Immunité adaptative
maxime elleouet
Created on March 7, 2022
More creations to inspire you
LET’S GO TO LONDON!
Personalized
SLYCE DECK
Personalized
ENERGY KEY ACHIEVEMENTS
Personalized
CULTURAL HERITAGE AND ART KEY ACHIEVEMENTS
Personalized
ABOUT THE EEA GRANTS AND NORWAY
Personalized
DOWNFALLL OF ARAB RULE IN AL-ANDALUS
Personalized
HUMAN AND SOCIAL DEVELOPMENT KEY
Personalized
Transcript
Consignes:
- Vous devez respectez les différentes consignes qui vous seront indiquez sur les différentes pages.
- Prenez des notes sur les analyses de documents que vous réaliserez.
- Sur chaque page vous devez cliquer sur des documents ou des textes afin d'ouvrir de nouvelles fenêtres. Pensez donc à déplacer votre souris!!!
- Lors du cours suivant ce travail, vous aurez un QCM portant sur les informations des différents documents.
Bon courage!
1
2
Vous devez dans un premier temps décrire ce graphique afin de bien comprendre l'organisation de la réponse immunitaire.
4
3
2
Un agent pathogène vient de pénétrer dans un organisme.
La réaction immunitaire innée se met en place suite à la détection de cet agent pathogène par les cellules sentinelles (cellules dendritiques, macrophages et mastocytes).
Après avoir phagocyté un cellule pathogène, les cellules dendritiques récupèrent les antigènes de la cellule pour les associer à leur molécule du CMH et deviennent ainsi des Cellules Présentatrices d'Antigènes (CPA)
Vous pouvez cliquer sur la cellule dendritique si vous avez besoin d'un rappel sur la formation d'une CPA. Dans le cas contraire :
1- Cliquer sur "Le rôle des Lymphocytes" et analyser les expériences qui vous sont présentées.
2- Cliquer sur le Lymphocyte TCD4 puis sur le Lymphocyte TCD8 et enfin sur le Lymphocyte B.
Pour chaque Lymphocyte vous disposez d'informations pour comprendre leur activation, et leur mode d'action.
Expérience d'Emile von Behring
Lorsqu'un lymphocyte TCD4 est activé par une CPA, il va dans un premier temps entrer dans une phase de mitose "intensive" et ainsi former un clone cellulaire afin de lutter efficacement contre l'infection. C'est l'amplification clonale.
Une partie de ce clone va se différencier en LTCD4 Mémoire (longue durée de vie).
Une autre partie va se différencier en LT auxiliaire dont le rôle est de produire des interleukines.
C'est la différenciation clonale.
II existe dans l'organisme des centaines de millions LT CD8, de LT CD4 et de LB, à l'état dormant, se distinguant par leurs récepteurs membranaires (anticorps pour les LB et récepteurs T pour les LT). Un lymphocyte porte à sa surface un grand nombre de récepteurs tous identiques et spécifiques d'un antigène donné. Chaque type de lymphocyte constitue un clone de quelques milliers d'exemplaires.
Un antigène pénétrant dans l'organisme est reconnu par un (ou des) clone(s) de lymphocytes spécifiques.
La reconnaissance et la fixation de l'antigène au récepteur déclenche l'activation des lymphocytes sélectionnés. On parle de sélection clonale. Les Lymphocytes T reconnaissent l’antigène dont ils sont spécifiques uniquement s’il leur est présenté par une CPA.
L'activation des LTCD8 se fait de la même manière que celle des LTCD4. Une CPA vient dans un ganglion, au contact d'un LTCD8 spécifique de l'antigène qu'elle porte.
Une fois activé, les LTCD8 vont être stimulés par des interleukines produites par les LT auxiliaires.
Suite à l'activation par la CPA les LTCD8 sont stimulés par les interleukines produites par les LT auxiliaire.
Ces interleukines permettent aux LTCD8 de réaliser l'amplification clonale puis la différenciation clonale.
Une partie des LTCD8 se différencie en LTCD8 mémoire.
L'autre partie se différencie en LT cytotoxique.
Activation des Lymphocytes B
Les lymphocytes B circulent dans l'organisme. Lorsqu’un LB rencontre le pathogène dont il est spécifique, les anticorps qu’il possède au niveau de sa membrane se fixent sur les antigènes du pathogène. Le pathogène est alors phagocyté et le LB associe un antigène à une molécule du CMH et les présente sur sa membrane. Lorsque le lymphocyte B gagne le ganglion lymphatique où se trouvent les lymphocytes T auxiliaires spécifiques de ce pathogène le complexe antigène-CMH est reconnu par le récepteur T de ces lymphocytes T auxiliaires. C'est cette interaction qui permet la sélection des lymphocytes B portant un anticorps membranaire spécifique du pathogène puis leur prolifération et leur différenciation en plasmocytes.
Le rôle des Lymphocytes cytotoxiques
Une partie des lymphocytes B se différencient en plasmocytes. Le rôle des plasmocytes est de produire des anticorps afin d'immobiliser les cellules pathogènes. On observe la formation d'un complexe immun qui facilite la phagocytose par les macrophages.
Les LT cytotoxiques sont des LT CD8 capables de détecter les cellules infectées ou anormales grâce à leurs récepteurs T. Il s'agit de protéines ancrées dans leur membrane.
La fixation d'un LTC à une cellule infectée est suivie d'une série d'événements conduisant à la destruction de la cellule cible. Les LTC, après s'être accolés à la cellule cible, libèrent des protéines (perforines) qui provoquent la formation de pores dans la membrane plasmique de la cellule cible, permettant ainsi l'entrée d'autres molécules qui déclenchent l'apoptose de la cellule, c'est-à-dire sa mort par fragmentation de l'ADN, du noyau et du cytoplasme. Il se forme alors de petites vésicules qui seront éliminées par des phagocytes.