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leo payet
Created on May 13, 2022
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Transcript
1. La vaccination
8. Production substance active
2. Frise chronologique
3. Composition du vaccin
4. Types de vaccin
5. Le rôle du vaccin
6. Le but du vaccin
7. La fabrication du vaccin
9 Mise en forme pharmaceutique
10. Fonctionnement du logiciel
11. Interprétation des résultats
12. Diagrammes et leurs interprétations
13. Schèma prévention
INDEX
14. Immunité de groupe
15. Exemple concret : la rubéole
16. Bilan + sources
la vaccination
Dès l’Antiquité, on notait que les personnes frappées une première fois par certaines maladies infectieuses ne l’étaient pas une seconde fois. Au Moyen Âge, les Chinois ont tiré parti de cette observation pour protéger les enfants contre la variole en leur inoculant du pus de pustules de malades. La « variolisation » a été introduite en Europe au XVIIIe siècle. Efficace mais dangereuse, elle entraînait alors 2% de décès.
En 1796, un médecin de campagne anglais, Edward Jenner, constate qu’une maladie bénigne des vaches, la vaccine, ressemblait à la variole et que les trayeuses de vaches qui la contractaient étaient protégées de la variole lors des épidémies. En transmettant la vaccine au petit James Phipps et en lui inoculant ensuite la variole, il observe que l’enfant ne développe pas la maladie. Le nom de vaccination est donné à cette opération. Le perfectionnement et la généralisation de la vaccination antivariolique permettront l’éradication de cette maladie en 1980.
XVIII
frise chronologique du développement de différents vaccins
XIX
XX
XXI
composition du vaccin
Ce que l’on va injecter doit être obligatoirement :
Le système immunitaire : correspond à l'ensemble des mécanismes de défenses de l'organisme. Il en existe deux types : innée et adaptative.
La réaction adaptative : se déclenche en parallèle de la réponse innée et de la réaction inflammatoire lorsque celles-ci ne sont pas suffisantes. La réaction adaptative est spécifique à un antigène contrairement à la réponse innée.
Un antigène : molécule qui est reconnu comme étrangère par l’organisme et qui déclenche une réaction de défense.
Un pathogène : agent ( bactérie, virus, parasite …) qui va déclencher une maladie.
D’un point de vue vaccinal, la vaccination permet une protection individuelle.
Une couverture vaccinale : correspond à la proportion de personnes vaccinées dans une population à un moment donné.
Un contamination : terme médical utilisé pour désigner l'envahissement d'un organisme vivant ou d'une chose par des micro-organismes pathogènes.
Une infection : prolifération de micro-organisme pathogène dans l’organisme.
Le phénotype immunitaire : correspond à l’ensemble des récepteurs des LB et des LT que possède un individu à un moment donné de sa vie. Le phénotype immunitaire change sans cesse face à la grande diversité des antigènes rencontrés pas l’individu. Ainsi, l’individu peut s’adapter aux modifications de son environnement.
vaccins vivants atténués
vaccins inactivés
vaccins à ADN ou ARN
vaccins sous-unitaires
les différents types de vaccins
Un lymphocyte B : Cellule présente dans les ganglions lymphatiques et fabriquée par la moelle osseuse qui participe à la réponse immunitaire adaptative.
Un lymphocyte T : Cellule produite par la moelle osseuse et qui participe à la réponse immunitaire adaptative.
Un plasmocyte : Cellule de grande taille et de durée de vie courte issue de la mitose des lymphocytes B. Elle sert à fabriquer en masse des anticorps (= immunoglobulines) spécifiques à l’antigène qui a déclenché le lymphocyte B.
La fabrication d’un vaccin se déroule en deux temps : d’abord la production de la substance active, puis sa mise en forme pharmaceutique.
LA PRODUCTION DE LA SUBSTANCE ACTIVE
1. Constitution de la banque de germes
Point de départ du procédé, la banque de germes regroupe des virus ou des bactéries qui doivent garder des propriétés constantes afin de garantir des vaccins de qualité.
2. Mise en culture et amplification
Il faut parfaitement maîtriser les paramètres de la culture: la durée, la température, la pression, la composition du milieu de culture, le nombre de germes, l’aération, ect.
3. Récolte
Cette opération consiste à extraire l’antigène que l’on a produit, du milieu de culture.
Une mutation : une modification
La culture : Un milieu de culture est une préparation au sein de laquelle des micro-organismes peuvent se multiplier. Il doit donc satisfaire les exigences nutritives du micro-organisme étudié
4. Purification et concentration
Cette opération consiste à enlever toute impureté de la substance et à la concentrer grâce à des procédés physiques (la centrifugation par exemple).
6. Fabrication des valences antigéniques
5. Inactivation de la substance produite si nécessaire
L’inactivation par la chaleur ou par des agents chimiques comme le formaldéhyde permet de supprimer le pouvoir pathogène tout en gardant les propriétés immunologiques, c’est-à-dire la capacité à déclencher une réponse immunitaire vis-à-vis de l’antigène fabriqué sans pour autant déclencher la maladie.
Cette étape consiste à rassembler les substances antigéniques actives en un seul composé.
LA PRODUCTION DE LA SUBSTANCE ACTIVE (2)
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LA MISE EN FORME PHARMACEUTIQUE
1. Assemblage des valences pour les vaccins combinés
Les valences sont associées comme par exemple pour le vaccin acellulaire.
Des adjuvants et des stabilisants peuvent être ajoutés : les adjuvants servent à améliorer l’efficacité et augmenter la réponse immunitaire ; les conservateurs et les stabilisants améliorent la stabilité du composé. Des conservateurs peuvent être utilisés dans les présentations multidoses.
Le produit est mis en flacon ou en seringue de manière stérile (sans germe inopportun).
3. Répartition aseptique
2. Formulation
LA MISE EN FORME PHARMACEUTIQUE (2)
Les vaccins ont la particularité de faire l’objet d’un double contrôle : par l’industriel et par une autorité indépendante.
Cette étape consiste en l’étiquetage et la mise en boîte sous forme de lots qui représentent un ensemble homogène de fabrication de doses, de 50 000 à 1 million de doses par lot selon le type de vaccin.
Cette étape permet de retirer l'eau dans un produit en le transformant en poudre, ce qui assure une meilleure stabilité et donc une meilleure conservation.
4. Lyophilisation si nécessaire
5. Conditionnement
6. Contrôle et libération des lots
Fonctionnement du logiciel
Fonctionnement du logiciel
Fonctionnement du logiciel
Fonctionnement du logiciel
Fonctionnement du logiciel
Fonctionnement du logiciel
Diagrammes
Diagramme représentant le pourcentage de contaminés total par rapport au pourcentage de vaccinés sur un effectif de 100 personnes
Nous pouvons voir que plus la couverture vaccinale est élevée et plus le taux de morts est faible. En effet, le taux de mort est de 5% pour une couverture vaccinale de 0% tandis que le taux de morts est de 0% lorsque la couverture vaccinale est de 80%. Ainsi, lorsque la couverture vaccinale est élevé, il y a l'obtention d'une protection collective donc il y a pas ou peu de morts.
nous pouvons voir que lorque le taux de vaccinés est élevé, le taux de contaminés est faible et lorsque le taux de vaccinés est faible, le taux de contaminés est élevé. En effet, lorsque le taux de vaccinés est de 80%, le taux de contaminés total est de 8%.Et lorsque le taux de vaccinés est de 20%, le taux de contaminés total est de 90% environ. Ainsi, puisque la couverture vaccinale est élevée, le taux de contaminés total est faible et puisque la couverture vaccinale est faible, le taux de contaminés total est élevé.
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L'importance de la vaccination dès le plus jeune age
individuelle
collective
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Lorsqu'une personne est infectée par un agent pathogène (un virus ou une bactérie), son système immunitaire se défend en fabricant des anticorps, destinés à neutraliser et éliminer cet agent.
La vaccination fonctionne de la même manière, tout en évitant les dangers liés à la maladie. Lorsque nous recevons un vaccin, un agent pathogène (ou un fragment de cet agent) rendu inoffensif est introduit dans notre corps.
Il ne nous rend pas malade, mais notre système immunitaire fabrique cependant des anticorps pour le neutraliser et l’éliminer. Si nous rencontrons un jour le vrai virus ou la vraie bactérie, notre système immunitaire le reconnaîtra tout de suite et l’éliminera avant qu’il ne puisse nous rendre malade. C’est la base de la protection individuelle conférée par la vaccination.
Au-delà de sa propre protection, la personne vaccinée va le plus souvent également contribuer à protéger d’autres personnes qu’elle-même.
En effet, non seulement la vaccination évite le développement de la maladie mais elle prévient le plus souvent la multiplication de l’agent pathogène chez la personne vaccinée. Une personne vaccinée n’est donc plus susceptible de transmettre le virus ou la bactérie à son entourage, évitant ainsi à ses proches, et en particulier ceux qui ne sont pas vaccinés, d’être contaminés, de développer la maladie et de disséminer le virus ou la bactérie dans la population générale.
La personne vaccinée agit, vis-à-vis du reste de la population, comme une barrière contre l’agent pathogène, en interrompant la chaîne de transmission. Plus la population est vaccinée, plus on réduit la circulation de la bactérie ou du virus concerné et plus on réduit le nombre de cas chez les vaccinés et les non vaccinés
une forte immunité de groupe peut permettre d'éradiquer une maladie
Si la couverture vaccinale est élevée, La diminution de l’incidence de la maladie affectant l’ensemble de la population, vaccinée et non vaccinée, peut permettre d’éradiquer une maladie, c'est-à-dire de faire totalement disparaître le virus ou la bactérie responsable.
Le continent américain après 15 années de lutte contre la rubéole a totalement réussi à éradiquer cette maladie sur son continent. C’est un évènement historique car c’est la première région au monde a avoir réussis à faire disparaître cette maladie potentiellement mortelle, grâce à la vaccination. Selon l’OPS (l’organisation panaméricaine de la santé), 250 millions d’individus dans 32 pays différents ont dû être vaccinés pour endiguer définitivement la rubéole. C’est un enjeu énorme pour le pays car il avait connu un pic de contamination important en 1997, avec plus de 158 000 cas diagnostiqués. Une forte immunité de groupe a permis de protéger l’ensemble de la population et la maladie a ainsi totalement disparu. Toutefois, la rubéole continue toujours de circuler ailleurs dans le monde, notamment dans les pays avec une couverture vaccinale faible. Désormais, bien que l’Amérique soit débarrassée de la rubéole elle continue de lutter contre d’autre maladie comme la rougeole.
bilan
Mais lorsque la couverture vaccinale est élevé, il y a l'obtention d'une protection collective donc il y a pas ou peu de morts.
Quand la couverture vaccinale est élevée, le taux de contaminés total est faible et lorsque la couverture vaccinale est faible, le taux de contaminés total est élevé.
Finalement, lorsque la majorité de la population n'est pas vaccinée, l'obtention d'une protection vaccinale collective est impossible.
Finalement, les personnes non-vaccinés empêchent au vaccin de pouvoir stopper la propagation de la maladie.
Pour conlure ,pour que la population obtienne une protection collective, il faut que la couverture vaccinale soit élevée. Mais lorsque la couverture vaccinale est faible, la protection est individuelle.
Les sources
- L’ARS (Agence Régionale de Santé)
Thank