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PREMIERS ÉTATS,

PREMIÈRES ÉCRITURES

6ème - Chapitre 3

Activités

Thème 1 : La longue histoire de l’humanité et des migrations

Enseignant-es

Compétences

Activités

Enseignant-es

EDUSCOL

Quelques informations avant de démarrer le chapitre avec vos élèves en SEGPA ou ailleurs :


  • La présentation genial.ly est libre d'accès, elles s'accompagnent d'un livret élève et enseignant que vous pouvez retrouver ici ;
  • Le lien genial.ly s'intègre très bien dans les ENT
  • Les traces écrites apparaissent au bout de 60 secondes pour éviter de troubler l'attention de l'élève ;
  • La flèche sous la trace écrite représente les savoirs minimaux à avoir en tant qu'enseignant, ce sont aussi des compléments d'information pour les élèves ;
  • Certaines traces écrites sont accompagnées de vidéos, de cartes, de podcasts... Ces compléments sont indiqués par des pictogrammes ;
  • Les activités peuvent se faire à la maison ou en classe, il en va de votre liberté pédagogique ;
  • Des erreurs subsistent encore dans toutes ces ressources, n'hésitez pas à me contacter pour me l'indiquer.
  • Satisfait-e-s ? Dites-le-moi sur Twitter ou par mail !


Bonne séquence


Jonathan ANDRÉ

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  • Les activités peuvent se faire à la maison ou en classe, il en va de votre liberté pédagogique ;
  • Les réponses des activités arrivent a bout de 4 min, un compte à rebours de 3 min apparait au bout d'une minute le temps de lire la consigne avec les élèves ;
  • Des erreurs subsistent encore dans toutes ces ressources, n'hésitez pas à me contacter pour me l'indiquer ;
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Bonne séquence


Jonathan ANDRÉ

Thème 1 : La longue histoire de l’humanité et des migrations

L’intitulé du thème met l’accent sur la « longue » durée d’une période qui s’étend, si l’histoire de l’humanité commence avec l’apparition du genre homo, d’il y a 2,8 millions d’années (d’après une découverte éthiopienne de janvier 2013) à 3300-3000 avant notre ère (dates d’apparition de l’écriture en Mésopotamie et en Égypte). Il met aussi l’accent sur la notion « d’humanité » et sur le thème des migrations. Cette longue période est en effet la seule de nos programmes où l’humanité peut être abordée dans sa globalité, de son origine africaine commune à l’apparition de la ville et de l’écriture qui la fait entrer dans l’histoire. Le phénomène de migration dans cette « longue histoire » (préhistoire et début de l’histoire) est décisif dans le peuplement de la planète à partir de l’Afrique comme dans la diffusion de l’agriculture et de l’élevage au néolithique à partir du Proche-Orient. Le fait que la préhistoire ait déjà été abordée par les élèves en première année du cycle 3 dans le cadre de l’actuel territoire français permet de privilégier une approche globale à même de faire appréhender les circulations et les changements dans l’histoire humaine, au moment où se construisent des cultures qui spécifient les groupes humains et s’élaborent des rapports originaux avec la contrainte environnementale.

Problématique :

Pourquoi au IVème millénaire avant J.-C., apparaissent les premiers États et les premières écritures ?


Compétences travaillées :

  • Construire des repères géographiques et spatiaux ;
  • Collaborer et mutualiser ;
  • Pratiquer différents langages en histoire et en géographie ;
  • Comprendre un document.


Ce que je dois connaître/savoir faire à l’issue de cette partie :

  • Identifier les premières civilisations qui apparaissent dans le Croissant fertile ;
  • Localiser les grands fleuves où se fixent les populations ;
  • Expliquer comment sont apparus les premiers États en Mésopotamie et en Égypte ;
  • Raconter la naissance de l’écriture et expliquer son rôle.

Ces contenus sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d’Utilisation Commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International.


Contenus préparé par Jonathan ANDRE - SEGPA.org

1. Les premiers États

2. La naissance de l'écriture

4. Synthèse

5. Sketchnote

6. Evaluation

Sommaire

3. Le rôle de l'écriture dans le croissant fertile

Grâce aux fouilles réalisées en Mésopotamie (actuellement l'Irak) et en Égypte, les archéologues ont pu établir l'organisation politique des civilisations qui ont peuplé l'Orient ancien.

C'est dans cet espace que se sont formés les premiers États de l'histoire de l'humanité : les cités-États de Mésopotamie et l'Égypte, royaume des pharaons.

Partie 1 - Les premiers États

Activités

Dans le croissant fertile, l'agriculture s'amplifie et les populations s'accroissent.
Plusieurs civilisations mettent en place les premiers États : les Sumériens en Mésopotamie et les Égyptiens en Égypte.

Les civilisations de l'Orient ancien

Dans le croissant fertile, l'agriculture s'est développée et la population est sédentaire depuis la « révolution » néolithique.


Sédentarisation : La sédentarisation est l'adoption d'un mode de vie sédentaire, c'est-à-dire qui correspond à quelqu'un qui se fixe quelque part pour y vivre durablement.


Une population grandissante se concentre de plus en plus dans des villages, qui deviennent des villes. Les villes se regroupent autour du Tigre et de l'Euphrate en Mésopotamie et autour du Nil en Égypte, ce qui permet d'irriguer les terres cultivées. Il y a 10 000 ans, ces régions fluviales étaient recouvertes de champs de blé à perte de vue. La vigueur des trois fleuves permet de compenser le climat aride de la région.


C'est dans l'Orient ancien, autour de ces grands fleuves, que les humains se dotent progressivement de lois, pour pouvoir vivre en communauté et devenir des États.


État : Un État est une organisation politique fondée sur un ensemble de lois et sur une administration qui gère les habitants.


En Mésopotamie, les habitants se regroupent en cités-États comme à Uruk, Babylone et Ur. Ces villes sont sous l'autorité d'un roi. Leur pouvoir est héréditaire : il se transmet de père en fils.


Une cité-État est un État composé d'une ville et de ses terres agricoles environnantes.

Les cités-États de Mésopotamie

Les cités-États font du commerce entre elles mais se font aussi parfois la guerre. Pour les gérer au mieux, les rois fixent les règles et les croyances communes. Ils s'assurent du bon fonctionnement de leur cité en organisant la construction de bâtiments comme :

  • des temples pour vénérer les dieux ;
  • des structures défensives pour se protéger : forteresses, remparts ;
  • des palais pour héberger le roi, sa famille et son administration ;
  • des ports fluviaux pour échanger des marchandises.


Un temple est un édifice religieux dans lequel une divinité est célébrée. On y pratique des rites en son honneur.


On a retrouvé des objets qui permettent d'étudier le fonctionnement de ces cités-États.

Babylone, capitale de l'antique Mésopotamie connait son apogée au VIe siècle avant J.-C. .Hammourabi (1792-1750 av. J.-C.) lui donne un rayonnement intellectuel prestigieux. Nabuchodonosor en fait une ville enviée dominant le Proche Orient.

Babylone au temps de Nabuchodonosor II

Nabuchodonosor II : Son règne marque l'apogée de l'empire néo-babylonien. Il étendit la domination babylonienne vers l'ouest en luttant contre l'Égypte et les royaumes hébreux. Il est surtout connu pour avoir organisé la déportation des juifs du royaume de Juda vers Babylone, et apparaît dans la Bible comme un souverain cruel.

En Égypte, le territoire s'organise autour du Nil sous l'autorité d'un roi très puissant : le pharaon.
Considéré comme un dieu par son peuple, le pharaon fait construire des monuments gigantesques comme les pyramides.

L'Égypte, royaume des pharaons

Grâce aux nombreuses sources découvertes par les archéologues, l'organisation politique de l'ancien empire égyptien du IIIe millénaire avant notre ère est très bien connue. On connaît ainsi :

  • le fonctionnement de cet État situé à l'autre bout du croissant fertile ;
  • l'étendue des pouvoirs du pharaon ;
  • les personnes qui en composent l'administration et leurs missions ;
  • la façon dont sont gérées les ressources issues de l'agriculture.


À l'origine, l'Égypte est composée de plusieurs royaumes qui se font la guerre. Elle est unifiée par l'un de ses rois, Narmer, vers 3100 av. J.-C. On connaît ce roi grâce à une palette qui le montre saisissant un ennemi. Il s'agit vraisemblablement d'un habitant d'un royaume adverse. Cette palette relate l'unification de la Haute-Égypte et de la Basse-Égypte. Elle contient également la trace des premiers hiéroglyphes connus.


En Égypte, l'État repose sur un royaume bien plus étendu que les cités-États de Mésopotamie. À la tête de cette organisation, le pharaon est considéré comme un dieu :


Il est assisté de scribes, qui accomplissent différentes tâches administratives, tiennent les comptes et enregistrent les décisions du pharaon sur des papyrus.

Un vizir, deuxième personnage le plus important du royaume, assiste le pharaon et dirige les fonctionnaires.

Dans chaque province, un gouverneur dirige l'administration locale et représente le pharaon.

Scribe

Le scribe est celui qui manie l'écriture dans les sociétés du croissant fertile. Son activité consiste à écrire des textes administratifs, religieux et juridiques et à en faire des copies.


Papyrus : Un papyrus est un support souple pour l'écriture, fabriqué à partir de la tige d'une plante qui pousse sur les bords du Nil.


Le succès de la civilisation égyptienne repose en partie sur sa capacité à s'adapter aux conditions de la vallée du Nil. L'inondation prévisible du fleuve qui apporte des limons sur les rives et le contrôle de l'irrigation de la vallée produisent des récoltes qui alimentent le développement du pays et sa prospérité.


Limons : Les limons sont de fines particules, entraînées par les eaux du Nil et déposées sur ses rives. Ils jouent un rôle d'engrais pour l'agriculture quand l'eau se retire.


Ramsès II, réputé pour être un grand guerrier et un conquérant, était un pharaon exceptionnel. Durant son très long règne de 66 ans, de 1279 av. J.-C. à 1213 av. J.-C., il fait bâtir des monuments à travers tout le pays, sculpter de très nombreuses statues à son image et graver son nom sur presque tous les temples dont ceux d'autres pharaons, comme s'il les avait fait construire lui-même. Cette quantité extraordinaire d'objets d'art et d'éléments architecturaux à son nom explique que l'on retrouve sa trace dans presque tous les musées du monde où se trouvent des antiquités égyptiennes.

Ramsès II

Les écritures naissent en même temps que les États au IVe millénaire avant notre ère, d'abord en Mésopotamie, puis en Égypte.

L'importance de l'écriture est telle que sa découverte symbolise le passage de la Préhistoire à l'Histoire.

Partie 2 - La naissance
de l'écriture

Activités

Les archéologues ont retrouvé les plus anciennes traces d'écriture dans l'ancienne cité du royaume de Sumer à Uruk, en Mésopotamie.


Les pictogrammes puis l'écriture cunéiforme naissent ainsi en Mésopotamie.

L'écriture en Mésopotamie

Pour compter leurs troupeaux, leurs récoltes ou leurs biens, les Sumériens dessinent avec une tige de roseau des nombres et des dessins sur des tablettes en argile humide : vaches, maison, etc. On appelle cette écriture des « pictogrammes ».


Pictogramme : Un pictogramme est un dessin qui représente un objet, un être ou une action.


C'est la première écriture. Elle naît à Sumer entre 4000 av. J.-C. et 3500 av. J.-C.


Les personnes les plus habiles simplifient ensuite les dessins pour écrire plus vite : ils ne représentent plus les objets par un dessin, mais les sons par des signes en forme de clous et de coins. C'est l'écriture cunéiforme.


Écriture cunéiforme : L'écriture cunéiforme est une écriture avec des signes en forme de clous et de coins (cuneus signifie « coins » en latin).


Cette écriture, plus complexe et plus technique, se diffuse dans tout le croissant fertile dans les siècles qui suivent.


En Égypte, les hiéroglyphes apparaissent vers la fin du IVe millénaire avant notre ère. L'écriture hiératique naît ensuite.

Les Égyptiens considèrent leur écriture comme un don des dieux.

L'écriture en Égypte

Les hiéroglyphes sont une écriture composée de très nombreux signes qui représentent un objet, une idée ou encore un son. Les archéologues lui ont donné le nom de « hiéroglyphe », d'après deux mots grecs qui signifient « caractères sacrés ». Ils les ont découverts principalement sur les murs des temples égyptiens.


Comme l'écriture en Mésopotamie, les hiéroglyphes sont progressivement simplifiés en une écriture plus rapide à écrire par les scribes : l'écriture hiératique. Celle-ci n'est plus composée d'objets représentatifs, mais de signes.

L'écriture est un instrument de pouvoir. Elle est également un instrument de contrôle de la religion.

Elle permet aux rois mésopotamiens et aux pharaons d'Égypte de marquer leur temps.

Partie 3 : Le rôle de l'écriture dans le croissant fertile

Activités

L'écriture est progressivement utilisée par les rois du croissant fertile comme un instrument de pouvoir, dans le courant du IVe millénaire avant notre ère.

Elle est utilisée au sein de l'administration des rois mésopotamiens et des pharaons et permet également d'écrire l'histoire des puissants.

Un instrument de pouvoir


Le Code d'Hammurabi



Sur le haut de la stèle, deux personnages sont sculptés. À gauche, Hammurabi, barbu, porte la tenue caractéristique des rois mésopotamiens : un bonnet à large bandeau et une robe longue laissant l'épaule droite nue. Il lève sa main droite devant sa bouche, geste traditionnel de dévotion qu'il adresse à l'homme lui faisant face : le dieu du soleil, Shamash. Shamash est aussi le dieu de la justice et c'est surtout dans cette fonction qu'il est montré ici : il donne au roi un bâton et un anneau, insignes du pouvoir royal. Sous le bas-relief, le reste de la stèle est gravé d'une longue suite de lois élaborées par Hammurabi, dénommé Code d'Hammurabi par l'archéologue Jean-Vincent Scheil, qui en fit la première traduction en 1902.


Au IIIe millénaire avant notre ère, les scribes deviennent des personnages très importants dans les palais mésopotamiens et égyptiens. Ils maîtrisent parfaitement ces écritures complexes qui comprennent des milliers de signes. Grâce à eux, les rois et les pharaons commémorent leurs victoires militaires et montrent qu'ils entretiennent des liens privilégiés avec les dieux qu'ils honorent. Ces récits sont inscrits soit dans la pierre, soit sur des papyrus.


Faisant écrire leurs exploits guerriers, les rois veulent laisser une trace de leur règne. L'écriture leur permet de laisser cette trace des événements passés : c'est la naissance de l'Histoire.

L'écriture assure aux rois qui dirigent les États de l'Orient ancien de jouer un rôle de premier ordre dans le domaine religieux.


Elle leur permet de transmettre les mythes de leur civilisation et de s'y placer au centre.

Un instrument de contrôle de la religion

Les habitants de Mésopotamie sont polythéistes, c'est-à-dire qu'ils croient en plusieurs dieux et considèrent que la vie dans son ensemble est déterminée par les dieux. Ils utilisent l'écriture pour honorer leurs dieux et préparer leur mort. On retrouve ainsi de nombreuses inscriptions sur les bâtiments religieux des cités-États de Mésopotamie : les ziggourats. Une est ziggourat une tour destinée au culte du dieu de la cité, dans laquelle on pratique des cérémonies, dont les sacrifices.


Les Égyptiens accordent eux aussi une grande place à la religion. De nombreux temples sont construits à la demande des pharaons. Les Égyptiens pensent que leur âme est pesée après leur mort. Selon leurs anciennes croyances, si un individu n'a pas commis trop de méfaits, il pourra rejoindre le royaume d'Osiris. Dans le cas contraire, c'est la damnation qui attendra son âme lourde.


Les pyramides témoignent de la ferveur religieuse des Égyptiens mais aussi de la puissance du pouvoir du pharaon. En effet, elles sont construites pour leur servir de tombeau et impliquent un travail colossal, mobilisant des dizaines de milliers d'esclaves. Dans ces tombeaux géants, les hiéroglyphes transmettent les mythes égyptiens et décorent les murs intérieurs.


Ce papyrus, réalisé par le scribe royal Hounefer vers 1280 av. J.-C. (British Museum, Londres) s'intitule Le Livre des morts. À travers la lecture des hiéroglyphes, on comprend que le défunt est introduit par le dieu Anubis et se présente devant le tribunal présidé par Osiris. Face à lui, il prononce sa déclaration d'innocence, dans laquelle il affirme : « Je n'ai pas fait le mal… Je n'ai pas tué… Je n'ai fait de peine à personne… Je suis pur ! ». Son cœur est déposé sur un plateau de la balance. La plume de Maât, déesse de la justice, est placée sur l'autre plateau. Si son cœur fait pencher la balance, c'est qu'il est lourd de mauvaises actions. S'il franchit le passage, le défunt pourra être admis aux côtés d'Osiris.

Le Livre des morts

Trois inventions majeures dans l'histoire de l'humanité sont liées dans ce chapitre : la ville, l'État et l'écriture. À la fin de la période du Néolithique, les villages deviennent des villes tant par leur taille que par leur nombre d'habitants et par la présence de monuments. Ces monuments, comme les temples, témoignent d'un usage collectif par les habitants et d'une organisation politique qui se précise. Au IVe millénaire avant notre ère émerge dans l'Orient ancien (actuel Proche-Orient) l'État, c'est-à-dire d'une structure politique gouvernée par un seul chef, qui organise son pouvoir grâce à l'écriture de lois et à la mise en place d'une administration.

Synthèse : Premiers États, premières écritures

Activités

Sketchnote

A partir de mes documents et de mes écrits, je dessine un sketchnote résumant le cours.

Le titre du chapitre

Les sous-parties

Informations

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Evaluation :

Premiers États, premières écritures

6ème - Chapitre 3

Activités

Activités pour les élèvers, à faire en classe ou à la maison

Activité 1

Je trouve les mots cachés.

Sommaire

Activité 2

Activité 3

Etude d'un document

Etude d'un document

Mots

cachés

Activité 2 : La cité

d'Ur en
Mésopotamie

Complétez le tableau suivant en vous aidant du document ci-dessus et de la liste suivante :

  • économique ;
  • port ;
  • palais royal ;
  • ziggourat.

Les réponses arrive après le compte à rebours.

économique

port

palais royal

ziggourat

Activité 3 : Une légende sur l'invention de l'écriture

D’après le document, quelle est la mission du messager ? Qui lui a donné cette mission ?

D'après le document, la mission du messager est de réclamer des matériaux précieux qui manquait à Enmerkar.


Cette mission lui a été confié par Enmerkar.

La réponse arrive après le compte à rebours.

« Enmerkar* envoya un messager chargé de réclamer des matériaux précieux qui lui manquaient […]. Le messager dut effectuer plusieurs allers et retours entre deux cités séparées par sept chaînes de montagnes. Mais, au bout de quelques voyages, l’envoyé d’Enmerkar, fatigué, fut incapable de répéter un message qui était trop long ; alors, le seigneur d’Uruk écrivit ses volontés sur une tablette d’argile : il lissa l’argile avec les mains, en forme de tablette, et il y déposa ses paroles. »

Enmerkar et le seigneur d’Aratta, épopée, vers 3 000 avant notre ère.

*Enmerkar : roi d’Uruk vers 3 500 avant notre ère.



Art Mésopotamien

et Egyptien

Sarcophage de saint Sernin, une des œuvres du Maître de Cabestany exposée à l'abbaye de Saint-Hilaire


Une des mosaïques les plus célèbres subsistant est dans l'Église de la Sainte-Sagesse dans l'ancienne Constantinople — l'image du Christ sur les murs de la galerie supérieure au Sud.


Psautier de Folchard c. 870


Monastère arménien d'Haghpat, inscrit à l'UNESCO


Livrets

Livret

enseignant

Livret

élève

Enseignant spécialisé CAPPEI

SEGPA du collège Condorcet - Nimes

Jonathan ANDRé

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