Présentation Nicolas de Staël - HLP
ELSA
Created on April 27, 2022
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Transcript
Nicolas de Staël
(1914-1955)
Présentation :
- Liste à puces
- Liste à puces
- dsffs
- sdgsdgvsdg
- eggg
- ggbrehhr
- rgezgz
- né le 5 janvier 1914 à Saint-Pétersbourg
- décédé le 16 mars 1955 à Antibes
- peintre
- français-russe
- art abstrait
Le peintre moderniste Nicolas de Staël (français, né le 5 janvier 1914 à Saint-Pétersbourg – mort le 16 mars 1955 à Antibes) est surtout connu pour ses compositions et paysages abstraits aux coups de pinceaux épais et aux couleurs vibrantes. Né en Russie juste avant la Révolution russe, sa famille émigre en Pologne en 1919. Puis, il étudie à la Royal Academy for Arts and Sciences de Bruxelles, avant de voyager à travers l’Europe et de s’installer à Paris. Dans les années 1930, il organise des expositions de ses premières œuvres et entre en 1939 dans la Légion étrangère où il reste deux ans.
Au début des années 1940, il commence à peindre des compositions abstraites, inspirées par ses rencontres avec Robert Delaunay (français, 1885-1941) et Georges Braque (français, 1882-1963). De Staël connaît un succès critique grâce à ces œuvres qui sont souvent exposées durant toute la décennie. Il déménage avec sa famille à Nice et continue à peindre des compositions abstraites, achetées par de grands collectionneurs internationaux. Vers la fin de sa carrière, il se tourne vers la représentation, peint des natures mortes à l’imagerie naturelle mais conserve cependant sa technique à empâtement caractéristique de son style. En 1955, au plus fort de son succès critique et financier, de Staël, qui souffre de dépression, se suicide. Le travail de De Staël a fait l’objet de rétrospectives à travers le monde, dans des institutions comme le Grand Palais et le Centre Pompidou de Paris, la Phillips Collection de Washington, D.C. et le Musée Picasso d’Antibes.
quelques oeuvres ;
Le Parc des Princes, 1952
Agrigente de Nicolas de Staël ;
- huile sur toile
- 1953
- 73 X 100 cm
- exposée à Kunsthaus en Suisse
Contexte ;
En , Staël emmène toute sa famille et ses deux amies pour un voyage en direction de la Sicile vers Gênes et Naples.
C'est à Agrigente que Staël trouve la clef des lumières bien ordonnées, des formes stylisées et pures. Il visite des musées et remplit un nombre impressionnant de carnets. Au retour, il s'arrête à Paestum qu'il avait visité quinze ans plus tôt, la Toscane de Fiesole.
Mais l'artiste est loin de trouver la sérénité qu'il recherche dans ces somptueux décors et au retour il va s'enfermer seul à Lagnes dans son atelier pour peindre avec une ardeur.
Le Parc des Princes par Nicolas de Staël
- réalisée en 1952, à Paris
- huile sur toile ou sur carton
- 250 x 200 cm
- ensemble de 6 tableaux ;
Le Parc des Princes I | 1952 | huile sur toile | 200 X 250 cm |
Le Parc des Princes II | 1952 | huile sur toile | 200 X 250 cm |
Le Parc des Princes III | 1952 | huile sur toile | 197 X 97 cm |
Le Parc des Princes IV | 1952 | huile sur carton | 19 X 23.7 cm |
Le Parc des Princes V | 1952 | huile sur toile | 16 X 22 cm |
Le Parc des Princes VI | 1952 | huile sur carton | 12.5 X 22.5 cm |
Contexte :
Le Nicolas de Staël assiste avec sa femme de l'époque, au match de football France - Suède au Parc des Princes. Le peintre ressort du stade fasciné, inspiré par les couleurs qu'il veut immédiatement porter sur la toile.
Il passe la nuit à peindre dans son atelier, commençant une série de petites ébauches qui vont devenir Les Footballeurs , sujet qu'il traite avec de très vives couleurs dans plus d'une quinzaine de tableaux. Il terminera son tableau au bout d'une semaine. Staël utilise des spatules très larges pour étaler la peinture et un morceau de tôle qui lui servira à maçonner les couleurs. Cette grande toile va faire l'objet de critiques, lesquelles contribuent à éloigner Staël encore davantage de l'art abstrait, dont il avait commencé à se détacher.
Le Concert, 1955
Pendant 3 journées, il travaillera sans relâche sur son œuvre, à perfectionner cet orchestre sans musiciens.
Prédominant la couleur, la lumière, l’espace qui livrent une chaleur et une puissance.
Staël s’initie à tout genre de technique sur cette œuvre ; du couteau de peinture à la spatule, Staël est passé au pinceau, à la brosse, au coton, passant d’une matière épaisse à la fluidité du pinceau, à l’étalage par de la gaze, à la dilution, à la matière légère du Concert. Travail qui est une caractéristique essentielle de Nicolas de Staël, la puissance de ses œuvres picturales.
Un immense fond rouge qui occupe tout l’espace supérieur, un piano et une contrebasse, séparés par des pupitres et des partitions, dans la partie basse.
Les instruments représentés sont massifs ; à gauche, le piano est parfaitement reconnaissable, à droite une contrebasse comme une grande poire.
On ressent la lourdeur du piano, la contrebasse poire semble évoquer une silhouette humaine mal dégrossie.
La couleur vibre, avec les coulures ocre jaune de la contrebasse sur le blanc qui l’entoure, les réserves de blanc autour de la silhouette noire du piano le font se détacher du fond.
Il peint alors Le Concert, sa dernière toile, inachevée
Le Concert, Nicolas de Staël
- 1955
- huile sur toile
- 350 x 600 cm
- exposée actuellement au Musée Picasso d'Antibes
- peint par le peintre à Antibes, dans son atelier
ANALYSE SUCCINCTE
- Anne MALHERBE, " STAËL NICOLAS DE - (1914-1955)", Encyclopaedia Universalis, consulté le 12 mai 2022
- Philippe BARRAUD, " Nicolas de Staël (1914-1955) : Le Concert " consulté le 12 mai 2022
- Margaux GRANIER-WEBER, " Nicolas de Staël, dernier concert puis s'en va ", Coupe-File Art, consulté le 12 mai 2022
- " Nicolas de Staël, notes de biographie ", Galerie MC, consulté le 12 mai 2022
- Jean-Yves DANA, " Devant " Le Concert " de Staël : " Je ressens l'attente..", consulté le 12 mai 2022
- Nicolas de Staël, " Dictionnaire de la peinture ", Larousse, consulté le 12 mai 2022
Sources
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