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Nos combats de chevalier

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Index

1. Baptiste et Raphael

8. Léana et Timoté

2.Yassine et Marius

3. Louis et Mickaella

4. Pierre-Louis et Clément

5. Maéna et Liam

6. Maxence et Lucie

7. Maxime et Mayssa

9. Noémie et Shaynez

10. Louise et Sasha

11. Kylian

Dans la grande ville de Camelot, il y avait deux parties. L’une où les pauvres résidaient et l’autre où il y avait les riches.
Un chevalier nommé Richard utilisait son statut pour aller piller et voler le quartier des pauvres. Clovis lui ,était un pauvre et voir Richard voler des pauvres alors qu’il était chevalier le mettait très en colère ! Clovis en eut marre... il était fixé ! Ce Richard ne méritait pas d’exister.

Alors pendant quatre mois il se perfectionna son propre équipement. Moins résistant, moins tranchant qu’une épée fabriquée par un forgeron... Mais suffisant ! Puis pendant deux ans il s'entraîna sans relâche dans les champs, la ville, et même dans sa chambre. Puis Clovis se dit qu’il était peut-être fin près à combattre.Alors il se rendit dans le quartier des riches, il chercha Richard pendant une bonne heure mais finalement il le trouva en train de discuter dans une taverne.

Alors Clovis cria : “Richard je te défie au combat. Tu n'es pas digne d'être chevalier car tu terrorise les honnêtes gens.
Tout d’abord Richard rigola tellement fort que tout le monde se retourna vers Clovis... Et eux aussi se mirent a rigoler. Mais Clovis les ignora , tout ce qu'il voulait c'était venger tous les pauvres que Richard avait terrorisé.

Après avoir fini de rigoler, Richard accepta en disant aux gens : "Regardez le bien se faire humilier ” !

C’est alors que le combat commença, Richard veut en finir rapidement mais il sait que Clovis s'est entraîné alors il hésite...
Soudain, Clovis saute sur lui ! Richard surpris reste immobile en le regardant dans les airs. Après quoi il pare le coup de Clovis avec son bouclier, et Clovis retombe à terre. Richard fonce tel un cheval au galop sur Clovis, il lui donne un coup dans la nuque évité avec succès par Clovis puis un autre qui touche Clovis dans le ventre. Clovis riposte fort en faisant tomber Richard, il veut lui donner le coup de grâce quand une énorme douleur au ventre l'arrête. Le coup que lui avait donné Richard avait provoqué une hémorragie. Alors Richard se relève vite et s’éloigne de Clovis.

Clovis reprend ses esprits... La douleur est atroce mais il sait qu’il ne faut pas abandonner. Alors il riposte fort en plantant son épée dans l’épaule de Richard qui tombe une nouvelle fois à terre. Cette fois-ci c'est la bonne, Clovis prend son épée et la plante en plein dans le cœur de Richard, c’est la fin du combat !

Au début, la population ne disait rien mais ensuite ils applaudirent Clovis.
Le roi, lui, était furieux d’avoir perdu un chevalier, mais l’un de ses conseillers lui suggéra de prendre Clovis dans sa garde.
Une semaine après la mort de Richard, Clovis se fit adouber par le roi et fit connaissance avec les autres chevaliers. Il se rendit compte que les chevaliers n'aimaient pas Richard. C’est comme ça que la belle histoire de Clovis débuta.

Dans un village Breton vivait un des six chevaliers de la table octogonale, le grand Timotus Maximus. Un jour il alla chasser du gibier et rentra chez lui fatigué et s’endormie. Pendant la nuit, des bruits étranges se firent entendre, attiré par le bruit un villageois regarda où il entendit un fracas. C’était le roi Baka qui faisait tout ce bruit en tuant le suzerain du sixième chevalier. Tellement terrifié, le villageois attendit jusqu’ au lever du soleil pour partir. Le lendemain, il prévint Timotus de ce qui s’est passé. Il lui dit : « Monsieur le monstre a tué votre maître et je crois que Mohamus le magicien sait où se cache sa demeure ». Ensuite le chevalier alla voir le magicien et lui demanda où le meurtrier se cachait. Le magicien lui pointa la direction des montagnes. A l’entrée de la forêt, il y avait des ours aveugles et Timotus les évita de peu avec sa discrétion. Le combattant trouva enfin la grotte qui était entourée de loups apprivoisés et dressés pour le combat. Il y en avait trois et ils étaient très grands. Le combat débuta. Le guerrier achève le premier, puis le deuxième et enfin le 3ème qui le blesse gravement. Malgré la douleur qui ressent, il va voir le roi monstre et sort son épée pour l’achever. Le héros commence à courir, mais s’arrête car la présence du monstre et son odeur démoniaque l’empêchent de bouger et lui paralysent ses jambes. Il prend son courage à deux mains et lui fonce dessus, mais Baka prend un bout de bois et le lui enfonce dans sa jambe. Il crie de souffrance, mais en profite pour s’éloigner. Il s’effondre sur le sol et le monstre crie victoire. Après un bref moment, il se relève, coupe un bras de la bête et, avec une vitesse de l’éclair, le tue avec un coup d’épée de rage. La victoire du jeune homme se fit entendre et il devint le roi de la montagne.

Un Jour dans une prairie tenue pas un jeune apprenti chevalier, Armin ,Un homme se nommant Eren vint a sa rencontre elle lui qu’il ne lui rester plus que 7 jours avant que la prairie se fasse contrôler par son armée constituée de chevalier très dangereux.

Après avoir découvert cette nouvelle Armin resta sous le choque toute la nuit. Un homme se nommant Sieg qui était le frère d’Eren, découvrit Armin tout seul debout tard la nuit dans les alentours de vingt-trois heures. Il le ramena chez lui pour discuter de ce qu’il s’était passé le lendemain matin. Le lendemain a l’heure du petit déjeuner Sieg partit voir si Armin c’était réveillé, mais à sa grande surprise il ne le trouva pas dans son lit mais dehors s’entrainant tel un déchainé. Il alla le voir et le questionna sur ce qu’il s’était passé la veille. Il lui expliqua et peut après Sieg lui proposa de s’entrainer pour atteindre un niveau que même les plus grands chevaliers ne réussirent pas à acquérir.

Sept jours passèrent , Eren vint a l’aube, Armin était assis part terre en attendant son arrivée .

Eren fut surpris de voir Sieg mais Sieg lui, le regardait avec tant de haine .

« -Mon frère ! , dit Eren

-Prépare toi à périr, s’exclama Sieg . »

Sur ces mots les deux frère se turent puis dix homme sortit de nulle part se ruèrent sur Armin, hélas pour eux il les trancha tous d’un seul coup d’épée . L’apprenti chevalier se trouvait maintenant sur une pile de cadavres.

Armin n’avait pas pas peur . Au contraire il était décidé à protéger sa prairie .

« -Je protégerai cette prairie jusqu'à mon dernier souffle ! s’exclama Armin »

Alors le combat commença.

Armin assène un coup à Eren qui pare cette attaque. Eren se précipite sur Armin et érafle son torse avec son épée . Il tombe mais Eren continue de frapper avec son épée, heureusement pour Armin un écu posé au sol apparut, c’était Sieg qui l’avait envoyé pour qu’Armin puisse se protéger . Il cru y passer mais il arriva à temps pour se protéger . Il repousse Eren, le frappe au visage, entaille son bras avec son épée. Eren recule pour ensuite sauter sur Armin par surprise il sortit son épée de son haubert et porta un coup qui passa à deux millimètres du cœur d’Armin. Blessé il riposta sans attendre, puis avec son épée il trancha la tête d’Eren d’un coup si rapide et si Legé que même Sieg qui était au loin ne comprit pas ce qu’il se passait mais deux guépard sortirent des fougères qui eux n’étaient pas fatigue ni blessé par des coups d’épée. Armin se retourna, leurs trancha les pattes, les oreilles, la queux, le nez et termina par la tête. Puis avec ses dernières forces il prononça ses dernières paroles :

«-Je l’ai défendu ma petite prairie dans laquelle j’ai vécu et dans laquelle j’ai vu mes frères et sœurs périr sous mes propres yeux, dit il avec une voix si douce que même sieg en pleura de chaudes larmes »

Il regarda le ciel une dernière fois se rendant compte qu’il allait mourir. Et il mourra le cœur apaisé souriant et pleurant des larmes à la fois de joie et de tristesse .

Tout le village qui se trouvait à coté de la prairie fut informé et lui rendirent des hommages dignes de l’homme qu’il était. Hélas il n’avait pas de mère ni de père alors il mourra sans que personne ne se rappelle de lui. Hélas c’était un héro qui ne méritait pas une fin comme celle-ci.


Dans un pays lointain nomme Bretagne le seigneur Uther Pendragon a cache sur terre une arme d’une puissance phénoménale dont celui qui la trouve devient le nouveau roi de Bretagne . L’epee a été retrouvée dans la roche de la plus haute montagne et deux chevaliers déterminés a sortir l’epee de la roche et devenir le nouveau roi de Bretagne s'affronteront autour d’un combat le premier s’appelle Arthur et le deuxième s’appelle Gérard l’invincible .


Tous les deux adversaires déterminés à devenir roi de de Bretagne et soulever l’epee de la roche s’affronteront tous deux epee a la main on ne baisant pas les bras se battant sans relâche en se donnant de coups dans le heaume . Arthur fils du roi Pendragon attaqua avec puissance et bravoure Gérard l’invincible qui ne peut se protéger de ses énormes coups .

Mais les deux chevaliers se battent dans le respect des regles des chevaliers et Arthur réussit à transpercer l’armure de Gerard l’invincible mais meme apres cette enorme coups dans l’estomac il continua a attaquer et a perforer l'épaulière de Arthur qui fut a son tour gravement blesse mais aucun ne resta a terre .


Arthur d’une fraction de seconde se releva et donna un coups de son epee qui pour le moment et paralyse Gérard l'invincible mais l’espace d’un moment ils se retrouvent désarmés et leur armes étaient coinces dans un arbre . Alors les deux hommes blesses de tout les cotes s'affrontèrent à mains nues et ce fut très intense . Il yeut des coups de poings . Des coups de pieds mais pas le moindre signe de faiblesse . Ils se donnèrent des coups sans relâche. Gérard l’invincible d’une prise mortelle metta a terre Arthur qui ne put se relever et aperçut une lumière dans le ciel qui les aveugla et ont ne vit plus les chevaliers .

Ils couraient dans tout les sens pour retrouver leurs armes mais les deux combattants retrouvent leurs armes et d’un coups de sabre les deux se retrouvent à nouveau face a face et Arthur d’un coups d’epee mortel detruit le heaume de Gerard l’invincible et lui de capite la tete et ce fut la du combat .

Arthur apres sa victoire alla retirer l’epee de la roche et entendit une voix qui lui dit : “ Arthur fils de Uther Pendragon tu est le heritier de ce sabre et le descendant de ton père en ce jour tu est devant dieu le nouveau roi de Bretagne .


En cet été de 1257, Guichadus un jeune homme âgé de 17 ans, sérieux, brave, costaud et vaillant, se préparait depuis 3 mois dans la forêt de Wismes. Il voulait devenir palefrenier.

Alors que Guichadus allait s’entrainer, il croisa le Seigneur. L’homme barbu avec sa couronne de travers lui demanda : « Que fais-tu depuis 3 mois dans la forêt ». Il lui répondit : « Je m’entraine pour espérer devenir palefrenier ». Le Seigneur lui dit : « si tu le souhaites tu pourras prendre ton service demain à 9h00 ». Le jeune homme vaillant rentra chez lui et raconta sa rencontre.

Le lendemain aux alentours de 9h00, Guichadus se présenta au château là où le Seigneur l’attendait. Le vieux monsieur lui présenta l’étalon dont il devait s’occuper. Il passa deux semaines à prendre soin du cheval brun.

Une semaine plus tard, un matin, Guichadus n’était pas en forme. Il n’avait pas dormi de la nuit. Cependant, alors qu’il se rendait au château, il entendit une voix : « Aujourd’hui le Seigneur organise un tournoi des palefreniers. » Guichadus se prépara et se para de son armure, de son épée, de son haubert, de sa lance ainsi que de son heaume. Il chevaucha l’étalon brun et se dirigea vers le lieu du tournoi.

Le jeune homme entra en scène.

Il redoutait son adversaire plus puissant et plus vieux que lui. Son cheval s’élance rapidement. Dès le premier coup de lance que son ennemi lui porta, il sent son haubert se déchirer et la lance de son adversaire le toucher. Peu après, une fontaine de sang jaillit de la partie qui relie son corps et sa tête. Plus décider que jamais, Guichadus rate son coup et se fait assener par la lance de son ennemi en plein cœur. Il tombe au sol et voit son sang sur le sable. Il remonte sur son cheval et enfonce puissamment sa lance dans la tête de son adversaire. Ce dernier tombe au sol et on ne le revit jamais.

Tous les chevaliers qui gagnaient leur combat se feraient adouber et deviendraient chevaliers.

Guichadus se fit adouber par le Seigneur et Badcock, la personne qui possédait l’étalon que le jeune homme brave nettoyait, lui remit l’accolade, l’équipement du chevalier et le droit de posséder un cheval. Il passa deux journées à profiter.

Tandis qu’il se promenait autour du château Guichadus entendit un bruit, c’était le cor qui annonçait une invasion. Le jeune homme se précipita à l’intérieur de la forteresse, enfila son équipement et rejoignit ses compères.

Les adversaires arrivent, tandis que des archers se postent dans les hauteurs du château, ils tapent sur le pont-levis qui se brise et ils entrent dans la forteresse.

Le combat est d’une violence indescriptible, un champ de cadavre jonchent au centre de la forteresse. Les corps baignent dans le sang. Guichadus tombe nez-à-nez avec deux ennemis et il leurs tranche la tête tandis qu’ils continuent à marcher. Il se mêle à la bataille et plusieurs ennemis s’en prennent à lui. Ils sont mieux équipés et en surnombre. Tandis qu’il commence la bataille un adversaire passe par derrière et tente de lui assener un coup d’épée, qu’il esquive. Il se retourne et lui trancha la tête. Ses ennemis fous de rages s’en prennent à lui à quatre. Une épée lui transperce les côtes et deux de ses compagnons tuent leurs ennemis.

A la fin de la bataille, Guichadus remit sur pied fit le bilan des pertes. Ils ne sont plus que 17 et il vit que le Seigneur n’en faisait pas partie. Il se précipita vers lui alors que ses côtes le faisaient atrocement souffrir. Il s agenouilla auprès de lui et le Seigneur lui confie ses derniers mots : « Je te lègue mon pouvoir de Roi car tu es le plus vaillant et le plus courageux d’entre nous. »

Lee jeune homme devint le Seigneur de Wismes.


Un combat a eu lieu par deux chevalier,l’un était Gill,il était musclé et charmant.

L’autre était Yvonus lui était plutôt l’inverse de Gill. Il était fin on voyait ces os.Gill voulait se venger de Yvonus car il l’avait trahie.Mais Yvonus ne sait pas laisser faire ! Ils avaient chacun un cheval, Will et Gronou. Ils avaient aussi des combattants pour les aider.


La bataille commença, tout le monde se prépara. Ils étaient tous près,les deux chevaliers commencèrent à s’avancer l’un vers l'autre.Gill commença à frapper Yvonus avec son épée. Tellement le coup était violent, les animaux pris par peur s'affolaient dans tous les sens. Yvonus ne respecta pas la règle et attaque le pauvre cheval de Gill. Les combattants commençaient eux aussi à attaquer. Gill tellement furieux que Yvonus enfreint la règle lui coupa des doigts. Le sang coule énormément, il hurle ! Yvonus ne se contrôle plus du tout et coupa le bras de son ennemie. Gill tomba par terre. Tous les deux ne se contrôlaient plus. Le cheval de Yvonus prit aussi peur et s’enfuit. Yvonus reprend sur lui et transperce son épée dans le ventre du dernier combattant de Gill. Sur le coup il mourra ! Il ne restait que les chevaliers. Gill se releva avec prudence et se précipita sur Yvonus et lui donna des terribles coups de pieds et coup de poids. Yvonus se défendait comme il pouvait, il essaya d’attaquer son ennemie mais celui-ci esquiva. Mais Gill trébucha, Yvonus prit le temps de lui couper la tête. Une fois au sol,le combat était terminé. Yvonus gagnait le combat.


En 1253, un chevalier nommé Gawain s'apprêtait à combattre contre son pire ennemi Hamlet qui lui avait fait une cicatrice énorme avec une lance quand il avait 5 ans... Aujourd’hui Gawain va prendre sa revanche. Le combat devait commencer a 16 heure et tous les habitants du village nommé Lutetia était invité à regarder le combat. Du plus jeune au plus âgé, tout le monde allait assister au combat acharnant des deux chevaliers ... Il était 15 heures 45 et le public entra dans l' arène pour assister au combat...

Les seigneurs et les dames très séduisantes dans leurs robes de couleurs vives prennent place dans les tribunes. Les enfants regardaient sous une grande tente les armes des chevaliers en attendant le combat : des boucliers immenses et décorés de lions et de licornes, des lances étincelantes, des épées avec des devises gravées sur la lame. Plus loin, des haches si lourdes qu'il fallait certainement être un géant pour les soulever.

Soudain, les hérauts chargés d'organiser les combats et les cérémonies sonnèrent de la trompette. Les deux chevaliers entrèrent dans l’arène . Ils avaient revêtu leurs lourdes armures. L'un deux

était très grand comme un géant. Ils étaient fiers sur leurs chevaux. Ils firent tous les deux un tour d'honneur en se tenant bien droits comme des piquets sur leurs destriers. Puis, le seigneur donna le signal de la première joute. Les armures brillaient au soleil. Les deux hommes rabattent leurs visières, et dressèrent fièrement leurs hautes lances vers le ciel. Ils poussèrent un grand cri comme des bêtes et foncèrent. A trente pas l'un de l'autre, ils pointèrent leurs lances. Le choc fut terrible. Un des deux chevaliers fut soulevé brusquement dans les airs et il retomba aussitôt assommé. Il se releva tout penaud et reprit le combat.Au premier assaut, leurs lances se brisèrent net sous les yeux des spectateurs ahuris qui ne perdaient pas une miette du combat. Ils mirent pied à terre et prirent leurs épées. Le plus petit s'élança vers son adversaire et le blessa au bras d'un coup d'épée. Son bouclier vola en mille morceaux. Alors, il se mit à genoux et demanda la grâce. Il avait tout perdu et se mit à pleurer et à s'excuser auprès de Gawain. Les deux ennemis se mirent debout et le public applaudit les deux futurs amis. Quelques années plus tard les deux chevaliers furent des compétitions et les gagnèrent. Il était maintenant les deux meilleurs chevaliers du pays... .

Le chevalier Artaïs n’avait pas mangé depuis 5 jours, il était dans les montagnes sacrées et chevauchait tranquillement son destrier, quand soudain, il vit une ville au loin. Notre héros décida de s’y arrêter pour se reposer. Cette cité était très calme et teintée de rouge.

Lorsqu’il y pénétra, il fut surpris de ne trouver personne dans les rues. Il se dirigea tout de même vers l’écurie pour que sa fidèle monture se repose. Quand il y entra, il vit un petit garçon avec les vêtements en lambeaux et qui était blessé. Il s’adressa à notre héros en ces termes :

«Bonjour messire chevalier, voyez vous un lion grand comme une maison s’est installé au centre de mon village et, lorsque nous avons voulu le chasser, il s’est jeté sur nous et a massacré tous les habitants sauf moi. Pourriez-vous le tuer s’il vous plaît ?

- Oui mais seulement demain après avoir pansé tes blessures t’être occupé de ma monture, lui répondit Artaïs.

- Vos désirs sont des ordres chevalier mais au fait comment vous appelez-vous? Je m’appelle Lulutin, déclara l’enfant .

- Je m’appelle Artaïs, lui déclara notre chevalier préféré »

Le lendemain, Artaïs partit à la recherche du lion. Il ne mit pas longtemps avant de le trouver. Lulutin n’avait pas menti, il était aussi grand qu’une maison et dormait tranquillement sur la place du village. Ses griffes étaient acérées comme des rasoirs, ses dents étaient monstrueuses et son pelage doré était si lisse qu’il brillait au soleil.

Notre héros se rue vers lui et lui plante son épée dans le flanc gauche. Le félin saigne à grosses gouttes et se réveille. Notre chevalier préféré tente de lui trancher la tête de son épée mais le lion pare son coup de ses griffes à une vitesse foudroyante et frappe le heaume de notre héros si fort que celui-ci se brise. Artaïs, sonné, ne voit pas le fauve foncer vers lui et pare son coup de patte au dernier instant avec son écu, ce dernier est projeté dans les airs et atterrit à plusieurs mètres de là. Le lion s’apprête à croquer la tête de notre chevalier lorsque ce dernier esquive les crocs en faisant une roulade et se retrouve derrière le lion auquel il coupe la tête d’un coup d’épée. Il la range dans son fourreau puis retourne voir Lulutin en titubant. Le petit garçon le soigne et Artaïs le prend comme écuyer. Par la suite, il leur arriva des centaines d’autres aventures.

C’était un après midi, tout le village était réuni sur la grande place et s’amusait. C’était un jour paisible, mais cela ne dura pas…


Vers 17 heures des rugissement retentirent, tous les habitants courraient jusqu’a chez eux. les meilleures chevaliers sont alors appelé à combattre.

A la limite de la ville il y avait d’horrible monstres, ils avaient un corps de lion et une queue de serpent. ils s’approchait du territoire mais l’armée était là et le combat commença.

Les chevaliers se ruaient sur les bêtes, leurs épées devant eux, le sang giclait de partout, des corps tombaient sur le sol.

L’un des chevalier se démarquait des autres. C’était le roi Charle, il était à cheval et tenait son épée, il était brave et intrépide. Il fonce vers l’animal qui est en face de lui et lui assène un coup si violent qu’avant même de comprendre quoique ce se soit la bête était morte. le roi se dirige alors vers le deuxième monstre mais celui ci lui arrache son bras le sang coule a flot, le chevalier vacille et manque de tomber mais revient à lui. Celui ci perforent l’œil de la bête sanguinaire elle hurle et alors les autres se précipitent pour l’aider.

Le combattant assène des coups plus violent les uns que les autres. Le sang coule de partout, il lui manque la moitié de son armure, l’une des bêtes lui arrache son haubert et l’autre lui brise son écu comme si il était en verre. mais le chevalier résiste et les tuent une par une jusqu’a ce qu’il n’y en reste plus aucune.

La bataille était alors fini, tous les chevaliers sont alors rentre chez eux et plus aucune bête ne revint jamais.

Cette histoire se passa il y a fort longtemps,dans une ville nommée CAMELOT où

avaient lieu des tournois de chevaliers.Le champion en titre nommé scorpion était invincible jusqu'à ce que sa fille se fit assassiner par le chevalier appelé spectre.Le scorpion apprit en plein tournoi que sa fille avait été tuée.Il s'empressa de trouer et de casser tous les heaumes et hauberts de ses adversaires.IL fut le vainqueur de ce tournoi et se mit à rechercher l’assassin de sa fille: il se promit que dès qu’il le trouverait,il l’affronterait et gagnerait sans aucune pitié.

Le spectre eut l’idée de se lancer dans les tournois pour finir ce qu’il avait commencé c’est à dire tuer le père de la fille qu’il avait assassinée auparavant.Mais,il ne savait pas que le Scorpion avait arrêté les tournois.

Un beau jour, le Spectre alla voir le Scorpion pour lui annoncer que c’était lui le meurtrier de sa fille. C’est alors que les deux adversaires se défièrent : ils s’élancent l’un contre l’autre et tombent tous les deux dans un bruit fracassant. Le Scorpion réussit à se soustraire de l’emprise du Spectre en le poussant et se relève. Il se retourne sur son adversaire et avec l’épée le frappe sur les flancs d’un coup si violent que l’air en retentit. Le Spectre en rampant essaie de riposter mais du sang coule comme de la sauce tomate : on voit des mares de sang sur le sol. Son haubert est cabossé tellement le combat est violent ! Dans un dernier sursaut, le Spectre surprend le Scorpion en fonçant sur lui pour lui donner un dernier coup mais celui-ci, grâce à sa dextérité, l’esquive et en profite pour lui couper la tête d’où la cercelle jaillit...

Sire Scorpion revint victorieux, la tête du Spectre plantée sur un pieu.

C’est l’histoire d’un chevalier nommé Alés, adoubé au Moyen-Age comme son ennemi Ejteboust. Ils se connaissaient depuis leurs 11 ans. A l’école, Ejteboust, surnommé « le harceleur », harcelait le petit Alés. Ils voulaient tous deux être chevalier, mais ni l’un ni l’autre ne s’entendaient bien. C’était la guerre ! Ejteboust harcelait Alés à cause de sa taille et de son poids. Malis, l’ami d’Alés le défendait tout le temps, mais le petit n’avait point supporté les insultes lancées par son harceleur. Il avait donc décidé de partir loin de cette école pour ne plus avoir de problème et subir les moqueries de son ennemi.


Dix-sept ans plus tard, ils se retrouvèrent et décidèrent d’organiser un combat. Alés n’avait qu’une seule envie, se venger et terrasser son ennemi. Il n’avait rien oublié de ces années d’humiliation.

Ils arrivèrent sur place, tous deux étaient déterminés et avaient envie d’emporter ce combat tant attendu par les autres chevaliers. Ejteboust n’avait pas changé, il était fort, grand et déterminé.

Le combat débuta, Alés était tendu et avait peur. Il s’était pourtant transformé depuis dix-sept ans. Il était devenu grand et musclé. Son regard déterminé il s’élança vers Ejteboust et dit « un chevalier n’a peur de rien ». Ejteboust avec sa lance s’avance vers Alés pour toucher son écu et essayer de le désarçonner. Alés maitrise très bien son cheval et le combat. Il arriva au galop vers son ennemi et heurta sa genouillère. Il perdit son écu. Fier Ejteboust le ramassa et le jeta hors de la zone de combat. Sans celui-ci Alés était désarmé et apeuré.

Une personne s’approcha de la zone de combat avec un glaive sur lui. C’était son ami d’enfance Malis toujours présent dans la difficulté après tant d’année. Malis participa au combat au coté de son ami. Ejteboust semblait perdre confiance en lui et Matis voulait venger Alés de toutes ces années d’humiliation. Malis interpelle Ejteboust « Alors vient, bat toi comme un vrai chevalier si tu oses, tu n’es ni loyal, ni courageux. ! Tu n’as aucune qualité de chevalier ». Les deux amis entourèrent Ejteboust, Alés utilisa sa hache et tapa de toute ses forces sur son ennemi. Il tomba au sol et ne bougeait plus. Peut-être faisait-il semblant d’être blessé ou mort ? Il était très malin. Les deux amis se regardèrent et ne voulaient pas se faire avoir. Ils l’achevèrent en lui coupant la tête.

La vengeance semblait acquise pour les deux hommes. Pour fêter cela, les deux amis emmenèrent le corps d’Ejteboust chez les parents d’Alés.



Rédaction de combat de chevalerie


Un jour, dans la seigneurie d’Hamlet, le roi mourut d’une blessure infligée par Babcock, le chevalier rouge, c’était le plus grand méchant qu’on eut jamais connu. Un grand conflit éclata pour savoir qui allait hériter de son épée et de son bébé dragon et aller combattre le chevalier rouge pour la succession du royaume. Tous les chevaliers de la seigneurie voulaient participer au tournoi et tous y participèrent.

Le jour venu, le tournoi fut serré mais l’on désigna deux chevaliers, Armin et Bertolt pour savoir qui allait gagner et qui allait perdre ? L’arène où allait se passer le combat était pleine à craquer et les chevaliers étaient acclamés de tous les côtés. Bertolt dit à Armin :

  • Bonne chance et que le meilleur gagne.
  • Merci, bonne chance à toi aussi, répondit Armin.

Et le combat commença…la bataille entre les deux chevaliers était très serrée, les deux se regardèrent avec détermination et puissance. On aurait cru voir deux lions en cage. Les coups d’épée résonnaient dans toute l’arène et les armes des deux combattants s’usaient petit à petit.

Les deux chevaliers se frappent et se défendent, ils fatiguent petit à petit. A un moment dans le combat, Armin se déconcentra une demi-seconde et cela suffit à Bertolt pour lui couper la main. Le chevalier gémit d’une telle façon que toute l’arène se tut. Certaines personnes insultaient Bertolt car Armin était leur préféré, d’autre encourageaient Bertolt pour tuer Armin.

Armin se releva lentement, un peu sonné, il dit à Bertolt :

  • Je ne suis pas passé loin de mourir, mais je suis debout alors continuons le combat et que le meilleur gagne.

Bertolt était choqué de la ténacité d’Armin, il pensait déjà gagner, mais Armin est un chevalier. Le combat repris et malgré sa blessure, Armin eu tellement de confiance qu’il commençait à prendre le dessus sur Bertolt qui ne pouvait rien faire face à une telle agilité à manier l’épée. Bertolt s’écarta d’Armin pour reprendre son souffle, mais Armin ne lâcha pas l’affaire et se jeta sur Bertolt. Il s’acharne sur son adversaire, lui plante son arme dans tout le corps. Bertolt est immobilisé mais persévère et reste sur pied, le public voit qu’Armin prend le dessus. Bertolt donne le tout pour le tout et essaie de trancher la tête d’Armin qui s’écarte à une demi-seconde près et malgré tous ses efforts… Bertolt se fit trancher la tête par Armin.

Armin, tout content, lève son épée et crie :

  • J’ai gagné, j’ai vaincu Bertolt !

Armin était très content de sa victoire contre Bertolt. Il allait donc combattre le chevalier rouge.



Un preux chevalier, fort et courageux nommé Andragorre. Il avait obtenu ses exceptionnelles qualités depuis la mort de son père. Le tueur de son père n'était autre que son ennemi numéro un, on le surnommait " Félix le Terrible". Il était fourbe, malhonnête, méchant et sans pitié. Alors, quand nôtre gentil Chevalier reçut une lettre de sa part l'invitant à se battre.... Il était déterminé à le combattre !!!



C'était un jour sombre, les oiseaux s'agitaient dans les airs, mais c'était surtout le jour du combat. Andragorre l'attendait pour l'attaquer seul. Il entendit un bruit, saisi son épée et se préparera à affronter le chevalier fourbe.


Il prit peur quand son ennemi arriva avec des alliés. Le valeureux guerrier pensa au départ à s'enfuir mais il remarqua que mis à part Félix, les autres adversaires n'étaient pas des chevaliers. Le combat fut donc horrible, le sang giclait de partout, il y avait des lambeaux de vêtements déchirés et l'on trouva rapidement une pile de morts qui se composait de tous les renforts du Terrible, qui lui il n'avait pas bougé d'un pouce. Notre courageux combattant voulant venger son père, était posé sous un abri face à l'adversaire. C'est ici que le combat seul à seul commença. Le féroce tueur es plus imposant, il se met à lancer les épées sur les chevaux qui s'enfuient directement. Il a enfreint le code d'honneur ! Le héros se rue sur lui. La force qu'il porte dans ses coups fend le heaume de son ennemi et déchiquète son haubert. Le traître ôte son casque et…c'est le moment ; avec sa jambière, il donne un coup mais l'immense force de l'horrible personne qui le reçoit est ressenti. Il le fait quand même tomber de sa monture car le meurtrier ne s'est pas encore remis de la dernière attaque.


On le voit, posé sur le sol, la tête qui saigne. L'homme sans fierté ressent comme la mort arrivée. C'est à ce moment précis que la lance adversaire transperce l'armure brillante de Félix. Andragorre réalisa à cet instant que son " puissant" adversaire, n'était pas si fort que ce qu'il imaginait.

Un beau matin un chevalier arriva près d’une maison, il s’arrêta et parla à un homme. Il lui dit qu’il va être arrêté pour ces meurtres. Mais, l’homme ne se laissa pas faire, il prit une hache et attaqua le chevalier. Son cheval tomba par terre et lui avec, sa femme le regarda avec peur. Au même moment des chevaliers chassaient un animal pour le banquet du roi et reine. A cotée de leur maison un cadavre brule pour maquiller un de ses meurtres. Les deux chasseurs ont vu le crime, ils viennent arrêter le criminel mais, l’homme fuit. Sa femme tomba en pleure.

C'est l'histoire d'un clan qui s’appelait Tsachibi.

Ce clan avait un roi qui s'est nommé Sachibu, il était tout sauf gentil, il dirigeait le clan avec méchanceté. Si quelqu'un faisait mal quelque chose il la battait à coup d'épée. C'était un grand chevalier, il avait aussi des sous-chefs.

5 ans plus tard pendant que le grand chevalier d'or met tout son clan s'étaient regroupés pour essayer de tuer Sachibu, mais les sous-chefs n'étaient pas d'accord. Ils sont directement allés prévenir le chef mais à son retour tout son clan était parti.

Plusieurs heures après que le clan soit parti ils revinrent tous. Une guerre se déclencha, tous étaient équipés d'armures, de lances et d’écu.

Son clan voulait le tuer.

Sachibu place à des archers en haut du Royaume pour tous les tuer. Ils étaient des centaines alors que le gros chevalier était à peine une trentaine et à ce moment la guerre commença.

Tout le monde était mort sauf Sachibu le grand chevalier et Saki, celui qui était le plus maltraité dans le clan il était devenu très fort et la rage lui envahissait.

Avant qu'ils se battent ils commencèrent à s'insulter, puis ils commencèrent à se battre.

Il se battait tellement fort qu'il perdait tous les deux leur armure, Sachibu lui donna un coup d'épée et Saki l'a para, et d'un coup il s'était rué sur le grand chevalier et avait réussi à le blesser.

Sachibu avait perdu beaucoup de sang, malgré cela ils continuèrent à se battre, les deux étaient très blessés, et surtout au ventre, le sang giclait de partout.

Ils étaient en train de se reposer quand tout à coup Saki s’élança sur Sachibu et enfonça son épée dans son ventre, il y avait du sang partout !!

Sachibu était au sol en train d'agoniser puis Saki l'a battu pour ne plus qu'il souffre.

Le sang giclait de partout et Saki perdu beaucoup de sang

Mais Saki l’avait battu.

Moi Walter je dois me battre pour ramener la fille du seigneur X-Dore de Camargue car je veux sa main.


Les ennemis arrivent par la mer sur d’énormes pirogues de bois . Bientôt, ils accostent sur les plages de Camargue. Moi Walter le Sauvage, fils de Peter la Terreur et Isa la Sympa, je ferai tout pour ramener cette fille car je l’aime plus que tout au monde. Je suis seul, il est 3 heures de l’après midi précises, mais soudain, j’entends de gros bruits et vois à l’horizon des pirogues. Ils clamaient des chants de guerre. J’allais être confronté à Wy le Fantôme, grand chevalier très connu. Fils de Henry 3 de Suisse qu’on surnommait Gaspard la barre. Wy arrivait chargé d’une épée très aiguisée, moi j’avais en ma possession un arc et cinq flèches. Le combat peut débuter, tout est prêt. Wy se rue sur moi j’esquive de justesse son coup. A mon tour je lance une flèche sur l’un des deux soldats à ses cotés, j’en touche un! L’autre pris de panique part en courant et détale à toutes jambes. Wy se retrouvant seul prend peur et commence à donner des coups n’importe où n’importe comment alors je prends mon arc et le vise quand soudain... un de ses soldats arrive et essaye de me tuer à coup d’épée. Je fonds sur lui et le tue, grâce aux point cardinaux. Je reprends ma cible et tire. La flèche arrive dans sa poitrine. Il sait que je l’ai blessé mortellement et que dans 15 minutes, il sera vidé de tout son sang. Alors il prend son épée et me fonce dessus. Il prend tous les risques possible car il sait qu’il va forcement mourir. A un moment, à bout de force, il tombe raide mort. J’ai gagné je vais pouvoir épouser la fille du seigneur X-Dore de Camargue. Alors je m’exclame « c’est le plus beau jour de ma vie ».

Il y a fort longtemps le chevalier Wy trahi Huffie pour aller dans la tribu ennemie.

Le conquérant de l'hiver voulut donc sa revanche et lui donna rendez-vous dans un village abandonné pour se battre.

Le combattant a donc en face de lui une brute aussi forte et imposante qu'un chevalier, ce n'est pas pour autant que l'homme de la glace prend peur.

Les deux s'élancent sur leurs montures très imposantes et assénèrent un énorme coup ce qui fait des étincelles contre les deux épées.

Huffie pare le coup donner par la brute puis prend sa lance qui tombe sur le heaume de son adversaire qui se brise ce qui démolit le lourd casque de son ennemie, déterminer à se venger il jette un coup dans les éperons du chevalier de la ville de neige, enragé il abat son ennemi à terre mais il se releva

même si le coup était très fort mais il se refit plaqué et lui brise la côte avec son écu, collé au sol et plein de sang il lui prie de le laisser en vie le guerrier accepta de le laisser en vie.

Au moyen-âge des chevaliers nommé Christie et le chevalier de l'hiver Roallt. S'étaient provoqués en duel. Le chevalier Christie avait volé les terres du chevalier Roallt. L'archet était un serviteur de Roallt et il avait décidé de l'aider dans la reconquête de ses terres.

Le chevalier Christie équipé de sa lance s'est jeté avec pugnacité sur Roallt. Lui pare tous ses coups malgré son armure et son heaume abîmés. Christie provoque Roallt avec son étalon et sa lance pour l'assomer. Roallt réagit aux coups lancés par Christie, et lui cria "Je n'abandonnerais pas !". Le chevalier Christie par fierté ne souhaite pas abandonner ce combat. Il a relancé à coup d'éperons son fidèle destrier pour une joute encore plus violente. Roallt éperonne à son tour son cheval et assène le coup fatal à son adversaire, sa lance transperce l'haubert de Christie pour finir sa course en plein cœur. Après avoir retiré la lame de son haubert le sang gicla de son haubert.

En parallèle l'archer tentait d'éviter l'huile chaude jetée du haut du Donjon par par les deux soldats de Christie. La dextérité de l'archer lui a permis de vaincre les deux soldats nichés dans le Donjon.

Le chevalier Roallt triomphe de ce combat sanglant avec une jambière amochée et son heaume détériorisé, son abnégation et sa ténacité ont eu raison du malin Christie.

Rédaction Français:

Son sourire


Je m'apprêtais à i mètre le fourbe oiseaux . Ma peur et mon désespoir s'évaporais et laissait place à l'impassience de revoir mon amoureux qui devait sûrement m'attendre malade dans son lit de mort . J'entendis derrière moi des bruits de gravier et de caillou retombant sur le sol. Ils semblais se rapprocher de moi . C'est bruit qui semblais être des pats avaient l'air de s'accélérer. Je me retourna et il arracha de mes mains désormais moites le piètre oiseaux. Nous nous regardâmes pendant plusieurs secondes et il laissait paraitre sur le bas de son visage ,un sourire narquois discret au coin de ces lèvres. Nous nous échangeâmes un long regard noir, tout les deux remplis de haine. Il avait les yeux noirs, les cheveux sombres et mattes ainsi que des cernes qui se dessinaient sous ses yeux fatigués .Les villageois ,intriguer, commanssaient à se rapprocher jusqu'à former un cercle autour de nous. Certains était choqué de voir une femme dévisager un des plus grands chevaliers de la cour du roi de Bretagne et d'autres de voir une "simple femmelette" dans un accoutrement de chevalier , celui de mon chevalier ; celui de mon homme... Et tout ça pour un simple piaf à leur yeux. Seulement pour moi c'était la seul chose pouvant encore le sauvé... Je retiras alors son épée de son écu qui étais maintenant la mienne, et la brandit vert lui comme pour le montrer du doit .Je pris alors la parole:

-"Es tu sur de vouloir te mesurer à moi" dis-je sur de moi

-" Cet oiseau est déformait miens pour le reprendre il te faudra me passé sur le corps" me dit il d'une voix très calme

-" Je n'hésiterais pas une seconde car les minutes me sont compté!" Lui répondis-je en le foudroyant du regard

Juste après lui avoir craché ma phrase à la figure je me ruas sur lui ne lui laissant pas le temps de prendre son arme pour venir lui asséner un coup digne de filme d'action .Mais je devais m'en douté... C'est un chevalier doué je ne suis qu'une pauvre fillette voulant sauvé son prince charmant...Il esquivât mon coup avec une agilité sans pareille que je ne vit son coup arrivé . Heureusement mon haubert me protégea la cote qu'il avait tenté de toucher, malheureusement sa lame réussie a contourner se petit problème pour venir faire un petit trou qui servit empellement à ça lame pour m'entailler la hanche. Je reculas de deux pats avent de recourir en sa direction . A presque un centimètre de son visage je m'accroupis pour glisser sous ses jambes et lui porter une attaque qui aurait pus être fatale pour sa jambe droite mais la blessure que mon ennemie m'avait "gentiment fait" commençais à me bruler la peaux .

-" qu'a tu mis sur ta maudite épée!!?" Dis-je d'un ton paniqué.

Il ne me répondit pas et me bouscula avec son épaule musclé. Je tombât en arrière sur le sol dur et rocheux. Mon épée tombât deux mètre plus loin à coté du feu que j'avais soigneusement préparé avant la bataille .Il pausât son pieds de titan sur mon cœur, puis sur mon cou. Il tenta de m'étouffer en appuyant sur ma gorge. Il allait m'étouffer... J'allais vraiment i rester... Je n'ai même pas put le sauver... Soudain je vis ma vie défilé tous ses moment en ça compagnie. Je revit le jour ou nous nous sommes rencontrer ,le jour ou il m'a fait rire pour la première fois... Nan... Je veux encore voir son doux sourire...

Dans un élan de rage je pris mon épée qui se trouvait pas très loin avec difficulté. Je mis le métal de mon arme dans les braise rouge vif jusqu'à se quelle devienne de la même couleur. Je souris à mon agresseur et lui trancha la tête, elle se trouvais seulement a un millimètre mais sa main empêchais la lame de si loger. Je poussa un crie de fureur et une grande vague de force semblais parquourir mon corps il ne fit que quelque seconde pour lui guillotiner la nuque. Les villageois crièrent tous en cœur d'effroi en voyant la tête de mon ennemie rouler sur les pierres. Je pris sa tête par les cheveux en la pointant verre le ciel et cria des dernière force qui m'abritait:

-"Quiconque ose toucher à cet oiseaux se retrouva dans le même état que se chevalier"

Je regardais sur son armure c'était bien lui... Ringhan...

-" Enflure..." Dis-je très bas


BONUS:

(Casselia est une princesse, la 7ème princesse de sa famille et donc la dernière. Peut de personne lui accorde de l'attention ou encore de l'importance. C'est une jeune fille malheureuse jusqu'au jour ou elle rencontre Matsuno le chevalier charger de la surveiller pendant une excursion dans un marché dans le village voisin peut a peut les deux individus apprennent à se connaitre il ait même le premier à la faire rire et sourire depuis longtemps ils tombent peut à peut amoureux l'un de l'autre. C'est alors qu'un amour interdit commence entre les deux amoureux. Malheureusement une terrible tragédie se produis entre les murs du grand château de la jeune femme , Matsuno sous son nom de chevaliers et poignardé en plein cœur; seul l'amoure le tient entre la vie et la mort.Casselia est bouleverser par cette nouvelle et cherche à tout pris une solution pour soigné son doux chevalier. Elle lis dans un livre que la seule façon de réparer un cœur trancher par une dague maudite est de donner au soufrant un élixir constitué d'un oiseaux rare nommé "l'oiseaux perdu" ne se trouvant que dans l'extrême nord du pays. Elle est prête à tout pour lui car sont sourire lui manque plus que tous.Son sourire...)






Le célèbre chevalier de renommé mondiale nommé Azur se prépara au combat pour défier l’impossible, le géant de Camelote. Cette créature hantait les habitants de ce royaume. Sa nourriture faite à base d’humains écoeurait les habitants qui sentaient cette odeur tous les matins. Il était si grand qu’il devait vivre dans une grotte en-dessous de Camelote.


Azul, confiant, se rendit à Camelote. Stupéfait, il constata que le royaume était comme mort, vide et désert. Il avança et commença à apercevoir une montagne de cadavres avec une bête au sommet de la pile. Sans doute le géant. Le chevalier marcha doucement autour de lui, mais il heurta un caillou. Le géant se réveilla et frappa le sol d’une puissance inouïe. Le chevalier horrifié découvre l’immense monstre se lever. Ses dents étaient tranchantes comme une lame et on pouvait y voir le reste des cadavres entre celles-ci.


C’est alors que commence le combat. Azul prend son épée et saute de toutes ses forces pour atteindre la nuque du monstre, son seul point faible. Le géant pare l’attaque et plaque au sol notre héros. Celui-ci se relève vaillant et noble et profite de l’occasion pour couper la main droite de la bête qui agonise de douleurs et de souffrances. Furieux, le monstre déracine un arbre et frappe plusieurs fois le sol essayant de toucher Azul. C’est alors que notre vaillant chevalier retrouve force et vivacité pour contre attaquer l’adversaire et lui enfourcher son épée et travers ses côtés et son intestin. La bête gémit et est allongée au sol. Le héros monte sur celle-ci et déclenche le coup de grâce. Il s’empare de son épée et la plante directement dans la nuque de la bête laissant entendre les craquements d’os et apercevoir le sang giclé comme une éruption. C’était fini, le chevalier avait accompli sa tâche, tuer le géant.