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Parcours scolaires des jeunes Noir.e.s au Québec

Enjeux, obstacles et réussites

Présecolaire et primaire

4 à 12 ans

+ info

Secondaire

12 à 18 ans

+ info

EN

Formation professionnelle

à partir de 16 ans

+ info

Formation générale adulte

à partir de 16 ans

+ info

Formation collégiale

à partir de 16 ans

+ info

Université

après DEC ou équivalence

+ info

Sommet socioéconomique pour le développement des jeunes des communautés noires Black Youth socioeconomic developpement Summit 3332, rue Jarry Est, Montréal, Québec, H1Z 2E8 | (514) 827-6647 | www.sdesj.org

Bibliographie

  • Audet, G. et Mc Andrew, M. (dir.). (2020). Inégalités dans les trajectoires scolaires des élèves québécois issus de l’immigration : le rôle des dynamiques sociales, systémiques et scolaires [numéro thématique L’éducation à l’interculturalité à l’épreuve de la formation d’enseignants]. Mélanges CRAPEL, 40(1), 97-111.
  • Bernard, L. (2001). Les trajectoires des jeunes d’origine haïtienne dans le système québécois de protection de la jeunesse [thèse de doctorat]. Université de Montréal, Montréal.
  • Bernard, L. et McAll, C. (2004). La surreprésentation des jeunes Haïtiens dans le système québécois de protection de la jeunesse. Intervention, 160, 117-124.
  • Bernard, L. et McAll, C. (2010). Jeunes Noirs et système de justice : la mauvaise conseillère. Revue du CREMIS, 3(1). http://www.cremis.ca/jeunes-noirs-et-systeme-de-justice-la-mauvaise-conseillere
  • Borri-Anadon, C., Collins, T. et Boisvert, M. (2018). Pratiques d’évaluation en contexte pluriethnique et plurilingue : démarche d’accompagnement d’orthophonistes scolaires. Recherche formation, (3), 45-56.
  • Borri-Anadon, C., Larochelle-Audet, J., Potvin, M. et Mc Andrew, M. (2014). Bilan et enjeux de la formation initiale à la diversité ethnoculturelle, religieuse et linguistique en enseignement au Québec. Canadian Diversity/Diversité canadienne, 11(2), 59-64.
  • Bressoux, P. (2003). Jugements scolaires et prophéties autoréalisatrices : anciennes questions et nouvelles réponses. Les Dossiers des sciences de l’éducation, 10, 45-58.Bourhis, R. et Gagnon, A. (1994). Les préjugés, la discrimination et les relations intergroupes. Dans R. Vallerand (dir.), Les fondements de la psychologie sociale (p. 708-773). Gaëtan Morin.
  • Collins, T. (2023). Entre surveillance disproportionnée et inaction à l’égard d’élèves issus de l’immigration considérés à besoins éducatifs particuliers: une recherche ethnographiquenorth_eastlien externe
  • Collins, T. (2022). Penser une démarche épistémologique afroémancipatrice en recherche qualitative par, pour et avec les communautés noiresnorth_eastlien externe
  • Collins, T. et Borri-Anadon, C. (2021). Capacitisme et (néo)racisme au sein des processus de classement scolaires au Québec : interprétations par les intervenant.e.s des difficultés des élèves issu.e.s de l’immigrationnorth_east
  • Collins, T., & Magnan, M.-O. (2018). Post-Secondary Pathways among Second-Generation Immigrant Youth of Haitian Origin in Quebec. Canadian Journal of Education/Revue Canadienne De l’éducation, 41(2), 413–440.
  • Charette, J. (2018). Représentations sociales sur l’école et stratégies déployées par des parents récemment immigrés pour soutenir l’expérience socioscolaire de leurs enfants dans la société d’accueil : regards croisés de parents et d’intervenants. Recherches qualitatives, 37(1), 117-139.
  • Comité consultatif sur l’intégration et l’accommodement raisonnable en milieu scolaire (comité Fleury). (2007). Une école québécoise inclusive : dialogue, valeurs et repères communs [rapport présenté par le président du comité, Bergman Fleury, à Michelle Courchesne, ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport]. Gouvernement du Québec, Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport.
  • Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ). (2011). Profilage racial et discrimination systémique des jeunes racisés. Rapport de la consultation sur le profilage racial et ses conséquences.
  • Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ). (2020). Profilage racial et discrimination systémique des jeunes racisés. Bilan de la mise en œuvre des recommandations formulées dans son Rapport de consultation sur le profilage racial de 2011.
  • Commission des droits de la personne du Québec. (1988). Enquête sur les relations entre les corps policiers et les minorités visibles et ethniques. Comité d’enquête entre les corps policiers et les minorités ethniques et visibles, CDPQ.
  • Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse sous la présidence de madame Régine Laurent. (2021). Rapport Instaurer une société bienveillante pour nos enfants et nos jeunes
  • Dubet, F. (2007). Préface. Dans M. Potvin, P. Eid et N. Venel (dir.), La deuxième génération issue de l’immigration. Une comparaison France-Québec (p. 7-16). Athéna éditions.
  • Kanouté, F., Gosselin-Gagné, J., Guennouni Hassani, R., Girard, C. et Leanza, Y. (2016). Points de vue d’élèves issus de l’immigration sur leur expérience socioscolaire en contexte montréalais défavorisé. Alterstice, 6(1), 13-25.
  • Lafortune, G. (2019). Les jeunes d’origine haïtienne au Cégep : un rapport aux études marqué par le genre ? Cahiers Canadiens de Sociologie/Canadian Journal of Sociology, 44(4), 343–372.
  • Lafortune, G., Prosper, M.-R. et Datus, K. (2020). Défis de réussite et enjeux de prise en compte de la diversité au collégial : expériences d’étudiants d’origine haïtienne. Revue des sciences de l'éducation, 46(2), 14–38.
  • Lafortune, G. (2021). De l’inclusion et de la réussite au collégial : « Au fond, vous voulez savoir ce que ça veut dire être noir.e au cégep? », Les Cahiers de l’IRIPI, no 3.
  • Larochelle-Audet, J. (2019). Organisation et reproduction des rapports de domination dans les distributions dissymétriques du travail enseignant : une enquête du point de vue d’enseignant·es de groupes racisés [thèse de doctorat]. Université de Montréal, Montréal. Papyrus. http://hdl.handle.net/1866/22439
  • Magnan, M., Darchinian, F. et Larouche, É. (2017). Identifications et rapports entre majoritaires et minoritaires. Discours de jeunes issus de l’immigration. Diversité urbaine, 17, 29-47.
  • Magnan, M.-O., Pilote, A., Collins, T., Kamanzi, P. C. (2019). Discours de jeunes issus de groupes minoritaires sur les inégalités scolaires au Québec, Diversité urbaine, 19, 93-114.
  • Magnan, M.-O. (2023). La voix des étudiantes et étudiants noirs au sujet des rapports sociaux de race à l’université au Québec. Relais. La revue de vulgarisation scientifique sur la réussite en enseignement supérieur, 1.  
  • Mc Andrew, M. (2000). Relations ethniques, pluralisme et égalité : le rôle de l’école [leçon inaugurale]. Université de Montréal.
  • Mc Andrew, M. (2010). Les majorités fragiles et l’éducation : Belgique, Catalogne, Irlande du Nord, Québec. Presses de l’Université de Montréal.
  • Mc Andrew, M., Ledent, J. et Murdoch, J. (coll. Ait-Saïd, R.) (2011). La réussite scolaire des élèves issus de l’immigration au secondaire [rapport final au ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport]. Groupe de recherche Immigration, équité et scolarisation.
  • Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS). (2006). Portrait scolaire des jeunes issus de l’immigration : de 1994-1995 à 2003-2004. DRSI et DSCC. MELS.
  • Mc Andrew, M., Balde, A., Bakhshaei, M., Tardif-Grenier, K., Audet, G., Armand, F., Guyon, S., Ledent, J., Lemieux, G., Potvin, M., Rahm, J., Vatz Laaroussi, M., Carpentier, A. et Rousseau, C. (2015). La réussite éducative des élèves issus de l’immigration. Dix ans de recherche et d’interventions au Québec. Presses de l’Université de Montréal.
  • Potvin, M. (2007). Blackness, haïtianité et québécitude : modalités de participation et d’appartenance chez la deuxième génération d’origine haïtienne au Québec. Dans M. Potvin, P. Eid et N. Venel (dir.), La deuxième génération issue de l’immigration. Une comparaison France-Québec (p.137-170). Athéna éditions.
  • Potvin, M. (2015). L’école n’est pas neutre : diversité, discriminations et équité à l’école québécoise. Dans S. Demers, D. Lefrançois et M.-A. Éthier (dir.), Les fondements de l’éducation : perspectives critiques (p. 381-447). MultiMondes.
  • Potvin, M. (2016). Interethnic relations and racism in Quebec. Dans C. Kirkey, J. Rudy et S. Gervais (dir.), Québec questions. Québec studies for the 21st century (p. 267-286). Oxford University Press.
  • Potvin, M. et Leclercq, J.-B. (2014). Facteurs affectant la trajectoire scolaire des jeunes de 16-24 ans issus de l’immigration en Formation générale des adultes. Dans M. Potvin, B. Voyer et S. Bourdon (dir.), Les transformations et défis actuels de la formation générale des adultes [numéro thématique]. Revue des sciences de l’éducation, 40(2), 309-350.
  • Potvin, M. et Mc Andrew. M. (2010). Racisme et antiracisme en milieu scolaire francophone à Montréal : politiques, pratiques et perceptions d’intervenants. Dans G. Thésée, N. Carignan et P. Carr (dir.), Les faces cachées de l’interculturel (p. 163-183). L’Harmattan.
  • Potvin, M., Mc Andrew, M. et Kanouté, F. (2006). L’éducation antiraciste en milieu scolaire francophone à Montréal : diagnostic et prospectives. Centre d’études ethniques des universités montréalaises, initiative conjointe CRSH-Multiculturalisme et Patrimoine canadien.
  • Potvin. M., Magnan, M.-O., Larochelle-Audet, J. et Ratel, J.-L. (dir.) (2021). La diversité ethnoculturelle, religieuse et linguistique en éducation. Théorie et pratique. Montréal : Fides Éducation
  • Thésée, G. et Carr, P. (2016). Les mots pour le dire : acculturation ou racialisation? Les théories antiracistes critiques (TARC) dans l’étude de l’expérience scolaire de jeunes NoirEs du Canada en contextes francophones. Comparative and International Education / Éducation Comparée et Internationale, 45(1), 1-17.
  • Valade, V. (2021). Parcours d’étudiants racisés à l’université au Québec: le cas d’étudiants montréalais d’origine haïtienne [mémoire de maîtrise, Université de Montréal].

Challenges, obstacles, and successes

Educational pathways of young Black people in Quebec

Preschool and Primary

4 to 12 years old

+ info

Secondary

12 to 18 years old

+ info

FR

Vocational Training

From 16 years old

+ info

Adult General Education

From 16 years old

+ info

CEGEP and College

From 16 years old

+ info

University

After DSC or equivalency

+ info

Black Youth socioeconomic developpement Summit 3332, rue Jarry Est, Montréal, Québec, H1Z 2E8 | (514) 827-6647 | www.sdesj.org

Bibliography

  • Audet, G. et Mc Andrew, M. (dir.). (2020). Inégalités dans les trajectoires scolaires des élèves québécois issus de l’immigration : le rôle des dynamiques sociales, systémiques et scolaires [numéro thématique L’éducation à l’interculturalité à l’épreuve de la formation d’enseignants]. Mélanges CRAPEL, 40(1), 97-111.
  • Bernard, L. (2001). Les trajectoires des jeunes d’origine haïtienne dans le système québécois de protection de la jeunesse [thèse de doctorat]. Université de Montréal, Montréal.
  • Bernard, L. et McAll, C. (2004). La surreprésentation des jeunes Haïtiens dans le système québécois de protection de la jeunesse. Intervention, 160, 117-124.
  • Bernard, L. et McAll, C. (2010). Jeunes Noirs et système de justice : la mauvaise conseillère. Revue du CREMIS, 3(1). http://www.cremis.ca/jeunes-noirs-et-systeme-de-justice-la-mauvaise-conseillere
  • Borri-Anadon, C., Collins, T. et Boisvert, M. (2018). Pratiques d’évaluation en contexte pluriethnique et plurilingue : démarche d’accompagnement d’orthophonistes scolaires. Recherche formation, (3), 45-56.
  • Borri-Anadon, C., Larochelle-Audet, J., Potvin, M. et Mc Andrew, M. (2014). Bilan et enjeux de la formation initiale à la diversité ethnoculturelle, religieuse et linguistique en enseignement au Québec. Canadian Diversity/Diversité canadienne, 11(2), 59-64.
  • Bressoux, P. (2003). Jugements scolaires et prophéties autoréalisatrices : anciennes questions et nouvelles réponses. Les Dossiers des sciences de l’éducation, 10, 45-58.Bourhis, R. et Gagnon, A. (1994). Les préjugés, la discrimination et les relations intergroupes. Dans R. Vallerand (dir.), Les fondements de la psychologie sociale (p. 708-773). Gaëtan Morin.
  • Collins, T. (2023). Entre surveillance disproportionnée et inaction à l’égard d’élèves issus de l’immigration considérés à besoins éducatifs particuliers: une recherche ethnographiquenorth_eastlien externe
  • Collins, T. (2022). Penser une démarche épistémologique afroémancipatrice en recherche qualitative par, pour et avec les communautés noiresnorth_eastlien externe
  • Collins, T. et Borri-Anadon, C. (2021). Capacitisme et (néo)racisme au sein des processus de classement scolaires au Québec : interprétations par les intervenant.e.s des difficultés des élèves issu.e.s de l’immigrationnorth_east
  • Collins, T., & Magnan, M.-O. (2018). Post-Secondary Pathways among Second-Generation Immigrant Youth of Haitian Origin in Quebec. Canadian Journal of Education/Revue Canadienne De l’éducation, 41(2), 413–440.
  • Charette, J. (2018). Représentations sociales sur l’école et stratégies déployées par des parents récemment immigrés pour soutenir l’expérience socioscolaire de leurs enfants dans la société d’accueil : regards croisés de parents et d’intervenants. Recherches qualitatives, 37(1), 117-139.
  • Comité consultatif sur l’intégration et l’accommodement raisonnable en milieu scolaire (comité Fleury). (2007). Une école québécoise inclusive : dialogue, valeurs et repères communs [rapport présenté par le président du comité, Bergman Fleury, à Michelle Courchesne, ministre de l’Éducation, du Loisir et du Sport]. Gouvernement du Québec, Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport.
  • Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ). (2011). Profilage racial et discrimination systémique des jeunes racisés. Rapport de la consultation sur le profilage racial et ses conséquences.
  • Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ). (2020). Profilage racial et discrimination systémique des jeunes racisés. Bilan de la mise en œuvre des recommandations formulées dans son Rapport de consultation sur le profilage racial de 2011.
  • Commission des droits de la personne du Québec. (1988). Enquête sur les relations entre les corps policiers et les minorités visibles et ethniques. Comité d’enquête entre les corps policiers et les minorités ethniques et visibles, CDPQ.
  • Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse sous la présidence de madame Régine Laurent. (2021). Rapport Instaurer une société bienveillante pour nos enfants et nos jeunes
  • Dubet, F. (2007). Préface. Dans M. Potvin, P. Eid et N. Venel (dir.), La deuxième génération issue de l’immigration. Une comparaison France-Québec (p. 7-16). Athéna éditions.
  • Kanouté, F., Gosselin-Gagné, J., Guennouni Hassani, R., Girard, C. et Leanza, Y. (2016). Points de vue d’élèves issus de l’immigration sur leur expérience socioscolaire en contexte montréalais défavorisé. Alterstice, 6(1), 13-25.
  • Lafortune, G. (2019). Les jeunes d’origine haïtienne au Cégep : un rapport aux études marqué par le genre ? Cahiers Canadiens de Sociologie/Canadian Journal of Sociology, 44(4), 343–372.
  • Lafortune, G., Prosper, M.-R. et Datus, K. (2020). Défis de réussite et enjeux de prise en compte de la diversité au collégial : expériences d’étudiants d’origine haïtienne. Revue des sciences de l'éducation, 46(2), 14–38.
  • Lafortune, G. (2021). De l’inclusion et de la réussite au collégial : « Au fond, vous voulez savoir ce que ça veut dire être noir.e au cégep? », Les Cahiers de l’IRIPI, no 3.
  • Larochelle-Audet, J. (2019). Organisation et reproduction des rapports de domination dans les distributions dissymétriques du travail enseignant : une enquête du point de vue d’enseignant·es de groupes racisés [thèse de doctorat]. Université de Montréal, Montréal. Papyrus. http://hdl.handle.net/1866/22439
  • Magnan, M., Darchinian, F. et Larouche, É. (2017). Identifications et rapports entre majoritaires et minoritaires. Discours de jeunes issus de l’immigration. Diversité urbaine, 17, 29-47.
  • Magnan, M.-O., Pilote, A., Collins, T., Kamanzi, P. C. (2019). Discours de jeunes issus de groupes minoritaires sur les inégalités scolaires au Québec, Diversité urbaine, 19, 93-114.
  • Magnan, M.-O. (2023). La voix des étudiantes et étudiants noirs au sujet des rapports sociaux de race à l’université au Québec. Relais. La revue de vulgarisation scientifique sur la réussite en enseignement supérieur, 1.  
  • Mc Andrew, M. (2000). Relations ethniques, pluralisme et égalité : le rôle de l’école [leçon inaugurale]. Université de Montréal.
  • Mc Andrew, M. (2010). Les majorités fragiles et l’éducation : Belgique, Catalogne, Irlande du Nord, Québec. Presses de l’Université de Montréal.
  • Mc Andrew, M., Ledent, J. et Murdoch, J. (coll. Ait-Saïd, R.) (2011). La réussite scolaire des élèves issus de l’immigration au secondaire [rapport final au ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport]. Groupe de recherche Immigration, équité et scolarisation.
  • Ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport (MELS). (2006). Portrait scolaire des jeunes issus de l’immigration : de 1994-1995 à 2003-2004. DRSI et DSCC. MELS.
  • Mc Andrew, M., Balde, A., Bakhshaei, M., Tardif-Grenier, K., Audet, G., Armand, F., Guyon, S., Ledent, J., Lemieux, G., Potvin, M., Rahm, J., Vatz Laaroussi, M., Carpentier, A. et Rousseau, C. (2015). La réussite éducative des élèves issus de l’immigration. Dix ans de recherche et d’interventions au Québec. Presses de l’Université de Montréal.
  • Potvin, M. (2007). Blackness, haïtianité et québécitude : modalités de participation et d’appartenance chez la deuxième génération d’origine haïtienne au Québec. Dans M. Potvin, P. Eid et N. Venel (dir.), La deuxième génération issue de l’immigration. Une comparaison France-Québec (p.137-170). Athéna éditions.
  • Potvin, M. (2015). L’école n’est pas neutre : diversité, discriminations et équité à l’école québécoise. Dans S. Demers, D. Lefrançois et M.-A. Éthier (dir.), Les fondements de l’éducation : perspectives critiques (p. 381-447). MultiMondes.
  • Potvin, M. (2016). Interethnic relations and racism in Quebec. Dans C. Kirkey, J. Rudy et S. Gervais (dir.), Québec questions. Québec studies for the 21st century (p. 267-286). Oxford University Press.
  • Potvin, M. et Leclercq, J.-B. (2014). Facteurs affectant la trajectoire scolaire des jeunes de 16-24 ans issus de l’immigration en Formation générale des adultes. Dans M. Potvin, B. Voyer et S. Bourdon (dir.), Les transformations et défis actuels de la formation générale des adultes [numéro thématique]. Revue des sciences de l’éducation, 40(2), 309-350.
  • Potvin, M. et Mc Andrew. M. (2010). Racisme et antiracisme en milieu scolaire francophone à Montréal : politiques, pratiques et perceptions d’intervenants. Dans G. Thésée, N. Carignan et P. Carr (dir.), Les faces cachées de l’interculturel (p. 163-183). L’Harmattan.
  • Potvin, M., Mc Andrew, M. et Kanouté, F. (2006). L’éducation antiraciste en milieu scolaire francophone à Montréal : diagnostic et prospectives. Centre d’études ethniques des universités montréalaises, initiative conjointe CRSH-Multiculturalisme et Patrimoine canadien.
  • Potvin. M., Magnan, M.-O., Larochelle-Audet, J. et Ratel, J.-L. (dir.) (2021). La diversité ethnoculturelle, religieuse et linguistique en éducation. Théorie et pratique. Montréal : Fides Éducation
  • Thésée, G. et Carr, P. (2016). Les mots pour le dire : acculturation ou racialisation? Les théories antiracistes critiques (TARC) dans l’étude de l’expérience scolaire de jeunes NoirEs du Canada en contextes francophones. Comparative and International Education / Éducation Comparée et Internationale, 45(1), 1-17.
  • Valade, V. (2021). Parcours d’étudiants racisés à l’université au Québec: le cas d’étudiants montréalais d’origine haïtienne [mémoire de maîtrise, Université de Montréal].

Préscolaire et primaire

4 à 12 ans

Quelques informations utiles aux parents

Quelques constats et recommandations pour plus d'équité

Quelques partenaires communautaires

EN

Comment s'inscrire à l'école au primaire?

  • Pour tout enfant qui arrive au Québec en cours d’année scolaire, il faut se présenter à l'école de son quartier dès que possible pour être informé des procédures locales d’inscription.
  • La maternelle
    • Il faut se présenter à l'école de son quartier dès le mois de janvier avant la prochaine année scolaire.
    • Certaines écoles offrent la maternelle dès l'âge de 4 ans.
    • Toutes les écoles primaires offrent la maternelle pour les enfants de 5 ans.
    • Bien que la maternelle soit fortement recommandée, elle n'est pas obligatoire.
    • Par exemple, il peut être plus avantageux de rester en Centre de la petite enfance (CPE) que d'aller à la maternelle 4 ans. L'horaire d'un CPE est plus flexible et le repas est inclus.
  • Obligation d'aller l'école
    • L'école est obligatoire pour tous les enfants à partir de 6 ans, dès la 1re année.
    • Les absences des élèves doivent être motivées par un parent.
    • En cas d'absence prolongée ou d'absences fréquentes non motivées, l'école a l'obligation de signaler une possibilité de négligence parentale à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ).
  • Obligations de l'école
    • Il y a 6 années à l'école primaire.
    • Les enseignant.es doivent communiquer régulièrement avec les parents pour les informer des apprentissages de l'enfant.
    • Quand un enfant éprouve des difficultés, le personnel de l'école doit informer et travailler en collaboration avec les parents.
    • Le redoublement scolaire est autorisé une seule fois pendant tout le primaire. Cependant, de nombreux chercheurs sèment le doute quant aux effets positifs de cette pratique. Si on propose le redoublement pour votre enfant, l'école doit démontrer qu'aucun autre moyen ne sera plus efficace pour favoriser sa réussite. Il faudra aussi qu'il reçoive du soutien durant l'année de redoublement.
    • C'est généralement à l'âge de 12 ans que l'élève passe à l'école secondaire. Il faut cependant commencer le choix de l'école secondaire dès le début de la 5e année du primaire.
    • L’école primaire publique est gratuite. Il peut cependant y avoir des frais pour le service de garde, les effets scolaires, les activités, etc.
    • o Le personnel de l’école à l’obligation de signaler à la DPJ les situations qui constituent une menace pour la sécurité ou le développement d’un enfant.
  • L'école privée
    • Les écoles privées ont habituellement un processus de sélection des élèves.
    • L’inscription se fait habituellement 1 an avant la rentrée de l’enfant en classe.
    • Les frais pour l’école privée varient d’une école à l’autre et sont habituellement de plusieurs milliers de dollars par année.
Comment s'impliquer ?
  • Il y a plusieurs façons de s'impliquer comme parent à l'école. Consultez le guide Organisation et démocratie scolaire au Québec pour comprendre la gouvernance de l'école et trouver les moyens de participer à la démocratie scolaire.
Pour en savoir plus
  • Espace parents
  • Fédération de parents du Québec
  • Parents.Quebec

Au préscolaire et au primaire, les enfants noirs sont susceptibles de vivre les situations suivantes:

  • Classés en classe d'accueil, même si l'enfant parle français et a été à l'école en français avant d'arriver au Québec;
  • Exclus de la classe ou suspendus de l'école comme mesure disciplinaire;
  • Étiquetés comme enfants à troubles de comportements;
  • Étiquetés comme enfants ayant des difficultés d'apprentissage;
  • Exclus des programmes sélectifs (international, enrichi, sport étude, arts étude, etc.);
  • Signalés à la Direction de la protection de la jeunesse pour négligence ou violence parentale;
  • Sujets de microagressions, de profilage racial, de racisme et de discrimination de la part des pairs et du personnel scolaire.
Les parents peuvent défendre les droits de leur enfant par certains des moyens suivants:
  • Développer des liens avec d'autres parents des enfants de la classe;
  • Demander d'être informés des difficultés scolaires et comportementales;
  • Demander d'être consultés pour toute décision concernant l’ajout d’une cote de difficulté au dossier de l’élève, un plan d'intervention ou le classement en classe spécialisée;
  • Questionner les motifs d'exclusion de la classe ou de suspension;
  • Demander des traces écrites (courriels, bulletins, plan d’intervention) des décisions, informations ou échanges qui paraissent problématiques.
Comment porter plaintePlainte pour violences à caractère sexuel Une plainte concernant un acte de violence à caractère sexuel peut être formulée au protecteur régional de l’élève, sans passer par les deux premières étapes du processus. Ces plaintes sont traitées en urgence. Le protecteur régional de l’élève transmettra la plainte à l’établissement d’enseignement, à moins d'avoir des motifs raisonnables de croire que cela puisse nuire à une enquête ou que la personne plaignante s’y oppose. Étape 1Pour déposer une plainte, vous devez d’abord vous adresser à la personne directement concernée ou à son supérieur immédiat. Vous pouvez d’abord faire la plainte verbalement, mais assurez-vous que la plainte soit aussi faite par écrit (courriel). Cela permet de garder des traces des échanges et de faciliter le calcul des délais pour le traitement. La personne qui reçoit la plainte a un délai de 10 jours ouvrables pour vous répondre. Étape 2Si vous demeurez insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 10 jours ouvrables est dépassé, vous devez vous adresser au responsable du traitement des plaintes du centre de service scolaire, de la commission scolaire ou de l’établissement d’enseignement privé. Conservez des écrits de vos démarches. La plainte est traitée dans un délai de 15 jours ouvrables. Étape 3Si vous êtes toujours insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 15 jours ouvrables est dépassé, vous devez vous adresser au protecteur régional de l’élève de votre région. Le protecteur vous assistera dans la formulation écrite de votre plainte.
  • Cette étape se fait à l’aide d’un formulaire ligne.
  • Une plainte concernant un acte de violence à caractère sexuel peut être formulée au protecteur régional de l’élève, sans passer par les deux premières étapes du processus. Ces plaintes sont traitées en urgence.

Grande région de Montréal

  • Association pour la réussite éducative des jeunes (AREJ)
  • BCHM
  • Café Jeunesse multiculturel
  • Centre d’aide à la Réussite et au Développement (CARD)
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Centre NA Rive
  • Centre haïtien d’animation et d’intervention sociales(CHAIS)
  • Équipe RDP
  • Fondation Jeunesse et Perspectives
  • Fonds 1804 pour la persévérance scolaire
  • Maison d'Haïti
  • Monarques de Montréal
  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
  • Westhaven Elmhurst Community Recreation Association (WECRA)
Région de Québec
  • OSAMIPE – Protection de la santé des femmes et enfants
Région de l'Outaouais
  • Accompagnement des femmes immigrantes de l’Outaouais

Preschool and primary

4 to 12 years old

Some useful information for parents

Findings and recommendations for more equity

Some community partners

FR

How to register for elementary school?

  • Children arriving in Quebec during the school year should contact their local school as soon as possible to find out about local registration procedures.
  • Kindergarten
  • You must apply to your local school in January before the start of the next school year.
  • Some schools offer kindergarten from age 4.
  • All elementary school offer kindergarten for 5-year-olds.
  • Although kindergarten is strongly recommended, it is not compulsory.
  • For example, it may be more advantageous to stay in a Centre de la petite enfance (CPE) than to go to 4-year-old kindergarten. The schedule at a CPE is more flexible, and meals are included.
  • Compulsory school attendance
  • School is compulsory for all children aged 6 and over, from the 1st year onwards.
  • Student absences must be justified by a parent.
  • In the event of prolonged or frequent unexcused absences, the school must report possible parental neglect to the Direction de la protection de la jeunesse (DPJ).
  • School obligations
  • Teach all 6 years and up children.
  • Teachers must communicate regularly with parents to keep them informed of their child's learning.
  • When a child is experiencing difficulties, school staff must inform and work in collaboration with parents.
  • Grade repetition is allowed only once throughout primary school. However, many researchers are sowing doubts about the positive effects of this practice. If your child is proposed to repeat a grade, the school must demonstrate that no other means will be more effective in promoting his or her success. Your child must also receive support during the year of repetition.
  • Students generally start secondary school at the age of 12. However, looking for the right secondary school should begin as early as the 5th grade.
  • Public elementary school is free. However, fees may apply for daycare, school supplies, activities, etc.
  • School staff has the obligation to report situations in which a child’s security or development is considered to be in danger.
  • Private schools
  • Private schools usually have a student selection process.
  • Registration usually takes place 1 year before the child starts primary school.
  • Private school fees vary from school to school and are usually several thousand dollars a year.
How to get involved?
  • There are many ways to get involved as a parent at school. Here are some ways to Take action as a parent.
Find out more
  • Espace parents
  • Quebec Federation of Parents (French)
  • Parents.Quebec

In preschool and primary school, black children are likely to experience the followingsituations:

  • Classified in a "classe d'accueil", even if the child speaks French and attended school in French before arriving in Quebec.
  • Excluded from class or suspended from school as a disciplinary measure.
  • Labeled as children with behavioral problems.
  • Labeled as children with learning difficulties.
  • Excluded from selective programs (international, enriched, sport study, arts study, etc.)
  • Reported to the DPJ for parental negligence or violence.
  • Subjects of microaggressions, racial profiling, racism and discrimination by peers and school staff.
Parents can defend their child's rights in some of the following ways:
  • Build relationships with other parents of children in the class.
  • Ask to be informed about academic and behavioral difficulties.
  • Request to be consulted for any decision concerning the addition of a special education rating to the student's file, an intervention plan or placement in a specialized class.
  • Question the reasons for class exclusion or suspension.
  • Request written records (e-mails, newsletters, action plans) of decisions, information or changes that appear problematic.
How to file a complaint?Complaint concerning sexual violenceA complaint concerning an act of sexual violence may be made directly to the regional student ombudsman, omitting the first two steps of the process. These complaints are fast-tracked. The regional student ombudsman forwards the complaint to the educational institution, unless he or she has reasonable grounds to believe that this would hamper the investigation, or the complainant objects to the transmission of the complaint. Step 1To file a complaint, you must first contact the person directly concerned or his or her immediate superior. You can make your complaint verbally first, but make sure it's also made in writing (e-mail). This will keep a record of the exchanges and make it easier to calculate the time required for processing. The person receiving the complaint has 10 working days to respond. Step 2If you remain dissatisfied with the handling of your complaint, or if the 10-working-day time limit has passed, you must contact the person responsible for handling complaints at the school service center, school board or private educational institution. Keep a record of the steps you've taken. Complaints must be processed within 15 working days. Step 3If you are still dissatisfied with the way your complaint has been handled, or if the 15-working-day time limit has passed, you should contact the Regional Student Ombudsman in your area. The ombudsman will assist you in formulating your complaint in writing.
  • This is done using an online form.
  • A complaint concerning an act of sexual violence can be made to the student's regional ombudsman, without having to go through the first two stages of the process. Such complaints are handled as a matter of urgency.

Greater Montreal area

  • BCHM
  • Café Jeunesse multiculturel
  • Centre d’aide à la Réussite et au Développement (CARD)
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Centre NA Rive
  • Centre haïtien d’animation et d’intervention sociales(CHAIS)
  • Équipe RDP
  • Femmes en Emploi
  • Fondation Jeunesse et Perspectives
  • Fonds 1804 pour la persévérance scolaire
  • Maison d'Haïti
  • Maison des Jeunes des Rivière-des-Prairies
  • Maison des Jeunes l’Ouverture
  • Monarques de Montréal
  • Olympes de la Parole Canada
  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
  • Westhaven Elmhurst Community Recreation Association (WECRA)
Quebec City area
  • OSAMIPE – Protection de la santé des femmes et enfants
Outaouais area
  • Accompagnement des femmes immigrantes de l’Outaouais

Secondaire

12 à 18 ans

Quelques informations utiles aux parents

Quelques constats et recommandations pour plus d'équité

Quelques partenaires communautaires

EN

Comment s'inscrire à l'école secondaire?

  • Pour tout enfant qui arrive au Québec en cours d’année scolaire, il faut se présenter à l'école de son quartier dès que possible pour être informé des procédures locales d’inscription.
  • C'est généralement à l'âge de 12 ans que l'élève passe à l'école secondaire.
  • Il faut cependant commencer le choix de l'école secondaire à l'avance. Plusieurs écoles secondaires sélectionnent les élèves dès le début de la 5e année du primaire.
Obligation d'aller l'école
  • L'école est obligatoire pour tous les enfants jusqu'à l'âge de 16 ans.
  • Les absences des élèves doivent être motivées par un parent.
  • En cas d'absence prolongée ou d'absences fréquentes non motivées, l'école a l'obligation de signaler une possibilité de négligence parentale à la Direction de la protection de la jeunesse.
Obligations de l'école
  • Bien que l’école soit obligatoire jusqu’à 16 ans, un enfant a le droit d’aller à l’école secondaire jusqu’à l’âge de 18 ans (21 ans pour les élèves handicapés).
  • Il y a 5 années à l'école secondaire.
  • Les enseignant.es doivent communiquer régulièrement avec les parents pour les informer des apprentissages de l'enfant.
  • Quand un enfant éprouve des difficultés, le personnel de l'école doit informer et travailler en collaboration avec les parents.
  • Le personnel de l’école à l’obligation de signaler à la DPJ les situations qui constituent une menace pour la sécurité ou le développement d’un enfant.
  • Le redoublement scolaire est autorisé une seule fois pendant tout le primaire. Cependant, de nombreux chercheurs sèment le doute quant aux effets positifs de cette pratique. Si on propose le redoublement pour votre enfant, l'école doit démontrer qu'aucun autre moyen ne sera plus efficace pour favoriser sa réussite. Il faudra aussi qu'il reçoive du soutien durant l'année de redoublement.
  • Obtenir le diplôme d’étude secondaire (DES) est extrêmement important pour accéder aux études supérieures et au marché de l’emploi.
  • Il existe des programmes qui ne mènent pas à l’obtention du DES.
    • Formation menant à l’exercice d’un métier semi-spécialisé (FMS)
    • Formation préparatoire au travail (FPT)
    • L’école peut vouloir diriger un enfant vers ces programmes à partir de 15 ans.
    • Ces programmes visent les enfants en grande difficulté d’apprentissage qui ont très peu de chance de finir le secondaire.
    • Ces programmes visent à former les enfants pour des métiers comme aide-cuisinière, aide-cuisinier, manœuvre agricole en production animale, nettoyeuse, nettoyeur de véhicules, préposée, préposé à l’entretien ménager d’édifices publics.
    • L’école est obligée d’informer les parents lorsqu’elle veut diriger un enfant vers ces programmes. Elle doit démontrer que l’enfant ne sera pas en mesure de terminer son secondaire et obtenir le DES.
  • L’école secondaire publique est gratuite. Il peut cependant y avoir des frais pour les effets scolaires, les activités, les programmes spéciaux, les cours d’été, etc.
  • À la fin du secondaire 5, l’élève obtient un diplôme d’étude secondaire (D.E.S.) Ce diplôme est important, car il est exigé pour accéder aux études supérieures et à plusieurs types d’emplois.
Comment s’inscrire à l’école privée ?
  • Les écoles privées ont habituellement un processus de sélection des élèves.
  • Le processus peut souvent commencer 2 ans avant la rentrée au secondaire.
  • Les frais pour l’école privée varient d’une école à l’autre et sont habituellement de plusieurs milliers de dollars par année.
Comment s'impliquer ?
  • Il y a plusieurs façons de s'impliquer comme parent à l'école. Consultez le guide Organisation et démocratie scolaire au Québec pour comprendre la gouvernance de l'école et trouver les moyens de participer à la démocratie scolaire.
Pour en savoir plus
  • Espace parents
  • Fédération de parents du Québec
  • Parents.Quebec

Au secondaire, les enfants noirs sont susceptibles de vivre les situations suivantes:

  • Classés en classe d'accueil, même si l'enfant parle français et a été à l'école en français avant d'arriver au Québec;
  • Exclus de la classe ou suspendus de l'école comme mesure disciplinaire;
  • Étiquetés comme enfants à troubles de comportements;
  • Étiquetés comme enfants ayant des difficultés d'apprentissage;
  • Exclus des programmes sélectifs (international, enrichi, sport étude, arts étude, etc.);
  • Signalés à la Direction de la protection de la jeunesse pour négligence ou violence parentale;
  • Dirigés vers les classes spécialisées ou les programmes axés vers l’emploi (FMS ou FPT);
  • Dirigés vers la formation générale des adultes pour finir le secondaire;
  • Orienté vers des programmes au collégial en fonction de stéréotypes professionnels et de préjugés de difficultés scolaires;
  • Signalés à la police pour délinquance, criminalité ou association à un gang de rue;
  • Sujets de microagressions, de profilage racial, de racisme et de discrimination de la part des pairs et du personnel scolaire.
Les parents peuvent défendre les droits de leur enfant par certains des moyens suivants:
  • Développer des liens avec d'autres parents des élèves de la classe;
  • Demander d'être informés des difficultés scolaires et comportementales;
  • Demander d'être consultés pour toute décision concernant l’ajout d’une cote de difficulté au dossier de l’élève, un plan d'intervention ou le classement en classe spécialisée;
  • Questionner les motifs d'exclusion de la classe ou de suspension;
Comment porter plainte ?Plainte pour violences à caractère sexuel Une plainte concernant un acte de violence à caractère sexuel peut être formulée au protecteur régional de l’élève, sans passer par les deux premières étapes du processus. Ces plaintes sont traitées en urgence. Le protecteur régional de l’élève transmettra la plainte à l’établissement d’enseignement, à moins d'avoir des motifs raisonnables de croire que cela puisse nuire à une enquête ou que la personne plaignante s’y oppose. Étape 1Pour déposer une plainte, vous devez d’abord vous adresser à la personne directement concernée ou à son supérieur immédiat. Vous pouvez d’abord faire la plainte verbalement, mais assurez-vous que la plainte soit aussi faite par écrit (courriel). Cela permet de garder des traces des échanges et de faciliter le calcul des délais pour le traitement. La personne qui reçoit la plainte a un délai de 10 jours ouvrables pour vous répondre. Étape 2Si vous demeurez insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 10 jours ouvrables est dépassé, vous devez vous adresser au responsable du traitement des plaintes du centre de service scolaire, de la commission scolaire ou de l’établissement d’enseignement privé. Conservez des écrits de vos démarches. La plainte est traitée dans un délai de 15 jours ouvrables. Étape 3Si vous êtes toujours insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 15 jours ouvrables est dépassé, vous devez vous adresser au protecteur régional de l’élève de votre région. Le protecteur vous assistera dans la formulation écrite de votre plainte.
  • Cette étape se fait à l’aide d’un formulaire ligne.
Une plainte concernant un acte de violence à caractère sexuel peut être formulée au protecteur régional de l’élève, sans passer par les deux premières étapes du processus. Ces plaintes sont traitées en urgence.

Grande région de Montréal

  • Association des Enseignants Immigrants du Québec
  • Association pour la réussite éducative des jeunes (AREJ)
  • BCHM
  • Café Jeunesse multiculturel
  • Centre d’aide à la Réussite et au Développement (CARD)
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Centre NA Rive
  • Centre haïtien d’animation et d’intervention sociales(CHAIS)
  • Équipe RDP
  • Femmes en Emploi
  • Fondation Jeunesse et Perspectives
  • Fonds 1804 pour la persévérance scolaire
  • Maison d'Haïti
  • Maison des Jeunes des Rivière-des-Prairies
  • Maison des Jeunes l’Ouverture
  • Monarques de Montréal
  • Olympes de la Parole Canada
  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
  • Westhaven Elmhurst Community Recreation Association (WECRA)
Région de Québec
  • Association pour la réussite éducative des jeunes
  • OSAMIPE – Protection de la santé des femmes et enfants
Région de l'Outaouais
  • Accompagnement des femmes immigrantes de l’Outaouais

Secondary

12 to 18 years old

Some useful information

Findings and recommendations for more equity

Some commnity partners

FR

How to register for secondary school?

  • Children arriving in Quebec during the school year should contact their local school as soon as possible to find out about local registration procedures.
  • Students generally start secondary school at the age of 12.
  • However, you need to start choosing your secondary school early. Many secondary schools select students as early as the beginning of grade 5.
Compulsory school attendance
  • School is compulsory for all children up to the age of 16.
  • Student absences must be justified by a parent.
n the event of prolonged or frequent unexcused absences, the school must report possible parental neglect to the Direction de la protection de la jeunesse (DPJ). School obligations
  • Although school attendance is compulsory until the age of 16, a child has the right to attend secondary school until the age of 18 (21 for disabled pupils).
  • There are 5 grades in secondary school.
  • Teachers must communicate regularly with parents to keep them informed of their child's learning.
  • When a child is experiencing difficulties, school staff must inform and work in collaboration with parents.
  • Grade repetition is allowed only once throughout primary school. However, many researchers are sowing doubts about the positive effects of this practice. If your child is proposed to repeat a grade, the school must demonstrate that no other means will be more effective in promoting his/her success. Your child must also receive support during the year of repetition.
  • Obtaining a Secondary School Diploma (SSD) is extremely important for accessing higher education and the job market.
  • Some programs do not lead to a SSD.
  • Work-Oriented Training path
  • Vocational training
  • The school may want to place a child in these programs from the age of 15.
  • These programs are aimed at children with severe learning difficulties who have very little chance of finishing secondary school.
  • These programs are designed to train children for trades such as cook's helper, farm laborer in animal production, vehicle cleaner and public building maintenance worker.
  • The school is obliged to inform parents when it wishes to refer a child to these programs. It must demonstrate that the child will not be able to complete secondary school and obtain the SSD.
  • Public secondary school is free. However, fees may be charged for school supplies, activities, special programs, summer courses, etc.
  • At the end of Secondary 5, students obtain a Secondary School Diploma (SSD). This diploma is important, as it is required for access to higher education and many types of employment.
Private schools
  • Private schools usually have a student selection process.
  • Registration can start as early as 2 years before the child starts secondary school.
  • Private school fees vary from school to school and are usually several thousand dollars a year.
How to get involved?
  • There are many ways to get involved as a parent at school. Here are some ways to Take action as a parent.
Find out more
  • Espace parents
  • Quebec Federation of Parents (French)
  • Parents.Quebec

In preschool and primary school, black children are likely to experience the following situations:

  • Classified in a "classe d'accueil", even if the child speaks French and attended school in French before arriving in Quebec.
  • Excluded from class or suspended from school as a disciplinary measure.
  • Labeled as children with behavioral problems.
  • Labeled as children with learning difficulties.
  • Excluded from selective programs (international, enriched, sport study, arts study, etc.)
  • Reported to the DPJ for parental negligence or violence.
  • Subjects of microaggressions, racial profiling, racism and discrimination by peers and school staff.
Parents can defend their child's rights in some of the following ways:
  • Build relationships with other parents.
  • Ask to be informed about academic and behavioral difficulties.
  • Request to be consulted for any decision concerning the addition of a special education rating to the student's file, an intervention plan or placement in a specialized class.
  • Question the reasons for class exclusion or suspension.
  • Request written records (e-mails, newsletters, action plans) of decisions, information or changes that appear problematic.
How to file a complaint?Complaint concerning sexual violenceA complaint concerning an act of sexual violence may be made directly to the regional student ombudsman, omitting the first two steps of the process. These complaints are fast-tracked. The regional student ombudsman forwards the complaint to the educational institution, unless he or she has reasonable grounds to believe that this would hamper the investigation, or the complainant objects to the transmission of the complaint. Step 1To file a complaint, you must first contact the person directly concerned or his or her immediate superior. You can make your complaint verbally first, but make sure it's also made in writing (e-mail). This will keep a record of the exchanges and make it easier to calculate the time required for processing. The person receiving the complaint has 10 working days to respond. Step 2If you remain dissatisfied with the handling of your complaint, or if the 10-working-day time limit has passed, you must contact the person responsible for handling complaints at the school service center, school board or private educational institution. Keep a record of the steps you've taken. Complaints must be processed within 15 working days. Step 3If you are still dissatisfied with the way your complaint has been handled, or if the 15-working-day time limit has passed, you should contact the Regional Student Ombudsman in your area. The ombudsman will assist you in formulating your complaint in writing.
  • This is done using an online form.
  • A complaint concerning an act of sexual violence can be made to the student's regional ombudsman, without having to go through the first two stages of the process. Such complaints are handled as a matter of urgency.

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  • Accompagnement des femmes immigrantes de l’Outaouais

Formation générale des adultes

à partir de 16 ans

Quelques informations utiles aux jeunes

Quelques constats et recommandations pour plus d'équité

Quelques partenaires communautaires

EN

Qu’est-ce que la formation générale des adultes (FGA) ?

  • Comme l'école primaire et l'école secondaire, la FGA relève des centres de services scolaires.
  • La FGA offre aux adultes plusieurs programmes de formation :
  • Francisation
  • Alphabétisation
  • Présecondaire
  • Secondaire
  • Intégration sociale
  • Intégration socioprofessionnelle
  • Préparation à la formation professionnelle
  • Préparation aux études postsecondaires.
  • La FGA peut aboutir à l’obtention d’un diplôme d’étude secondaire (DES) ou à des niveaux de francisation.
  • La FGA vise d’abord les adultes de 18 ans et plus.
  • La durée du parcours de l’élève à la FGA n’est pas prédéterminée et dépend des niveaux que l’élève a déjà réussis au secondaire.
  • Même s’il est possible d’entrer à la FGA dès 16 ans, un enfant a le droit d’aller à l’école secondaire jusqu’à l’âge de 18 ans (21 ans pour les élèves handicapés).
Comment s'inscrire à la FGA ?
  • Se présenter au centre de FGA désiré. Les programmes offerts sont différents d’un centre à un autre.
  • La FGA est gratuite. Il peut cependant y avoir des frais administratifs, pour les effets scolaires, les activités, les programmes spéciaux, etc.

À la FGA, les jeunes Noir-e-s sont susceptibles de vivre les situations suivantes:

  • Quand ils ont du retard scolaire, les enfants noirs de 16 et 17 ans sont souvent dirigés par les écoles secondaires vers un centre de FGA.
  • Il est important de savoir qu’un enfant a le droit d’aller à l’école secondaire jusqu’à l’âge de 18 ans. Un élève peut donc avoir 17 ans en début d’année et rester à son école secondaire jusqu’à la fin de l’année, même s’il a ses 18 ans en cours d’année.
  • La FGA peut être difficile pour les jeunes de 16 à 18 ans, même s’ils ont le droit d’y aller. Les cours de FGA demandent un niveau d’autonomie plus habituelle chez les adultes que les jeunes.
  • Peu de centres de FGA offrent un service adapté pour les jeunes qui arrivent de classes d’accueil. Les programmes de francisation pour adultes ne sont pas adaptés puisqu’ils ne donnent pas l’opportunité d’obtenir un diplôme d’étude secondaire;
  • Sujets de microagressions, de profilage racial, de racisme et de discrimination de la part des pairs et du personnel scolaire.
Les jeunes peuvent défendre leurs droits par certains des moyens suivants:
  • Développer des liens avec d'autres élèves de la classe;
  • Demander d’être informés le plus tôt possible de risques d’échec;
  • Demander d'être informés des différentes options pour le parcours scolaire;
  • Questionner les motifs d'exclusion de la classe ou de suspension.
Comment porter plainte ?Plainte pour violences à caractère sexuel Une plainte concernant un acte de violence à caractère sexuel peut être formulée au protecteur régional de l’élève, sans passer par les deux premières étapes du processus. Ces plaintes sont traitées en urgence. Le protecteur régional de l’élève transmettra la plainte à l’établissement d’enseignement, à moins d'avoir des motifs raisonnables de croire que cela puisse nuire à une enquête ou que la personne plaignante s’y oppose. Étape 1Pour déposer une plainte, vous devez d’abord vous adresser à la personne directement concernée ou à son supérieur immédiat. Vous pouvez d’abord faire la plainte verbalement, mais assurez-vous que la plainte soit aussi faite par écrit (courriel). Cela permet de garder des traces des échanges et de faciliter le calcul des délais pour le traitement. La personne qui reçoit la plainte a un délai de 10 jours ouvrables pour vous répondre. Étape 2Si vous demeurez insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 10 jours ouvrables est dépassé, vous devez vous adresser au responsable du traitement des plaintes du centre de service scolaire, de la commission scolaire ou de l’établissement d’enseignement privé. Conservez des écrits de vos démarches. La plainte est traitée dans un délai de 15 jours ouvrables. Étape 3Si vous êtes toujours insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 15 jours ouvrables est dépassé, vous devez vous adresser au protecteur régional de l’élève de votre région. Le protecteur vous assistera dans la formulation écrite de votre plainte.
  • Cette étape se fait à l’aide d’un formulaire ligne.
  • Une plainte concernant un acte de violence à caractère sexuel peut être formulée au protecteur régional de l’élève, sans passer par les deux premières étapes du processus. Ces plaintes sont traitées en urgence.

Grande région de Montréal

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Région de Québec
  • Centre R.I.R.E.
  • OSAMIPE – Protection de la santé des femmes et enfants
Ailleurs au Québec
  • Accompagnement des femmes immigrantes de l’Outaouais

Adult General Education

From 16 years old

Some useful information

Findings and recommendations for more equity

Some community partners

FR

What is adult general education (AGE)?

  • Like primary and secondary schools, VT is the responsibility of school service centers.
  • AGE offers several training programs for adults:
  • Francization
  • Literacy
  • Pre-secondary
  • Secondary
  • Socialvocational integration
  • Socio-professional integration
  • Preparing for vocational training
  • Preparation for post-secondary studies.
  • AGE can lead to a Secondary School Diploma (SSD) or to levels of francization.
  • AGE primarily targets adults aged 18 and over.
  • The length of a student's time at AGE is not predetermined and depends on the grades the student has already achieved in secondary school.
  • Although entry to AGE is possible from the age of 16, a child has the right to attend secondary school until the age of 18 (21 for disabled students).
How to register to AGE?
  • Contact the AGE center of your choice. Programs offered vary from one center to another.
  • AGE is free. However, there may be administrative fees for school supplies, activities, special programs, etc.

During AGE, young black people are likely to experience the following situations:

  • When they fall behind academically, black children aged 16 and 17 are often referred by secondary
schools to an AGE center.
  • It's important to know that a child has the right to attend secondary school until the age of 18. A student can therefore be 17 at the beginning of the year and remain in secondary school until the end of the year, even if he or she turns 18 during the year.
  • AGE can be difficult for 16- to 18-year-olds, even if they are entitled to attend. AGE courses
require a level of autonomy more typical of adults than of young people.
  • Few AGE centers offer adapted services for young people arriving from “classes d’accueil”. Francization programs for adults are not adapted, as they do not offer the opportunity to obtain a secondary school diploma.
  • Subjects of microaggressions, racial profiling, racism and discrimination by peers and school staff.
Young people can defend their rights in some of the following ways:
  • Build relationships with other students in the class.
  • Ask to be informed as soon as possible of any risk of failure.
  • Ask to be informed of the different options for the school career.
  • Question the reasons for class exclusion or suspension.
How to file a complaint?Complaint concerning sexual violenceA complaint concerning an act of sexual violence may be made directly to the regional student ombudsman, omitting the first two steps of the process. These complaints are fast-tracked. The regional student ombudsman forwards the complaint to the educational institution, unless he or she has reasonable grounds to believe that this would hamper the investigation, or the complainant objects to the transmission of the complaint. Step 1To file a complaint, you must first contact the person directly concerned or his or her immediate superior. You can make your complaint verbally first, but make sure it's also made in writing (e-mail). This will keep a record of the exchanges and make it easier to calculate the time required for processing. The person receiving the complaint has 10 working days to respond. Step 2If you remain dissatisfied with the handling of your complaint, or if the 10-working-day time limit has passed, you must contact the person responsible for handling complaints at the school service center, school board or private educational institution. Keep a record of the steps you've taken. Complaints must be processed within 15 working days. Step 3If you are still dissatisfied with the way your complaint has been handled, or if the 15-working-day time limit has passed, you should contact the Regional Student Ombudsman in your area. The ombudsman will assist you in formulating your complaint in writing.
  • This is done using an online form.
  • A complaint concerning an act of sexual violence can be made to the student's regional ombudsman, without having to go through the first two stages of the process. Such complaints are handled as a matter of urgency.

Greater Montreal area

  • Association pour la réussite éducative des jeunes
  • BCHM
  • Café Jeunesse multiculturel
  • Centre d’aide à la Réussite et au Développement (CARD)
  • Jean-Paul Lemay Centre
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Centre NA Rive
  • Centre haïtien d’animation et d’intervention sociales(CHAIS)
  • Équipe RDP
  • Femmes en Emploi
  • Fondation Jeunesse et Perspectives
  • Fonds 1804 pour la persévérance scolaire
  • Maison d'Haïti
  • Maison des Jeunes des Rivière-des-Prairies
  • Maison des Jeunes l’Ouverture
  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
  • Westhaven Elmhurst Community Recreation Association (WECRA)
Quebec City area
  • R.I.R.E. Center
  • OSAMIPE - Health protection for women and children
Outaouais
  • Supporting immigrant women in the Outaouais region

Quelques informations utiles aux jeunes

Quelques constats et recommandations pour plus d'équité

Quelques partenaires communautaires

Formation professionnelle

à partir de 16 ans

EN

Qu’est-ce que la formation professionnelle (FP) ?

  • Comme l'école primaire et l'école secondaire, la FP relève des centres de services scolaires.
  • La FP offre des programmes techniques axés sur l’apprentissage d’un métier.
  • La FP peut aboutir à l’obtention :
  • d’un diplôme d’études professionnelles (DEP). Durée de 1 à 2 ans.
  • d'une attestation de spécialisation professionnelle (ASP). Durée de 3 à 6 mois.
  • d'une attestation d’études professionnelles (AEP). Durée de 240 à 720 heures.
Comment s'inscrire à la FP ?
  • Une personne est admise à un programme d’études menant à un diplôme d’études professionnelles si elle satisfait à l’une des conditions suivantes:
  • elle est titulaire du diplôme d’études secondaires et elle respecte les conditions d’admission du programme établies par le ministre conformément à l’article 465 de la Loi sur l’instruction publique (chapitre I-13.3);
  • elle a atteint l’âge de 16 ans au 30 septembre de l’année scolaire où elle commence sa formation professionnelle et elle respecte les conditions d’admission du programme établies par le ministre conformément à l’article 465 de cette Loi;
  • elle a atteint l’âge de 18 ans et elle possède les préalables fonctionnels prescrits pour l’admission à ce programme par le ministre conformément à l’article 465 de cette Loi;
  • elle a obtenu les unités de 3e secondaire de programmes d’études établis par le ministre, en langue d’enseignement, en langue seconde et en mathématique et elle poursuivra, en concomitance avec sa formation professionnelle, sa formation générale dans les programmes d’études du second cycle de l’enseignement secondaire établis par le ministre et requis pour être admis à ce programme d’études en formation professionnelle.
  • La FP est gratuite, mais il y a habituellement des frais administratifs, pour le matériel, les activités, etc.
  • Il existe de nombreux programmes et centres de formation professionnelle. Il faut contacter le centre qui offre la formation choisie. Les sites InforouteFPT et Québec Métiers d’avenir permettent de faire des recherches de programmes et de centres.

À la FP, les jeunes Noir-e-s sont susceptibles de vivre les situations suivantes:

  • Les jeunes Noir-e-s peuvent plus souvent être dirigé-e-s vers la FP plutôt que le cégep. Bien que les programmes de FP soient en général de qualité, ils ne donnent pas nécessairement les mêmes opportunités que ceux du cégep.
  • Les programmes de FP impliquent des stages en milieux professionnels. Plusieurs situations de discriminations ont été rapportées dans le cadre des stages. Ces discriminations peuvent mener à des évaluations faibles de l’étudiant-e-s ou même des échecs de stage;
  • Sujets de microagressions, de profilage racial, de racisme et de discrimination de la part des pairs et du personnel scolaire.
Les jeunes peuvent se défendre contre un traitement inéquitable par certains des moyens suivants:
  • Développer des liens avec d'autres élèves de la classe;
  • Demander d’être informés le plus tôt possible de risques d’échec;
  • Demander d'être informés des différentes options pour le parcours scolaire;
  • Questionner les motifs d'exclusion de la classe ou de stage.
Comment porter plainte ?Plainte pour violences à caractère sexuel Une plainte concernant un acte de violence à caractère sexuel peut être formulée au protecteur régional de l’élève, sans passer par les deux premières étapes du processus. Ces plaintes sont traitées en urgence. Le protecteur régional de l’élève transmettra la plainte à l’établissement d’enseignement, à moins d'avoir des motifs raisonnables de croire que cela puisse nuire à une enquête ou que la personne plaignante s’y oppose. Étape 1Pour déposer une plainte, vous devez d’abord vous adresser à la personne directement concernée ou à son supérieur immédiat. Vous pouvez d’abord faire la plainte verbalement, mais assurez-vous que la plainte soit aussi faite par écrit (courriel). Cela permet de garder des traces des échanges et de faciliter le calcul des délais pour le traitement. La personne qui reçoit la plainte a un délai de 10 jours ouvrables pour vous répondre. Étape 2Si vous demeurez insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 10 jours ouvrables est dépassé, vous devez vous adresser au responsable du traitement des plaintes du centre de service scolaire, de la commission scolaire ou de l’établissement d’enseignement privé. Conservez des écrits de vos démarches. La plainte est traitée dans un délai de 15 jours ouvrables. Étape 3Si vous êtes toujours insatisfait du traitement de votre plainte ou si le délai de 15 jours ouvrables est dépassé, vous devez vous adresser au protecteur régional de l’élève de votre région. Le protecteur vous assistera dans la formulation écrite de votre plainte.
  • Cette étape se fait à l’aide d’un formulaire ligne.
  • Une plainte concernant un acte de violence à caractère sexuel peut être formulée au protecteur régional de l’élève, sans passer par les deux premières étapes du processus. Ces plaintes sont traitées en urgence.

Région de Montréal

  • BCHM
  • Café Jeunesse multiculturel
  • Centre Jean-Paul Lemay
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Centre NA Rive
  • Femmes en Emploi
  • Maison d'Haïti
  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
Région de Québec
  • Centre R.I.R.E.
  • OSAMIPE – Protection de la santé des femmes et enfants
Ailleurs au Québec
  • Accompagnement des femmes immigrantes de l’Outaouais

Some useful information

Findings and recommendations for greater equity

Some community partners

Vocational Training

From 16 years old

FR

What is vocational training (VT)?

  • Like primary and secondary schools, VT is the responsibility of school service centers.
  • VT offers technical programs focused on learning a trade.
  • VT can lead to :
  • The Diploma of Vocational Studies (DVS). Duration: 1 to 2 years.
  • The Attestation of Vocational Specialization (AVS). Duration: 3 to 9 months.
  • The Skills Training Cartificate (STC). Duration: 240 to 720 hours.
How to register for VT?
  • A person is admitted to a program of study leading to a Diploma of Vocational Studies if he or she meets one of the following conditions:
  • holds a secondary school diploma and meets the program admission requirements established by the Minister in accordance with section 465 of the Education Act (chapter I-13.3);
  • has reached the age of 16 on September 30 of the school year in which he or she begins vocational training and meets the program admission conditions established by the Minister in accordance with section 465 of this Act;
  • has reached the age of 18 and has the functional prerequisites prescribed for admission to this program by the Minister in accordance with section 465 of this Act;
  • they have obtained Secondary 3 credits in language of instruction, second language and mathematics from programs of study established by the Minister, and will continue, concurrently with their vocational training, their general education in programs of study at the senior secondary level established by the Minister and required for admission to this vocational training program of study.
  • VT is free of charge, but there are usually administrative, material, activity and other fees.
  • There are many vocational training programs and centers. Contact the center offering your chosen training. You can search for programs and centers on the InforouteFPT and Québec Métiers d'avenir websites.

During VT, young Black people are likely to experience the following situations:

  • Black youth are more likely to be directed towards VT rather than CEGEP. Although VT programs
are generally of high quality, they don't necessarily offer the same opportunities as CEGEP.
  • VT programs involve work placements. Several cases of discrimination have been reported in the context of work placements. This discrimination can lead to low student evaluations or even failed internships.
  • Subjects of microaggressions, racial profiling, racism and discrimination by peers and school staff.
Young Black people can defend themselves against unfair treatment by some of the followingmeans:
  • Build relationships with other students in the class.
  • Ask to be informed as soon as possible of any risk of failure.
  • Ask to be informed of the different options for the school career.
  • Question reasons for exclusion from class or internship.
How to file a complaint?Complaint concerning sexual violenceA complaint concerning an act of sexual violence may be made directly to the regional student ombudsman, omitting the first two steps of the process. These complaints are fast-tracked. The regional student ombudsman forwards the complaint to the educational institution, unless he or she has reasonable grounds to believe that this would hamper the investigation, or the complainant objects to the transmission of the complaint. Step 1To file a complaint, you must first contact the person directly concerned or his or her immediate superior. You can make your complaint verbally first, but make sure it's also made in writing (e-mail). This will keep a record of the exchanges and make it easier to calculate the time required for processing. The person receiving the complaint has 10 working days to respond. Step 2If you remain dissatisfied with the handling of your complaint, or if the 10-working-day time limit has passed, you must contact the person responsible for handling complaints at the school service center, school board or private educational institution. Keep a record of the steps you've taken. Complaints must be processed within 15 working days. Step 3If you are still dissatisfied with the way your complaint has been handled, or if the 15-working-day time limit has passed, you should contact the Regional Student Ombudsman in your area. The ombudsman will assist you in formulating your complaint in writing.
  • This is done using an online form.
  • A complaint concerning an act of sexual violence can be made to the student's regional ombudsman, without having to go through the first two stages of the process. Such complaints are handled as a matter of urgency.

Greater Montreal area

  • BCHM
  • Café Jeunesse multiculturel
  • Jean-Paul Lemay Centre
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Centre NA Rive
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  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
Quebec City area
  • R.I.R.E. Center
  • OSAMIPE - Health protection for women and children
Outaouais
  • Supporting immigrant women in the Outaouais region

Formation collégiale

à partir de 16 ans

Quelques informations utiles aux jeunes

Quelques constats et recommandations pour plus d'équité

Quelques partenaires communautaires

EN

Qu’est-ce que le cégep?

  • Un collège d’enseignement général et professionnel (cégep) est un établissement d’enseignement public où sont dispensés des programmes de:
  • Formation générale préuniversitaire
  • Formation technique axée sur l’emploi
  • La formation collégiale peut aboutir à l’obtention :
  • d’un diplôme d’études collégiales préuniversitaires (DEC). Durée de 2 ans.
  • d’un diplôme d’études collégiales techniques (DEC). Durée de 3 ans.
  • d'une attestation d’études collégiales de perfectionnement professionnel (AEC). Durée de 6 à 18 mois.
Comment s'inscrire au cégep ?
  • La majorité des admissions au cégep sont gérées par des services suprarégionaux :
    • Service régional d’admission du Montréal métropolitain (SRAM)
    • Service régional d’admission au collégial de Québec (SRACQ)
  • Pour les autres cégeps, il faut visiter chaque site Internet d’admission pour avoir les informations.
  • Le site MonEmploi est un outil utile de recherche de programmes.
Gratuité au cégep
  • Pour ne pas payer de droits de scolarité, il faut étudier à temps plein dans un programme, c’est-à-dire être inscrit à quatre cours ou plus par session régulière ou à 180 heures de cours ou plus par session.
  • L’étudiant inscrit au DEC à temps partiel doit payer des droits de scolarité.
  • Dans tous les cas, il y a des frais d’admission, d’inscription, d’association étudiante, etc.
Comment s’inscrire à un collège privé ?
  • Les collèges privés ont habituellement un processus de sélection des élèves.
  • L’inscription se fait habituellement 1 an avant la rentrée en classe.
  • Les frais pour les collèges privés varient de l’un à l’autre et sont habituellement de plusieurs milliers de dollars par année.

Au collégial, les jeunes Noir-e-s sont susceptibles de vivre les situations suivantes:

  • Sentiment d’isolement et de dévalorisation;
  • Sous-représentés dans les programmes prestigieux;
  • Sur représentés dans des programmes associés à des stéréotypes;
  • Sentiment d’avoir à travailler plus fort que les autres;
  • Les programmes collégiaux techniques impliquent des stages en milieux professionnels. Plusieurs situations de discriminations ont été rapportées dans le cadre des stages. Ces discriminations peuvent mener à des évaluations faibles de l’étudiant-e-s ou même des échecs de stage.
Les jeunes peuvent se défendre contre un traitement inéquitable par certains des moyens suivants:
  • Briser l’isolement en :
    • Développant des liens avec d'autres élèves de la classe;
    • S’impliquant dans les activités et associations étudiantes;
  • Demander d’être informés le plus tôt possible de risques d’échec;
  • Demander d'être informés des différentes options pour le parcours scolaire;
  • Questionner les motifs d'exclusion de la classe ou de stage.
Comment porter plainte ?
  • Chaque cégep ou collège définit son propre processus de plainte. Il est nécessaire de s’informer sur le site internet de l’établissement visé.
  • Il est aussi possible de demander le soutien de l’association étudiante locale pour le dépôt d’une plainte.
  • De façon générale, il sera utile de garder des traces écrites des événements et des communications.

Grande région de Montréal

  • BCHM
  • Café Jeunesse multiculturel
  • CIDIHCA
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Centre NA Rive
  • Femmes en Emploi
  • Maison d'Haïti
  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
Région de Québec
  • Association pour la réussite éducative des jeunes
  • Centre R.I.R.E.
  • OSAMIPE – Protection de la santé des femmes et enfants
Ailleurs au Québec
  • Accompagnement des femmes immigrantes de l’Outaouais

CEGEP and College

From 16 years old

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Findings and recommendations for greater equity

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FR

What is CEGEP?

  • A collège d'enseignement général et professionnel (cégep) is a public educational institution offering programs in general and vocational education:
  • General pre-university training
  • Job-oriented technical training
  • Collegial training can lead to:
  • a pre-university study Diploma of College Studies (DSC). Duration: 2 years.
  • a technical study Diploma of College Studies (DSC). Duration: 3 years.
  • A technical study Attestation of College Studies (ACS). Duration: 6 to 18 months.
How to apply for CEGEP?
  • The majority of CEGEP admissions are managed by two superregional departments:
  • Metropolitan Montreal Regional Admissions Service (SRAM)
  • Quebec City Regional College Admissions Service (SRACQ)
  • For other CEGEPs, you'll need to visit each admissions website for information.
  • The Study Program Directory is a useful tool for finding programs (French only).
Free college tuition
  • To be exempt from tuition fees, you must be a full-time student in a program, i.e. enrolled in four or more courses per regular session, or 180 or more course hours per session.
  • Part-time DSC students must pay tuition fees.
  • In all cases, there are fees for admission, registration, student association, etc.
How to apply for a private college?
  • Private colleges usually have a student selection process.
  • Registration usually takes place 1 year before the start of the school year.
  • Fees for private colleges vary from one to another and are usually several thousand dollars a year.

In CEGEP and college, young Black people are likely to experience the following situations:

  • Feelings of isolation and worthlessness.
  • Under-represented in prestigious programs.
  • Over-represented in programs associated with stereotypes.
  • Feeling of having to work harder than others.
  • Technical college programs involve work experience placements. Several cases of discrimination have been reported in the context of internships. This discrimination can lead to low student evaluations or even failed internships.
Young people can defend themselves against unfair treatment by some of the following means:
  • Breaking isolation by:
  • Build relationships with other students in the class.
  • Getting involved in student activities and associations.
  • Ask to be informed as soon as possible of any risk of failure.
  • Ask to be informed of the different options for the school career.
  • Question the reasons for exclusion from class or internship.
How to file a complaint?
  • Each CEGEP or college defines its own complaint process. For more information, visit the institution's website.
  • You can also ask your local student association to help you file a complaint.
  • In general, it will be helpful to keep a written record of events and communications.

Greater Montreal area

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  • Jean-Paul Lemay Centre
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Centre NA Rive
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  • Maison d'Haïti
  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
Quebec City area
  • R.I.R.E. Center
  • OSAMIPE - Health protection for women and children
Outaouais
  • Supporting immigrant women in the Outaouais region

Université

après le DEC ou équivalence

Quelques informations utiles aux jeunes

Quelques constats et recommandations pour plus d'équité

Quelques partenaires communautaires

EN

La diversité des programmes universitaires

  • Il y a au Québec 18 établissements universitaires, 15 francophones et 3 anglophones.
  • Ils offrent plus de 1400 différents programmes dans 3 cycles distincts :
  • 1er cycle : certificats, baccalauréats
  • 2e cycle : diplôme d’études supérieures spécialisées (D.E.S.S.), maitrise professionnelle, maitrise de recherche
  • 3e cycle : doctorat
  • Le site MonEmploi est un outil utile de recherche de programmes.
Admissibilité à l’université
  • Pour être admis au 1er cycle, il faut généralement être titulaire d’un diplôme d’études collégiales (DEC).
  • Sans le DEC, il est aussi possible d’être admis à la condition de répondre à des exigences déterminées par l’université pour chaque programme.
  • Ces exigences peuvent être l’âge (21 ans ou plus), l’expérience pertinente sur le marché du travail ou suivre une formation préparatoire à l’université.

À l’université, les jeunes Noir-e-s sont susceptibles de vivre les situations suivantes:

  • Sentiment d’isolement et de dévalorisation;
  • Sous-représenté-e-s dans les programmes prestigieux;
  • Sentiment d’avoir à travailler plus fort que les autres;
  • Sous-représenté-e-s dans l’obtention de bourses ou de prix d’excellence;
  • Difficulté à développer un sentiment d’appartenance à l’université, en l’absence de modèle leur ressemblant;
  • Moins de diplomation;
  • Sujets de microagressions, de profilage racial, de racisme et de discrimination de la part des pairs et du personnel scolaire.
Les jeunes peuvent se défendre contre un traitement inéquitable par certains des moyens suivants:
  • Briser l’isolement en :
    • Développant des liens avec d'autres étudiants du groupe;
    • S’impliquant dans les activités et associations étudiantes;
  • Demander d’être informés le plus tôt possible de risques d’échec;
  • Demander d'être informés des différentes options pour le parcours scolaire.
Comment porter plainte ?
  • Chaque université définit son propre processus de plainte. Il est nécessaire de s’informer sur le site internet de l’établissement visé.
  • Il est aussi possible de demander le soutien de l’association étudiante locale pour le dépôt d’une plainte.
  • De façon générale, il sera utile de garder des traces écrites des événements et des communications.

Grande région de Montréal

  • Association étudiante d'Histoire de l'Université de Montréal
  • BCHM
  • Café Jeunesse multiculturel
  • CIDIHCA
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Centre NA Rive
  • Femmes en Emploi
  • Maison d'Haïti
  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
Région de Québec
  • Association des étudiants Haïtiens de l'université Laval
  • Association pour la réussite éducative des jeunes
  • Centre R.I.R.E.
  • Forum Jeunesse Afro-Québécois (FJAQ)
  • OSAMIPE – Protection de la santé des femmes et enfants
Ailleurs au Québec
  • Accompagnement des femmes immigrantes de l’Outaouais
  • Organisation des professionnels congolais du Canada (OPCC) - Sherbrooke

University

Afetr DSC or equivalency

Some useful information

Findings and recommendations for greater equity

Some community partners

FR

The diversity of university programs

  • There are 18 universities in Quebec, 15 French-speaking and 3 English-speaking.
  • They offer over 1400 different programs:
  • Undergraduate (Cycle 1) : Certificate and Bachelor’s degree
  • Graduate (Cycle 2): Specialized graduate diploma (DESS), Master’s with thesis, non-thesis or professional
  • Post-graduate (Cycle 3): Doctorate
  • This is the list of Québec universities.
University eligibility
  • Admission to the undergraduate program generally requires a Diploma of Collegial Studies (DCS).
  • Without the DEC, it is also possible to be admitted, provided you meet the requirements set by
the university for each program.
  • These requirements may be age (21 or over), relevant experience on the job market or university preparatory training.

At university, young Black people are likely to experience the following situations:

  • Feelings of isolation and worthlessness.
  • Under-represented in prestigious programs.
  • Feeling of having to work harder than others.
  • Under-represented in the awarding of scholarships and prizes for excellence.
  • Difficulty in developing a sense of belonging to the university, in the absence of a similar model.
  • Lower graduation rates.
  • Subjects of microaggressions, racial profiling, racism and discrimination by peers and school staff.
Young people can defend themselves against unfair treatment by some of the following means:
  • Break isolation by:
  • Developing links with other students in the group.
  • Getting involved in student activities and associations.
  • Ask to be informed as soon as possible of any risk of failure.
  • Ask to be informed of the different options for the school career.
How to file a complaint?
  • Each university defines its own complaints process. For more information, visit the
university's website.
  • You can also ask your local student association to help you file a complaint.

Greater Montreal area

  • Université de Montréal History Student Association
  • BCHM
  • Café Jeunesse multiculturel
  • CIDIHCA
  • Côte-des-Neiges Black Community Association (CDNBCA)
  • Center NA Rive
  • Femmes en Emploi
  • Maison d'Haïti
  • Quebec Board of Black Educators (QBBE)
Quebec City area
  • Laval University Haitian Students Association
  • R.I.R.E. Center
  • Forum Jeunesse Afro-Québécois (FJAQ)
  • OSAMIPE - Health protection for women and children
Outaouais
  • Supporting immigrant women in the Outaouais region
Sherbrooke area
  • Organization of Congolese Professionals of Canada (OPCC) - Sherbrooke

Chargé d’expertise au Bureau de la lutte au racisme et à la discrimination systémique, Réginald Fleury accompagne les différentes instances municipales sur les enjeux de sécurité urbaine. Riche d’une expérience de plus de 15 ans dans le milieu de l’éducation, il se spécialise dans la mise en œuvre de pratiques d’équité, d’inclusion et de justice sociale. Il est aussi chargé de cours à l’UQAM où il contribue à la formation initiale des enseignantes et enseignants.rfleury@sdesj.org

Crédits

Réginald Fleury, MEd.

Par la production et la diffusion de cet outil, le SdesJ espère d'abord donner une vision d’ensemble du système d’éducation au Québec à ses membres et autres allié.es des communautés noires. Il cherche ensuite à briser l’isolement face aux discriminations en partageant avec le plus grand nombre possible de jeunes, de parents, d’acteur.ice.s du milieu scolaire et d’organismes communautaires, les obstacles qui se dressent devant la réussite des jeunes noir.es, mais aussi les initiatives favorisant la réussite eéducative.Le SdesJ souhaite enfin favoriser la mobilisation des membres des communautés noires et de leurs allié.e.s afin de favoriser la justice sociale dans le milieu scolaire.

As an expert at the Bureau de la lutte au racisme et à la discrimination systémique of Montréal City, Réginald Fleury provides support the various municipal authorities on urban security issues. With over 15 years’ experience in education, he specializes in the implementation of equity, inclusion and social justice practices. He is also a lecturer at UQAM where he contributes to initial teacher training.rfleury@sdesj.org

Crédits

Réginald Fleury, MEd.

By producing and presenting this tool, the Summit hopes to provide an overview of the education system in Quebec to its members and other allies of Black communities. It also seeks to break down the isolation when facing discrimination, by sharing with as many young people, parents, educational stakeholders and community organizations as possible, the obstacles that stand in the way of the success of Black youth, as well as the initiatives that promote educational success. Finally, the Summit wishes to encourage the mobilization of Black communities and their allies in order to promote social justice in the school environment.