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Transcript

Comment le génocide est-il mis en oeuvre?Qu'est-ce qui fait la spécifité d'Auschwitz par rapport aux autres centres de mise à mort?Confronter Auschwitz et Belzec

Info

Bilan

Les principaux centres de mise à mort étaient situés en Pologne ou à l'est du territoire allemand gouverné par Hitler (zone conquise pendant la guerre et annexée à l'Allemagne). Auschwitz est donc situé sur les territoires allemands annexés au grand Reich, tandis que Belzec est situé dans le gouvernement général de Pologne. Pour faire parvenir les Juifs de toute l'Europe dans ces centres de mise à mort, il faut recenser les Juifs présents, les arrêter, les transporter... C'est un processus complexe qui doit être extrêmement bien coordonné. Un centre de mise à mort n'a pas vocation à durer longtemps et n'existe que pour tuer en masse. Un camp de concentration est un lieu de travail forcé où les conditions de vie effroyables conduisent souvent à la mort. Auschwitz associe centre de mise à mort et camp de concentration, ce qui n'est pas le cas des autres centres de mise à mort. Il accueille ainsi des détenus de toute l'Europe.

Environ 200 000 détenus du camp d'Auschwitz ont survécu au moment de la libération en 1945 (Source : Manuel Terminal Histoire-Géographie, Hachette, 2020, p. 99

Le site d'Auschwitz en 1944

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Auschwitz III - Monowitz : camp de concentration associé à une usine de caoutchouc IG Farben. Les déportés travaillent à l'usine, qu'ils ont eux-mêmes construite. Ils y meurent d'épuisement ou sont sélectionnés pour la chambre à gaz s'ils ne réussissent plus à accomplir leur travail.

Auschwitz I est le 1er camp à ouvrir sur la zone en 1940. Il est composé de bâtiments de brique appelés blocs C'est d'abord un camp de concentration qui accueille des prisonniers de guerre ou des opposants politiques. C'est là qu'on enferme par exemple des prisonniers russes qui sont particulièrement maltraités. C'est là que se trouve l'administration SS du camp, la maison du commandant du camp... C'est là aussi que sont pratiquées des expériences médicales sur les détenus qui servent de cobayes (l'un des principal responsable de ces expériences est Joseph Mengele). Aujourd'hui ce camp est transformé en musée, une grande partie des bâtiments est encore debout. On peut y voir les objets récupérés au moment de la libération du camp et le célèbre portique "Arbeit macht frei" ("le travail rend libre").

Au début du fonctionnement du camp d'Auschwitz Birkenau, les Juifs et les autres déportés descendaient du train ici et été transportés en camion jusqu'au camp ou jusqu'aux chambres à gaz. Cela signifie qu'une large partie des Juifs déportés avant 1944 ne sont jamais rentrés dans le camp et ont directement été tués. Ci-joint, une photo de la voie de chemin de fer sur laquelle a été positionné un wagon à bestiaux dans lequel était transporté les déportés. Selon leur lieu d'origine, ils pouvaient y passer plusieurs jours debout, sans eau ni nourriture. Ce transport entrainait déjà la mort de nombreuses personnes.

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Cliquez sur la vidéo ci dessous Il s'agit des chaussures retrouvées sur place au moment de la libération des camps. https://drive.google.com/file/d/1gT9sOuYa_IS8On4fwMHnp-rX_NvEpBsf/view?usp=sharing Amas de chaussures.mp4nullGoogle Docs

Camp d'Auschwitz en 1944

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Utilisation

Bilan : nombre de déportés

Cliquez sur les points rouge pour en apprendre plus sur les différentes parties du camp d'Auschwitz Cliquez sur les points gris pour en voir les vestiges aujourd'hui Cliquez sur "Bilan" pour connaitre le nombre de déportés morts à Auchwitz

Les chambres à gaz sont au nombre de 4 à Auschwitz et sont associées à des fours crématoires. Le processus d'extermination est encadré par les SS mais ce sont les membres juifs des "Sonderkommandos" qui se chargent de la plus grande partie du travail de mise à mort. Les déportés doivent se déshabiller et se diriger vers ce qui est présenté comme un espace de "toilette" pour éviter les mouvements de panique et les révoltes. Une fois gazés, les corps sont dirigés vers les fours crématoires ou vers des bûchers extérieurs quand les corps sont trop nombreux ou les fours en panne. Avant la crémation, il faut tondre les cadavres et récupérer les dents en or. Les cendres des bûchers ou des fours sont récupérées et régulièrement jetées dans la rivière Sola pour effacer toute trace des individus et du crime. Les membres des Sonderkommandos, à partir de 1943, sont directement logés au dessus des fours crématoires. Ils ne doivent pas entrer en contact avec les autres prisonniers. Certains ont survécu et ont pu raconter, d'autres ont enterré des témoignages et même réussi à prendre les rares photos du processus de mise à mort.

Ces bunkers ont été utilisés pour l'extermination de Juifs français, notamment déportés après la rafle du Vel d'Hiv à l'été 1942. A cette époque, les chambres à gaz plus perfectionnées et les fours crématoires ne sont pas encore construits.

Cet espace accueille les baraques du "Kanada" Il s'agit de la zone où les objets des déportés sont triés puis stockés. Tout se récupère : valise, ustensiles de cuisine, lunettes... Les membres des "Sonderkommandos" qui sont chargés des phases d'extermination (des Juifs forcés au travail là aussi) doivent aussi récupérer les dents en or et tondre les cheveux des femmes. C'est aussi dans cette zone que les prisonniers devant intégrer le camp de concentration sont déshabillés, lavés, tondus, revêtus de leurs tenus de prisonniers et tatoués. Le tatouage est une particularité d'Auschwitz. Pour identifier les prisonniers, un numéro leur est attribué, qu'ils doivent connaitre par coeur car c'est ce numéro qui leur ait demandé lors des appels dans le camp. Ils doivent apprendre à le dire en allemand et à le reconnaitre quand il est prononcé par un SS en allemand pour y répondre. Ce numéro est d'abord cousu sur les habits du détenu mais le taux de mortalité est si élevé au camp et les échanges de vêtements si fréquents, que les SS décident de tatouer ce numéro. Les prisonniers peuvent ainsi être identifiés peu importe les vêtements portés. Seuls les prisonniers voués au travail forcé sont tatoués, les déportés assassinés dans les chambre à gaz à leur arrivée ne sont pas tatoués.

La porte d'entrée du camp principal, surmontée d'un imposant mirador A partir de 1944, les trains de déportés entrent directement dans le camp.

A partir de 1944, les déportés entre directement dans le camp et sont sélectionnés sur la Judenramp. Quelques photos témoignent de la sélection. Auschwitz étant le seul camp associant mise à mort et concentration, la "sélection" est une de ces spécificités. Il faut faire le tri entre ceux qui seront assassinés tout de suite (femmes avec enfants, vieillards, malades...) et ceux qui resteront travailler (hommes et femmes paraissant en bonne santé). Les officiers SS, certains médecins, se chargent de ce tri. Les sélectionnés pour le travail passent ensuite par le Kanada, tandis que les autres sont escortés jusqu'aux chambres à gaz.

Le camp d'Auschwitz - Birkenau est utilisé pour mettre en oeuvre la mise à mort des Juifs. Il accueille aussi un important groupe de prisonniers pour le travail forcé. Il est sans cesse en restructuration et s'agrandit progressivement grâce au travail forcé. Le mirador central n'était, par exemple, pas achevé en 1943. Le camp est divisé en 3 "Läger" : le camp des femmes, celui des hommes et la partie appelée "Mexico" mais jamais achevée. Il comprend en tout environ 300 baraquements, la plupart en bois avec des conduits de cheminée en brique. Chaque baraquement peut contenir entre 800 et 1000 détenus. Ils dorment à plusieurs sur des paillasses en bois, sans matelas ni couverture. Chaque baraquement est sous la responsabilité d'un Kapo. Prisonnier lui aussi, il est privilégié par rapport aux autres (meilleure nourriture par exemple). Le plus souvent, ce sont des prisonniers de droit commun (condamné pour des crimes mais parce juifs, tziganes ou opposants politiques) et certains se montrent aussi cruels que les SS pour justifier leurs privilèges. Les prisonniers subissent "l'appel" plusieurs fois dans la journée : ils sont comptabilisés et doivent attendre des heures debout que le comptage soit terminé. C'est une forme de torture facile à mettre en oeuvre. Les prisonniers travaillent toute la journée et sont organisés en "Kommandos" affectés à toutes sortes de tâches : travaux pénibles en extérieur, infirmerie... Selon son lieu d'affectation, un prisonnier survit plus ou moins facilement. Les prisonniers subissent régulièrement humiliations, mauvais traitements... de la part des officiers nazis ou des Kapos. Ils n'ont droit à aucune pause et doivent se découvrir la tête et saluer chaque SS qui croise leur route. Ils sont nourris de pain rassis, d'eau chaude et de soupe clair (peu nourrissante). Les maladies se développent rapidement et les conditions d'hygiène sont déplorables (pas suffisamment de latrines pour le nombre de prisonniers...).

Les Juifs déportés à Auschwitz au début de son fonctionnement arrivent un peu à l'écart du camp car il n'est pas encore relié à la voie ferrée. Ils descendent des wagons à bestiaux puis sont "sélectionnés" directement : certains sont choisis pour travailler dans le camp de concentration tandis que les autres sont directement envoyés à la chambre à gaz. Ils sont alors transférés dans des camions qui les conduisent sur le lieu de mise à mort et ils ne rentrent jamais dans le camp. La grande majorité des déportés juifs est assassinée. Proportionnellement à leur nombre, très peu de Juifs ont été prisonniers à Auschwitz. Sur 1,2 millions de déportés, 900 000 juifs environ ont été directement gazés. Aujourd'hui, ces rails sont toujours visibles et un wagon a été positionné dessus pour rappeler à quoi elles ont servi. Elles se trouvent dans un quartier résidentiel d'Auschwitz, ce qui pose la question du traitement des traces du génocide aujourd'hui qui peut contraster avec le fait que la vie continue.

Le génocide des Tziganes est un objectif secondaire chez les nazis. Ils sont considérés comme aryens mais ayant été corrompus par le métissage, le "mélange de races". Les politiques de persécution varient selon les territoires et les gouvernants. En France, par exemple, ils sont internés s'ils sont en zone occupée mais pas s'ils sont en zone libre. Les Tziganes sont 23000 à Auschwitz. Himmler, un des plus haut responsable SS, les a fait interner car il a un projet les concernant. Nous ne savons pas aujourd'hui quel était ce projet. Ils vivent à part des autres prisonniers, ne travaillent pas et sont enfermés en famille. Cependant ils subissent aussi des conditions de détention difficiles et plus de 17000 d'entre eux meurent en un an. En août 1944, les 6000 restants, dont Himmler s'est visiblement désintéressé, doivent faire de la place car Auschwitz attend l'arrivée des convois de Juifs de Hongrie. 3000 sont gazés et 3000 autres sont forcés au travail.

Environ 1,1 millions de déportés sont morts à Auschwitz Parmi eux, plus de 900 000 Juifs Il y a aussi 21 000 Tsiganes, 15 000 prisonniers de guerre russes, 70 à 75 000 Polonais non juifs, 10 à 15 000 détenus non juifs venus de toute l'Europe.Auschwitz est donc un lieu de mémoire central pour l'Europe entière. C'est aussi à Auschwitz qu'on compte le plus de survivants (ce qui est compréhensible au vu du nombre de déportés accueillis) qui ont donc pu témoigner de ce qu'était le camp. Les autres centres de mises à mort ont laissé moins de rescapés et donc moins de témoins potentiels.

Le camp

Recit

La mémoire

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Belzec est le premier centre de mise à mort à ouvrir en Pologne dans le cadre de "l'action Reinhard". Reinhard Heydrich était un des organisateurs de la "solution finale", il a été assassiné à Prague en juin 1942 et c'est pour cela que l'opération d'extermination des Juifs de Pologne porte son nom. Belzec n'est pas le seul centre destiné aux Juifs de Pologne, ces derniers sont aussi tués à Treblinka et à Sobibor. Le 1er convoi vers Belzec a lieu en mars 1942 depuis la ville de Lublin. Belzec est utilisé, avec Treblinka et Sobibor, pour liquider les ghettos juifs de Pologne. Belzec reçoit principalement les Juifs déportés depuis la Galicie et depuis le ghetto de Cracovie. Les Juifs de Cracovie y sont conduits de juin 1942 à mars 1943, au fur et à mesure de la liquidation du ghetto. Si Auschwitz commence à fonctionner à ce moment là et qu'il est plus près géographiquement, la déportation des Juifs de Cracovie s'effectue selon une logique frontalière : Belzec est en Pologne occupée alors qu'Auschwitz est sur le territoire allemand. Le camp est assez isolé et proche de la voie ferrée. Il est provisoire et la plupart des bâtiments sont en bois au début. Certains seront reconstruits en béton quelques mois plus tard, notamment les chambre à gaz. Les Juifs qui arrivent à Belzec sont directement exterminés, seuls quelques uns sont concentrés dans le camp pour effectuer les tâches nécessaires à la mise à mort. Le camp est démantelé en 1943, tout est détruit. Les archives disparaissent en 1944 dans un bombardement. On estime le nombre de victimes à Belzec à environ 450 000 avec moins d'une dizaine de survivants.

Après le démantèlement du camp, les nazis font planter des arbres sur la zone et une partie devient même une exploitation agricole. Le camp est oublié car il n'en reste aucune trace physique et qu'il y a trop peu de survivants pour en parler. Dans les années 1960, au moment du procès des responsables du camp (7 des 8 accusés sont acquittés faute de preuves), les premières commémorations sont organisées. Les stèles présentes à Belzec pour rendre hommage aux victimes ne mentionnent pas le fait qu'elles étaient juives. On peut y lire "à la mémoire des victimes de la terreur hitlérienne". Les Polonais ne connaissant quasiment pas l'histoire de ce camp car la mémoire du génocide juif est peu évoquée en Pologne. Il faut attendre les années 1990-2000 pour que la zone du camp de Belzec accueille un musée-mémorial et que l'aspect juif de la mémoire du camp soit mieux mis en avant. Belzec devrait être le lieu de mémoire central de la déportation des Juifs pour la zone de Cracovie mais c'est Auschwitz qui s'est imposé dans les mémoires car c'est le camp le plus près de la ville.

"En trois étapes, lors de la première expulsion de juin, on chassa sept mille personnes du ghetto [de Cracovie]. Comme on le sut plus tard, tous ces transports furent dirigés vers le camp d'extermination de Belzec. (...) En novembre 1942 parvint au ghetto une lettre écrite par une parente d'un des médecins qui, tout de suite avant l'expulsion d'octobre, s'était enfuie et avait gagné Lwow. Elle était passé par Belzec. J'avais cette lettre en main et nous la lisions, mon personnel et moi. Son contenu se répandit dans le ghetto comme l'éclair. C'était - on peut le dire - la première confirmation authentique de ce qui se racontait sous diverses variantes à propos du sort des déportés. L'auteur décrivait de façon très réaliste les trains bondés qui stationnaient à Belzec, attendant parfois durant des jours d'arriver à destination, c'est à dire leur aiguillage sur une voie latérale qui menait dans une forêt dense enceinte de palissades et de barbelés. Au-dessus de la forêt trainaient sans cesse d'épaisses fumées et une odeur ecoeurante, inimaginable, s'élevait dans l'air. Les habitants de Belzec racontaient que les déportés qui avaient survécu aux horreurs du transport en wagons fermés restaient parfois des jours entiers à la gare, sans une goutte d'eau, sans la moindre nourriture. Des gémissements, des supplications en parvenaient mais il était interdit d'aider ces gens. Des gardes allemands surveillaient le train. Une fois le train entré dans la forêt, les gardes ouvraient les portes des wagons et ceux qui étaient toujours en vie devaient se déshabiller complètement. Ensuite, ils étaient brûlés, c'est de là que venaient ces fumées incessantes au-dessus de la forêt. La lettre se terminait par un appel : que plus personne ne s'illusionne sur le sort des déportés ! Celui qui le pouvait, qu'il n'atermoie [n'hésite] pas un jour de plus, qu'il s'enfuie au plus vite, avant qu'il ne soit trop tard ! Cette nouvelle fit une terrible impression sur le ghetto et dissipa ce qui restait d'illusions. " Tadeusz Pankiewicz, La Pharmacie du ghetto de Cracovie, 1998

Cette zone est destinée à l'assassinat des Juifs. On y trouve : - Une barraque pour les prisonniers qui sont chargés de s'occuper des cadavres - Des chambres à gaz qui fonctionnent au gaz d'échappement. Elles sont maquillées pour ressembler à des salles de douche afin d'endormir la méfiance des déportés. Une fois la porte de la chambre à gaz refermée, un moteur est allumé et rempli la chambre de gaz. Le Zyklon B est testé mais n'est pas utilisé à Belzec. Ce gaz est quasiment uniquement utilisé à Auschwitz. La mort par gaz d'échappement est plus lente qu'avec le Zyklon B. Les Juifs de Belzec sont aussi parfois assassinés par fusillades. - Des fosses communes (en orange sur le plan) qui recueillent les cadavres sortis des chambres à gaz. Au bout de quelques mois, l'odeur des corps est telle que la décision est prise de brûler les corps. Les fosses sont ouvertes et les cadavres brûlés sur de grands bûchers. - Des bûchers (en noir sur le plan, 13) à ciel ouvert qui fonctionnent jour et nuit. Les fours crématoires sont en réalité peu nombreux et surtout présents à Auschwitz.

Espace occupé par le commando juif présent sur le camp et forcé à travailler à la gestion de l'arrivée des déportés. Lorsque que Belzec cesse de fonctionner en 1943, ils sont déportés à leur tour et exécutés à Sobibor.

Espace où les déportés se déshabillent, où les cheveux des femmes sont tondus et les objets confisqués et stockés avant d'être emmenés sur un lieu de stockage plus vaste. Le déshabillage et la tonte sont effectués par des prisonniers juifs qui font ensuite passer les déportés par un couloir appelé "boyau" vers les chambres à gaz. La zone servant à l'extermination est soigneusement cachée aux yeux des arrivants qui ne découvrent la chambre à gaz qu'en y entrant. Il s'agit d'empêcher les mouvements de panique et convaincre les déportés qu'ils sont dans un camp de transit et qu'ils vont simplement "prendre une douche".

Lieu d'entrée du train amenant les déportés

Espace accueillant l'administration du camp et les surveillants.

Clique ci-dessus pour voir un aperçu de la première Judenramp aujourd'hui

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Mirador central

Enceinte du camp

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Mirador central, vue depuis l'intérieur du camp

Judenramp

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Les nazis documentent leur travail.Si on ne voit pas ici de scènes de violence, c'est qu'un ordre a sans doute du être donné pour respecter le moment de la prise de vue.La "sélection" est en réalité violente et se déroule au rythme des ordres sans cesse criés, des coups....

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Sources

Photo 1 : Manuel Terminal Histoire - Géographie, Belin, p. 82 Photo 2 : Manuel Terminal Histoire-Géographie, Hachette, 2020, p. 101

En lisant le témoignage de l'écrivain juif italien Primo Levi, vous pouvez le confronter à ce qui est montré par les nazis sur les images précédentes.

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Fondation en béton de la baraque. La partie en bois a été détruite

Citerne, utilisée pour les cusines

Mur séparant la baraque du "Sonderkommando" (les Juifs forcés de participer aux opérations d'extermination) des autres baraques pour éviter qu'ils communiquent avec les autres prisonniers

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Intérieur d'un baraquement reconstitué

Ici les chalis en bois dans lesquels dormaient les prisonniers à plusieurs

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Clique ici pour avoir une vue d'ensemble des vestiges du camp aujourd'hui

Clique ici pour voir une allée séparant les différents baraquement du camp

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Vestiges des chambres à gaz 4 et 5. La forêt était utilisée pour faire attendre les déportés avant leur gazage

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Clique sur les images pour les agrandir

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Photo prise clandestinement par un des membres des Sonderkommandos

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Sources

Texte : Manuel Terminal Histoire, Nathan, 2020, p.99