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Venez découvrir les lieux et les personnes qui ont contribué au développement de l'aviation dans notre département.

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Histoire de l'aviation dans l'Essonne

  • Athis
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  • Bretigny
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C'est parti !

Bienvenue en Essonne

L'Essonne est un département où l'aviation revêt une importance historique.

Embarquement immédiat !

CREDITS

Photos :

  • Le groupe Culture Humaniste et Citoyenneté remercie la famille SALIS pour l'autorisation d'utiliser les photos d'avions présentes sur le site du musée volant Salis de Cerny - La Ferté-Alais.
  • Wikipédia
  • Pixabay
  • Intercarto : conception de fonds de cartes
  • Géoportail
  • Air Journal
  • Musée de l'air et de l'espace
  • Savoirs.essonne.fr
Articles : Athis-Mons, l'aile delta : La Libre.com (journal belge en ligne) Les frères Moreau : http://www.lyc-moreau-quincy.ac-versailles.fr/le-lycee/histoire-freres-moreau/ et Musée de l'aviation Melun-Villaroche Port-Aviation : https://fr.wikipedia.org/wiki/Port-Aviation Cerny - La Ferté-Alais : musée volant Salis de Cerny - La Ferté-Alais Brétigny-sur-Orge CEV : Air Journal ; Essonne.fr ; INA ; INA ; Le Monde Montgeron : Le Parisien Palaiseau : TV78, la chaîne des Yvelines Étampes : Wikipédia ; Le Parisien

Comment ça fonctionne !

Avant de commencer, nous vous proposons de replacer les noms des villes de l'Essonne dans le cadre gris qui leur correspond.

direction la piste de décollage

Si la ville est bien placée, une icone verte apparait.

Sinon, rien ne se passe.

Quand elles ont toutes été correctement placées, un bouton "c'est parti !" apparait et vous accédez aux missions.

Pour en choisir une, vous pouvez passer la souris sur la balise pour savoir de quelle ville il s'agit, puis cliquer sur l'avion qui disparaitra une fois la

mission terminée. Vous aller pouvoir réaliser toutes les missions qui vous intéressent. Si vous avez accompli toutes les missions, il n' y a plus d'avions et un message de réussite s'affiche.

Vous retrouverez un rappel de ces instructions et d'autres encore dans les missions qui le nécessite.

Comment ça fonctionne !

Avant de commencer, nous vous proposons de replacer les noms des villes de l'Essonne dans le cadre gris qui leur correspond.

direction la piste de décollage

Si la ville est bien placée, une icone verte apparait.

INSTRUCTIONS

Sinon, rien ne se passe.

Quand elles ont toutes été correctement placées, un bouton "c'est parti !" apparait et vous accédez aux missions.

Pour en choisir une, vous pouvez passer la souris sur la balise pour savoir de quelle ville il s'agit, puis cliquer sur l'avion qui disparaitra une fois la

mission terminée. Vous aller pouvoir réaliser toutes les missions qui vous intéressent. Si vous avez accompli toutes les missions, il n' y a plus d'avions et un message de réussite s'affiche.

Vous retrouverez un rappel de ces instructions et d'autres encore dans les missions qui le nécessite.

Dans "les villes de l'Essonne" : - replacer les noms des villes de l'Essonne dans le cadre gris qui leur correspond sur la carte en cliquer/déplacer. - Si la ville est correctement placée, une icône verte apparait. - sinon, rien ne se passe. Dans "le sommaire", - passer la souris sur la balise pour connaitre le nom de la ville. - cliquer sur l'avion rouge pour commencer la mission. Quand elle est terminée, l'avion disparaît. - Si toutes les missions sont terminées, il n'y a plus d'avions et un message de réussite s'affiche. Dans la mission "Etampes", Vous allez devoir écouter une bande son , puis replacer différentes étiquettes : - les villes sur les cadres rouges , - les drapeaux sur les carrés gris , - l'heure sur le cadre gris. A chaque fois qu'un élément est bien placé, une coche verte apparait. Si ce n'est pas le cas, c'est que la réponse n'est pas bonne. Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris. Dans la mission "Athis", - trier les images d'avions et cliquer sur le rond bleu en bas à droite pour vérifier vos réponses, s'il y a des erreurs vous pouvez modifier vos choix et cliquer à nouveau sur le bouton bleu jusqu'à ce que ce soit correct. - répondre à la question dans le cadre blanc et cliquer sur valider si la réponse est correcte, le bouton pour retourner au sommaire apparait, sinon la réponse s'écrit en rouge et l’icône apparait. - retaper la nouvelle réponse et cliquer sur valider à nouveau pour vérifier. - cliquer sur le bouton "sommaire" pour retourner au sommaire et accéder à une autre mission. Dans la mission "Viry-Châtillon", - lire le texte puis accéder à la mission par cette flèche. - lire le problème, le résoudre et entrer votre réponse. Si le chiffre est bon, une étoile apparait sur le cadran, sinon vous êtes redirigé vers une page "essaie encore !". Il vous suffit alors de cliquer sur la flèche retour pour reprendre là où vous vous êtes trompés. ATTENTION, n'allez pas trop vite pour entrer les 2 chiffres ! - une fois votre réponse entrée, cliquer sur le bouton OK de la calculatrice. - cliquer sur pour retourner au sommaire et continuer vos missions. Dans la mission "Quincy-sous-Sénart", - lire le texte puis accéder à la mission par cette flèche. - faire le mot croisé en cliquant tout d’abord sur OK, puis cliquer sur la colonne ou la ligne que vous souhaitez, lire la définition et écrire votre réponse à l'aide du clavier puis appuyer sur ENTREE. Passer à un autre mot et faire de même. - Quand vous avez terminé, cliquer sur le rond bleu en bas à droite pour vérifier vos réponses. S'il y a des erreurs, corriger et cliquer à nouveau sur le bouton bleu jusqu'à ce que ce soit correct. . - écrire le mot demandé dans le cadre blanc et cliquer sur valider si la réponse est correcte, le bouton pour retourner au sommaire apparait, sinon la réponse s'écrit en rouge et l’icône apparait. - retaper la nouvelle réponse et cliquer sur valider à nouveau pour vérifier. - cliquer sur le bouton "sommaire" pour retourner au sommaire et accéder à une autre mission. Dans la mission "Bretigny-sur-Orge", - lire la consigne, puis cliquer sur la flèche . - prendre les indices sur les boutons + et ensuite placer les photos au bon endroit. Si une photo est bien placée, une icône verte et remplace le croix . ATTENTION pour 1960-1980, les 2 photos doivent être placées pour que le remplacement ait lieu. - Quand toutes les photos sont bien placées, un message de réussite apparait, il suffit de cliquer dessus pour retourner au sommaire et continuer les autres missions. Dans la mission "Cerny/La Ferté-Alais", - aller visiter le site du musée de la famille Salis, prenez les informations sur les différents avions dont on parle et retourner sur le Genially, faire le mémory. - associer photo et titre. - Quand c'est terminé, un message s'affiche. Écrire le mot demandé dans le cadre blanc et cliquer sur valider si la réponse est correcte, le bouton pour retourner au sommaire apparait, sinon la réponse s'écrit en rouge et l’icône apparait. - retaper la nouvelle réponse et cliquer sur valider à nouveau pour vérifier. - cliquer sur le bouton "sommaire" pour retourner au sommaire et accéder à une autre mission.

Au cours de ce parcours, vous allez vous déplacer dans le département de l'Essonne, sauriez-vous replacer les villes suivantes ? Aidez-vous de la carte en bas à gauche

LES VILLES DE L'ESSONNE

INSTRUCTIONS

C'est parti

Athis-mons

Brétigny

éTAMPES

LA FERTé-alais

Montgeron

palaiseau

Quincy-sous-sénart

Viry-chatillon

Dans "les villes de l'Essonne" : - replacer les noms des villes de l'Essonne dans le cadre gris qui leur correspond sur la carte en cliquer/déplacer. - Si la ville est correctement placée, une icône verte apparait. - sinon, rien ne se passe.

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Sur votre page d'accueil

Sur la page du sommaire par exemple

Sur chaque page

ajouter un message en cas de réussite de toutes les missions et une jauge d'avancement

Comment ça fonctionne !

Vous aller pouvoir réaliser toutes les missions qui vous intéressent.Lorque l'une d'elle est terminée, l'aviondisparait.Si vous avez fait toutes les missions, il n' y a plus d'avions et un message de réussite s'affiche.

direction la piste de décollage

INSTRUCTIONS

Dans le sommaire, - passer la souris sur la balise pour connaitre le nom de la ville. - cliquer sur l'avion rouge pour commencer la mission. Quand elle est terminée, l'avion disparaît. -

Parcours libre

Parcours dirigé

Passez sur les balises pour savoir de quelle ville il s'agit puis cliquez sur l'avion pour découvrir le lieu

Sommaire

INSTRUCTIONS

  • Palaiseau
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  • Montgeron
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  • avancement
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  • 8

  • Viry
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  • Etampes
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  • Cerny
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  • Bretigny
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ETAMPES

CERNYLA FERTE-ALAIS

BRETIGNY-SUR-ORGE

VIRY-CHÂTILLON

QUINCY-SOUS-SENART

MONTGERON

ATHIS-MONS

PALAISEAU

Dans "le sommaire", - passer la souris sur la balise pour connaitre le nom de la ville. - cliquer sur l'avion rouge pour commencer la mission. Quand elle est terminée, l'avion disparaît. - Si toutes les missions sont terminées, il n'y a plus d'avions et un message de réussite s'affiche.

Pour cette escale, vous devrez visionner le document vidéo de la page suivante puis répondre aux questions. Vous retrouverez le document sur chaque page si vous souhaitez le revoir.

PALAISEAU

ETAMPES

CERNYLA FERTE-ALAIS

BRETIGNY

VIRY-CHÂTILLON

QUINCY-SOUS-SENART

MONTGERON

ATHIS-MONS

PALAISEAU

PALAISEAU

ETAMPES

A quoi sert le radar de l'aviation civile ?

1/4

PALAISEAU

à faire des contrôles de vitesse

INSTRUCTIONS

à guider les avions vers les aéroports

à repérer les manifestants CONTRE LE PROJET

Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris.

BRAVO

PALAISEAU

suivant

Essaie encore !

Quel est son rayon d'action ?

2/4

PALAISEAU

30 km

INSTRUCTIONS

300 km

3 000 km

Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris.

BRAVO

PALAISEAU

suivant

Quelle est la hauteur de la tour ?

3/4

PALAISEAU

INSTRUCTIONS

66 m

66 km

66 mm

Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris.

BRAVO

PALAISEAU

suivant

Combien d'avions peut-il suivre simultanément ?

4/4

PALAISEAU

INSTRUCTIONS

80 000

8 000

800

Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris.

BRAVOmission réussie

  • Palaiseau
  • =
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  • avancement
  • +
  • 1

PALAISEAU

SOMMAIRE

L’inventeur de l’aile Delta, Nicolas-Roland Payen, 87 ans, qui a assisté mercredi à l’envol de Concorde depuis l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, reste fasciné par le supersonique, dont il se considère comme le grand-père. Depuis la vigie des pompiers où il avait pris place une heure avant le décollage, il revient sur le parcours qui l’a mené à inventer cette aile équipant aujourd’hui les avions les plus rapides au monde, des chasseurs de type Mirage ou F16 aux appareils civils tels que Concorde. Né le 2 février 1914 à Athis-Mons (Essonne), c’est à l’aube des années 30 que M. Payen devient ingénieur aéronautique après son passage à l’Ecole supérieure d’aviation où il s’initie au dessin industriel. Embauché au bureau d’études d’Athis-Mons en 1930, il dépose dès l’année suivante le premier brevet d’un avion à aile Delta, dénommée ainsi en raison de sa forme triangulaire, semblable à la lettre grecque delta (Δ).

INSTRUCTIONS

ATHIS-MONS

L'inventeur de l’aile Delta, toujours fou de Concorde Publié le 06-11-2001 à 00h00 dans La Libre (journal belge en ligne)

https://www.essonnetourisme.com/p/musee-delta/

Dans la mission "Athis-Mons", - trier les images d'avions et cliquer sur le rond bleu en bas à droite pour vérifier vos réponses, s'il y a des erreurs vous pouvez modifier vos choix et cliquer à nouveau sur le bouton bleu jusqu'à ce que ce soit correct. - répondre à la question dans le cadre blanc et cliquer sur valider si la réponse est correcte, le bouton pour retourner au sommaire apparait, sinon la réponse s'écrit en rouge et l’icône apparait. - retaper la nouvelle réponse et cliquer sur valider à nouveau pour vérifier. - cliquer sur le bouton "sommaire" pour retourner au sommaire et accéder à une autre mission.

  • Athis
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  • cache

  • avancement
  • +
  • 1

ATHIS-MONS

INSTRUCTIONS

Saurez-vous reconnaître les avions à aile delta ? N'oubliez pas de valider !

Combien y a-t-il d'avions à aile delta dans l'exercice :

VALIDER

L'inventeur de l’aile Delta, toujours fou de Concorde Publié le 06-11-2001 à 00h00 dans La Libre (journal belge en ligne) L’inventeur de l’aile Delta, Nicolas-Roland Payen, 87 ans, qui a assisté mercredi à l’envol de Concorde depuis l’aéroport de Roissy-Charles de Gaulle, reste fasciné par le supersonique, dont il se considère comme le grand-père. Depuis la vigie des pompiers où il avait pris place une heure avant le décollage, il revient sur le parcours qui l’a mené à inventer cette aile équipant aujourd’hui les avions les plus rapides au monde, des chasseurs de type Mirage ou F16 aux appareils civils tels que Concorde. Né le 2 février 1914 à Athis-Mons (Essonne), c’est à l’aube des années 30 que M. Payen devient ingénieur aéronautique après son passage à l’Ecole supérieure d’aviation où il s’initie au dessin industriel. Embauché au bureau d’études d’Athis-Mons en 1930, il dépose dès l’année suivante le premier brevet d’un avion à aile Delta, dénommée ainsi en raison de sa forme triangulaire, semblable à la lettre grecque delta (Δ). Exemples d’ailes delta :

Dans la mission "Athis-Mons", - trier les images d'avions et cliquer sur le rond bleu en bas à droite pour vérifier vos réponses, s'il y a des erreurs vous pouvez modifier vos choix et cliquer à nouveau sur le bouton bleu jusqu'à ce que ce soit correct. - répondre à la question dans le cadre blanc et cliquer sur valider si la réponse est correcte, le bouton pour retourner au sommaire apparait, sinon la réponse s'écrit en rouge et l’icône apparait. - retaper la nouvelle réponse et cliquer sur valider à nouveau pour vérifier. - cliquer sur le bouton "sommaire" pour retourner au sommaire et accéder à une autre mission.

Pour cette escale, vous devrez lire le document ci-dessous puis répondre aux questions. Vous retrouverez le document sur chaque page si vous souhaitez le relire.

MONTGERON

ETAMPES

CERNYLA FERTE-ALAIS

BRETIGNY

VIRY-CHÂTILLON

QUINCY-SOUS-SENART

MONTGERON

ATHIS-MONS

PALAISEAU

Montgeron : ce passionné d’histoire recevra la petite-fille du copilote de l’avion écrasé en 1945 Jérôme Leblanc est membre d’une association nationale qui a pour but de préserver la mémoire de la période 39-45. Il espère pouvoir ériger une stèle plus officielle que celle installée en forêt en hommage aux deux pilotes américains accidentés. Montgeron, le 18 juin 2019. Jérôme Leblanc est passionné d’histoire. Il effectue des recherches sur les crashs d’avions en Ile-de-France et dans l’Oise et recevra la petite-fille d’un copilote d’un avion écrasé en 1945 à Montgeron. Jérôme Leblanc a le « devoir de mémoire » chevillé au corps. À tel point que cet Essonnien âgé de 44 ans a fait des recherches historiques sur l'aviation militaire sa principale passion. Une passion débutée il y a plus de 30 ans, lors de son enfance à Vigneux-sur-Seine. Dans la forêt de Sénart, à la frontière de Montgeron, où il se promenait gamin, un avion américain s'est écrasé le 8 février 1945. Cet événement a toujours fasciné Jérôme Leblanc, et il s'apprête à recevoir le 6 juillet prochain Ashley, la petite-fille de Varl E. Tranchina, le copilote qui a survécu au crash, contrairement au pilote, Hubert Steed Jr, mort sur le coup. Chaque 8 février depuis plusieurs décennies, Jérôme Leblanc dépose une gerbe au pied d'une stèle bricolée par un artiste ayant toujours souhaité rester anonyme. Le bombardier américain était tombé en panne sèche Son objectif, « préserver la mémoire de la période 39-45 par l'intermédiaire de recueil de témoignages, de recherches historiques, d'expositions et de création de stèles dans l'intérêt des familles. » Le nom des deux pilotes qui se sont écrasés en forêt de Sénart est inscrit sur cette plaque. Pour le crash de Montgeron, c'est en élargissant les recherches que les historiens, professionnels ou amateurs comme Jérôme Leblanc percent le mystère : ce bombardier léger s'est en réalité écrasé le 8 février 1945. En réalité, « les deux Américains membres de l'équipage revenaient d'une opération de bombardement dans les Pays-Bas, à Maastricht, menée avec succès, raconte-t-il. Alors qu'ils allaient atterrir à Melun-Villaroche, ils sont tombés en panne sèche. Ils se sont écrasés en pleine forêt de Sénart. La légende raconte qu'ils ont tout fait pour éviter Montgeron et ses habitants, mais je pense que c'est un heureux hasard. » « On peut estimer que plus de 450 appareils alliés et français sont tombés en région parisienne pendant la Seconde Guerre mondiale, sans compter les avions allemands» , indique Jérôme Leblanc. Cécile Chevallier.

De quelle nationnalité était l'avion qui s'est écrasé en forêt de Sénart ?

1/5

FRANçAISE

américaine

néerlAndaise

INSTRUCTIONS

MONTGERON

Montgeron : ce passionné d’histoire recevra la petite-fille du copilote de l’avion écrasé en 1945 Jérôme Leblanc est membre d’une association nationale qui a pour but de préserver la mémoire de la période 39-45. Il espère pouvoir ériger une stèle plus officielle que celle installée en forêt en hommage aux deux pilotes américains accidentés. Montgeron, le 18 juin 2019. Jérôme Leblanc est passionné d’histoire. Il effectue des recherches sur les crashs d’avions en Ile-de-France et dans l’Oise et recevra la petite-fille d’un copilote d’un avion écrasé en 1945 à Montgeron. Jérôme Leblanc a le « devoir de mémoire » chevillé au corps. À tel point que cet Essonnien âgé de 44 ans a fait des recherches historiques sur l'aviation militaire sa principale passion. Une passion débutée il y a plus de 30 ans, lors de son enfance à Vigneux-sur-Seine. Dans la forêt de Sénart, à la frontière de Montgeron, où il se promenait gamin, un avion américain s'est écrasé le 8 février 1945. Cet événement a toujours fasciné Jérôme Leblanc, et il s'apprête à recevoir le 6 juillet prochain Ashley, la petite-fille de Varl E. Tranchina, le copilote qui a survécu au crash, contrairement au pilote, Hubert Steed Jr, mort sur le coup. Chaque 8 février depuis plusieurs décennies, Jérôme Leblanc dépose une gerbe au pied d'une stèle bricolée par un artiste ayant toujours souhaité rester anonyme. Le bombardier américain était tombé en panne sèche Son objectif, « préserver la mémoire de la période 39-45 par l'intermédiaire de recueil de témoignages, de recherches historiques, d'expositions et de création de stèles dans l'intérêt des familles. » Le nom des deux pilotes qui se sont écrasés en forêt de Sénart est inscrit sur cette plaque. Pour le crash de Montgeron, c'est en élargissant les recherches que les historiens, professionnels ou amateurs comme Jérôme Leblanc percent le mystère : ce bombardier léger s'est en réalité écrasé le 8 février 1945. En réalité, « les deux Américains membres de l'équipage revenaient d'une opération de bombardement dans les Pays-Bas, à Maastricht, menée avec succès, raconte-t-il. Alors qu'ils allaient atterrir à Melun-Villaroche, ils sont tombés en panne sèche. Ils se sont écrasés en pleine forêt de Sénart. La légende raconte qu'ils ont tout fait pour éviter Montgeron et ses habitants, mais je pense que c'est un heureux hasard. » « On peut estimer que plus de 450 appareils alliés et français sont tombés en région parisienne pendant la Seconde Guerre mondiale, sans compter les avions allemands» , indique Jérôme Leblanc. Cécile Chevallier.

Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris.

BRAVO

suivant

MONTGERON

Essaie encore !

Quelle était sa mission ?

2/5

Bombarder la ville de maastricht aux pays-bas

bombarder la ville de melun en france

bombarder la ville de berlin en allemagne

INSTRUCTIONS

MONTGERON

Montgeron : ce passionné d’histoire recevra la petite-fille du copilote de l’avion écrasé en 1945 Jérôme Leblanc est membre d’une association nationale qui a pour but de préserver la mémoire de la période 39-45. Il espère pouvoir ériger une stèle plus officielle que celle installée en forêt en hommage aux deux pilotes américains accidentés. Montgeron, le 18 juin 2019. Jérôme Leblanc est passionné d’histoire. Il effectue des recherches sur les crashs d’avions en Ile-de-France et dans l’Oise et recevra la petite-fille d’un copilote d’un avion écrasé en 1945 à Montgeron. Jérôme Leblanc a le « devoir de mémoire » chevillé au corps. À tel point que cet Essonnien âgé de 44 ans a fait des recherches historiques sur l'aviation militaire sa principale passion. Une passion débutée il y a plus de 30 ans, lors de son enfance à Vigneux-sur-Seine. Dans la forêt de Sénart, à la frontière de Montgeron, où il se promenait gamin, un avion américain s'est écrasé le 8 février 1945. Cet événement a toujours fasciné Jérôme Leblanc, et il s'apprête à recevoir le 6 juillet prochain Ashley, la petite-fille de Varl E. Tranchina, le copilote qui a survécu au crash, contrairement au pilote, Hubert Steed Jr, mort sur le coup. Chaque 8 février depuis plusieurs décennies, Jérôme Leblanc dépose une gerbe au pied d'une stèle bricolée par un artiste ayant toujours souhaité rester anonyme. Le bombardier américain était tombé en panne sèche Son objectif, « préserver la mémoire de la période 39-45 par l'intermédiaire de recueil de témoignages, de recherches historiques, d'expositions et de création de stèles dans l'intérêt des familles. » Le nom des deux pilotes qui se sont écrasés en forêt de Sénart est inscrit sur cette plaque. Pour le crash de Montgeron, c'est en élargissant les recherches que les historiens, professionnels ou amateurs comme Jérôme Leblanc percent le mystère : ce bombardier léger s'est en réalité écrasé le 8 février 1945. En réalité, « les deux Américains membres de l'équipage revenaient d'une opération de bombardement dans les Pays-Bas, à Maastricht, menée avec succès, raconte-t-il. Alors qu'ils allaient atterrir à Melun-Villaroche, ils sont tombés en panne sèche. Ils se sont écrasés en pleine forêt de Sénart. La légende raconte qu'ils ont tout fait pour éviter Montgeron et ses habitants, mais je pense que c'est un heureux hasard. » « On peut estimer que plus de 450 appareils alliés et français sont tombés en région parisienne pendant la Seconde Guerre mondiale, sans compter les avions allemands» , indique Jérôme Leblanc. Cécile Chevallier.

Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris.

BRAVO

suivant

MONTGERON

Pourquoi pense-t-on que les pilotes ont essayé d'éviter la ville de Montgeron ?

3/5

pour ne pas s'écraser dans l'yerres

pour préserver les habitants

pour ne pas detruire l'hôtel de ville

INSTRUCTIONS

MONTGERON

Montgeron : ce passionné d’histoire recevra la petite-fille du copilote de l’avion écrasé en 1945 Jérôme Leblanc est membre d’une association nationale qui a pour but de préserver la mémoire de la période 39-45. Il espère pouvoir ériger une stèle plus officielle que celle installée en forêt en hommage aux deux pilotes américains accidentés. Montgeron, le 18 juin 2019. Jérôme Leblanc est passionné d’histoire. Il effectue des recherches sur les crashs d’avions en Ile-de-France et dans l’Oise et recevra la petite-fille d’un copilote d’un avion écrasé en 1945 à Montgeron. Jérôme Leblanc a le « devoir de mémoire » chevillé au corps. À tel point que cet Essonnien âgé de 44 ans a fait des recherches historiques sur l'aviation militaire sa principale passion. Une passion débutée il y a plus de 30 ans, lors de son enfance à Vigneux-sur-Seine. Dans la forêt de Sénart, à la frontière de Montgeron, où il se promenait gamin, un avion américain s'est écrasé le 8 février 1945. Cet événement a toujours fasciné Jérôme Leblanc, et il s'apprête à recevoir le 6 juillet prochain Ashley, la petite-fille de Varl E. Tranchina, le copilote qui a survécu au crash, contrairement au pilote, Hubert Steed Jr, mort sur le coup. Chaque 8 février depuis plusieurs décennies, Jérôme Leblanc dépose une gerbe au pied d'une stèle bricolée par un artiste ayant toujours souhaité rester anonyme. Le bombardier américain était tombé en panne sèche Son objectif, « préserver la mémoire de la période 39-45 par l'intermédiaire de recueil de témoignages, de recherches historiques, d'expositions et de création de stèles dans l'intérêt des familles. » Le nom des deux pilotes qui se sont écrasés en forêt de Sénart est inscrit sur cette plaque. Pour le crash de Montgeron, c'est en élargissant les recherches que les historiens, professionnels ou amateurs comme Jérôme Leblanc percent le mystère : ce bombardier léger s'est en réalité écrasé le 8 février 1945. En réalité, « les deux Américains membres de l'équipage revenaient d'une opération de bombardement dans les Pays-Bas, à Maastricht, menée avec succès, raconte-t-il. Alors qu'ils allaient atterrir à Melun-Villaroche, ils sont tombés en panne sèche. Ils se sont écrasés en pleine forêt de Sénart. La légende raconte qu'ils ont tout fait pour éviter Montgeron et ses habitants, mais je pense que c'est un heureux hasard. » « On peut estimer que plus de 450 appareils alliés et français sont tombés en région parisienne pendant la Seconde Guerre mondiale, sans compter les avions allemands» , indique Jérôme Leblanc. Cécile Chevallier.

Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris.

BRAVO

suivant

MONTGERON

Pourquoi une association a-t-elle été créée ?

4/5

Pour construire des maquettes d'avion de la période 39-45

Pour ouvrir un musée

pour préserver la mémoire de la période 39-45

INSTRUCTIONS

MONTGERON

Montgeron : ce passionné d’histoire recevra la petite-fille du copilote de l’avion écrasé en 1945 Jérôme Leblanc est membre d’une association nationale qui a pour but de préserver la mémoire de la période 39-45. Il espère pouvoir ériger une stèle plus officielle que celle installée en forêt en hommage aux deux pilotes américains accidentés. Montgeron, le 18 juin 2019. Jérôme Leblanc est passionné d’histoire. Il effectue des recherches sur les crashs d’avions en Ile-de-France et dans l’Oise et recevra la petite-fille d’un copilote d’un avion écrasé en 1945 à Montgeron. Jérôme Leblanc a le « devoir de mémoire » chevillé au corps. À tel point que cet Essonnien âgé de 44 ans a fait des recherches historiques sur l'aviation militaire sa principale passion. Une passion débutée il y a plus de 30 ans, lors de son enfance à Vigneux-sur-Seine. Dans la forêt de Sénart, à la frontière de Montgeron, où il se promenait gamin, un avion américain s'est écrasé le 8 février 1945. Cet événement a toujours fasciné Jérôme Leblanc, et il s'apprête à recevoir le 6 juillet prochain Ashley, la petite-fille de Varl E. Tranchina, le copilote qui a survécu au crash, contrairement au pilote, Hubert Steed Jr, mort sur le coup. Chaque 8 février depuis plusieurs décennies, Jérôme Leblanc dépose une gerbe au pied d'une stèle bricolée par un artiste ayant toujours souhaité rester anonyme. Le bombardier américain était tombé en panne sèche Son objectif, « préserver la mémoire de la période 39-45 par l'intermédiaire de recueil de témoignages, de recherches historiques, d'expositions et de création de stèles dans l'intérêt des familles. » Le nom des deux pilotes qui se sont écrasés en forêt de Sénart est inscrit sur cette plaque. Pour le crash de Montgeron, c'est en élargissant les recherches que les historiens, professionnels ou amateurs comme Jérôme Leblanc percent le mystère : ce bombardier léger s'est en réalité écrasé le 8 février 1945. En réalité, « les deux Américains membres de l'équipage revenaient d'une opération de bombardement dans les Pays-Bas, à Maastricht, menée avec succès, raconte-t-il. Alors qu'ils allaient atterrir à Melun-Villaroche, ils sont tombés en panne sèche. Ils se sont écrasés en pleine forêt de Sénart. La légende raconte qu'ils ont tout fait pour éviter Montgeron et ses habitants, mais je pense que c'est un heureux hasard. » « On peut estimer que plus de 450 appareils alliés et français sont tombés en région parisienne pendant la Seconde Guerre mondiale, sans compter les avions allemands» , indique Jérôme Leblanc. Cécile Chevallier.

Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris.

BRAVO

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MONTGERON

Combien d'avions se sont-ils écrasés en Ile de France durant la seconde guerre mondiale ?

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MONTGERON

Montgeron : ce passionné d’histoire recevra la petite-fille du copilote de l’avion écrasé en 1945 Jérôme Leblanc est membre d’une association nationale qui a pour but de préserver la mémoire de la période 39-45. Il espère pouvoir ériger une stèle plus officielle que celle installée en forêt en hommage aux deux pilotes américains accidentés. Montgeron, le 18 juin 2019. Jérôme Leblanc est passionné d’histoire. Il effectue des recherches sur les crashs d’avions en Ile-de-France et dans l’Oise et recevra la petite-fille d’un copilote d’un avion écrasé en 1945 à Montgeron. Jérôme Leblanc a le « devoir de mémoire » chevillé au corps. À tel point que cet Essonnien âgé de 44 ans a fait des recherches historiques sur l'aviation militaire sa principale passion. Une passion débutée il y a plus de 30 ans, lors de son enfance à Vigneux-sur-Seine. Dans la forêt de Sénart, à la frontière de Montgeron, où il se promenait gamin, un avion américain s'est écrasé le 8 février 1945. Cet événement a toujours fasciné Jérôme Leblanc, et il s'apprête à recevoir le 6 juillet prochain Ashley, la petite-fille de Varl E. Tranchina, le copilote qui a survécu au crash, contrairement au pilote, Hubert Steed Jr, mort sur le coup. Chaque 8 février depuis plusieurs décennies, Jérôme Leblanc dépose une gerbe au pied d'une stèle bricolée par un artiste ayant toujours souhaité rester anonyme. Le bombardier américain était tombé en panne sèche Son objectif, « préserver la mémoire de la période 39-45 par l'intermédiaire de recueil de témoignages, de recherches historiques, d'expositions et de création de stèles dans l'intérêt des familles. » Le nom des deux pilotes qui se sont écrasés en forêt de Sénart est inscrit sur cette plaque. Pour le crash de Montgeron, c'est en élargissant les recherches que les historiens, professionnels ou amateurs comme Jérôme Leblanc percent le mystère : ce bombardier léger s'est en réalité écrasé le 8 février 1945. En réalité, « les deux Américains membres de l'équipage revenaient d'une opération de bombardement dans les Pays-Bas, à Maastricht, menée avec succès, raconte-t-il. Alors qu'ils allaient atterrir à Melun-Villaroche, ils sont tombés en panne sèche. Ils se sont écrasés en pleine forêt de Sénart. La légende raconte qu'ils ont tout fait pour éviter Montgeron et ses habitants, mais je pense que c'est un heureux hasard. » « On peut estimer que plus de 450 appareils alliés et français sont tombés en région parisienne pendant la Seconde Guerre mondiale, sans compter les avions allemands» , indique Jérôme Leblanc. Cécile Chevallier.

Dans les missions "Palaiseau" et "Montgeron", - répondre aux questions en cliquant sur un des cadres gris.

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SOMMAIRE

MONTGERON

Albert MOREAU, est né le 28 janvier 1869 à Montargis (Loiret) dans une famille modeste. Dès son plus jeune âge, il s'intéresse au vol des oiseaux, plus particulièrement à leur vol plané qu'il observe fréquemment et avec curiosité. Puis, peu à peu, il parvient à réaliser son rêve, celui de construire un avion.

QUINCY-SOUS-SENART

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Albert Moreau, concepteur de l'Aérostable

Dans la mission "Quincy-sous-Sénart", - lire le texte puis accéder à la mission par cette flèche. - faire le mot croisé en cliquant tout d’abord sur OK, puis cliquer sur la colonne ou la ligne que vous souhaitez, lire la définition et écrire votre réponse à l'aide du clavier puis appuyer sur ENTREE. Passer à un autre mot et faire de même. - Quand vous avez terminé, cliquer sur le rond bleu en bas à droite pour vérifier vos réponses. S'il y a des erreurs, corriger et cliquer à nouveau sur le bouton bleu jusqu'à ce que ce soit correct. . - écrire le mot demandé dans le cadre blanc et cliquer sur valider si la réponse est correcte, le bouton pour retourner au sommaire apparait, sinon la réponse s'écrit en rouge et l’icône apparait. - retaper la nouvelle réponse et cliquer sur valider à nouveau pour vérifier. - cliquer sur le bouton "sommaire" pour retourner au sommaire et accéder à une autre mission.

Mais sa passion pour l'aviation naissante le dévore, entreprenant avec son frère André, mécanicien, la construction d'appareils. Sans autres ressources financières, il lui faut concilier les nécessité familiales (il était père de six enfants) et les besoins exigés par sa passion, particulièrement dévorante en capitaux. Une particularité le hantait: la stabilité des aéroplanes.

L'AEROSTABLE: CONSTRUCTION ET ASPECT NOVATEUR C'est dans un hangar prêté par le maire de Quincy sous Sénart (près de Combs-la-ville en Seine et Marne), qu'Albert, assisté de son frère, conçurent et mirent au point en 1911 l'Aérostable, avion doté d'un système de stabilisation qui préfigurait ce que serait plus tard le pilote automatique. Le 4 avril 1911 l'avion effectue un vol Quincy-Melun-Tigery-Quincy à une altitude de 150 m, puis un raid de 75 kms entre Combs la Ville à Montargis, réalisé à 300m d'altitude.

Le 28 novembre 1912, Albert démontre les qualités de son stabilisateur pendulaire en effectuant un vol de plus de 30 mn sans toucher aux commandes, donnant ainsi naissance au premier pilote automatique. L'Aérostable ne recueillit pas le succès qu'il méritait. Les frères Moreau eurent également le mérite de montrer que l'avion pouvait être utilisé pour transporter le courrier, lançant ainsi le tout premier concept d'aéropostale.

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Dans la mission "Quincy-sous-Sénart", - lire le texte puis accéder à la mission par cette flèche. - faire le mot croisé en cliquant tout d’abord sur OK, puis cliquer sur la colonne ou la ligne que vous souhaitez, lire la définition et écrire votre réponse à l'aide du clavier puis appuyer sur ENTREE. Passer à un autre mot et faire de même. - Quand vous avez terminé, cliquer sur le rond bleu en bas à droite pour vérifier vos réponses. S'il y a des erreurs, corriger et cliquer à nouveau sur le bouton bleu jusqu'à ce que ce soit correct. . - écrire le mot demandé dans le cadre blanc et cliquer sur valider si la réponse est correcte, le bouton pour retourner au sommaire apparait, sinon la réponse s'écrit en rouge et l’icône apparait. - retaper la nouvelle réponse et cliquer sur valider à nouveau pour vérifier. - cliquer sur le bouton "sommaire" pour retourner au sommaire et accéder à une autre mission.

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Albert Moreau, concepteur de l'Aérostable LE CONTEXTE FAMILIAL ET PROFESSIONNEL Albert MOREAU, est né le 28 janvier 1869 à Montargis (Loiret) dans une famille modeste. Dès son plus jeune âge, il s'intéresse au vol des oiseaux, plus particulièrement à leur vol plané qu'il observe fréquemment et avec curiosité. Puis, peu à peu, il parvient à réaliser son rêve, celui de construire un avion. Mais sa passion pour l'aviation naissante le dévore, entreprenant avec son frère André, mécanicien, la construction d'appareils. Une particularité le hantait: la stabilité des aéroplanes. L'AEROSTABLE: CONSTRUCTION ET ASPECT NOVATEUR C'est dans un hangar prêté par le maire de Quincy-sous-Sénart (près de Combs-la-ville en Seine et Marne), qu'Albert, assisté de son frère, conçurent et mirent au point en 1911 l'Aérostable, avion doté d'un système de stabilisation qui préfigurait ce que serait plus tard le pilote automatique. Le 4 avril 1911 l'avion effectue un vol Quincy-Melun-Tigery-Quincy à une altitude de 150 m, puis un raid de 75 kms entre Combs-la-Ville à Montargis, réalisé à 300m d'altitude. Le 28 novembre 1912, Albert démontre les qualités de son stabilisateur pendulaire en effectuant un vol de plus de 30 mn sans toucher aux commandes, donnant ainsi naissance au premier pilote automatique. L'Aérostable ne recueillit pas le succès qu'il méritait. Les frères Moreau eurent également le mérite de montrer que l'avion pouvait être utilisé pour transporter le courrier, lançant ainsi le tout premier concept de l'aéropostale.

Dans la mission "Quincy-sous-Sénart", - lire le texte puis accéder à la mission par cette flèche. - faire le mot croisé en cliquant tout d’abord sur OK, puis cliquer sur la colonne ou la ligne que vous souhaitez, lire la définition et écrire votre réponse à l'aide du clavier puis appuyer sur ENTREE. Passer à un autre mot et faire de même. - Quand vous avez terminé, cliquer sur le rond bleu en bas à droite pour vérifier vos réponses. S'il y a des erreurs, corriger et cliquer à nouveau sur le bouton bleu jusqu'à ce que ce soit correct. . - écrire le mot demandé dans le cadre blanc et cliquer sur valider si la réponse est correcte, le bouton pour retourner au sommaire apparait, sinon la réponse s'écrit en rouge et l’icône apparait. - retaper la nouvelle réponse et cliquer sur valider à nouveau pour vérifier. - cliquer sur le bouton "sommaire" pour retourner au sommaire et accéder à une autre mission.

Port-Aviation, sur le territoire de la commune de Viry-Châtillon (Essonne) est un aérodrome considéré comme le premier aéroport français de l'histoire. On en doit le projet à l'architecte français Guillaume Tronchet (1867-1959). Conçu pour accueillir les meetings avec une piste en ellipse de 4 km et des gradins de7 000 places, il reçut le 23 mai 1909 un premier meeting aérien, et fut actif jusqu'en 1919. Situé sur des terrains facilement inondables il fut abandonné au terme d'une décennie glorieuse pour les pionniers de l'aviation, ainsi que pour les aviateurs combattants du premier conflit mondial.

VIRY-CHATILLON

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Dans la mission "Viry-Châtillon", - lire le texte puis accéder à la mission par cette flèche. - lire le problème, le résoudre et entrer votre réponse. Si le chiffre est bon, une étoile apparait sur le cadran, sinon vous êtes redirigé vers une page "essaie encore !". Il vous suffit alors de cliquer sur la flèche retour pour reprendre là où vous vous êtes trompés. ATTENTION, n'allez pas trop vite pour entrer les 2 chiffres ! - une fois votre réponse entrée, cliquer sur le bouton OK de la calculatrice. - cliquer sur pour retourner au sommaire et continuer vos missions.

Sur cette piste en ellipse de 4 km de longueur, les pylones sont espacés tous les 250 mètres. Combien le pilote dépassera-t-il de pylones s'il parcourt 2 tours ?

Entre la bonne réponse sur le clavier puis clique sur OK

VIRY-CHATILLON

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Dans la mission "Viry-Châtillon", - lire le texte puis accéder à la mission par cette flèche. - lire le problème, le résoudre et entrer votre réponse. Si le chiffre est bon, une étoile apparait sur le cadran, sinon vous êtes redirigé vers une page "essaie encore !". Il vous suffit alors de cliquer sur la flèche retour pour reprendre là où vous vous êtes trompés. ATTENTION, n'allez pas trop vite pour entrer les 2 chiffres ! - une fois votre réponse entrée, cliquer sur le bouton OK de la calculatrice. - cliquer sur pour retourner au sommaire et continuer vos missions.

Essaie encore !

Sur cette piste en ellipse de 4 km de longueur, les pylones sont espacés tous les 250 mètres. Combien le pilote dépassera-t-il de pylones s'il parcourt 2 tours ?

Entre la bonne réponse sur le clavier puis clique sur OK

VIRY-CHATILLON

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Sur cette piste en ellipse de 4 km de longueur, les pylones sont espacés tous les 250 mètres. Combien le pilote dépassera-t-il de pylones s'il parcourt 2 tours ?

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VIRY-CHATILLON

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VIRY-CHATILLON

BRétigny sur orge

Le but de cette escale est de découvrir les grandes dates du Centre d'Essais en Vol (CEV) de Brétigny sur Orge grâce à différents documents. Tu devras associer chaque photographie à la bonne date. Pour t'aider, des indices sont cachés derrière les symboles .

ETAMPES

CERNYLA FERTE-ALAIS

BRETIGNY

VIRY-CHÂTILLON

QUINCY-SOUS-SENART

MONTGERON

ATHIS-MONS

PALAISEAU

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1945

Ouverture du CEV

1955

Record du monde de vitesse

1960-1980

Des avions prestigieux sont testés.

2021

Et aujourd'hui ?

1946

Essai du premier avion à réaction

1958

Record du monde d'altitude

Années 2000

Derniers essais avant la fermeture de la base

AIRBUS A 340

JACQUELINE AURIOL

ALOUETTE 2

LE CENTRE LOGISTIQUE

LE CONCORDE

BRAVO ! Mission réussieclique ici pour retourner au sommaire

LE RAFALE

SO 6000 TRITON

le cev

Extrait du site Essonne.fr Rubrique histoire Publiée le : 08.10.2014, dernière mise à jour : 17.11.2016 Des ailes et des hommes - Conseil départemental de l'Essonne Devenue Centre d'essais en vol, la base aérienne de Brétigny-sur-Orge est entrée dans l'histoire de l'aviation comme un lieu d'expérimentation exceptionnel. Depuis son ouverture en 1945 jusqu'à sa fermeture en 2011, ce lieu n'a cessé d'être hanté par le bruit des hélices, des réacteurs ainsi que du travail intense des ingénieurs et chercheurs. De la guerre aux essais en vol Brétigny, c’est d’abord une base de l’armée de l’air conçue pour seconder le site d’Etampes – Mondésir, célèbre pour avoir accueilli la patrouille d'Etampes, ancêtre direct de la patrouille de France actuelle. La vaste surface disponible (16 000 m²) est un argument clé pour cette implantation à proximité de Paris. C’est une école de pilotage venue d’Orly qui prend finalement possession de l’endroit entre 1939 et 1940.Après l’occupation, la Luftwaffe installe plusieurs escadrilles de chasse et de bombardement sur place. Des bombardiers partent de ce terrain pour bombarder l’Angleterre. Du fait de cette importance stratégique, l’aérodrome subit de nombreux bombardements américains qui détruisent une grande partie des hangars construits par l’occupant. De la fin 1944 au début 1945, deux escadrilles américaines se servent des installations laissées par les occupants. Le centre d’essais en vol (CEV) arrive sur place en 1946 pour effectuer des mesures et tests concernant les appareils mais aussi la physiologie humaine. Son personnel est composé de pilotes et techniciens civils et militaires. Brétigny est une base innovante atypique et qui le restera. Le lieu de "premières aéronautiques" françaises Les Brétignolais sont les témoins privilégiés des succès de l’aéronautique national de l’après-guerre. Le premier avion à réaction français : le SO-6000 Triton vole à Brétigny en 1946 suivi du premier hélicoptère hexagonal en 1952. C’est également sur ce terrain, que Jacqueline Auriol, première pilote d’essais de notre pays, battra le record du monde de vitesse en 1955 (1 151 km/h). Le 23 juin 1953, le président de la République Vincent Auriol lui-même assiste aux évolutions aériennes de sa belle-fille à l’occasion de l’inauguration d’une nouvelle piste.Après avoir accueilli de nombreux prototypes de Marcel Dassault dans les années 50 et 60, le Concorde et le Rafale seront d’autres invités de marque de celle que l’on appelle la Base 217 à partir des années 80. On y teste aussi des équipements et instruments de bord. Des sièges éjectables, des équipements radio et radar, la protection contre la foudre ou les boîtes noires sont autant de domaines abordés sur l’aérodrome essonnien. Le dernier essai sera celui réalisé en 2001 sur l’Airbus A340 avec une piste totalement inondée pour l’occasion. Bien plus qu’un terrain d’aviation En plus des activités liées aux aéronefs, la santé des personnels navigants et au sol a été une des autres activités de recherche menées à Brétigny. Dès 1957, le laboratoire médico-physiologique mesure les réponses du corps humain aux contraintes du vol avec un caisson permettant de simuler le changement de température d’une ascension de 20 000 m. Demeurant sur le site, l’Institut de recherche biomédicale des armées (IRBA) est le successeur de cette tradition de recherches avec de nouveaux secteurs de recherche dans le domaine nucléaire, radiologique et les risque biologiques et chimiques.La conquête de l’espace est l'autre mission confiée à la base de Brétigny. Dès sa création en 1962 par le général De Gaulle, le Centre national d’études spatiales (CNES) implante une antenne à Brétigny. Le premier lanceur de satellites français sera conçu à cet endroit avant d’être lancé en 1964, faisant de notre pays une puissance spatiale aux côtés des Américains et des Russes. Ce Centre spatial de Brétigny sera transféré en 1975. Deux ans plus tard, Eurocontrol, organisme européen chargé de la sécurité aérienne choisit également le lieu et y demeure de nos jours.Destinée à accueillir de nombres activités économiques et industrielles grâce à un projet ambitieux de reconversion soutenu par le Conseil départemental, la BA 217 n’a pas dit son dernier mot.

Extrait du site Essonne.fr Rubrique histoire Publiée le : 08.10.2014, dernière mise à jour : 17.11.2016 Des ailes et des hommes - Conseil départemental de l'Essonne Devenue Centre d'essais en vol, la base aérienne de Brétigny-sur-Orge est entrée dans l'histoire de l'aviation comme un lieu d'expérimentation exceptionnel. Depuis son ouverture en 1945 jusqu'à sa fermeture en 2011, ce lieu n'a cessé d'être hanté par le bruit des hélices, des réacteurs ainsi que du travail intense des ingénieurs et chercheurs. De la guerre aux essais en vol Brétigny, c’est d’abord une base de l’armée de l’air conçue pour seconder le site d’Etampes – Mondésir, célèbre pour avoir accueilli la patrouille d'Etampes, ancêtre direct de la patrouille de France actuelle. La vaste surface disponible (16 000 m²) est un argument clé pour cette implantation à proximité de Paris. C’est une école de pilotage venue d’Orly qui prend finalement possession de l’endroit entre 1939 et 1940.Après l’occupation, la Luftwaffe installe plusieurs escadrilles de chasse et de bombardement sur place. Des bombardiers partent de ce terrain pour bombarder l’Angleterre. Du fait de cette importance stratégique, l’aérodrome subit de nombreux bombardements américains qui détruisent une grande partie des hangars construits par l’occupant. De la fin 1944 au début 1945, deux escadrilles américaines se servent des installations laissées par les occupants. Le centre d’essais en vol (CEV) arrive sur place en 1946 pour effectuer des mesures et tests concernant les appareils mais aussi la physiologie humaine. Son personnel est composé de pilotes et techniciens civils et militaires. Brétigny est une base innovante atypique et qui le restera. Le lieu de "premières aéronautiques" françaises Les Brétignolais sont les témoins privilégiés des succès de l’aéronautique national de l’après-guerre. Le premier avion à réaction français : le SO-6000 Triton vole à Brétigny en 1946 suivi du premier hélicoptère hexagonal en 1952. C’est également sur ce terrain, que Jacqueline Auriol, première pilote d’essais de notre pays, battra le record du monde de vitesse en 1955 (1 151 km/h). Le 23 juin 1953, le président de la République Vincent Auriol lui-même assiste aux évolutions aériennes de sa belle-fille à l’occasion de l’inauguration d’une nouvelle piste.Après avoir accueilli de nombreux prototypes de Marcel Dassault dans les années 50 et 60, le Concorde et le Rafale seront d’autres invités de marque de celle que l’on appelle la Base 217 à partir des années 80. On y teste aussi des équipements et instruments de bord. Des sièges éjectables, des équipements radio et radar, la protection contre la foudre ou les boîtes noires sont autant de domaines abordés sur l’aérodrome essonnien. Le dernier essai sera celui réalisé en 2001 sur l’Airbus A340 avec une piste totalement inondée pour l’occasion. Bien plus qu’un terrain d’aviation En plus des activités liées aux aéronefs, la santé des personnels navigants et au sol a été une des autres activités de recherche menées à Brétigny. Dès 1957, le laboratoire médico-physiologique mesure les réponses du corps humain aux contraintes du vol avec un caisson permettant de simuler le changement de température d’une ascension de 20 000 m. Demeurant sur le site, l’Institut de recherche biomédicale des armées (IRBA) est le successeur de cette tradition de recherches avec de nouveaux secteurs de recherche dans le domaine nucléaire, radiologique et les risque biologiques et chimiques.La conquête de l’espace est l'autre mission confiée à la base de Brétigny. Dès sa création en 1962 par le général De Gaulle, le Centre national d’études spatiales (CNES) implante une antenne à Brétigny. Le premier lanceur de satellites français sera conçu à cet endroit avant d’être lancé en 1964, faisant de notre pays une puissance spatiale aux côtés des Américains et des Russes. Ce Centre spatial de Brétigny sera transféré en 1975. Deux ans plus tard, Eurocontrol, organisme européen chargé de la sécurité aérienne choisit également le lieu et y demeure de nos jours.Destinée à accueillir de nombres activités économiques et industrielles grâce à un projet ambitieux de reconversion soutenu par le Conseil départemental, la BA 217 n’a pas dit son dernier mot.

Le 13 juin 1958 dans le ciel : 4 records du monde pour Jean BouletPublié le 13 juin 2011 à 00h04 par Stéphanie Meyniel Histoire de l’aviation Ce 13 juin 1958, sur le terrain de Brétigny, Jean Boulet tente de décrocher le record d’altitude en hélicoptère. Pour cette tentative, il est aux commandes d’une Alouette II Spéciale SE 3150-001, une nouvelle version de l’Alouette II rallongée, équipée d’un turbomoteur Artouste IIIB et d’un rotor anti-couple tripale. Contrat rempli, et non content d’être le recordman pour ce qui est de l’altitude avec un vol à 10 984 mètres, ce jour-là, il décroche trois autres records de vitesse ascensionnelle cette fois : en effet, il a atteint 3 000 mètres en 5 min et 31 s, 6 000 mètres en 11 min et 1 s et enfin, 9 000 mètres en 17 min et 44 s. Une belle moisson de médailles !

Extrait du site Essonne.fr Rubrique histoire Publiée le : 08.10.2014, dernière mise à jour : 17.11.2016 Des ailes et des hommes - Conseil départemental de l'Essonne Devenue Centre d'essais en vol, la base aérienne de Brétigny-sur-Orge est entrée dans l'histoire de l'aviation comme un lieu d'expérimentation exceptionnel. Depuis son ouverture en 1945 jusqu'à sa fermeture en 2011, ce lieu n'a cessé d'être hanté par le bruit des hélices, des réacteurs ainsi que du travail intense des ingénieurs et chercheurs. De la guerre aux essais en vol Brétigny, c’est d’abord une base de l’armée de l’air conçue pour seconder le site d’Etampes – Mondésir, célèbre pour avoir accueilli la patrouille d'Etampes, ancêtre direct de la patrouille de France actuelle. La vaste surface disponible (16 000 m²) est un argument clé pour cette implantation à proximité de Paris. C’est une école de pilotage venue d’Orly qui prend finalement possession de l’endroit entre 1939 et 1940.Après l’occupation, la Luftwaffe installe plusieurs escadrilles de chasse et de bombardement sur place. Des bombardiers partent de ce terrain pour bombarder l’Angleterre. Du fait de cette importance stratégique, l’aérodrome subit de nombreux bombardements américains qui détruisent une grande partie des hangars construits par l’occupant. De la fin 1944 au début 1945, deux escadrilles américaines se servent des installations laissées par les occupants. Le centre d’essais en vol (CEV) arrive sur place en 1946 pour effectuer des mesures et tests concernant les appareils mais aussi la physiologie humaine. Son personnel est composé de pilotes et techniciens civils et militaires. Brétigny est une base innovante atypique et qui le restera. Le lieu de "premières aéronautiques" françaises Les Brétignolais sont les témoins privilégiés des succès de l’aéronautique national de l’après-guerre. Le premier avion à réaction français : le SO-6000 Triton vole à Brétigny en 1946 suivi du premier hélicoptère hexagonal en 1952. C’est également sur ce terrain, que Jacqueline Auriol, première pilote d’essais de notre pays, battra le record du monde de vitesse en 1955 (1 151 km/h). Le 23 juin 1953, le président de la République Vincent Auriol lui-même assiste aux évolutions aériennes de sa belle-fille à l’occasion de l’inauguration d’une nouvelle piste.Après avoir accueilli de nombreux prototypes de Marcel Dassault dans les années 50 et 60, le Concorde et le Rafale seront d’autres invités de marque de celle que l’on appelle la Base 217 à partir des années 80. On y teste aussi des équipements et instruments de bord. Des sièges éjectables, des équipements radio et radar, la protection contre la foudre ou les boîtes noires sont autant de domaines abordés sur l’aérodrome essonnien. Le dernier essai sera celui réalisé en 2001 sur l’Airbus A340 avec une piste totalement inondée pour l’occasion. Bien plus qu’un terrain d’aviation En plus des activités liées aux aéronefs, la santé des personnels navigants et au sol a été une des autres activités de recherche menées à Brétigny. Dès 1957, le laboratoire médico-physiologique mesure les réponses du corps humain aux contraintes du vol avec un caisson permettant de simuler le changement de température d’une ascension de 20 000 m. Demeurant sur le site, l’Institut de recherche biomédicale des armées (IRBA) est le successeur de cette tradition de recherches avec de nouveaux secteurs de recherche dans le domaine nucléaire, radiologique et les risque biologiques et chimiques.La conquête de l’espace est l'autre mission confiée à la base de Brétigny. Dès sa création en 1962 par le général De Gaulle, le Centre national d’études spatiales (CNES) implante une antenne à Brétigny. Le premier lanceur de satellites français sera conçu à cet endroit avant d’être lancé en 1964, faisant de notre pays une puissance spatiale aux côtés des Américains et des Russes. Ce Centre spatial de Brétigny sera transféré en 1975. Deux ans plus tard, Eurocontrol, organisme européen chargé de la sécurité aérienne choisit également le lieu et y demeure de nos jours.Destinée à accueillir de nombres activités économiques et industrielles grâce à un projet ambitieux de reconversion soutenu par le Conseil départemental, la BA 217 n’a pas dit son dernier mot.

Visionne la première minute de la vidéo pour trouver l'indice. Vidéo INA

Article publié le 13 octobre 2017 à 15h02 NICOLAS KRIEF POUR LE MONDE Virage sur l’aile pour la base aérienne 217 L’ancienne tour de contrôle principale de la base aérienne 217 surplombe le site, désaffecté en 2012. Une petite partie de l’aéroport reste un terrain militaire, mais 300 hectares sont reconvertis en activités innovantes créatrices d’emplois. C’est un aéroport militaire mythique pour l’aviation française : siège du Centre d’essais en vol depuis 1945, la base aérienne 217, à Brétigny-sur-Orge, dans l’Essonne, a vu voler le premier avion à réaction en 1946, a entendu le premier franchissement du mur du son en 1952, le Rafale y a été testé dans les années 1980… Fermée en 2012, la base fait l’objet, depuis 2015, d’un projet original de reconversion, porté par la communauté d’agglomération Cœur d’Essonne. Sur ces 300 hectares de pistes et de prairies, parsemés de bâtiments disparates et de hangars, les élus ambitionnent de créer 10 000 emplois dans des secteurs innovants, tout en préservant l’identité et la mémoire du site. Un regroupement de 7 entreprises spécialisées dans les drones s’y est installé en 2016, puis une start-up spécialisée dans la voiture électrique. C’est aussi là qu’Amazon ouvrira, à l’automne 2018, son plus grand centre logistique en France. La piste, elle, a accueilli 120 000 amateurs pour un festival de rock en juin. Enfin, une partie de la base deviendra un site de tournage de films.

Dans la mission "Bretigny-sur-Orge", - lire la consigne, puis cliquer sur la flèche . - prendre les indices sur les boutons + et ensuite placer les photos au bon endroit. Si une photo est bien placée, une icône verte et remplace le croix . ATTENTION pour 1960-1980, les 2 photos doivent être placées pour que le remplacement ait lieu. - Quand toutes les photos sont bien placées, un message de réussite apparait, il suffit de cliquer dessus pour retourner au sommaire et continuer les autres missions.

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Cerny - La FERTé-alais

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Dans la mission "Cerny/La Ferté-Alais", - aller visiter le site du musée de la famille Salis, prenez les informations sur les différents avions dont on parle et retourner sur le Genially, faire le mémory. - associer photo et titre. - Quand c'est terminé, un message s'affiche. Écrire le mot demandé dans le cadre blanc et cliquer sur valider si la réponse est correcte, le bouton pour retourner au sommaire apparait, sinon la réponse s'écrit en rouge et l’icône apparait. - retaper la nouvelle réponse et cliquer sur valider à nouveau pour vérifier. - cliquer sur le bouton "sommaire" pour retourner au sommaire et accéder à une autre mission.

Louis Blériot1872-1936

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13 juillet 1909 : Blériot décolle d’Étampes Par J.V. Le 16 août 2003 à 00h00 Ces histoires insolites ou hors du commun ont défrayé la chronique. Toutes ont un point commun : elles se sont déroulées au beau milieu d'un été tranquille. Pour ce troisième volet de notre série, voici l'un des exploits extraordinaires d'un pionnier de légende, Louis Blériot. CE VOL n'était qu'une répétition avant la traversée de la Manche. Pourtant, le 13 juillet 1909 reste une date majeure dans l'histoire de l'Essonne et de l'aéronautique. A 5 heures du matin, Louis Blériot s'élance d'un champ de la ferme de Mondésir, au sud d’Étampes, à bord de son désormais célèbre Blériot-XI. Plusieurs dizaines de minutes plus tard, il atterrit à Orléans. Il vient de réussir le premier vol de ville à ville. Douze jours plus tard, l'histoire lui ouvre les bras quand il traverse la Manche. Son exploit du vol Étampes - Orléans est l'aboutissement d'une passion née neuf ans plus tôt. Année après année, le pionnier a perfectionné sa machine. Douze versions ont vu le jour ! Quelques mois avant de s'envoler d’Étampes, Blériot s'était vu décerner le brevet de pilote n°1 par l’aéro-club de France. Les historiens de l'aéronautique sont formels : son vol entre Étampes et Orléans lui a donné confiance en lui, en son avion. C'est ce qui l'a convaincu de s'attaquer à la Manche. Sur le terrain de Mondésir, une école de pilotage n'a pas tardé à remplacer les champs. Quatre-vingt-dix ans après les premiers cahots de Blériot s'élançant vers Orléans, l'armée a décidé, en 1999, de démonter les derniers hangars de l'ancienne base militaire 251. Aujourd'hui, une stèle posée en janvier 2002 témoigne du glorieux passé de ce site. Un passé né le 13 juillet 1909. Source : Le Parisien https://www.leparisien.fr/essonne-91/13-juillet-1909-bleriot-decolle-d-etampes-16-08-2003-2004315786.php

Aide Louis Blériot à préparer son plan de vol !

INSTRUCTIONS

Ecoute bien les instructions de la tour de contrôle et place toutes les étiquettes sur la carte.

L'entraînement de Louis Blériot.

Louis Blériot1872-1936

5H00

5H55

5H57

5H56

5H58

suivant

Heure d'arrivée ?

villes

drapeaux

13 juillet 1909 : Blériot décolle d’Étampes Par J.V. Le 16 août 2003 à 00h00 Ces histoires insolites ou hors du commun ont défrayé la chronique. Toutes ont un point commun : elles se sont déroulées au beau milieu d'un été tranquille. Pour ce troisième volet de notre série, voici l'un des exploits extraordinaires d'un pionnier de légende, Louis Blériot. CE VOL n'était qu'une répétition avant la traversée de la Manche. Pourtant, le 13 juillet 1909 reste une date majeure dans l'histoire de l'Essonne et de l'aéronautique. A 5 heures du matin, Louis Blériot s'élance d'un champ de la ferme de Mondésir, au sud d’Étampes, à bord de son désormais célèbre Blériot-XI. Plusieurs dizaines de minutes plus tard, il atterrit à Orléans. Il vient de réussir le premier vol de ville à ville. Douze jours plus tard, l'histoire lui ouvre les bras quand il traverse la Manche. Son exploit du vol Étampes - Orléans est l'aboutissement d'une passion née neuf ans plus tôt. Année après année, le pionnier a perfectionné sa machine. Douze versions ont vu le jour ! Quelques mois avant de s'envoler d’Étampes, Blériot s'était vu décerner le brevet de pilote n°1 par l’aéro-club de France. Les historiens de l'aéronautique sont formels : son vol entre Étampes et Orléans lui a donné confiance en lui, en son avion. C'est ce qui l'a convaincu de s'attaquer à la Manche. Sur le terrain de Mondésir, une école de pilotage n'a pas tardé à remplacer les champs. Quatre-vingt-dix ans après les premiers cahots de Blériot s'élançant vers Orléans, l'armée a décidé, en 1999, de démonter les derniers hangars de l'ancienne base militaire 251. Aujourd'hui, une stèle posée en janvier 2002 témoigne du glorieux passé de ce site. Un passé né le 13 juillet 1909. Source : Le Parisien https://www.leparisien.fr/essonne-91/13-juillet-1909-bleriot-decolle-d-etampes-16-08-2003-2004315786.php

Dans la mission "Etampes", Vous allez devoir écouter une bande son , puis replacer différentes étiquettes : - les villes sur les cadres rouges , - les drapeaux sur les carrés gris , - l'heure sur le cadre gris. A chaque fois qu'un élément est bien placé, une coche verte apparait. Si ce n'est pas le cas, c'est que la réponse n'est pas bonne.

La traversée de Louis Blériot en 1909.

Louis Blériot veut maintenant traverser la Manche avec son avion. En écoutant les instructions de la tour de contrôle, tu vas aider Louis à préparer son plan de vol.Es-tu prêt ?

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INSTRUCTIONS

Aide Louis Blériot à préparer son plan de volen écoutant les instructions de la tour de contrôle et ne place que les bonnes étiquettes sur la carte.

La traversée de Louis Blériot en 1909.

5H18

37 KM

heure d'arrivée ?

4H41

villes

drapeaux

sommaire

5H08

5H28

BRAVOmission terminée

Dans la mission "Etampes", Vous allez devoir écouter une bande son , puis replacer différentes étiquettes : - les villes sur les cadres rouges , - les drapeaux sur les carrés gris , - l'heure sur le cadre gris. A chaque fois qu'un élément est bien placé, une coche verte apparait. Si ce n'est pas le cas, c'est que la réponse n'est pas bonne.