Want to make creations as awesome as this one?

Transcript

PINODO

4° MATISSE

PIERRE

DORIAN

NOAH

Je me présente. Je suis capitaine Dans l'année je complète les tâches que j'ai réalisé pour mon équipage.

Je me présente. Je suis secrétaire. Dans l'année je complète les tâches que j'ai réalisé pour mon équipage.

Je suis le maître du temps. Dans l'année je complète les tâches que j'ai réalisé pour mon équipage.

Sommaire

Physique

Français

S.V.T

Anglais

Universellement connue pour ses cratères remplis d'eau, l'exoplanète PINODO est une des plus belles qui soit. Sa masse est d'environ 8 000 milliards de milliards de tonnes.Cette planète tellurique est principalement composée de roches et de métaux mais elle ne possède pas d'anneaux.PINODO se trouve à 1 année lumière de son étoile : LINBULJOL . Cette étoile naine, comme le soleil est plus petite qu'une géante et présente une faible luminosité. LINBULJOL est de couleur marron et pèse 330 000 fois plus que PINODO. Sur LINBULJOL, la température est agréable, 15°C le matin et 30°C l'après-midi, sa température moyenne est de 25°C. Cette étoile se trouve dans la constellation du Serpent (210 années lumières de la Terre) et pour l'atteindre, il nous faudrait 210 années. Sur PINODO, l'atmosphère est composée de 59% de diazote, de 40% de dioxygène et de 1% de gaz rares. La valeur de la pression est de 132 000 Pa. Sur notre exoplanète il n'existe pas de saisons.

Expédition sur l'exoplanète PINDOLe 30 janvier 2022, un astronome vint à découvrir l'exoplanète PINODO. Au début, cet explorateur du ciel croyait observer la Lune mais en l'observant plus longtemps, il vit que les cratères étaient comme remplis d'eau. Il exposa sa découverte à la NASA, puis lors d'une conférence de presse qui fit le tour du monde.Les habitants du monde entier étaient stupéfaits à l'idée que d'autres magnifiques astres existaient dans l'Univers. PINODO était le nom donné à cet astre car en russe cela signifiait "beauté suprème". Dans les jours qui succèderent la conférence, on décida d'organiser une expédition pour atteindre PINODO et l'explorer de fond en comble.Pour ce périple, trois hommes avaient été choisis: Julian Froomy, vainqueur du Dakar 2022 et mécanisien ayant réparé et construit de nombreux bolides, Chris Alafujol, vainqueur lui aussi du Dakar 2022 en tant que co-pilote de Froomy et ayant une grande expérience pour manipuler les produits dangeureux et enfin Lilian Calbul, un grand docteur et scientifique connu pour avoir débarassé l'humanité de la covid-19. Ces trois valeureux français avaient convaincu pour leurs compétences et leur savoir.Leur moyen de locomotion ne serait pas une fusée comme beaucoup le pensaient mais un jet privé à réaction. Cet engin serait construit en France, à Blagnac, au sein de l'aérospatiale. Les formes du vaisseau seraient définies par Julian Froomy et le chimiste et co-pilote Chris Alafujol encadrerait la conception du bloc-moteur. Lilan Calbul, lui, s'occuperait des matériaux composants le jet.L'engin fut terminé en seulement trois mois, un temps record! Il était extrêmement long et très fin. Ses ailes rétractables permettant une meilleure pénétration dans l'air et sa coque composée d'aluminium, de carbone et d'acier lui permetait ainsi d'atteindre des vitesses phénoménales tout en résistant à la traversée de l'atmosphère. La cabine de pilotage comportait trois sièges ainsi qu'un radar sophistiqué,

une radio, une assistance au pilotage et dans la soute se trouvaient plusieurs centaines de bonbonnes d'oxygène. Des bandes blanches et bleues parcouraient la carrosserie noire de notre engin. La NASA sponsorisait l'expédition et le décollage se déroulerait en Guyane. Les trois français avaient été accueuillis comme des stars sur la rampe de lancement et rentraient sous un tonnerre d'applaudissements dans l'avion. Nous étions terrorisés. Le skyper commença le décompte : trois, deux, un décollage ! Le jet venait de partir vers notre exoplanète, le décollage était violent, brusque. On avait une sensation de brulure aux yeux, au visage, aux poumons et à la gorge. On croyait que notre cage thoracique se tassait. On avait déjà parcouru beaucoup de kilomètres. Nous vîmes au loin un Trou Noir, nous avions très peur mais il ne nous a pas aspiré et nous avions esquivé de peu un astéroïde. Après deux-cent-dix années lumières nous apercevions notre PINODO. Nous effectuions enfin la manœuvre de retournement. Nous n’avions presque plus d’oxygène. Nous nous apercevions que notre radio était cassée mais nous n’avions pas le temps de nous en occuper pour le moment : on venait d’atterrir. En descendant du jet, nous posâmes les pieds sur PINODO ; nous apercevions au loin des cratères remplis d’eau et entourés de poussière rouge. En zigzagant entre les grands arbres fruitiers, nous vîmes sur le tronc de l’un d’eux une substance ressemblant à une toile d’araignée jaune. Lilian Calbul, le scientifique de l’expédition reconnu cet être vivant qui était un blob. Nous en prélevions un échantillon pour l’examiner et faire des expériences sur cet être unicellulaire.

En regardant au loin nous vîmes de fines rivières couler comme des cascades qui s’écoulent jusqu’à un fleuve auprès duquel se trouvait de nombreux arbres pouvant mesurer jusqu’à trente-cinq mètres de haut. Puis en regardant de plus en plus loin, nous aperçûmes de l’herbe sèche de couleur jaune. En continuant notre exploration, nous entendîmes des gémissements et des cris. Mais seulement était-ce des cris d’humains? Tout à coup, devant nous, nous vîmes arriver un troupeau de Centaures dont nous reconnûmes les gémissements que nous avions entendus auparavant. Nous allâmes au jet pour déposer notre échantillon de blob. Nous en descendîmes le buggy pour continuer notre exploration. En longeant les immenses cratères, Chris Alafujol eut l’idée d’aller explorer l’un d’eux. Nous retournâmes au jet prendre des bonbonnes d’oxygène et des combinaisons de plongée. Puis, avec le buggy, nous gravîmes le cratère grâce au talent de pilote de Julian Froomy. Nous sortâmes du bolide et nous enfilâmes les tenues de plongée.En plongeant nous découvrîmes un magnifique spectacle : une multitude de coraux de toutes les couleurs recouvrait le sol et des sirènes nageaient à toute vitesse dans l’eau profonde. Lilian Calbul prit un morceau de corail et le mit dans une pochette plastique. Après avoir observé cette faune maritime, nos bombonnes d’oxygène étaient presque vides et nous remontâmes à la surface.*

En sortant de l’eau, nos mains et nos pieds s’étaient transformés en palme. Notre scientifique avait la réponse à notre question : il avait découvert à Hawaï que lorsque l’eau était trop acide, les coraux mourraient au contact de l’air et que les humains, au contact de cette même eau, avaient les mains et les pieds qui se changeaient en palmes. Pour stopper cet étrange phénomène il fallait manger du sable. D’ailleurs, sur PINODO, il y en avait. Nous nous dépêchâmes de nous coucher à terre pour en avaler. Et effectivement, nos mains et nos pieds redevînmes comme avant. En voulant examiner notre corail au bord du jet, nous nous rendîmes compte qu’il était mort. Notre expédition était terminée et nous pouvions rentrer sur Terre pour raconter notre aventure et exposer nos découvertes.

Compte rendu TP sur le blob:

Une fois arrivées sur PINODO, nous partîmes à la découverte de celle-ci afin d'en percer le secret .En zigzaguant entre les arbres, nous crûmes apercevoir sur le tronc de l'un d'entre eux une sorte de toile d'araignée jaune.Un membre de notre équipage, Lilian Calbul, suggéra d'en prélever une petite partie pour l'étudier de près dans notre vaisseau.Après quelques jours d'exploration sur PINODO, le petit bout jaune que nous avions appelé "Blob" et mis de côté, fut ramené à la vie. Hypothèse:Le blob s'approvisionnerait en nourriture en la recouvrant. Protocole:-Dans un premier temps, nous avons coupé une partie du blolb.-Nous avons humidifié notre partie du blob (sclérote)avec une pipette remplie d'eau et nous l'avons posé au centre d'une boîte de pétri à l'aide d'une pince.

- Nous avons placé à chaque extrémité de la boîte de pétri quatre petits amas de flocons d'avoine. - A mi distance entre la sclérote et deux amas de flocons d'avoine, nous avons déposé deux petits tas de sel. Nous avons mis la boîte de pétri dans un lieu obscur afin de ne pas l'exposer à la lumière. Le premier jour de l'expérience, le couvercle de la boîte de pétri ne la recouvre que partiellement volontairement.- Le deuxième jour, le blob s'était développé et avait recouvert quelques flocons d'avoine du tas de gauche, devant lequel nous n'avions pas déposé de sel. Le blob ne semblerait pas être attiré par le sel. Le soir, le Physarum polycephalum avait recouvert l'ensemble de l'amas.- Le troisième jour, le blob a construit un réseau et s'étend de manière symétrique autour de la première source de nourriture.- Le quatrième jour, son réseau a gagné l'ensemble de la boîte de pétri pour connecter les quatre sources de nourriture en contournant le sel.- Le Physarum polycephalum s'est développé dans un milieu humide, à l'obscurité, grâce à un système de réseaux, il a pu atteindre sa nourriture; ainsi il semble raffoler des flocons d'avoine.

à 10h56min

à 15h41min

Mardi 30 novembre

Mercredi 1 décembre

à 10h55min

Jeudi 2 décembre

à 15h39min

Vendredi 3 décembre

à 7h56

à 15h35