Parcours d’un migrant
elisabeth.hannebert
Created on May 10, 2022
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Transcript
le parcours d'
IMMIGRÉS
russes
Amy, lison, mya et catherine
La Lettonie
Svetlana et Alexender sont restés en Lettonie durant neuf mois. Ils voulaient s'installer dans ce pays car c'est tout près de la Russie et que dans certaines régions comme autour de Riga, la capitale, c'est le russe qui est parlé. Ils avaient commencé à faire une procédure pour pouvoir s'y installer, mais il y avait trop d'hostilité envers la Russie et que, voyant qu'en neuf mois la procédure n'avait pas beaucoup avancée, ils ont decidé de quitter la Lettonie pour l'Allemagne.
Le départ de Russie
Svetlana et Alexander sont partis de Russie en novembre 2017. Ils sont partis parce qu'ils ont été persécutés par la police politique de Russie. Ils ont essayé de se battre contre le régime politique de Poutine et contre la propagande destructive de la guerre et de la haine. Ce couple a lutter de 2014 à 2017. Pour cela, ils avaient, avec une association, publié des vidéos sur YouTube et fait des manifestations. Ils ont fait ça dans le but de changer le pouvoir. Ils ont été mis en prison pendant quelques jours, puis ont eu quelques heures seulement pour quitter leur pays, car une voiture les surveillaient devant chez eux. Ils ont fait un sac pour tous les deux et ont quitté Moscou en voiture pour la Biélorussie. Ils voulaient partir dans un pays parlant une langue similaire à la leur pour que ce soit plus simple à notamment apprendre.
La Biélorussie
Quand ils sont arrivés en Biélorussie, un jour après, ils se sont connectés avec les membres de l’association avec laquelle ils luttaient qui leur ont dit qu’ils devaient quitter aussi la Biélorussie car ils risquaient d’être dénoncés à police Russe. Ils sont alors partis en Ukraine en taxi.
L’Ukraine
Svetlana et Alexander sont allés en Ukraine pendant deux jours. Après ils sont partis en Turquie en avion, et ont donc survolé la Mer Noire.
La Turquie
Ce couple est arrivé en Turquie en avion, mais n'y est pas resté longtemps, il est ensuite parti en Géorgie, en traversant la Mer Noire.
La Géorgie
Les migrants russes sont restés à Tbilis, en Géorgie, pendant cinq jours, puis sont partis en Lettonie.
La Pologne
Svetlana et Alexander ne se sont pas particulièrement arrêtés en Pologne, juste ils ont traversé pour aller en Allemagne.
L'Allemagne
Ces émigrés russes ne voulaient pas particulièrement rester en Allemagne, mais ils y ont été contraints car Svetlana était malade, ils ont donc pas pu faire le reste du trajet. Aussi, il y avait une seconde raison pour laquelle ils ne pouvaient pas quitter l'Allemagne pendant un mois : ils n'avaient plus de visas. Ils ont essayé de prendre un avion à travers l'Europe, mais en vain : ils ont été débarqués de l'avion et ont perdu deux billets d'avion. Là aussi ils ont fait une demande d'asile, mais l'Allemagne, contrairement à la France, ce sont des ordinateurs qui traitent les demandes d'asile, alors, voyant qu'ils étaient passés par la Lettonie, ils ont voulus les y renvoyer par la règle de Dublin. Alexander a alors expliqué que c'était dangeruex pour eux de retournés en Lettonie, l'Allemagne a fini par les envoyer en France.
L'arrivée en France
Svetlana et Alexander n'ont pas vraiment choisi de venir en France, ce n'est le choix de personne comme en Allemagne tout est automatique, mais en tous cas, ce n'est pas eux qui ont choisi mais plutôt l'Allemagne qui les y a envoyé.
Ces immigrés russes sont maintenant heureux en France : ils y trouvent les gens très aimables, amicales, polis et discrets, comme c'était en Russie, mais, aujourd'hui il y a beaucoup de propagande, les gens sont durs et agressifs. Ils apprécient beaucoup la culture, l'architecture française. Ils ont tout de même eu des difficultés comme pour apprendre la langue ; le fait que dans leur pays natal il y ait six mois de froid, alors qu'ici il y en a à peine trois, et qui sont moins froids qu'en Russie ; Alexander travaillait en bien Russie, alors qu'ici, en France, c'est de la dépendance, il n'aime pas ça, il préfère donner plutôt que de prendre : il n'aime pas la pression qui règne en France.
Merci !