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La troisième République avant 1914 : un régime politique, un empire colonial.

Malgré les oppositions qu'elle rencontre, comment la Troisième finit-t-elle par regrouper la majorité des Français autour d'un projet politique commun ?

Le bouton permet de passer à l'étape suivante tout au long de ce genially.

Nous présentons le sujet selon 3 axes.
Pour chacun, vous pourrez choisir le point de vue de plusieurs personnes.
Chaque point de vue apporte un éclairage différent sur les évenements produits entre 1870 et 1914 et cela permet d'expliquer les idées que Fabien Fabiano évoque dans sa lithographie, "En Alsace-la première leçon" d'aout 1914.

Axe 1: une mise en place compliquée

Les événements qui conduisent à la mise en place de la 3e République en 1879.

Préferez-vous le point de vue de....

OU

Un parisien

Napoléon III

Point de vue d'un parisien: l'aboutissement de la "semaine sanglante"

Dégradation des conditions de vie des parisiens dûe à une mise en place par Adolphe Thiers et l'Assemblée d'impôts
Aggravée par la fuite du gouvernement à Versailles qui correspond à un affront pour les républicains.

Echec de la médiation de la part des modérés entre Versailles et Paris: cela conduit à un conflit militaire.

Le 2 Avril 1871; le gouvernement attaque Paris, défendu par la garde nationale pour reprendre le control.

A partir du 21 Avril 1871, Adolphe Thiers impose un blocus férroviaire à Paris qui cause alors une importante famine dans tout Paris. C'est le 2nd siège de Paris. Les Communards décident donc de réactiver la plupart des mesures mises en place lors du premier siège.

Le 21 Mai 1871, l'avant-garde des troupes versaillaises pénètre Paris. Ainsi commence la "Semaine sanglante": 120 000 hommes de l'armée régulière sont envoyés par Adolphe Thiers contre quelques miliers de soldats fédérés. Les obus s'abattent sur Paris et les flammes emportent les Tuileries, le Palais de Justice et l'Hotel de Ville.

Adolphe Thiers

EN 1870, la Pruce veut unifier les l'Allemagne en faisant rejoindre la mosïque d'Etats indépendant d'Allemagne dans sa Conféderation d'Etats du nord. Mais, depuis 1866, la France empeche les Etats du sud de la rejoindre. Ainsi, une guerre Franco-prussienne éclate. La France est seule, sans aucun allié contre La Pruce. La guerre commence par une défaite importante de la France le 4 aout à Wissembourg. On se rendra vite compte de l'inégalité des armées. En effet, les Français comptent 375 000 soldats expérimentés, tandis que les Prussiens sont 800 000, s'y ajoutent 200 000 Baravois, Wurtembergeois et Badois. Et elle finira par la bataille de Sédan le 1er septembre 1870 qui sera décisif puisque les Français auront encore une fois perdus. Cette bataille a pour conséquences: la fin de l'Empire Français et la naissance d'une nouvelle nation. La France perdra l'Alsace sauf Belfort, les Vosges et une partie de la Lorraine.

Point de vue guerre franco-prucienne : point de vue de des soldats

Point de vue de Napoléon III: la guerre franco-prussienne

Grâce à la neutralité française, la Prusse de Bismarck a pu battre en 1866 l'Autriche et ses alliés les États allemands du Sud. Ceux-ci ont pourtant échappé, grâce à la France, à l'obligation de s'unir à la Prusse. Du fait de cette neutralité, Napoléon III réclame une récompense pour son attitude amicale envers la Prusse puis envers les Allemands du sud. Il veut annexer les villes allemandes de Landau, de Sarrelouis et de Luxembourg. Ces demandes provoquent l'hostilité de tous les allemands. Napoléon III doit renoncer. Ainsi, à partir de 1866, la France empeche les Etats du sud de l'Allemagne de rejoindre la Confédération de l'Allemagne du Nord formée autour de la Prusse. Celle-ci décide de livrer bataille contre la France. Le 9 Janvier 1870, une guerre franco-prussienne éclate. La France est seule,sans aucun allié, contre la Prusse. Elle commence avec la défaite des français à Wissembourg et finira par une dernière défaite des français à Sédan le 1er septembre 1870.

La guerre se termine avec la défaite de la France, Napoléon III est capturé et un traité de paix est signé à Francfort: celui_ci ampute l'Alsace sauf Belfort, une partie de la Lorraine et les Vosges du territoire français. Cette défaite conduit à la fin du 2nd empire.

Napoléon III

Axe 2: une mise en place progressive

Quels changements principaux apportent la mise en place de la 3e République entre 1879 et 1892 ?

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OU

OU

Victor Hugo

Le MAire de Lyon

Un

enfant

Point de vue d'un maire d'une ville: extension des idées républicaines

La diffusion des idéaux républicains passe par plusieures évolutions importantes. La première concerne l'organisation des communes: le 4 Avril 1884, Jules Ferry proclame la loi municipale, qui instaure l'élection de tous les maires par des conseils municipaux sauf à Paris. Ces maires servent de relais à la communication des objectifs républicains, en particulier la reconquête de l'Alsace et la Lorraine perdus après la guerre. La diffusion va aussi être permise par les écoles et le service militaire, en particulier dans les campagnes car de nombreuses villes, comme par exemple Paris, Rennes, Limoges... sont des grandes villes déjà acquises aux républicains. Enfin ces idéaux s'affichent via des monuments (place de la République) ou via des devises inscrites sur les bâtiments publics

"

Je veux que la République ait deux noms : qu'elle s'appelle Liberté, et qu'elle s'appelle chose publique.

"

Victor Hugo

Point de vue d'un écrivain

Point de vue de Victor Hugo : un nouveau régime parlementaire

De nombreux écrivains décident de prendre parti, notamment Victor Hugo qui devient le symbole de la lutte de la République contre l'Empire en prenant position en toute occasion.


Lors de la 2e Republique, qui ne dure que quelques années, Victor Hugo acquiert la conviction que la république est la seule forme de gouvernement permettant d'avancer des idées progressistes. Il sera l'opposant le plus célèbre à Napoleon III pendant le 2nd empire et sera élu sénateur dans la 3e République.

La 3e République, voulue par Victor Hugo, permet d'équilibrer les pouvoirs et contre-pouvoirs contrairement à l'empire. Elle repose en effet sur un parlement à deux chambres (chambre des députés et sénat) et le pouvoir executif appartient au président de la République et au président du Conseil. Ce système repose sur des élections, ce qui constitue un progrès important.

Point de vue des enfants: les lois Ferry et les progrès importants dans l'éduction

Le 16 Juin 1881, Jules Ferry rend l'enseignement primaire gratuit. Le 28 Mars 1882, il devient obligatoire. Ces lois permettent d'avoir une instruction morale et civique pour le plus grand nombre afin de diffuser le modèle républicain dès le plus jeune âge.


Concernant le contenu de l'enseignement, il comprend de la géographie et l'histoire pour promouvoir l'identité française, des matières aujourd'hui disparues comme un parcours militaire pour les garçons et des travaux manuels comme de la couture pour les filles. Les élèves ont le droit à un jour de congé pour aider leurs parents aux champs.

Jules Ferry

Axe 3: renforcement du projet républicain malgré la résistance

Comment le projet républicain, souvent contesté, est consolidé entre 1892 et 1914 ?

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OU

Un membre de l'Assemblée

Un pretre

Conséquences

Les deux conséquences majeures de la loi de 1905 sur la séparation de l'Eglise et de l'Etat sont le fait que les religieux ne sont plus rémunérés par l'Etat, qui n'a plus d'influence non plus sur leur nomination. Par ailleurs, les biens détenus par les Eglises deviennent la propriété de l'Etat. A noter que les religions deviennent de plus en plus indépendantes du pouvoir; car les ministres du culte n'ont plus à rendre compte de leur action auprès de l'administration. Cette loi est aussi rentable au niveau financier. En effet, les édifices d'avant 1905 sont entretenus par l'Etat, ceux construits après sont la propriété de l'Eglise mais doivent etre financés sans argent de l'Etat.

De nombreux catholiques refusent cette loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Le Pape en premier lieu qui condamne cette dans une lettre addréssée aux éveques (encyclique) intitulé "Vehementer nos". Pour établir les édifices et les biens qui reviendront à l'Etat, il convient de procéder à des inventaires,recensement des biens des Eglises fait par l'Etat, avant leur attribution aux associations culturelles qui les auront en charge. De nombreux incidents éclatent, notamment en Bretagne et au sud de l'Auvergne où le clergé résiste à ces inventaires, souvent avec le soutien de la population. Rapidement, le gouvernement abandonne ces inventaires. Les catholiques n'acceptent cette loi qu'en 1924.

Opposants

Point de vue du clergé: mise en place de la laïcité en France

Point de vue d'un membre de l'assemblée: mise en place de la laïcité en France

Au début du XXe siècle, la France est profondément divisée sur la question religieuse. Pour résoudre le problème des relations de l'Etat et de l'Eglise, une loi de séparation de l'Eglise et l'Etat est votée en 1905. Cette lutte pour la laïcité commence lorsque l'anticléricalisme ( lutte acharnée contre la religion ) se développe dans les années 1880-1890 en France à travers des revues et des caricatures. De plus, au début du XXème siècle les républicains l'accentuent, sous l'impulsion d'Emile Combes, Paul Bert ou Ferdinand Buisson.Le gouvernement décide en 1904, de mettre en place des mesures radicales comme par exemple débaptiser les rues portant un nom de saint ou encore fermer toutes les écoles religieuses. Pour apaiser les tensions et garantir la liberté de conscience tout en continuant l'oeuvre de laïcisation de la société française, Aristide Briand propose une loi de séparation des églises et de l'Etat. Celle-ci est votée le 9 Décembre 1905 et permet alors d'affirmer la liberté de conscience mais aussi le libre exercice des religions, c'est donc une garantie pour les croyants. De plus, elle soustrait alors l'école à l'influence des Eglises car l'instruction religieuse n'est plus que dans les établissements privée. Les proffesseurs ne sont plus du clerjé.

Aristid Briand sur les tribunes de l'Assempblée en 1905

" Je suis, et tous les protestants avec moi, pour la laïcisation complète de l'État. L'État n'a pas, par fonction, à distribuer aux citoyens les vérités ou les erreurs de la religion. Il est sur un autre terrain : ce qu'il distribue, c'est la justice, la liberté, le bien-être. La religion est affaire de conscience, l’affaire de la conscience individuelle. L'État n'a qu'à s'abstenir complètement de toute participation et de toute action dans le domaine religieux, et il a le droit et le devoir d'exiger en retour des Églises qu'elles ne se mêlent pas de vouloir le dominer, de le façonner à leur gré. "

Pasteur Louis Lafon, article « Le Siècle », 1905.

Récapitulatif

2

3

4

5

1

1

4

4

1

7

6

La guerre franco-prussienne

Grâce à la neutralité française, la Prusse de Bismarck a pu battre en 1866 l'Autriche et ses alliés les États allemands du Sud. Ceux-ci ont pourtant échappé, grâce à la France, à l'obligation de s'unir à la Prusse. Du fait de cette neutralité, Napoléon III réclame une récompense pour son attitude amicale envers la Prusse puis envers les Allemands du sud. Il veut annexer les vilkles allemandes de Landau, de Sarrelouis et de Luxembourg. Ces demandes provoquent l'hostilité de tous les allemands. Napoléon III doit renoncer. Ainsi, depuis 1866, la France empeche les Etats du sud de l'Allemagne de rejoindre la Confédération de l'Allemagne du Nord formée autour de la Prusse. Celle-ci décide livrer bataille contre la France. Le 9 Janvier 1870, une guerre franco-prucienne éclate. La France est seule, sans aucun allié, contre la Pruce. La guerre commence par une défaite importante de la France le 4 aout à Wissembourg. On se rendra vite compte de l'inégalité des armées. En effet, les Français comptent 375 000 soldats expérimentés, tandis que les Pruciens sont 800 000, s'y ajoutent 200 000 Baravois, Wurtembourgeois et Badois.

La guerre se termine avec la défaite de la France à Sédan le 1er septembre 1870, Napoléon III sera capturer. Un traité de paix sera signé à Francfort, celui_ci ampute l'Alsace sauf Belfort, une partie de la Lorraine et les Vosges du territoire français.

Lois Ferry

16 Juin 1881

= loi de gratuité de l'enseignement primaire

29 Juillet 1881

= loi sur liberté de presse

28 Mars 1882

= enseignement primaire est obligatoire

5 Avril 1884

= loi munipale

Cette loi permet d'avoir une instruction morale et civique pour les écoliers afin de faire entrer le modèle républicain dans leurs esprit. Mais aussi, la géographie, pour se repérer, des travaux manuels, un parcours militaire pour les garçons et de la couture pour les filles, pour en faire de parfaite domestiques. Et enfin, les élèves ont le droit à un jour de congé pour aider leurs parents au champ.

Loi municipale : Tous les maires sont élus par des conseils municipaux sauf à Paris.

Les causes de la "Semaine sanglante"

Un agravement des conditions de vie des parisiens apparait à cause des mesures mises en place par Adolphe Thiers et l'Assemblée sur les paiements des loyers ou suppression. Mais aussi lorsque les gouvernement quitte Paris par peur d'etre tué qui est alors perçu comme un véritable affront pour les républicains. Les modérés assurent une médiation entre Versailles et Paris mais en vain, un conflit militaire est créé. Le 2 Avril le gouvernement attaque Paris, défendu par la garde nationale pour reprendre le controle. A partir du 21 Avril 1871, Adolphe Thiers impose un blocus férroviaire à Paris qui cause alors une importante famine dans tout Paris. C'est le 2nd siège de Paris. Les Communards décident donc de réactiver la plupart des mesures mises en place lors du premier siège. Le 21 Mai 1871, l'avant-garde des troupes versaillaises pénètre Paris. Ainsi commence la "Semaine sanglante", 120 000 hommes de l'armée régulière sont envoyés par Adolphe Thiers contre quelques miliers de soldats fédérés, beaucoup d'obus et de flammes emportent les Tuileries, le Palais de Justice et l'Hotel de ville.

Adolphe Thiers

L'extention des idées Républicaines

La diffusion des idéaux républicains passe par plusieures évolutions importantes. La première concerne l'organisation des communes: le 4 Avril 1884, Jules Ferry proclame la loi municipale, qui instaure l'élection de tous les maires par des conseils municipaux sauf à Paris. Ces maires servent de relais à la communication des objectifs républicains, en particulier la reconquête de l'Alsace et la Lorraine perdus après la guerre. La diffusion va aussi être permise par les écoles et le service militaire, en particulier dans les campagnes car de nombreuses villes, comme par exemple Paris, Rennes, Limoges... sont des grandes villes déjà acquises aux républicains. Enfin ces idéaux s'affichent via des monuments (place de la République) ou via des devises inscrites sur les bâtiments publics

Mise en place de la laïcité en France

Au début du XXe siècle, la France est profondément divisée sur la question religieuse. Pour résoudre le problème des relations de l'Etat et de l'Eglise, une loi de séparation de l'Eglise et l'Etat est votée en 1905. Cette lutte pour la laïcité commence lorsque l'anticléricalisme ( lutte acharnée contre la religion ) se développe dans les années 1880-1890 en France à travers des revues et des caricatures. De plus, au début du XXème siècle les républicains l'accentue sous l'impulsion d'Emile Combes, Paul Bert ou Ferdinand Buisson et le gouvernement décide en 1904, de mettre en place des mesures radicales comme par exemple débaptisé les rues portant un nom de saint ou encore fermer toutes les écoles religieuses.

Pour apaiser les tensions et garantir la liberté de conscience tout en continuant l'oeuvre de laïcisation de la société française, Aristide Briand propose une loi de séparation des églises et de l'Etat. Selon lui, cette loi a "pour objectif de prouver que la seule solution possible aux difficultés interieures qui résultent en France de l'actuel régime concordaire est dans une séparation loyale complète des Eglises et de l'Etat", ils "montreront juridiquement que ce régime est le seul qui, en France, pays où les croyances sont diverses, réserve et sauvegarde les droits de chcun". Cette loi est votée le 9 Décembre 1905 et permet alors d'affirmer la liberté de conscience mais aussi le libre exercice des religions. Elle constitue donc une garantie pour les croyants. Par ailleurs, par le Concordat de 1804, la France et l'Eglise catholique etaient liés. Sans etre religion d'Etat, le catholisisme est reconnu comme religion majoritaire donc les pretres sont rémunérés par l'Etat. L'Alsace et la Moselle n'étant pas françaises au moment de la promulgation de la loi, elles sont toujours sous régime concordaire, c'est-à-dire qu'un accord est passé avec l'église catholique pour déterminer les droits de l'Etat et des religions reconnues.

Conséquences et opposants de la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat

Les deux conséquences majeures de cette loi sont que les religieux ne sont plus rémunérés par l'Etat, il n'a plus d'influence non plus sur leur nomination. Ensuite, les biens détenus par les Eglises deviennent la propriété de l'Etat. De plus, les religions deviennent de plus en plus indépendantes du pouvoir car les ministres du culte n'ont plus à rendre compte de leur action auprès de l'administration. Cette loi est aussi rentable au niveau financier. En effet, les édifices d'avant 1905 sont entretenus par l'Eat, ceux construits après sont la propriété de l'Eglise mais doivent etre financés sans argent de l'Etat.

Les religions minoritaires, comme les protestants ou les juifs, acceptent cette séparation qui leur garantit la liberté de conscience et l'égalité avec la religion catholique. Leur seul argument sera le fait que l'Etat est imcompétent en matière de religion et son incapacité à déterminer quelle devrait etre la religion juste qu'il conviendrait de soutenir.

De nombreux catholiques refusent cette loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Le Pape en premier lieu qui condamne cette dans une lettre addréssée aux éveques (encyclique) intitulé "Vehementer nos". Pour établir les édifices et les biens qui reviendront à l'Etat, il convient de procéder à des inventaires,recensement des biens des Eglises fait par l'Etat, avant leur attribution aux associations culturelles qui les auront en charge. De nombreux incidents éclatent, notamment en Bretagne et au sud de l'Auvergne où le clerjé résiste à ces inventaires, souvent avec le soutien de la population. Rapidement, le gouvernement abandonne ces inventaires. Les catholiques n'acceptent cette loi qu'en 1924.

Troisième République synonyme d'un nouveau régime parlementaire

Constitution de Broglie

20 Novembre 1873

Constitution Rivet

Accroissement du pouvoir de l'Assemblée par rapport au président

Mise en place d'un septenat : président élu pour 7ans

Nomination d'un président de la république dont le pouvoir est lié à l'Assemblée nationale ce qui permet de réduire le pouvoir du président.

Après sa défaite à Sédancontre les Pruces, Napoléon III s'est fait capturer, la France connait un gouvernement politique totalement boulversé. Sont alors créés trois partis politiques : les monarchistes, les républicains et les socialistes. Suite à ça, la Troisième République permet de créer un tout nouveau régime.

" Liberté, Egalité, Fraternité "

Le régime créer par la Troisième République est parlementaire. En effet, il re pose sur un parlement à deux chambres : la chambre des députés et le Sénat. Et le pouvoir éxécutif appartient au président de la République et au président du Conseil. Ce système repose sur des élections, ce qui constitue un progrès important. Les éléctions prennent donc une place importante dans la vie du pays et incite les français à participer à la vie politique. Parmi la population de nombreux écrivains décident d'y prendre parti, notamment Victor Hugo qui devient le symbole de la lutte de la République contre Napoléon III en prenant position en toute occasion. Mais ce n'est seulement en 1849 qu'Hugo commence à croire en la république comme la seule forme de gouvernement permettant d'avancer des idées progressistes.

Un régime parlementaire

" Je veux que la République ait deux noms : qu'elle s'appelle Liberté, et qu'elle s'appelle chose publique. "

Victor Hugo

Présidents sous la Troisième République

Jules Grévy

Félix Faure

Sadi Carnot

Jean Casimir Perier

Emile Loubet

1879-1887

1887-1894

1894-1895

1895-1899

1899-1906

Article Premier: La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions (...) dans l'interet de l'ordre public.

Aristid Briand sur les tribunes de l'Assempblée en 1905

Merci pour votre lecture !