Full screen
Share




Derniere crise ecologique
Andry Emkha
Created on May 9, 2022
Over 30 million people create interactive content in Genially.
Check out what others have designed:
SLYCE DECK
Personalized
LET’S GO TO LONDON!
Personalized
ENERGY KEY ACHIEVEMENTS
Personalized
HUMAN AND SOCIAL DEVELOPMENT KEY
Personalized
CULTURAL HERITAGE AND ART KEY ACHIEVEMENTS
Personalized
DOWNFALLL OF ARAB RULE IN AL-ANDALUS
Personalized
ABOUT THE EEA GRANTS AND NORWAY
Personalized
Transcript
QUE FAIRE?
L'Homme est le catalisateur de la crise écologique, il augmente la gravité de l'effet de sert et creer des problémes par lui-même aussi. Comme par exempe les espèces invasives detruisant l'ecosystème , ou toute sorte de déchêts étant dengerux pour les ecosystèmes. Aussi toute sorte d'activitées humaines comme la deforestation, ou même une vie tranquille en ville, qui génére des pollutions.
Les consequences
Nous le faisons depuis le tout début du XXe siècle beacoup plus que jamais dans notre histoire
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sujet:Sqguy652fh4iu0qh#:~:text=Une%20esp%C3%A8ce%20de%20plante%20sur,'impact%20de%20l'Homme.
Selon de nombreux scientifiques, nous serions en train de vivre une nouvelle extinction de masse provoquée cette fois par l'activité humaine. Le taux actuel de disparition des espèces est le plus élevé jamais enregistré (entre 17 000 et 100 000 espèces disparaissent chaque année). Une espèce de plante sur huit est menacée d’extinction, un cinquième de toutes les espèces vivantes pourrait disparaître dans les 30 ans. Certains estiment que l’homme serait à l’origine d’une sixième crise biologique majeure.
L'impact de l'Homme
Sommes-nous la cause de la derniere crise biologique sur Terre?
A visiter ce site: https://fr.wikipedia.org/wiki/Sujet:Sqguy652fh4iu0qh#:~:text=Une%20esp%C3%A8ce%20de%20plante%20sur,'impact%20de%20l'Homme.
Prenons par exemple la voiture électrique. Elle est souvent présentée comme LA solution pour une mobilité durable et « zéro émission ». Mais dans les faits, la voiture électrique a aussi des impacts sur l’environnement. D’abord elle n’est pas « zéro émission » : elle émet du CO2, à hauteur de ce que le mix électrique qui sert à la recharger en émet lui-même. C’est-à-dire que si vous roulez avec une voiture électrique rechargée sur un réseau fonctionnant au charbon, vous émettez probablement autant voire plus de CO2 qu’avec une voiture à essence. Pour qu’une voiture électrique émette peu de CO2, il faut qu’elle soit rechargée sur un mix décarbonné (renouvelable et/ou nucléaire) et encore là, elle émettrait quand même du CO2. Mais en plus, la voiture électrique pose d’autres problèmes écologiques : la gestion des métaux et matériaux utilisés dans les batteries, ou leur recyclage en fin de vie par exemple. Quoi qu’il en soit, il y a donc toujours un impact non négligeable sur l’environnement et ce même si la voiture électrique est beaucoup plus écologique que la voiture essence ou diesel.
D’abord, les métropoles, en tant que maîtres d’ouvrage, peuvent déjà apporter leur pierre à l’édifice des solutions à développer. L’élu écologiste a ainsi rappelé les bases, comme par exemple la végétalisation des agglomérations, méthode « la plus efficace pour lutter contre l’îlot de chaleur urbain ». C’est l’une des grandes lignes inscrite au PCET du Grand Lyon, avec pour objectif de planter 3000 arbres par an (1000 en renouvellement, 2000 en supplément). Dans toute opération d’urbanisme, la question « qu’est-ce qu’on plante ? » est donc posée, avec la question sous-jacente du choix des espèces adaptées aux évolutions du climat. La végétalisation des toits reste plus difficile à développer à grande échelle, alors qu’en termes de confort l’été, « l’isolation contre la chaleur est primordiale ». Finalement, « le retour de la nature en ville est la clé, martèle l’élu. Il y a encore quelques personnes qui trouvent que c’est de l’argent public gaspillé, mais le plus grand nombre apprécient les opérations, pour le plaisir de la ville qu’elles font naître ».