génialy
Chloé.D
Created on March 7, 2022
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Transcript
J’aime les nuits de pluit, le rose, dessiné avec quelqu’un, courir dans les champs, exploré, l’anglais, les animaux, les personnes bien habillés, les musiques fortes, sortir dehors avec des amis, les fleurs, mangée, l’eau, crée des histoires, les cours de maths de Mme.dib le soir avec le soleil qui rentre dans la classe, les cheveux coloré, dormir pendant la journée, les cours de Mme.Alin , les chaussures à plateformes, décoré des choses, les grandes forêts, le rose, les jours de printemps, dansé sur de la musique forte, les robes avec des jupons, les cours d’histoire ou on écoute juste la professeure expliqué des évènements, parlé sur discord tard le soir, les voyages en car ou en voiture avec des amis.
Je n’aime pas l’espagnol, le orange, les gens qui parlent très fort, l’humidité, quand il fait froid, Les cours de sports ont on fait courses d’orientation ou piscine, la viande rouge, les personnes fermés d’esprit, les hommes politique qui donnent leurs avis sur des sujets qui ne les concerne pas, les profondeurs de l’océan, les endroits bondé, le patriarcat, aller chez des gens que je ne connais pas, être forcer à faire la bise, quand on me réveille le matin alors que je peux encore dormir, être bousculé dans la rue, avoir espagnol le matin, être forcer à interagir avec d’autres personnes que je n’aime pas.
Parfois, dans un élan d’ennui, j’ouvre des tiroirs et des cartons que je n’ai pas touché ni même pris le temps de regarder depuis si longtemps que je ne me souviens même plus de leurs contenus. Machinalement, je sors des paquets de photos, d’albums et de vieux objets qui fut un temps nécessaires à la petite fille incompréhensible que j’étais. La plupart sont des livres que j’ai dut lire des centaines de fois pour combler l’ennuie. Ressortir d’anciens jouets me rend toujours très nostalgique de l’époque où je passais des après-midis à mettre en scène poupées et figurines pour alimenter mon imagination. Je n’étais pas du genre à trainer partout mes jouets, je leurs donnaient une place bien spécifique et les observait crée devant mes yeux des histoires des plus rechercher. Revoir les photos ne me procure pas le bonheur attendu par la plupart des personnes, parfois il est préférable de ne pas regarder en arrière. Je me retrouve souvent bloqué devant certaines photos aspiré par l’évènement reliés avec, les photos prisent dans la maison de mes grands-parents paternels ont des histoires variés. Mais celles où je reste le plus longtemps bloqué a très certainement marqué l’enfant que j’étais, car je me souviens au contraire du reste de mes souvenirs chaque sensations que j’ai pu ressentir.
Les vacances d’été sont déjà bien démarrer, comme d’habitude c’est en août qu’ont part au Portugal (Lieu natale de mes parents) parce-que maman dis qu’il fait plus beau. C’est vrai qu’il fait très chaud, sur la route qu’on fait en voiture (parce-que papa ne fait pas confiance à l’avion) il fait tellement chaud qu’on a l’impression de fondre ! Il fait presque aussi chaud la bas mais beaucoup moins que dans la voiture. Aujourd’hui je suis du côté de la famille de mon papa, on ne les voit pas souvent maman dit que c’est parce-qu’ ils sont occupé, moi je pense juste qu’ils ne nous aiment pas. Ils ont un jardin immense (on dirait une maison de riche) avec des fontaines et des arches comme chez les romains ! Moi je pense que l’intérieure de la maison fait peur, il y a beaucoup d’escaliers et ce n’est pas très bien éclairé. A quoi ça sert que l’extérieur sois super beau mais que l’intérieur ressemble à un film d’horreur ? Maman dit que c’est pas très poli de dire ça, mais de toute manière ils ne comprennent même pas le français, sauf papi, lui je l’aime bien il est trop géniale ! Je ne le vois pas souvent parce qu’il va beaucoup à l’hôpital. Papi il a un chien qui a le même bouton sur le front que lui, moi je l’aime bien le chien mais tous le monde fait comme si il n’était pas là. Il est dans une cage tous seul, j’ai dit à maman que ce n’était pas gentil pour le chien et que si ils n’en voulaient pas je pouvais l’adopter. Maman elle n’aime pas quand je dis ça parce-que ce n’est pas poli (elle pense vraiment trop à la politesse) selon elle le chien est très heureux, je ne la croie pas mais je n’ai pas vraiment le choix c’est elle qui commande à la maison.
La maison du côté paternel je ni suis pourtant pas allé très souvent mais elle est assez claire dans ma mémoire. En temps qu’enfant je n’ai jamais su déterminé sir j’aimais ou pas cette maison. Mais eux mieux il était clair que je n’en aimais pas la pluparts de ses habitants. Même si le souvenir de mon grand-père est relativement un bon souvenir, c’est sur ce même sol que j’ai expériencé un évènement qui restera dans ma mémoire pendant très longtemps. Un souvenir remplis d’adrénaline, de peur et d’injustice.
Comme les autres jours il fait très chaud, l’intérieur de la maison n’est pas adapté pour les enfants donc je reste dans le jardin. J’ai emmené avec moi un petit sac de jouet pour m’occuper. Je joue donc calmement sous les arches du jardin. Maman a placé un tapis pour moi car en raison de la température le marbre qui recouvre le sol peut s’avérer brulant dans certaines zones. Dans le calme presque irréelle de la campagne un son vient perturber l’harmonie. C’est un crie. Mon instinct et l’expérience tous mes sens sont immédiatement mis en alerte. Je sais très bien qui a crié, c’est mon père. Je n’ai aucune idée de la raison de son crie. Je n’ai rien fait. Je le vois sortir dans le jardin, par reflex j’esquive ça mains de justesse. Malgré notre lien familial, chaque mouvement me fait peur. Je quitte la terrasse pour continuer ma course dans le jardin. J’entends mon père qui crie mon nom pour une raison qui m’est inconnue. Le vent fouette mes joues, je dois régulièrement tourner la tête pour reprendre ma respiration. Les dalles de marbres me brulent les pieds, mais je ne fais pas attention à la douleur. Tous mon corps est contrôlé par l’adrénaline mélangé à la peur. J’ai l’impression de courir depuis une éternité. Sans m’en rendre compte je me suis rendu vert la partie du jardin qui donne sur la maison de ma tante. Dans un élan d’espoir je crie son nom, comme un miracle elle sort et comprend ma situation. Je donne mes dernières forces pour aller vers elle. Ma tante me prend dans ses bras et écarte mon perds d’un geste de mains accompagné d’un juron portugais que je ne comprends pas.
Je me fais pitié. Je sais très bien que déjà étant petite je n’ai jamais eu une image positive de mon père. Mais dans la naïveté de l’enfant j’ai donné tellement de chance que c’est devenu une banalité. Il me suffisait d’un moment semblable a de la joie. Une joie éphémère qui n’aura jamais la capacité d’effacé des années de négligence, de peur et de solitude. J’ai déjà fermé cette partie de ma vie par une action simple mais qui m’a voué aux regards de travers de ma famille. Faire une croix sur ce que j’ai longtemps osé appeler mon père.
Je me souviens des bracelets en élastiques qu’on vendait en primaire, je me souviens des modes du slime et du handspinner, des échanges de cartes pokemon, des jeux de mains comme trois petits chats ou meli melo, des résumé de violeta ou soy luna dans la cours, des mariage au fond de la cours, des zouzou pet.