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nouvelles orientales

carnet de lecture des

Comment Wang-Fô fut sauvé

Le sourire de Marko
Le lait de la mort
Le dernier amour du prince Genghi
La veuve Aphrodissia

Nouvelles orientales

Marguerite yourcenar

Marguerite Yourcenar est une femme de lettre française. Elle est née en 1903 et est morte en 1987 au États-Unis après s'être fait naturalisée américaine en 1947. C'est la première femme élue membre de l'Académie Française.
Son écriture est poétique et empreinte de ses voyages, d'inspirations religieuses ou mythologiques. Elle est reconnue monidalement pour ses nombreux romans, nouvelles, pièces, essai, traduction ainsi que ses correspondances publiées après sa mort.

Nouvelles Orientales est recueil qui regroupe 10 nouvelles, d'abord publiée séparément dans des revues littéaires, elles ont été retravaillées pour constituer le recueil qui paraît chez Gallimard en 1938 Puis, légérement corrigé par Marguerites Yourcenar à sa réédition en 1963.

Oeuvres principales de M. Y :

• Mémoires d'Hadrien (1951)
• L'Œuvre au noir (1968)
Prix :
• Prix Femina (1968),
• Prix Prince-Pierre-de-Monaco (1972),
• Grand prix de littérature de l'Académie française (1977)

Comment Wang-Fô fut sauvé

Citations

  • « Wang-Fô aimait l'image des choses, mais non les choses elles-mêmes »
  • « Le silence était si profond qu’on eût entendu tomber des larmes. »
  • « Le sillage s'effaça de la surface déserte, et le peintre et son disciple disparurent à jamais sur cette mer de jade bleu que Wang-Fô venait d'inventer. »
  • « Tu m'as menti, Wang-Fô, vieil imposteur : le monde n'est qu'un amas de taches confuses, jetées dans le vide par un peintre insensé, sans cesse effacées par nos larmes. »

Personnages

Wang-Fô :
C'est un vieu peintre qui préfère l'irréel au materiel. Il est sage et a atteint la perfection esthététique, si bien que ses peintures prennent vie

Ling :
Disciple de Wang-Fô, il est né dans une famille riche et a toujours vécu dans la luxure. Mais bizarement c'est quand il a tout abandonner pour vivre une vie misérable au côté de son maître qu'il a réellement commencer à vivre.

L'empereur :
Il a grandit dans une pièce coupé de la société. Sa seule occupation était de contempler les tableaux de Wang-Fô. N'ayant aucune connaissances du mondé réel, il se l'est figuré tel l'oeuvre du sage et a finit extremement déçu par la réalité.

Résumé

Wang-Fô est un peintre chinois. Avec Ling, son fidèle disciple, qui a tout sacrifié pour le suivre, il parcourt le royaume des Han, de ville en ville tout en peignant et en recherchant de nouveaux paysages. Ses tableaux sont si beaux qu'on les croit magiques...On dit qu'ils prennent vie et Wang-Fô les offre au lieu de les vendre, ce qui explique son dénuement. Un jour, tous deux sont arrêtés par l'empereur. Celui-ci reproche à Wang-Fô de lui avoir menti sur la réalité de la vie en lui montrant de trop belles peintures représentant un monde parfait, très éloigné du monde réel...qu'il n'a découvert qu'à l'adolescence dût à son isolement. Mais avant d'exécuter sa punition (lui brûler les yeux et lui couper les mains), l'empereur exige du vieux peintre qu'il termine une peinture inachevée. Celui-ci en profite pour tromper l'empereur et échapper à la mort en peignant un lac ainsi qu'une embarcation grâce à laquelle il s'en ira tranquillement sur des eaux ignateignables où ils disparaîtra avec son disciple à jamais.

LE SOURIRE DE MARKO

Citations

Résumé

Personnages

Trois personnes discutent à bord d'un paquebot : un archéologue grec, un pacha égyptien et un ingénieur français. L'ingénieur se met à raconter la légende d'un homme devenu bien malgré lui un héros : il s'agit de Marko Kraliévitch. Marko aidait les pays "infidèles" et finit par être obligé de se cacher. Son refuge était la maison de la veuve du Pacha de Scutari. Mais un jour où il avait trop bu, il se fâcha et l'insulta parce que le repas était trop cuit. La veuve prévint, la nuit même, les turcs de sa présence dans la maison et, au petit matin Marko réussit à leur échapper en se jetant à la mer. Malgré sa résistance légendaire, on le repêcha le soir venu, parfaitment immobile, et tout le monde le crût mort. Pour vérifier que c'était bien le cas, les Turcs lui firent subir toutes sortes de torture, puis firent danser de toutes jeunes filles devant lui. Alors qu'il avait pu résister à la douleur, il laissa échapper, bien malgré lui un léger sourire. Une des jeunes filles le remarqua, cacha son visage derrière un foulard, et l'aida à s'échapper pendant la prière...lui permettant ainsi de survivre.

Marko :
Hercule des légendes serbes, c'est un héro à l'imposante stature qui a gagné denombreuses babtailles et guerres. Malgrès sa bravoure, il fait preuve d'une certaine ingratitude envers la veuve du pacha qui l'entrtient.

  • Il va sans dire que Marko reconquit le pays et enleva la belle fille qui avait évéillé son sourie, mais ce n'est ni sa gloire, ni leur bonheur qui me touche, c'est cet euphémisme exquis, ce sourire sur les lèvres d'un suplicié pour qui le désir est la plus douce torture.
  • On pourrait presque imaginer sur la plage de Kotor le peit groupe de bourreaux travaillant à la lueur des charbons ardents, la jeune fille qui danse et garçon qui ne résiste pas à la beauté.
  • Il a manqué à l'Illiade un sourire d'Achille

La veuve du Pacha :

C’est la femme qui cache chez elle, contre la loi de son peuple, Marko. Elle l'entretient et lui témoigne de l’amour jusqu’au jour où il l’insulte et la brusque. À partir de ce moment, elle fait preuve d’une rancune et d’une haine prodigieuses à l’endroit du jeune homme, au point de tenter de le faire tuer.

Le lait de la mort

Citations

Résumé

Personnages

Trois frères construisent une tour pour se défendre contre les invasions des turcs. Mais chaque fois que la tour est terminée, elle s'écroule...Selon la coutume, le seul moyen d'assurer sa solidité, c'est d'enterrer vivant un corps humain.Les frères décident dont de sacrifier une de leurs femmes, celle qui leur portera à manger le lendemain...L'aîné espère que ce sera sa femme, car il ne l'aime pas et veut se remarier. Le second a l'intention de prévenir sa fiancée pour qu'elle reste chez elle. Seul le cadet ne trahi pas sa parole en ne prévenant pas son épouse. Le lendemain, c'est la femme du cadet qui, suppliée par ses belles-sœurs, apporte le repas aux trois hommes. Désemparé, le cadet supplie ses frères de lui laisser la vie sauve, et voulant l'éloigner, ils le tuent en le frappant à la tête. Comprenant son sort, l'épouse demande auxfrères de laisser ses seins et ses yeux libres pour que son enfant puisse continuer à boire son lait, trois fois par jour et qu'elle puisse le voir. Alors durant deux années, le lait coule des seins de la jeune femme jusqu'à ce que l'enfant sevré se détourne lui-même de sa mère.

  • Et les femmes stérélisées contre le malheur et la vieillesse ont cessé d'exister.
  • Ils brûleront dans nos champs la promesse du pain future
  • La jeune femme remit tendrement do enfant entre les bras de ses deux belles-sœurs et s'en alla le long de la route, seule, avec son fardeau sur la tête, et son destin autour du cou
  • vous me tiendrez compagnie dans cette prison qui me sert de tombe, et où je resterai debout, sans sommeil, jusqu'au jour du Jugement Dernier.

La jeune mère :

Elle est soumise à l’autorité des autres frères et des autres épouses de la famille. De nature aimable et charitable, quand elle est promise à une mort certaine, sa seule pensée est destinée à son nourisson.Elle incarne l’amour maternel et le sacrifice.
Les trois frères :
Le plus jeune frère est l’époux de la jeune femme qui donnera sa vie. Il l'aime, mais son honnêteté l’empêche de la prévenir du danger auquel elle est exposée. Il regrette amèrement qu’elle soit celle qui doive donner sa vie. Le deuxième frère rompt sa promesse de ne rien dire à sa femme et fait preuve de duplicité pour lui sauver la vie. Le premier frère est de loin le plus odieux. Il espère secrètement que son épouse sera celle qui viendra à la tour pour assurer de sa vie la stabilité de l’ouvrage.

Le dernier amour du prince Genghi

Citations

Résumé

Personnages

Grand séducteur, le prince Genghi a passé sa vie auprès des femmes. mais maintenant qu'il est âgé et presque aveugle, il décide de se retirer loin des regards, dans un ermitage à trois jours de marche de son village.La Dame-du-village-des-fleurs-qui-tombent est une de ses anciennes concubines. Ses lettres restant sans réponse, elle décide de se rendre sur les lieux de l'ermitage pour revoir le prince et lui porter secours. La Dame-du-village-des-fleurs-qui-tombent est une de ses anciennes concubines. Ses lettres restant sans réponse, elle décide de se rendre sur les lieux de l'ermitage pour revoir le prince et lui porter secours. Elle qui l'a aimé pendant plus de dix-huit années, acceptant sans rien lui reprocher ses quelques visites nocturnes occasionnelles, ne se faisant aucune illusion sur sa propre beauté, va tout faire pour le reconquérir et profiter de sa cécité en se faisant passer pour une autre. Charmé, Genghi succombe aux charme de son ancienne concubine. Mais à la fin de l'automne, devenu presque aveugle, Genghi est proche de la fin. Au moment de sa mort, il se remémore toutes ses conquêtes. La dame lui demande alors s'il se souvient d'elle, mais à ce moment-là, Genghi est déjà mort et le seul prénom qu'il a oublié c'est le sien.

  • Lorsque Genghi le Resplendissant, le plus grand seducteur qui ait jamais étoné l'Asie, eut atteint sa cinquantine année, il s'aperçut qu'il fallait commencer à mourir.
  • C'était une ancienne concubinede moyenne naissance et de médiocre beauté.
  • Mais Genhi criagnait de ne plus inspirer à ses hotes que de la pitié ou du respect, deux sentiments dont il avait horreur, et auxquels il preferait l'oubli.
  • et je pleure, car j'ai peur des sanglier, des démons, du désire des hommes, et des fantôme des morts.
  • Je ne me plains pas d'un sort que je partage avec les fleurs, avec les insectes, avec les astres. Dans un univers où tout passe comme un songe, on s'en voudrait de durer toujours. Je ne me plains pas que les choses, les êtres, les cœurs soient périssables, puisqu'une part de leur beauté est faite de ce malheur. Ce qui m'afflige, c'est qu'ils soient uniques.
  • Mais déjà les traits du princes Genghi avaient acquis cette sérénité qui n'est réservés qu'aux morts.

Le prince Genghi :

Équivalent asiatique de Don Juan, sa beauté a longtemps tenté les femmes de la région. Mais plutôt que de rester auprès des siens pour le restant de sa vie, il part s'isoler dans un ermitage pour que les gens ne garde de lui que l'image de sa beauté juvénile. Il fuit son passé et toute mention de l’homme qu’il était avant l’irrite.
La Dame-du-village-des-fleurs-qui-tombent :
Cette femme est l’archétype de l’épouse fidèle. Elle part à la recherche de son prince lorsque ce dernier fuit son royaume. Elle accepte de nier sa propre identité pour satisfaire le prince. Ainsi, séparée de sa propre identité, elle n’obtiendra jamais de lui l’amour de ce qu’elle est et il ne se rapelera ni d'elle, ni de ses bonnes intentions.

la veuve Aphrodissia

Citation

Résumé

Personnages

  • Une pierre enfin se détécha sous son pied, tomba au fond du précipice comme pour ui montrer la route, et la veuve Aphrodissia plongea dans l'abîme et dans le soir, emportatnt avec elle la tête barbouillée de sag

La veuve Aphrodissia :

L’amour qu’elle a pour Kostis la pousse à l’infidélité et elle apporte à cette liaison un élément de danger en aimant le hors-la-loi à la barbe de son vieil époux. Mais, en fin de compte, la veuve aime moins Kostis, non pas pour sa personne, mais uniquement parce qu’il est le seul à l’aimer. C’est une femme isolée du reste du monde, qui craint moins de subir la solitude que de n’être aimée de personne. Elle incarne la femme rebelle qui va à l’encontre de l’ordre établi.
Kostis le rouge :
C’est un hors-la-loi qui s’est rendu coupable d’un nombre considérable de crimes dans la région. L’épithète rouge fait référence à la fois à la veste rouge qu’il semble toujours porter, à sa chevelure de la même couleur, mais surtout au sang qu’il a versé.Mais il était également l’amant de la dame Aphrodissia jusqu’au jour de sa mort.

Kostis le Rouge, est un voleur et un assassin, qui effraie les habitants du villages. Ceux-ci organisent une chasse à l'homme et l'égorge comme une bête ainsi que ses compagnons. Remerciant les vengeurs de son mari assassiné par le rebelle, Aphrodissia ravale ses larmes : on viet de tuer son amant. Lé viel époux cocu servait de couverture à cette passion adultère.Après l'humiliante immolation de son amant décapité, la veuve est inquiète, car il porte sur le bras le nom de sa maîtresse. Pour éviter la lapidation, elle décide de cacher le corps. Quelle meilleure place peut-elle trouver pour celui qui a été son véritable amour que le cercueil d'un mari devenu poussière ? Quant à la tête aimée, plantée au bout d'une pique sur la place du village, il faut la voler pendant l'heure chaude où chacun est chez soi.Cependant, une femme avec la seule tête de son amant est bien peu de chose. Et Aphrodissia laisse enfin les sanglots jaillir, assise dans un champ privé, son larcin caché dans ses jupons. C'est alors que Basil, le propriétaire, paraît, persuadé d'avoir été volé d'une pastèque. La fuite est la seule issue pour cette femme désespérée, qui court sur un chemin de falaise. Une pierre roule sous un pied, et la veuve amoureuse suit le chemin de la pierre et tombe dans l'abîme.

la mort

la femme

l'amour

le temps

l'art

Thèmes principaux/

analyse

La mort est un thème très récurrent dans les Nouvelles Orientales. Dans Comment Wang-Fô fut sauvé la mort est dictée par l'empereur, il a la main mise sur qui vit et qui meurt, pourtant le vieux peintre défit cette règle et brave la fatalité de la vie en offrant à lui et son disciple l'immortalité.

La mort de la veuve Aphrodissia est subite et ambiguë. On ne sait pas si c'est un suicide ou un accident. Elle en sort tout de même victorieuse, car au prix de sa vie, elle à revendiqué sa liberté et son amour adultère tout en gardant sa liaison secrète.

Le lait de la mort offre une mort héroïque à cette mère. Elle la subit sans flancher et ne cesse de penser à son enfant.


L'amour maternel :

Dans Le lait de la mort, l'amour de cette mère pour son enfant est inconditionnel. Alors qu'elle va mourir sa seule préoccupations est que son nourrisson puisse continuer à téter son sein. La fable prétend que le lait maternel a continué de couler bien après la mort de la jeune femme, prouvant que cet amour dépasse toutes les limites y compris celles de la mort. Tout son être est tourné vers le salut de son fils qui suffit à rendre la mort supportable.

Elle met au défi toutes mères d'être aussi exemplaire qu'elle et offre une comparaison peu flatteuse avec les femmes de notre époque qui ne se préoccuperaient plus que de leurs apparences, oubliant les "vraies valeurs" et les relations avec l'autre et en partie avec sa progéniture.


Dans Le dernier amour du prince Genghi ou encore dans la veuve Aphrodissia, c'est d'un amour charnel et passionné dont il est question. Genghi aime être entouré de femmes pour la façon dont elles le mettent en lumière, lui donnant de l'importance à travers leurs volontés d'être constamment à ses côtés. Il aime être un l'objet de désir plus que ses concubines en elles-mêmes.

La Dame-de-village-des-fleurs-qui-tombent, offre au contraire un amour intemporel à et homme qui ne se souvient plus d'elle. Elle renie son identité pour lui, n'obtenant jamais l'amour du prince pour ce qu'elle est et pour qui elle est vraiment.

La veuve Aphrodissia est folle amoureuse de Kostis. Elle l'aime pour le danger qu'il représente, vivre son idylle sous le nez de son mari la fait tout autant vibrer que son amant en question.

Tantôt déesse, tantôt épouse oubliée, tantôt jeune martyre ou femme rebelle, la femme est très importante dans les Nouvelles orientales.Elle est subordonnée à l’autorité du père, de l’époux ou de l'amant, et son rôle se limite à celui de fille, d’épouse ou de mère. Les protagonistes féminins du Lait de la Mort et du Dernier Amour du prince Genghi l’illustrent. Ici la femme est représentée dans son rôle d’épouse soumise et obéissante. En effet, la Dame-du-village-des-fleurs-qui-tombent s’est résignée depuis longtemps à ne recevoir de l’amour du prince Genghi que les miettes que les autres épouses daignent lui laisser et la jeune épouse ne remet même pas en question sa mort prochaine. Son rôle se limite à celui d'épouse, qu'elle remplie en suivant les volontés de son maris et de ses frères, et de mère qu'elle rempli aussi très bien puisqu'elle nourrit son enfant même décédée.

La veuve Aphrodissia, en revanche rompt son lien marital en ayant une liaison. Elle se rebelle contre cette instance et de rit de son maris cocu.

Dans Le Dernier Amour de Genghi, le temps qui passe est un des thèmes principaux. En effet les traits qui changent, témoin du temps qui s'écoule, sont la raison de son choix d'isolement.

Comment Wang-Fô fut sauvé montre les rapports qu’entretiennent l’art et la réalité, l’art permet de susciter diverses émotions et de se faire une idée de l’inconnu. L'art n'est qu'une évasion et une vision de la réalité sans l'être.

Ling, a été ressuscité par cette discipline et aura droit, tout comme Wang-Fô, à l'immortalité.



Avis personnel

La perception de cette œuvre aujourd'hui

ANALYSE CRITIQUE ARGUMENTÉE

J'aime beaucoup l'écriture de Marguerite Yourcenar et la poésie qui émane de ses textes. Son style épuré met en valeur les mots choisis avec soin. Chacun a été pensé pour être à sa juste place donnant du sens au propos. Le lexique n'est pas pour autant simple.
La diversité des histoires permet une lecture agréable et le format de la nouvelle offre la possibilité de lire une histoire en entier sans se couper puis d'en lire une autre plus tard et de laisser le temps de réfléchir à ce qu'on a lu.
Ces histoire sont pour moi très imagées, on s'imagine très bien sur les côtes orientales de la Méditerranée ou parcourant l'empire Chinois.

Ma nouvelle préférée est Le Sourire de Marko

Nouvelles Orientales permet de faire découvrir au lecteur tout un panel de nouvelles, avec une mécanique différente à chaque fois.
Interrogeant sur la vie, la mort, la haine, l'amour, le bien, le mal… elles abordent des notions clés.
De plus, elles font découvrir des paysages orientaux et font ainsi voyager le lecteur par delà des terres lointaines.