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Après plusieurs mois de manifestations populaires, un coup d’État militaire a conduit à l’arrestation du président malien Ibrahim Boubacar Keïta le 18 août 2020. Les membres de la junte à l’initiative de ce changement de pouvoir anticonstitutionnel affirment vouloir organiser une transition politique inclusive en invitant les acteurs politiques et sociaux à participer à ce processus.


► Coup état militaire

Pourtant on peut malheureusement dire que ce n’était qu’un coup d’état comme tous les autres puisque Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a été obligé d’instaurer un embargo au niveau du Mali. En effet, malgré leurs dires, le fait qu’ils aient ôter un régime démocratique pour instaurer une direction militaire montre tout l’inverse. Le 9 janvier, la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao) et l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) ont rudement sanctionné le projet des colonels maliens de prolonger la transition engagée en août 2020. Les échanges commerciaux et financiers sont suspendus, hormis les produits de première nécessité.

La démocratie telle que nous la connaissons trouve ses sources dans l’Antiquité grecque et romaine. De nombreuses cités grecques, notamment Athènes, ont pratiqué ce modèle politique, avec des variantes. Mais par la suite ce régime s’est enrichi de la pensée de philosophes nombreux de tous temps.

Quels sont, dans la cité démocratique, les critères qui distinguent le citoyen de celui qui ne l’est pas ?

Le premier, le plus important, tient en un verbe : « participer ». La participation en commun définit la cité, et, sans participation effective, le citoyen n’est plus lui-même ; il perd sa raison d’être, sociale et politique, son « utilité » au milieu des autres. On parle alors de démocratie participative.


Concernant les savants :


Chez Platon, le régime idéal est une aristocratie où le savoir et la raison dominent. Tous les autres régimes (ploutocratie, démocratie, monarchie, …) sont écartés par Platon car ils négligent la place du savoir. Pour résumé, c'est la théorie de la subjectivité de Platon qui le conduit à une position politique élitiste.

Chez Aristote, le pouvoir vient d'en bas et est exercé au nom de tous. C'est au fond une démocratie assez moderne, où les positions sociales sont ouvertes, où le pouvoir s'auto-contrôle, où la gouvernance est respectée. En cela, Aristote est sans doute le fondateur de l'humanisme politique.

Aristote défend un régime ouvert aux citoyens libres (ce qui exclut bien sûr les esclaves et les barbares) ce qui chez lui est à la fois une condition et une finalité de la démocratie. Pour Aristote, la démocratie repose sur le gouvernement de chacun par tous et de tous par chacun à tour de rôle.

Rousseau y exprime son idéal républicain en plusieurs parties :

  • Renonciation à nos droits naturels au profit de l'État, qui, par sa protection (égalité + liberté)
  • Le peuple tout-puissant sauvegarde le bien-être général contre les groupements d'intérêts
  • La démocratie doit maintenir sa pureté par des assemblées législatives
  • Création d'une religion d'État, ou religion civile.
  • La république romaine (de 509 à 27 av. J.C.) n’est pas une démocratie, mais elle est conçue pour éviter tout retour d’un pouvoir autoritaire à Rome.

Tocqueville :

Pour bien comprendre les conséquences de la méthode tocquevillienne et de sa définition de la démocratie, il faut revenir au début de sa démarche et à la logique des concepts. Pour lui, la démocratie est cette société qui se caractérise par une « égalité des conditions ». En effet, l’égalité des conditions est le « fait générateur dont chaque fait particulier semble descendre » partir de là, Tocqueville étudie comment une société dans son ensemble réagit lorsque prime nouvellement et graduellement, tel un « fait providentiel », une égalité entre ses membres au sein de cet état social.

Comment fonctionne la république française ?


  • La République a été proclamée en France pour la première fois en 1792. Depuis, la France a traversé́ plusieurs révolutions, des coups d’État, et a connu pratiquement tous les régimes politiques. La Constitution actuellement en vigueur est celle de la Ve République, promulguée le 4 octobre 1958.
  • La Ve République consacre la séparation des pouvoirs. Le pouvoir législatif appartient au Parlement, constitué de l’Assemblée nationale et du Sénat. Le pouvoir exécutif est bicéphale : il est partagé entre le président de la République et le Premier ministre, qui dirige le gouvernement. Enfin, le pouvoir judiciaire appartient aux juridictions, telles que le Conseil constitutionnel (qui vérifie la conformité des lois à la Constitution).

En France, la laïcité désigne un ensemble de principes relatifs à la place du fait religieux dans la société. Sur le plan juridique, elle est un principe constitutionnel qui sépare le pouvoir politique des organisations religieuses. La loi de la République, neutre vis-à-vis du fait religieux, garantit la liberté de culte (tant que les manifestations religieuses respectent l’ordre public), proclame la liberté de conscience et assure le pluralisme des opinions religieuses. Ce principe, constitutif de l’égalité républicaine, est résumé par la formule suivante : « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte ».

Oligarchie : système politique dans lequel le pouvoir est détenu par une élite.

Aristocratie : gouvernement d’un petit nombre de personnes considérées comme « les meilleures ».


C'est pas là ; )

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eso no esta aqui

ME. GUIGNARD

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