1 er Partie

Le Début de l'histoire commence avec celle du Passé

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Vous avez pêché ! Bouuhhh !

La photographie est l'un vos passe-temps, qui vous permet de sortir de votre quotidien d'étudiant en médecine.

Exposée le long des remparts de la ville, elle fut très endommagée pendant la Guerre de Cent ans, notamment durant le siège de 1417. Elle est reconstruite pendant et après l'occupation anglaise. De cette époque, date la tour-lanterne octogonale.

Le 1er mars 1780, le parlement de Rouen confirme un arrêt du bailliage de Caen ordonnant le transfert des cimetières urbains en dehors de la ville. En 1784-1785, le cimetière de la paroisse Saint-Étienne est donc transféré vers le Cimetière des Quatre-Nations.

Désaffectée en 1793, elle n'est pas rendue au culte en 1802, l'ancienne abbatiale reprenant le rôle d'église paroissiale. Peu entretenue, l'église menace bientôt de tomber en ruine.

Classée en 1840, elle est fermée au public en 1844 du fait de son délabrement. Menacée de démolition, elle est sauvée in extremis grâce à l'action d'Arcisse de Caumont et d'Antoine Charma. La société des antiquaires de Normandie envisage d'utiliser l’église pour y installer ses collections, mais le musée des antiquaires de Normandie est finalement aménagé dans l'ancien collège du Mont situé à proximité. La ville y entrepose des fragments architecturaux jusqu'à leur dépôt dans le musée en 1926.

Pensez à ouvrir l'œil. Restez attentif

Prenez soin de noter toutes les informations en gras.

En 1944, elle est atteinte par un obus visant une colonne de chars allemands qui stationnaient à proximité. La nef est en grande partie détruite. Depuis cette date, l'église n'a pas fait l'objet de travaux de restauration. Son état de conservation ne permet donc pas son ouverture au public.

Plongé dans vos pensées, vous trébuchez sur une marche....

L'église a probablement été fondée au Xe siècle. Elle est mentionnée pour la première fois dans les chartes octroyées par Guillaume le Conquérant aux deux abbayes caennaises sous le nom de sanctus Stephanus vetus vers 1067.

Style d’architecture : Gothique

Dire la vérité

Cacher la vérité

Où ai-je la tête, veuillez m'excuser, je ne me suis pas présentée, je suis :

Comment vous appelez-vous ?

Sœur Bernadette :

Sœur Bernadette :

Que diriez-vous de rester ici ce soir ?

Sœur Bernadette :

Sœur Bernadette :

Pierre Jourdain :

Pierre Jourdain :

Pierre :

Je travaille pour la Société des Acieries de France en tant que mineur dans une exploitation minière à proximité de Flers. Ils sont actuellement à la recherche de main d'œuvre.

Bonjour,

Que diriez-vous d'aller tous ensemble à la rencontre de vos camarades Pierre.

Je suis Pierre Jourdain. Sœur Bernadette m'a confié que vous seriez potentiellement intéressé par du travail.

Sœur Bernadette :

Bonjour, avez vous bien dormi ?

Sœur Bernadette :

J'ai demandé à un de nos paroissiens s'il peut vous apporter son aide. Il s'appelle Pierre.

Pierre Jourdain :

Sœur Bernadette :

Pierre Jourdain :

Pierre Jourdain :

Eglise

Sœur Bernadette :

Rentrons, à l'église préparez vos affaires

Le groupe de travailleurs :

Permettez moi de vous présenter tout le monde

Soyez bien attentif aux couleurs.

eGLISE

Sœur Bernadette :

Hakim :

Les images ne sont que des prolongations de nos souvenirs.

Le travail est dangereux : il y a de nombreux accidents comme le "coup de grisou" (explosion lorsque le gaz entre en contact avec l'air) mais aussi les maladies respiratoires et la silicose qui est une maladie pulmonaire incurable provoquée par l'inhalation de silice (corps solide présent dans les mines).

Les mineurs étaient classés dans la catégorie T, comme travailleurs de force. Ils avaient accès à des rations un peu supérieures à la catégorie A, celles des adultes. Il existait des cadres connaissant bien les structures. Le charbon est plus que nécessaire en temps de guerre.

Il y avait beaucoup de types de métiers dans une mine que se soit au fond ou en surface. Le travail est pénible (manque d'air, de lumière, positions difficiles) et était à peine supportable à cause d'une demande de rendement de plus en plus importante.

Le travail était mal payé (environ 1600 ancien francs par mois, soit 316.65 euros). Les mineurs travaillaient 6 jours sur 7. Les femmes ne travaillaient pas dans les mines. Les congés payés étaient réglementés par les allemands. Les mineurs pouvaient prendre leurs congés pendant 3 jours consécutifs ou 6 étalés sur toute l'année.

La chute du rendement fut inévitable du fait de nombreux cas de maladies. L'absentéisme était de 8.4% en 1941 et de 18% en 1944 selon le registre d'absentéisme.

Témoignage d'un ancien mineur :

"L'une des restrictions les plus difficiles était le savon. Il n'y en avait pas ou peu en 1943. Le savon était important pour les mineurs. La solidarité était de mise car la demande de rendements était incessante."

Il est à noter que des mineurs réfractaires qui auraient l'idée de faire grève , le feraient au péril de leur vie ( certains finissent fusillés par les allemands ).

Hakim :

Hakim :

But de la STO : Le Service du travail obligatoire (STO) fut, durant l'occupation de la France par l'Allemagne nazie, la réquisition et le transfert vers l'Allemagne de centaines de milliers de travailleurs français contre leur gré, afin de participer à l'effort de guerre allemand.

Entre 1942 et 1944, Sauckel va exiger près de 2 000 000 de travailleurs français. Le gouvernement de Pierre Laval, soumis à d’énormes pressions, accepte, dans la logique de la collaboration d’état de couvrir par des lois françaises (dont celles du STO) les exigences de Sauckel.

L'abréviation maladroite SOT, suscitant les railleries, est remplacée au bout d’une semaine par STO. Avec la mise en place du STO, le recrutement se fait désormais par classes d’âges entières. Les classes “1940”, “1941” et “1942” (la plus touchée) ont l’obligation de partir travailler en Allemagne (ou en France), s’agissant d’un substitut au service militaire.

Le Parti populaire français (PPF) de Jacques Doriot met quant à lui sur pied en 1944, des groupes d’action pour la justice sociale chargés de traquer les réfractaires. Ces derniers partent en majorité rejoindre les maquis dans plusieurs départements (Le Jura, l’Auvergne, le Limousin…).

4 informations se profilent à l'horizon... ( Affiche de gauche)

Accroitre la flamme de l'espoir avec la lueur de la liberté.

Afin d'inciter les Français à partir travailler en Allemagne . Le gouvernement Allemand proposera de libérer 1 prisonnier de guerre contre 9 travailleurs volontaires.

Aleksandra :

Hakim :

Il y a sur cette table des tickets de rationnement pour vous représentant :

100 g de riz | 125 g de pâtes | 250 g de sucre | 700g de viande | 200g de matière grasses | 140 g de fromage | 3.850 kg

Pendant l'occupation Allemande, un système de rationnement a été mis en place pour le peuple français.

Durant cette occupation, un adulte a droit en moyenne à :

Par mois :

200 g de Riz

250 g de Pâtes

500 g de sucre

Par semaine :

350 g de viande

100 g de matière grasse

70 g de Fromage

Par jour :

275 g de Pain

Cela peuvent varier selon son âge, son activité et son lieu de résidence. Les proportions ici sont celles qui été en vigueur pour un Parisien.

Attention jeu caché. il vous donnera un indice.

Aleksandra :

Règlement pour les Juifs :

• 7 juin 1942 - huitième ordonnance allemande

Document original parlant des restrictions mises en place par les Allemands sous l'occupation.

Document original parlant des restrictions mises en place par les Allemands sous l'occupation.

Entre 1939 - 1940 :

La communauté juive était séparée en deux groupes, ceux possèdent la nationalité française et les réfugiés étrangers contraints de fuir la misère ou l'antisémitisme ambiants dans leurs pays d'origine (Allemagne, Autriche, Pologne...). À cette époque, il y a très peu de Juifs en Normandie (entre 3 000 - 4 000) c'est pourquoi il n'y a que 3 synagogues dans la région : à Rouen, au Havre et à Elbeuf, néanmoins les familles sont bien intégrées.

Au début de l’Occupation, les autorités allemandes ou de Vichy n’envisagent pas l’extermination des juifs. Mais tous deux se rejoignent pour les considérer comme des parias. D’où une série d’ordonnances allemandes et françaises qui visent à les mettre progressivement au ban de la société.

D’abord, il pose une définition du juif qui, est "regardé comme juif" tout individu dont trois grands-parents étaient de "race juive" ou deux seulement si son conjoint est juif. Qu'importe si l’individu ne pratique pas la religion, ou s’il est baptisé.

Entre le 3 octobre 1940 et 2 juin 1941 :

Le 3 octobre 1940 : le 1er "statut des juifs" est promulgué sous le gouvernement Laval, les excluant notamment de la plupart des fonctions publiques. Les emplois subalternes restent ouverts aux hommes à condition qu’ils aient des titres militaires. Les femmes juives dans l’administration sont de fait exclu de toutes les fonctions publiques. Au total, 3 000 juifs et juives ont été licenciés en application du statut des juifs.

(Plus tard, Vichy promulgue deux statuts des juifs qui les excluent de toute une série de métiers, particulièrement l’armée, l’administration et les professions culturelles.)

Dès le 4 octobre 1940, les préfets sont autorisés à interner les Juifs dans des camps spécifiques.

Le 22 octobre 1940 : la Feldkommandantur demande au préfet de faire appliquer un tampon "juif" ou "juive" sur les papiers d'identité des juifs résidant dans son département, il est alors demandé aux Juifs d'aller se déclarer à la mairie de leur ville.

Fin janvier 1941, la délégation régionale de la police aux "Questions juives" (à Rouen) demande aux préfets de mettre les Juifs en fiches pour la Sicherheitzpolizei.

De plus, leurs entreprises sont « Aryanisées ». Traduction : elles sont fermées et confisquées pour être mises en vente ou liquidées. Les Allemands recherchent l’asphyxie économique des juifs.

En mai 1942, les israélites doivent coudre sur le côté gauche de leur vêtement une étoile jaune. L'occupant les contraint à faire leurs courses uniquement l’après-midi, à une heure où il ne reste quasiment rien dans les magasins d’alimentation.

À ce moment de l’année, les nazis mettent en place un objectif effroyable : arrêter et détruire tous les Juifs d’Europe.

En novembre 1938, le correspondant en Allemagne du quotidien britannique, The Daily Telegraph, signale que des plaques spéciales sont déjà apparues sur les portes de médecins juifs. De couleur bleu clair, ces plaques portent au coin à gauche une étoile de David de couleur jaune et l'inscription « Autorisé seulement à soigner des malades juifs ».

L'étoile des Juifs ou l'étoile de David :

L'étoile jaune est mise en place par un décret du 1er septembre 1941, signé par Reinhard Heydrich qui est à la tête de l’Office central de la sûreté du Reich.

Elle doit se porter de manière bien visible chaque fois qu'ils (les juifs) se montrent en public, sans quoi ils s'exposent, même par négligence, à une amende ou de la détention.

Dans sa finalité, l'étoile se veut une adaptation du principe de la rouelle de 1215 dont elle reprend la couleur, le jaune, symbole de trahison ou de folie aux yeux des chrétiens du Moyen Âge.

En France, des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, sont pourchassés et persécutés dans chaque ville et village.

La France a collaboré à l'opération planifiée par les nazis d’extermination systématique de populations définies et désignées en tant que telles qui s'est traduite par près de 6 millions de victimes raciales en Europe.

D'abord exclus, internés et expulsés, environ 74 000 Juifs seront déportés de France vers l'Est et exterminés. Très peu survivront.I

Mon cher ami,

Partir dans

Partir dans la soirée

Vous arrivez devant la porte de vos amis

La porte est ouverte

Vous arrivez devant la porte de vos amis

La porte est ouverte

Il n'y a pas de traces d'effraction...

Journal ! Journal !

Vendeur de Journaux :

Vendeur de Journaux :

Celle qui habitait ici ?

Vendeur de Journaux :

Hier dans la journée, j'ai vu une famille avec leur nouveau-né partir avec des soldats.

Vendeur de Journaux :

Hé ! Monsieur ! Monsieur ! Tout vas bien ?!

Hé ! Monsieur ! Monsieur ! Tout vas bien ?!

Le secret c'est d'y aller lentement

Recto

Verso

15 - 14 = A

Notez bien ce code.

Quand êtes-vous arrivé ?

Pour faire face à toute éventualité, vous devez savoir quelle somme vous a été versée pour Juillet.

Vous arrêtez de travailler 1 jour avant votre arrivée au domicile de vos amis.

Petit rappel : les ouvriers travaillait 6 Jours sur 7.

Pour calculer le salaire qui vous a été versé ce mois-ci :

Le salaire mensuel d'un ouvrier / Nbre de jours travailler dans le mois = somme par jours (arrondir au 0.01)

Somme par jours x Nbre de jours que vous avez travaillés = Salaire gagné ce mois-ci

Pour faire face à toute éventualité, vous devez savoir quelle somme vous a été versée pour Juillet.

Vous arrêtez de travailler 1 jour avant votre arrivée au domicile de vos amis.

Petit rappel : les ouvriers travaillait 6 Jours sur 7.

Pour calculer le salaire qui vous a été versé ce mois-ci :

Le salaire mensuel d'un ouvrier / Nbre de jours travailler dans le mois = somme par jours (arrondir au 0.01)

Somme par jours x Nbre de jours que vous avez travaillés = Salaire gagné ce mois-ci

Montrer sa photo, portera peut-être ses fruits.

Montrer sa photo, portera peut-être ses fruits.

Vous rencontrez J. Etienne

Il nous confie aussi qu'il a participé à une mission de sabotage à Airan

Dés l'été 1940, se constituent des réseaux comme le groupe Morpain au Havre. Les jeunes préféraient le patriotisme tout simplement aux discours de Londres.

Les réseaux correspondent à des organismes à but militaire (renseignements).

Peu après, l'installation des allemands dans la région, un ouvrier agricole, Etienne Achavanne passe à l'action deux jours avant l'armistice du 22 Juin 1940 (sabotage des lignes téléphoniques).

Les mouvements se consacrent à la propagande à destination de la population comme les tracts, journaux etc...

Les maquis sont des secteurs ruraux où se réfugient les résistants.

Il y a trois informations à trouver dans ce décor et un mini-jeux.