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2nde 2019 ch07a synthèses et ch 08 transformations nucléaires : Fake news

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Le MODH, de nombreux risques

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https://www.lelivrescolaire.fr/page/6225500

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D'après une activité du livre scolaire.

Virginie Fourcassier. Lycée Pierre de Fermat. Toulouse.

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Virginie.Fourcassier@ac-toulouse.fr

Virginie.Fourcassier@ac-toulouse.fr

<iframe src="https://ladigitale.dev/digiplay/inc/video.php?videoId=iS-CJSlwpGM&vignette=https://i.ytimg.com/vi/iS-CJSlwpGM/hqdefault.jpg&debut=0&fin=192&largeur=200&hauteur=113" allowfullscreen frameborder="0" width="700" height="394"></iframe>

https://ladigitale.dev/digiplay/#/v/61a770cad6905

Première partie : pour les plus habiles

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Visualiser la vidéo ci-contre :

https://www.youtube.com/watch?v=iS-CJSlwpGM&t=1s

https://www.hashcut.com/youtube/play/iS-CJSlwpGM

Clic ci-contrepour télécharger la pétition à imprimer contre le MODH :

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https://ladigitale.dev/digiplay/#/v/61a770cad6905

Première partie : pour les plus habiles

Quel sentiment se dégage de la première partie de ce discours ?

Le MODH, des dangers dont on ne parle pas.

Relever un des dangers du MODH listés dans cette première partie : le MODH provoque ou entraîne...

Le nom entier du MODH est monoxyde de dihydrogène, nom qui respecte les règles traditionnelles de nomenclature. Établir la formule de cette molécule à partir de son nom (tout chiffre inséré sera considéré comme étant en indice).

Comment expliquer le silence des médias traditionnels sur cette substance qui semble si dangereuse ? (Répondre avec un nom propre)

Le MODH un nom qui met sur la voie

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Seconde partie : Une réflexion sur les discours des médias

Visionner la vidéo jusqu’à la fin. Quel est le message que le chroniqueur cherche à faire passer à travers son intervention ? Il faut...

Le message derrière le canular

<iframe src="https://ladigitale.dev/digiplay/inc/video.php?videoId=iS-CJSlwpGM&vignette=https://i.ytimg.com/vi/iS-CJSlwpGM/hqdefault.jpg&debut=192&fin=510&largeur=200&hauteur=113" allowfullscreen frameborder="0" width="700" height="394"></iframe>

https://ladigitale.dev/digiplay/#/v/61a7756b126bc

faire preuve d’esprit critique face à certaines informations qui semblent inquiétantess'inquiéter des informations "vues à la télé"propager les informations issues de faits réels présentés par les scientifiques médiatisésvérifier le contexte des faits réels présentés dans les médias

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Clic ci-contrepour télécharger la pétition à imprimer contre le MODH :

Seconde partie : Une réflexion sur les discours des médias

Le chroniqueur évoque l’exemple de produits retrouvés « à l’état de traces » dans des couches. Quelles ont été les conséquences de cette découverte ?

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https://ladigitale.dev/digiplay/#/v/61a7756b126bc

Comprendre le vocabulaire scientifique

des articles préoccupants dans certains médiasune inquiétude de certaines familles

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Seconde partie : Une réflexion sur les discours des médias

Le chroniqueur évoque l’exemple de produits retrouvés « à l’état de traces » dans des couches. Quelles ont été les conséquences de cette découverte ?

Pourquoi n’y avait-il pas raison de s’inquiéter ?

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Comprendre le vocabulaire scientifique

des articles préoccupants dans certains médiasune inquiétude de certaines familles

"à l'état de traces" signifie en quantité infime"à l'état de traces" signifie qu'il ne s'agit que de marques colorées sans conséquence"à l'état de traces" signifie qu'il ne s'agit que d'un souvenir résiduel

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Seconde partie : Une réflexion sur les discours des médias

Pour quelles raisons le discours de la première partie de la vidéo semble-t-il inquiétant ?

Analyser les mécanismes du discours

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https://ladigitale.dev/digiplay/#/v/61a7756b126bc

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Seconde partie : Une réflexion sur les discours des médias

Pour quelles raisons le discours de la première partie de la vidéo semble-t-il inquiétant ?

Analyser les mécanismes du discours

<iframe src="https://ladigitale.dev/digiplay/inc/video.php?videoId=iS-CJSlwpGM&vignette=https://i.ytimg.com/vi/iS-CJSlwpGM/hqdefault.jpg&debut=192&fin=510&largeur=200&hauteur=113" allowfullscreen frameborder="0" width="700" height="394"></iframe>

https://ladigitale.dev/digiplay/#/v/61a7756b126bc

Ce discours est clairement présenté comme un discours scientifique​, sous-entendu « exact, mais que le téléspectateur ne pourra pas vérifier ». Ce dernier est d’ailleurs noyé par une accumulation de termes scientifiques qui semblent obscurs par manque d’explications.Le MODH est présenté ​hors contexte ​: on cache bien sûr qu’il s’agit de l’eau. Si cetteinformation était donnée au début du discours, il ne serait pas écouté de la même façon.Les références à des ​thèmes inquiétants ​s’accumulent : pollution de l’environnement, conspiration de grandes puissances industrielles, fonctionnement des centrales nucléaires, atteintes graves à la santé, etc.La vidéo se termine en disant que ce produit est « en accès libre », ce qui finit d’inquiéter le téléspectateur.

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Troisième partie : Décoder les mécanismes d’un discours

Apporter des exemples pour contrer les phrases suivantes, entendues dans des médias non scientifiques :

1) Adopter un esprit critique

Le site sciencepop.fr présente l’article ci-dessus dans lequel les faits cités, repris d’autres articles en ligne, sont exacts. Les mécanismes employés pour inquiéter le lecteur ont été surlignés.

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« Tout ce qui est naturel est sans danger. »

2) Appliquer un regard scientifique sur une information

Alerte : de l’uranium radioactif dans nos assiettes ! On retrouve des quantités détectables d’uranium dans la plupart des légumes que nous consommons. Comment expliquer une telle concentration d’éléments radioactifs dans les produits que nous mangeons ? Peut-être faut-il regarder du côté de nos centrales vieillissantes, qui multiplient les incidents plus ou moins cachés au public, et qui répandent impunément leur poison insidieux dans l’environnement. En 2008, une filiale d’AREVA admet avoir relâché 74 kg d’uranium radioactif sur le site nucléaire du Tricastin, contaminant ainsi des cours d’eau affluents du Rhône. Après de tels « incidents », rien d’étonnant à ce que cet uranium se retrouve dans nos assiettes !

« Les additifs alimentaires portant un nom de code comme E300 sont mauvais pour la santé. »

Les expliquer.

Répondre sur le formulaire ci-dessous :

Analyse de l’article : « quantités détectables » : sans référence précise, on ignore la quantité réelle. Avec les technologies actuelles, même des quantités infimes sont détectables. On ne dit pas si c’est naturel ou pas. « peut-être » : ce terme laisse planer un doute, et laisse sous-entendre qu’il y a un mystère. Peut-être que les centrales nucléaires sont en cause mais peut-être qu’elles ne sont pas en cause. Aucune information n’est donnée dans cette phrase pourtant inquiétante. « multiplient les incidents plus ou moins cachés » : cette proposition donne l’idée que les industriels du nucléaire dissimulent la réalité des choses. Mais « plus ou moins cachés » est vide de sens, comme « peut-être ». On ne dit rien de la nature de ces « incidents », qui sont donc évoqués hors contexte. La plupart sont peut-être mineurs ou bien gérés, et surtout peuvent ne pas engendrer de danger pour la population ou l’environnement. Cela explique pourquoi on n’en parle pas. Ne pas en parler n’implique pas forcément qu’il y a une volonté de dissimulation. « 74 kg d’uranium radioactif » : le chiffre est donné sans moyen de comparaison, de contextualisation.

Troisième partie : Décoder les mécanismes d’un discours

Apporter des exemples pour contrer les phrases suivantes, entendues dans des médias non scientifiques :

1) Adopter un esprit critique

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Le site sciencepop.fr présente l’article ci-dessus dans lequel les faits cités, repris d’autres articles en ligne, sont exacts. Les mécanismes employés pour inquiéter le lecteur ont été surlignés.

« Tout ce qui est naturel est sans danger. »

2) Appliquer un regard scientifique sur une information

Alerte : de l’uranium radioactif dans nos assiettes ! On retrouve des quantités détectables d’uranium dans la plupart des légumes que nous consommons. Comment expliquer une telle concentration d’éléments radioactifs dans les produits que nous mangeons ? Peut-être faut-il regarder du côté de nos centrales vieillissantes, qui multiplient les incidents plus ou moins cachés au public, et qui répandent impunément leur poison insidieux dans l’environnement. En 2008, une filiale d’AREVA admet avoir relâché 74 kg d’uranium radioactif sur le site nucléaire du Tricastin, contaminant ainsi des cours d’eau affluents du Rhône. Après de tels « incidents », rien d’étonnant à ce que cet uranium se retrouve dans nos assiettes !

« Les additifs alimentaires portant un nom de code comme E300 sont mauvais pour la santé. »

Les expliquer.

Les réponses sur le site de sciencepop.fr : CLIC ICI ou voir ci-dessous

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Un autre exemple de fake news :

Et un organigramme pour vérifier ses sources :

Le MODH, de nombreux risquesc'est fini !

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Analyse de l’article : « quantités détectables » : sans référence précise, on ignore la quantité réelle. Avec les technologies actuelles, même des quantités infimes sont détectables. On ne dit pas si c’est naturel ou pas. « peut-être » : ce terme laisse planer un doute, et laisse sous-entendre qu’il y a un mystère. Peut-être que les centrales nucléaires sont en cause mais peut-être qu’elles ne sont pas en cause. Aucune information n’est donnée dans cette phrase pourtant inquiétante. « multiplient les incidents plus ou moins cachés » : cette proposition donne l’idée que les industriels du nucléaire dissimulent la réalité des choses. Mais « plus ou moins cachés » est vide de sens, comme « peut-être ». On ne dit rien de la nature de ces « incidents », qui sont donc évoqués hors contexte. La plupart sont peut-être mineurs ou bien gérés, et surtout peuvent ne pas engendrer de danger pour la population ou l’environnement. Cela explique pourquoi on n’en parle pas. Ne pas en parler n’implique pas forcément qu’il y a une volonté de dissimulation. « 74 kg d’uranium radioactif » : le chiffre est donné sans moyen de comparaison, de contextualisation.

Selon l’analyse de ​Sciencepop.fr​, le Rhône charrie chaque jour 80 kg d’uranium d’origine naturelle. Relâcher 74 kg d’uranium dans le Rhône par accident n’est pas négligeable, mais cela ne peut pas être présenté comme une catastrophe majeure. Une fois que l’information est mise en perspective, il reste à savoir si ce rejet s’est effectué en continu sur une durée longue ou en une seule fois. L’impact écologique peut s’en trouver modifié

Troisième partie : Décoder les mécanismes d’un discours

Apporter des exemples pour contrer les phrases suivantes, entendues dans des médias non scientifiques :

1) Adopter un esprit critique

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Le site sciencepop.fr présente l’article ci-dessus dans lequel les faits cités, repris d’autres articles en ligne, sont exacts. Les mécanismes employés pour inquiéter le lecteur ont été surlignés.

« Tout ce qui est naturel est sans danger. »

2) Appliquer un regard scientifique sur une information

Alerte : de l’uranium radioactif dans nos assiettes ! On retrouve des quantités détectables d’uranium dans la plupart des légumes que nous consommons. Comment expliquer une telle concentration d’éléments radioactifs dans les produits que nous mangeons ? Peut-être faut-il regarder du côté de nos centrales vieillissantes, qui multiplient les incidents plus ou moins cachés au public, et qui répandent impunément leur poison insidieux dans l’environnement. En 2008, une filiale d’AREVA admet avoir relâché 74 kg d’uranium radioactif sur le site nucléaire du Tricastin, contaminant ainsi des cours d’eau affluents du Rhône. Après de tels « incidents », rien d’étonnant à ce que cet uranium se retrouve dans nos assiettes !

« Les additifs alimentaires portant un nom de code comme E300 sont mauvais pour la santé. »

Les expliquer.

Les réponses sur le site de sciencepop.fr : CLIC ICI

Selon l’analyse de ​Sciencepop.fr​, le Rhône charrie chaque jour 80 kg d’uranium d’origine naturelle. Relâcher 74 kg d’uranium dans le Rhône par accident n’est pas négligeable, mais cela ne peut pas être présenté comme une catastrophe majeure. Une fois que l’information est mise en perspective, il reste à savoir si ce rejet s’est effectué en continu sur une durée longue ou en une seule fois. L’impact écologique peut s’en trouver modifié

Troisième partie : Décoder les mécanismes d’un discours

Apporter des exemples pour contrer les phrases suivantes, entendues dans des médias non scientifiques :

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Le site sciencepop.fr présente l’article ci-dessus dans lequel les faits cités, repris d’autres articles en ligne, sont exacts. Les mécanismes employés pour inquiéter le lecteur ont été surlignés.

« Tout ce qui est naturel est sans danger. »

2) Appliquer un regard scientifique sur une information

Alerte : de l’uranium radioactif dans nos assiettes ! On retrouve des quantités détectables d’uranium dans la plupart des légumes que nous consommons. Comment expliquer une telle concentration d’éléments radioactifs dans les produits que nous mangeons ? Peut-être faut-il regarder du côté de nos centrales vieillissantes, qui multiplient les incidents plus ou moins cachés au public, et qui répandent impunément leur poison insidieux dans l’environnement. En 2008, une filiale d’AREVA admet avoir relâché 74 kg d’uranium radioactif sur le site nucléaire du Tricastin, contaminant ainsi des cours d’eau affluents du Rhône. Après de tels « incidents », rien d’étonnant à ce que cet uranium se retrouve dans nos assiettes !

« Les additifs alimentaires portant un nom de code comme E300 sont mauvais pour la santé. »

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Les réponses sur le site de sciencepop.fr : CLIC ICI ou voir ci-dessous

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