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Ce Genially est une exposition virtuelle sur l'histoire des pauvres au Moyen Âge. Elle a été créée dans le cadre d'un colloque organisé par le CNAHES et l'AREHSS sur les pauvretés d'hier, d'aujourd'hui et ...demain ?

Transcript

Une brève histoire des pauvres au Moyen Âge

Le CNAHES Grand Est

Présente

Dans le cadre de l'exposition virtuelle du colloque

Les Pauvretés d'hier, d'aujourd'hui... Et Demain ?

Le 12 janvier de l'an de grâce 2022 à NANCY

Alexandre RAUCH Volontaire du Service Civique

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1) C'est quoi une personne en situation de pauvreté ?

2) Petit Contexte

5) L'évolution de la vision du pauvre au XIVe (les causes)

3) Notions de pauvreté au Moyen Âge

4) Une vision Christique (IV au XIII siècle)

9) La misère étudiante

7) Pauvres mais pas égaux dans la misère

6) L'évolution de la vision du pauvre au XIVe (les effets)

8) Comment s'occupait-on des pauvres ?

13) Les Crédits

11) Les sources

10) La Figure de Saint Martin

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C'est quoi une personne en situation de pauvreté ?

D'après la définition de LAROUSSE -> pauvre : qui a peu de ressources financières, peu de biens.

Donc si on suit cette définition, un pauvre est une personne qui n'a pas ou peu d'argent (ressource financière). De plus cette personne n'a pas ou n'a que peu d'objets, de quoi s'abriter, ou ces derniers sont de mauvaise qualité. Ainsi l'on peut constater que cette vision de la pauvreté est purement économique et matérialiste. Mais si l'on compare ce point de vue à celui du Moyen Âge, comment la pauvreté était-elle perçue ?

Cette image représente une figure stéréotypée du pauvre au Moyen Âge. Le personnage est âgé, mal vêtu et s'appuie sur une canne. Pauvre, France, Dijon, Bibliothèque municipale, Ms. 113 f.066, enluminure

La période médiévale est longue de plus de 1000 ans. Il est donc difficile de faire UNE définition de la pauvreté pour cette époque. Nous allons essayer de vous montrer une conception qui évolue avec le temps.

Au Moyen Âge ce sont les hommes d'églises qui détiennent le savoir, par conséquent ce sont eux qui transmettent majoritairement leur vision dans les sources manuscrites au sein d'une période où l'écrit est très important.

De plus, il ne faut pas oublier que c'est au début de cette période que le christianisme monte dans l'Europe Occidentale. Cette religion prendra une place de plus en plus importante dans la vie des contemporains.

Petit Contexte

Un copiste au Moyen Âge est un professionnel chargé de la copie d'ouvrages afin de conserver et de transmettre un savoir, une histoire ou autre. Il est aussi un artiste car il peut et sait décorer d'enluminures les textes sur lesquels il travaille, ces dernières sont des lettrines ou des décors peints. Ici nous voyons donc un moine copiste vêtue de noir en train d'écrire et ou d'enluminer. Copiste(s), France, Paris, France, Français 216 f.160, XIVe siècle, enluminure

Les Notions de pauvreté au Moyen Âge

Au Moyen Âge, il existe plusieures manières de distinguer les pauvretés. Elles ne sont pas qu'économiques, elles proviennent de toutes les faiblesses qu'un autre peut exploiter pour commettre à son avantage un acte injuste. La misère n'est pas seulement matérielle ou financière, mais aussi sociale et culturelle. La charité doit ainsi s'appliquer à toutes ces injustices. L'aumône est donc très importante, elle ne permet pas de supprimer les inégalités, néanmoins elle tente de les corriger, on cherche alors à soulager la misère. De plus, dans l'idéologie chrétienne, les pauvres servent à racheter les péchés des riches en leur distribuant des pièces sonnantes et trébuchantes, ou de la nourriture en échange de prières pour le salut de leurs âmes.

Au Moyen Âge les nobles ont pour devoir de s'occuper des personnes vivant sur leurs fiefs (domaines). Sur cette image nous voyons Hesso von Reinach, représenté avec ses armoiries, faisant l'aumône de personnes pauvres et malades. Hesso von Reinach (connu 1234-1276) soignant les malades et les handicapés. Codex Manesse ou Große Heidelberger Liederhandschrift (Grand manuscrit d’Heidelberg) Allemagne, Heidelberg, Universitätsbibliothek, Cod. Pal. germ. 848 fol. 113v, enluminure, 1300-1340

La forme de pauvreté qui est tolérée mais pas ou peu aidée est celle des "personnes valides", car la société de l'époque juge que celles-ci sont normalement capables de subvenir elles-mêmes à leurs besoins.

La forme de pauvreté qui est acceptée et assistée par la communauté est celle des personnes malades, en situation de handicap, et des personnes âgées.

Une vision Christique du pauvre

Le pauvre à cette époque est idéalisé, il est comparé à la figure du Christ. Toutefois, deux "visions du pauvre" s'opposent.

du IVe siècle au XIIIe siècle

Cette image représente un groupe de mendiants boiteux. Cette forme de pauvreté liée au handicap, à la maladie ou à l'âge, est tolérée et plus bien plus aidée que d'autres formes de pauvreté (économiques, culturelles...). Pieter Brueghel l'Ancien. Les Mendiants (ou Le Boiteux, ou L'Estropié), Paris, Louvre, huile sur bois, 1568

L'évolution de la vision du pauvre au XIVe siècle

Au cours du Moyen Âge la vision du pauvre va évoluer, on remarque que vers le XIVe siècle l'image du miséreux se dégrade. Ce changement est dû à une grande croissance de la population, et d'une succession de crises économiques, humanitaires, et sanitaires ainsi qu'aux nombreuses guerres de la fin de la période médiévale. Tous ces événements ont pour effet d'augmenter considérablement le nombre de pauvres. Cette augmentation amènera les pauvres des campagnes à rejoindre les villes et de vivre de mendicité.

Les causes

Cette enluminure représente une vague de peste ayant frappé Valenciennes et le nord de la France au début du XVIe siècle. Au premier plan figurent des morts atteints de l'épidémie se faisant enterrer. Au second plan la ville de Valenciennes est dépeinte. Pour finir, en arrière plan, se trouve dans le ciel un ange armé d'un trait (flèche ou javelot) et tenant un crâne. Derrière lui, entouré d'une aura dorée, se trouve Dieu lui ordonnant d'attaquer la ville. Peste à Valenciennes en 1515, France, Douai, Bibliothèque municipale, Ms. 1183 (tome III), f 033, enluminure, 1550-1599

La Danse Macabre est une évocation picturale ou littéraire naissant à la fin du Moyen Âge. La mort hante les contemporains et est omniprésente, elle devient une obsession. Elle représente généralement des morts dansant avec des vivants, de toutes classes ou catégories confondues (Roi, pape, évêque, seigneur, marchand, bourgeois, laboureur, miséreux, boiteux). Ce style artistique est une allégorie du pouvoir égalisateur de la mort : toute personne, quelque soit son statut social finira ainsi. Allégorie : Danse macabre, France, Paris, BNF, Français 995, f.23v, enluminure, XVIe siècle

Le nombre grandissant des guerres et leur durée participe aussi à l'accroissement des pauvres à la fin du Moyen Âge. L'œuvre est une enluminure représentant la bataille de Poitiers de 1356, lors de la guerre de Cent Ans. Ce conflit a fortement participé aux troubles et aux crises ayant augmenté la pauvreté en Europe Occidentale. Chronique universelle, France, Paris, Bibl. Sainte Geneviève, 0523, enluminure, début du XVIe siècle

L'évolution de la vison du Pauvre au XVIe siècle

Les effets

Dans la société de cette fin du Moyen Âge, le pauvre change de représentation dans l'imaginaire collectif. Si avant il était assimilé à la figure christique, à présent le pauvre devient mauvais, parasite, vagabond, il ne participe pas aux efforts collectifs de la société et devient un poids insupportable. Vivant sur les routes, allant de ville en ville, le miséreux se fait expulser de la cité lorsque les nécessiteux sont déjà trop nombreux. Les contemporains acceptent plus facilement d'aider seulement les pauvres qu'ils connaissent, qui sont issus du même endroit qu'eux et pas les étrangers. La vue du pauvre fait également peur en situation de crise rappelant que ce sort peut arriver à chacun. Ce changement de vision permet d'éviter les conflits moraux, de s'en soustraire et de justifier l'expulsion des pauvres de la commune. Ceux-ci sont mis en dehors de la communauté chrétienne en perdant leur réputation la "fama" et deviennent donc des "infâmes". Ainsi, les miséreux n'ont plus de droits civils, en étant exclus de la fides (la confiance qui structure la communauté chrétienne). On retrouve ce changement dans les textes de cette période, cela se remarque par les métaphores animales, les pauvres sont comparés à des bêtes, des chiens, des sauvages, des insectes. Cette dénomination dans les écrits médiévaux montre un marqueur d'exclusion sociale.

L'œuvre ici présente est une estampe du XVe siècle. Cette image est une allégorie du miséreux, montrant ainsi un pauvre, mal vêtu et s'appuyant sur une canne. Ce dessin est caractéristique de la vision médiévale du mendiant grelottant, affamé et malade. A Prima causa XXXXX. 50 ; E Misero I. 1, Maitre de la Série E des Tarots, France, Paris, BNF, estampe, 1465

Pauvres mais pas égaux dans la misère

Au Moyen Âge, on constate une différence entre ceux qui sont nés pauvres ou le sont devenus, et ceux qui ont choisi de le devenir, c’est le cas par exemple des ordres mendiants de moines et de sœurs qui vivent de dons. Généralement, ces derniers sont issus de familles aisées, étant fils ou filles d’avocats, ou de riches bourgeois. La pauvreté pendant la période médiévale peut aussi être liée à une perte de pouvoir : en renonçant à leur héritage et à de grandes carrières professionnelles ces membres du clergé régulier sont bien mieux considérés que les autres nécessiteux. Toutefois, il est paradoxal d'observer que les sœurs ou les moines sont importants dans la cité et participent à sa vie, en discutant et en négociant avec les Grands de leur commune. Est-ce réellement une perte de pouvoir ?

Exemple de différentes formes de pauvretés

Cette image est une enluminure du XVe siècle. Elle représente 4 moines appartenant chacun aux 4 principaux ordres mendiants de l'Église catholique. Nous allons les décrire de gauche à droite : - Le premier moine sur la gauche vêtu de blanc et d'un capuchon noir est un dominicain (ordre des Prêcheurs). - Le second, vêtu de noir et d'un capuchon blanc est un carme (ordre du Carmel). - Le troisième, habillé tout en noir, est un augustin (ordre de Saint Augustin). - Le dernier moine en gris est un franciscain (ordre des frères mineurs). Office funèbre et dispute de l'âme, France, Paris, Bibliothèque Mazarine, Res.Far Ms 4, f 092v, enluminure, vers 1480

Cette image est une fresque par l'artiste Giotto, au XIIIe siècle. Elle représente Saint François d'Assise en gris donnant son manteau à un noble tombé dans la pauvreté. le don du manteau, Italie, Ombrie, basilique saint François d'Assise, fresque, 1297-1299

Comment s'occupait-on des pauvres ?

Au début du Moyen Âge, les pauvres sont principalement aidés par les ecclésiastiques. Cette aide se traduit par le versement d’une part des revenus des clercs. Afin de pouvoir accueillir et entretenir les personnes en difficulté, les hommes d’Eglise ont créé des listes rigoureuses d’ayants droits et fournissent des matricules, écussons ou jetons (sorte de carte d’aide sociale de l’époque) afin de toucher les aides. Toutefois, le choc démographique du milieu de cette période et l’augmentation de la pauvreté implique que l’Église n’arrive plus à s’occuper seule des miséreux, infirmes, malades et vieillards. Pour répondre à cette problématique les contemporains vont alors construire les premiers hospices ou hôpitaux entre les IXes et XIes siècles. Ils sont créés pour répondre à l'insuffisance de lieux pouvant accueillir, loger et nourrir les personnes en difficulté ainsi que les pèlerins. Ces institutions charitables sont gérées par les religieux et sont financées par eux, mais aussi par les riches bourgeois et la riche noblesse.

Cette scène dépeint un moment de la vie de Saint-Nicolas. Le Saint issu d'une famille riche apprend que son voisin n'est plus capable de subvenir aux besoins de sa famille et pense vendre ses trois filles comme esclaves. Apprenant la nouvelle, Saint-Nicolas décida d'aider son voisin. Cette enluminure représente Saint-Nicolas, à gauche de l'image donnant des bourses d'or, afin que le père à droite, puisse payer la dot de ses trois filles. Ce passage de la vie de l'évêque est une scène de charité chrétienne. Ambrogio Lorenzetti, Saint Nicolas dote trois jeunes filles pauvres, Paris, Musée du Louvre, Département des peintures, Tempura et or sur panneau, 30x20,5 cm, vers 1342-1344

Des écussons, des badges, des matricules ou encore des jetons étaient distribués aux pauvres pour qu'ils aient droit à l'aide alimentaire. Cette carte sociale de l'époque permettait aussi de contrôler la distribution des dons ; celle-ci n'était attribuée qu'une seule fois par personne. Ce dispositif n'était pas accessible aux personnes étrangères à la commune. Ecusson de l'hôpital de Strasbourg au XIVe siècle, Domaine public

L'hospice Saint-Nicolas a été fondé au XIe siècle et est le plus ancien hôpital de la ville de Metz. Les structures actuelles du bâtiment datent du XIIIe siècle et évoluent jusqu'au XIXe siècle. Il servait à accueillir les pauvres de la cité et du Pays messin. François Bernardin, Hospice Saint-Nicolas de Metz, France, Metz, CC By 3.0

Cette image montre le Pape Innocent III (en bleu) faisant la visite de l'hôpital du Saint-Esprit de Rome à Eudes III, duc de Bourgogne (en rouge la tête dévêtue). Innocent III faisant visiter l'hôpital de Rome à Eudes III, France, Dijon, Archives hospitalières, A 4 f. 020, 1450-1460

La misère étudiante

Les universités sont nées au Moyen Âge. Dès le début de leur édification, on constate que certains étudiants ont du mal à financer leurs études. En effet, apprendre est coûteux, il faut payer les droits d'inscriptions, les enseignants, les droits de passer les diplômes, la nourriture, les fournitures ou encore le logement. Il existe déjà à cette époque une crise du logement pour les étudiants, entraînant la montée du prix des locations. Pour y palier, les médiévaux vont créer des collèges, ces lieux permettent d'abriter les élèves à moindre coût. Pour régler les frais, les étudiants vont faire appel à leurs familles, ou avoir le droit à des bourses même si celles-ci sont a priori rares. Sinon, ils vont faire le choix de travailler pour financer leur apprentissage en faisant par exemple le travail de copiste.

Sur cette image nous voyons Saint Thomas d'Aquin enseignant à des moines. Saint Thomas d'Aquin enseignant, France, Paris, Bibl. Mazarine, 0797, f. 001, 1452

Le collège de Sorbonne, ou maison de Sorbonne a été fondé par Robert de Sorbon, chapelain et confesseur du Roi de France Saint-Louis en 1253. Il créa cet établissement afin d'accueillir les étudiants pauvres de Paris. En effet, la cité possédait une prestigieuse université, faisant venir des jeunes gens originaires d'au-delà les frontières du royaume. Fourquemin, Nousveaux, Pernot, Vue du Collège de Sorbonne en 1550, image imprimée, vers 1850

Cette enluminure représente un enseignant faisant un cours à des étudiants en médecine. Médecin enseignant, France, Cambrai, BM, inc. B 003, A f.0a1v, 1491

La Figure de

Saint Martin ou encore Martin de Tour est un saint important de la mythologie chrétienne. Il était un légionnaire de l'armée Romaine au IVe siècle, donc à la fin de l'antiquité et au début de la période médiévale. Le soldat est connu pour un épisode de charité chrétienne, il coupa à l'aide de son épée sa cape ou son manteau afin d'en donner un morceau à un mendiant qui souffrait du froid de l'hiver. Il inspira de nombreux artistes qui mettront en valeur ses vertues religieuses. Ainsi, étudier ses oeuvres permet d'observer la figuration des pauvres à travers les arts médiévaux.

Modèle de charité Chrétienne

Saint Martin

Cette scène montre Saint Martin à cheval enveloppant de son manteau rouge un pauvre. Le mendiant correspond à la figure du pauvre qui est toléré dans la conception médiévale, en étant en situation de handicap. Saint Martin partageant son manteau, France, Langres, Bibliothèque Marcel Arland, Ms 4, f 149, enluminure, 1475-1499

Sur cette enluminure est représenté Saint Martin à cheval découpant avec son épée son manteau, afin de partage son vêtement avec un pauvre dévêtu. Saint Martin donnant la moitié de son manteau à un pauvre, France, Toulouse, Bibliothèque municipale de Toulouse, Num. Enlu. 811, 1420-1499

L'estampe représente Martin de Tour, il découpe à l'aide de son épée son manteau en deux pour en donner un morceau à un pauvre. Le saint est représenté en chevalier du XVe siècle, il est vêtu d'une tenue civile mais porte des éléments distinctifs de sa condition nobiliaire comme l'épée et les étrillés. Le mendiant est quant à lui représenté de manière disgracieuse, mal vêtu, et des bandages au niveau des jambes pourraient nous montrer qu'il souffre d'un handicap. Martin écrase par sa taille et sa posture le pauvre montrant ainsi son importance. Saint Martin, France, Paris, BNF, MS [M. Schongauer] [monogr], XVe siècle

Les sources :

1. PIETRI, Charles. Pauvres et la pauvreté dans l'Italie de l'Empire chrétien (IVe Siècle), Miscellanea historiae ecclasiasticae, Actes du VIe Colloque de Varsovie (1978), Bruxelles, 1983, p.267-300

3. HASDENTEUFEL, Simon. Dèche étudiante au Moyen Âge. Actuel Moyen Âge [en ligne], 21 novembre 2019 [consulté le 05/01/2022]. https://actuelmoyenage.wordpress.com/2019/11/21/deche-etudiante-au-moyen-age/

2. KIBUCHI, Catherine. FULCONIS, Maxime. Du "bon pauvres" au "mauvais pauvre". Actuel Moyen Âge [En ligne], 27 décembre 2018 [consulté le 05/01/2022]. https://actuelmoyenage.wordpress.com/2018/12/27/du-bon-pauvre-au-mauvais-pauvre/

4. TODESCHINI, Giacomo. Du Moyen Âge à aujourd'hui : les racines de l'exclusion des pauvres. Observatoire des inégalités [En ligne], 25 août 2021 [consulté le 05/01/2022]. https://www.inegalites.fr/Du-Moyen-Age-a-aujourd-hui-les-racines-de-l-exclusion-des-pauvres

5. FELLER, Laurent. Pauvreté et travail au Moyen Âge, les mécanisme de l'inégalité (2014-). LaMOP - Laboratoire de Médiévistique Occidentale de Paris [En ligne]. Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. [consulté le 05/01/2022]. https://lamop.pantheonsorbonne.fr/axes-recherche/produire-ecrire-echanger/pauvrete-et-travail-moyen-age

Merci !

Exposition en ligne :

Réalisée dans le cadre du colloque sur les pauvretés d'hier, d'aujourd'hui et ...demain ? 2022

Colloque et exposition organisés par l'association CNAHES Grand Est

Réalisation : Alexandre RAUCH

Une brève histoire des pauvres au Moyen Âge

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