les décomposeurs, en matière minérale qui sera alors restituée au sol.
QUESTION 15
Pouvez-vous compléter ce schéma du réseau trophique d'un écosystème ?
Réponse
QUESTION 16
Quelle différence va-t-on observer entre le réseau trophique d'un agrosystème et celui d'un écosystème ?
Réponse
Dans un agrosystème, si la base du système est identique à celle de l’écosystème. La différence vient de l’absence de producteurs secondaires.
QUESTION 17
Pouvez-vous compléter ce schéma du réseau trophique d'un agrosystème ?
Réponse
QUESTION 18
Combien de catégories de systèmes agricoles existe-t-il ?
Réponse
Il existe 3 catégories de systèmes agricoles :
QUESTION 19
Comment définir un système agricole intensif ?
Réponse
Dans un système intensif, l’objectif est un rendement élevé et rapide. Pour ce faire on optimise au maximum la surface utilisable et on rajoute au système de quoi permettre ce rendement (engrais, eau, insecticides, herbicides dans le cas d’une culture ; chaleur, antibiotiques, compléments alimentaires dans le cas d’un élevage). Ce système, s’il permet une grande production de biomasse, présente de nombreux inconvénients : augmentation du risque de transmission en cas d’épidémie, pas de repos périodique de la terre, présence de résidus d’insecticides ou d’antibiotiques dans les produits alimentaires et surtout une moindre qualité de ceux-ci.
QUESTION 20
Comment définir un système agricole extensif ?
Réponse
Le système extensif veille à une meilleure répartition des espèces élevées sur la zone occupée. Cela génère moins de stress, moins de parasitage, nécessite moins d’utilisation de médicaments ou de traitements. La production est cependant moindre que dans le cas d’un système intensif.
QUESTION 21
Comment définir un système vivrier ?
Réponse
Un système vivrier est un système à échelle réduite, c’est celui qui protège le plus le sol. Il permet à une famille d’être auto-suffisante mais présente le désavantage de la pénurie en cas d’intempérie.
QUESTION 22
Comment va évoluer la surface cultivable disponible par habitant dans les années futures ?
Réponse
D’ici à 2050, la population atteindra 9 milliards d’êtres humains. Cela signifie que la surface cultivable disponible par habitant va diminuer. Sur les 13.3 milliards d’hectares de surface terrestre, 11 % (1.5 milliards) sont cultivés, 27% sont occupés par des pâturages, 32% par des forêts et 9% par les villes, les déserts et les lacs. En 1960, il y avait 0.5 hectare de surface cultivée par habitant. Aujourd’hui la proportion est de 0.23 hectare par habitant et ne sera plus que de 0.15 en 2050. Cela signifie qu’en moins de 100 ans le nombre personnes nourries par un même hectare de culture va passer 2 à 6,66. Il risque donc d’y avoir pénurie.
QUESTION 23
Les nitrates sont utilisés comme intrants en agricuture intensive. Quel est leur d'impact sur l'océan ?
Réponse
Si la culture intensive répond à un besoin, elle n’est pas sans conséquences sur notre santé et l’environnement. L’usage intensif de nitrates dans les champs est à l’origine de marées vertes en Bretagne : le surplus de nitrates est entrainé par les cours d’eau jusqu’à l’océan où ils sont utilisés par les algues qui se développent et pullulent.
QUESTION 24
Qu'est-ce que l'eutrophisation ?
Réponse
Les nitrates sont aussi responsables de l’eutrophisation de lacs et de rivières : c’est un envahissement par des algues aboutissant à un étouffement de ces milieux.
QUESTION 25
Qu'est-ce que la bioaccumulation ?
Réponse
Les eaux de surface et souterraines sont polluées par les nitrates mais également par les pesticides. Ces substances vont s’accumuler dans la matière organique produite par les êtres vivants : on parle de « bioaccumulation ». On retrouve, par exemple, des pesticides dans 73% des fruits et 41% des légumes que nous consommons, ou encore des antibiotiques dans la viande car ils sont utilisés de manière systématique en élevage pour prévenir les infections. Cette accumulation se retrouve dans notre organisme. En effet, des études ont mis en évidence des traces de pesticides dans les urines de femmes enceintes ou encore des dérivés de nitrates dans le sang pouvant être responsables de cancers.