Les Misérables -

Selon moi, Jean Valjean dans cette oeuvre apparait tout autant comme coupable et innocent.

D'abord nous pouvons le considérer comme coupable car durant sa vie il a commis plusieurs infractions comme voler un pain et s'est déjà retrouvé en prison pour 5 ans mais a tenté de s'enfuir prolongeant sa peine jusqu'à 19 ans de bagne.

D'autre part il semble aussi coupable car il a fuit la justice toute sa vie même si c'était pour protéger Cosette.

Cependant, si on considère son vol on s'aperçoit qu'il a commi ce vol pour la bonne cause et que sa fuite est en fait pour des retrouvailles avec sa famille. Il aussi tenu sa promesse d'aller chercher sa fille Cosette, promesse faite à Fantine.

Il a ausi sauvé Javert, de la mort, des griffes de la barricade et aussi sauvé Marius dans les égouts malgré leurs différents.

En conclusion Jean Valjean reste coupable selon la loi mais il serait bon que la justice tienne compte des bons actes qu'il a réalisé.

Mardi 14 Août 1833.

Chère Cosette,

Durant ma vie, j'ai rencontrer beaucoup de personne importante, dont ta mère, et qui, par la suite, nos on beaucup aidé ou non. Dans cette lettre tu trouvera les explications de trois de mes rencontres les plus importantes.

Je passai un matin dans une ruelle non pavée. J'entendit du bruit d'un coté de la ruelle et je vis aussi un attroupement d'homme. Je me demanda s'il s'était passé quelque chose de grave et je me précipitat a la rencontre de ce groupe d'homme. J'arriva en courant et je me fraya un chemin pammis tous ces bras et toutes ces jambes. Arrivé au devant de la scene je m'appercu qu'un homme asser âgé était coincé sous sa charette qui s'embourbai petit a petit dans une enorme flaque de boue. Je m'exclama alors:

-Personne ne veut donc aider ce pauvre homme ?

Et on me répondis que ce n'était pas l'envis qui leur manquai mais bel et bienla force. Je me retournait donc et vis Javert adossé a un mur. Il me dit qu'il connaissait un seul homme capable de soulever une charette a mains nues, et que c'était un ancien forcat. Il me fixa et, sur le coup, je ne m'apercu de rien mais il m'avait bel et bien reconnu car l'instant d'après je me retrouvait a genoux par terre et sans que personne ne puisse m'en empêcher je fut sous la charrette. Tout le monde, même Javert, retint son souffle et je réussi a soulver la charrette a la seule force de mon dos et de mes jambes. Plusieurs personne qui avait retrouvés leurs ésprit plus vite vinrent m'aider en retirant l'homme de sous la charrette. Quelque minute plus tards, l'homme était a genoux par terre mais il était en vie. Il avait le genoux gauche cassé. Il était entrain de me remercier en me supliant de lui demander n'imprte quoi. Je l'emmena a l'hopital sans savoir que j'avait sauvé l'homme qui nous sauverais la vie plus tard en nous aidant a nous enfuir de la ville. Cet homme s'appelait Fauchelevent.

Pour cette deuxième petite histoire je vais de raconter la prommesse que j'ai fait a Fantine et comment j'en suis venu à aller te chercher chez les Ténardier.

Pendant longtemps, ta mère a, pour payer les Ténardier, vendus beaucoup de chose dont son corps, ce qui est interdit, et donc elle a été arrêté pour avoir vendu sons corps. Elle fut amené dans un poste de police, c'est là où je l'ai rencontrer, et en la voyant toute recroquevillée dans un coins du poste j'eu pitié d'elle et je plaida donc en sa faveur pour qu'elle ne sois pas envoyé au bagne en disant qu'elle était malade et qu'elle ni survivrai pas. Donc je l'emmena a l'hopital et elle s'évanouie là sur son lit. Je la veilla pendant tout un oment et voyant qu'elle ne se réveillait pas je partis. Je lui rendit visite tous les jours ensuite pour savoir comment elle allait. Un jour elle retomba dans la maladie et elle prit beaucoup de fièvre. Durant trois jours sa fièvre dura. Le médecin dit qu'il fallait allé chercher la fille dont Fantine prononcait le nom toute les nuits. Je partit donc a ta recherche et te trouva toute petite et fatigué entrain de porter un seau plus lourd que toi. Je t'arracha donc des griffes des Ténardier en t'achetant. En rentrant dans la ville où était hospitalisée ta mère j'appris avec tristesse sa mort.

Pour cette troisièmes petite histoires et la derniere, je vais te raconter pourquoi Javert nous poursuivait.

Javert, a été, durant toute le temps que j'ai passé au bagne, mon surveillant donc pendant 19 ans. Durant toute cette période nous nous haissions l'un l'autre et nous entretenions une relatioons de garde et de prisonier. le jour où j'ai été libérer de prison Javert a continuer de me suivre discrettement. Il faillit a plusieurs reprise me débusquer et après que j'eu sauvé Fauchelevent il m'avait reconnu et je le savais. Mais un autre homme a été accusé a ma place et ca a donné l'affaire Champmathieu. Pour farie innocenter ce vieil homme, je me dénnonca mais je ne me fis pas arrêté. Après cette affaire, Javert me hais encore plus et il se haisai personellement aussi. Longtemps aptrès, le désastre de la barricade arriva, les assaillants avait prit Javert en otage et ils voulaient le tuer.

-Mais c'est a moi que reviens le droit de le tuer! m'exclamai-je.

il acceptaire et je fis semblant de le tuer e tiran en l'aire trois balle et je le laissa s'echapper. Vint ensuite le jour ou je sauva Marius dans les égouts et ou Javert cette fois comprit que je n'etait pas qui il pensait que j'était et il me laissa passer. Pour la peine de m'avoir confondu pendant toute ces années il se suicida dans la seine.

Voila mon histoire, je t'aime, ton père Jean Valjean.

"Cet homme m'a sauvé la vie alors que j'étais coincé sous une charrette. Personne ne m'aidait alors que je demendait de l'aide. Personne n'est venu a mon secour. Alors que je pensais que s'en etait fini de moi, un homme est arrivé et a soulevé la charrette juste avec ses mains et avec son dos. Après avoir remercié mon sauveur et lui avoir demandé son nom il repartit et moi, Fauchelevent, j'ai repris ma vie normalement jusqu'au jour ou il revient et me rappella la dette que j'avait envers lui. C'etait une belle journée ensolleillé, il arriva au couvent accompagné d'une pettite fille de huit ans. Il me demanda de les héberger lui et la fillette. Bien entendu j'accepta qu'ils restes. jean Valjean m'expliqua la situaiton dans laquelle ils etaient et je les aida a appliquer le plan qu'il avait pour s'echapper de la ville. Apès cet épiode marquant dans ma vie je ne les revit plus jamais. "