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Des défis contes en maternelle

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Structurer les apprentissages

Les attendus

Des ressources

Mener des activités

Le programme

Construire des connaissances

Présentation du projet

Raconte- « mois » des histoires Des contes pour apprendre à comprendre

  • Pourquoi conter en maternelle ?
Les raisons de raconter sont nombreuses et les effets provoqués sont incalculables tant ils touchent, en dehors du plaisir du moment partagé, à autres choses qu'au conscient et qu'à l'immédiat :
  • Le travail du le conscient et de l’inconscient en référence aux travaux de Bruno Bettelheim (Raconter un conte de fées, exprimer toutes les images qu'il contient, c'est un peu semer des graines dans l'esprit de l'enfant. Certaines commenceront tout de suite à faire leur travail dans le conscient ; d'autres stimuleront des processus dans l'inconscient. D'autres encore vont rester longtemps en sommeil jusqu'à ce que l'esprit de l'enfant ait atteint un stade favorable à leur germination, et d'autres ne prendront jamais racine. ")
  • L'importance de la parole (nommer, décrire et communiquer des événements, des émotions, des êtres afin d’établir un pouvoir sur le Monde en le structurant, en ordonnant le monde chaotique de l’enfant, en le mettant à distance afin de raisonner)
  • La construction de la personnalité (l’identification à des situations, des événements, des personnages permettant de vivre symboliquement et d’apprivoiser des états mentaux, des peurs archaïques, des conflits intrapsychiques et de s’« auto-réparer », de grandir par le biais de l’imaginaire)
  • L’importance de la transmission (l’inscription de l’enfant dans une continuité, la conscientisation du fait d'appartenir à une globalité, qu'il s'inscrit dans un processus : celui de l'histoire de l'Humanité.)
  • Le garde-fou contre le passage à l'acte de l'enfant. L'expression verbale d'une émotion, d'un sentiment, peut bien souvent lui éviter l'agression physique de l'autre, objet de sa colère. "Une des fonctions essentielles du conte est d'imposer une trêve au combat des hommes. « (Daniel Pennac)
  • Le développement d’une écoute active (l’acquisition d’une posture physique et intellectuelle d’écoute)
  • Le conte objet social (le tissage de lien entre les auditeurs de l’histoire qui se déroule) "Le Conte est convivial. A l'écoute d'un conte, l'auditeur n'est pas seul pour affronter ces situations terribles : il est entouré de ses amis et il s'aperçoit qu'ils ont aussi peur que lui. Il sent donc que ses angoisses sont normales et qu'elles peuvent être maîtrisées." Edith Montelle nous dit dans son ouvrage "Paroles Conteuses"
Pour que l’enfant d’aujourd’hui devienne un adulte équilibré, il est important de lui proposer des textes qui ne s’adressent pas seulement à son imaginaire, mais aussi à son intelligence et à sensibilité. Les histoires doivent l’interpeller, l’inciter à réfléchir, l’émouvoir. Le but est en effet ici de faire jouer toute la gamme des sentiments humains, sans oublier de mettre en valeur certaines qualités morales un peu trop délaissées de nos jours. Initialement le conte est un récit qui se transmet dans le temps par le biais de l'oralité. Le conte se déroule dans un univers où l'invraisemblable est accepté, où le surnaturel s'ajoute au monde réel sans lui porter atteinte. Les personnages jouent des rôles bien définis et leurs aventures se terminent généralement bien. L'histoire racontée permet d’aborder des tranches de vie, des déroulements récurrents (scripts) et de dégager une leçon de vie, ou morale. Nombre de ces contes véhiculés par le bouche à oreille ont fait l'objet, depuis la Renaissance, de collectes et de réécritures par des écrivains. Ces démarches figent ces histoires dans une version donnée, et les transforment en objets appartenant au domaine de la littérature écrite. De nos jours, certains psychologues affirment que les contes aident l'enfant à résoudre les conflits affectifs : s'il se sent mal aimé comme le Vilain Petit Canard, le conte le consolera en lui montrant que, finalement, il rencontrera quelqu'un qui l'aimera. Il prendra confiance en lui-même en voyant que Hänsel et Gretel, malgré leur faiblesse, arrivent à vaincre la sorcière. Ces personnages sont très utiles car ils permettent de donner un visage à l'angoisse qui étreint parfois les jeunes enfants. Les contes et la littérature de jeunesse nourrissent l'imaginaire enfantin. Par des décalages, les histoires conduisent les enfants à se représenter non seulement ce que les choses sont mais ce qu’elles peuvent, pourraient, auraient pu être, et même ce qu’ils ne voudraient surtout jamais voir arriver. La répétition des lectures joue une grande importance en créant une sorte de "sécurité". Les enfants observent que l’on ne lit pas de la même façon des textes à portée documentaire et sentent le statut particulier des récits de fiction. A l'école maternelle, la fréquentation régulière des contes permet à l'enfant de se constituer une mémoire des textes et de retenir la structure d'un récit. Elle favorise la construction d'une première culture littéraire, nécessaire pour développer le goût de lire, pour donner du sens aux apprentissages en reliant les œuvres entre elles et en créant un réseau de références autour desquelles vont s'agréger les nouvelles lectures. L'acculturation est un vecteur de réussite scolaire. Raconte-Mois une histoire – Des Contes pour apprendre à comprendre- J.Jacques Dabat-Aracil- CP maternelle Eure

Défi 1

Septembreoctobre

Défi 2

novembredécembre

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Défi 3

janvier février

Défi 4

marsavril

Défi 5

MAijuin

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Raconte- « mois » des histoires Une démarche

  • Comment conter en maternelle ?
Les contes constituent le patrimoine des traditions orales, à forte valeur symbolique ; ils abordent les problématiques existentielles, proposent un système de valeurs sur lesquelles s’édifient les relations sociétales. L’art du conteur, pour les faire revivre, réside dans la façon de dire l’histoire, dans le rituel proposé pour créer un espace et un temps dédiés au conte. Pour favoriser la concentration, l’écoute et le plaisir de participer à cet échange, l’enseignant veille à ce que l’installation soit confortable, autour de lui, dans un espace consacré à l’activité, calme, silencieux, où chacun se sente à l’aise. Avant de commencer à raconter l’histoire, il propose un signal d’écoute, dit une formulette qui instaure le silence et attire les regards, se rapproche physiquement des enfants réunis, les rassemble en les suivant tous des yeux en laissant un court silence. D’une narration à l’autre, les versions successives peuvent présenter des différences dans la forme mais la trame du récit demeure. L’enfant, au fil des écoutes, mémorise des passages, des expressions et progresse dans la capacité à restituer quelques phrases, un court dialogue. Il est essentiel que l'enseignant signifie bien qu'il est dans le domaine de l'oral : il raconte le conte et les récits peuvent varier sur la forme d'une version à l'autre, l'oral étant volatil. En revanche, s'il lit un conte, il se situe dans le domaine de l'écrit. Les lectures successives ne changeront aucun mot, la permanence de l'écrit étant une caractéristique importante. Le lieu
  • Créer un lieu de conte pour garder la magie et donner le plaisir de conter.
  • Aménager un lieu, toujours le même, avec un décor approprié, par exemple un tapis. Ce lieu peut être aménagé dans la bibliothèque, une salle de psychomotricité, un coin de la classe...
  • La position du conteur :
  • Avoir mémoriser le texte dans ses grandes lignes (possibilité d’utiliser un post ‘It aide-mémoire avec les mots clés, les enchaînements)
  • Se poser, parler tranquillementSe faire confiance : on sait parler, et si on prend le temps, l'imaginaire prend le dessus, et les mots viennent sans difficultéLaisser la porte ouverte aux mots et aux images qui surgissentLes gestes esquissés suffisent, ne pas trop théâtraliser.
  • Le conteur s'assoit le dos au mur (éviter surtout de se placer devant une fenêtre), sur une chaise basse. Les enfants s'assoient par terre, disposés dans un angle de 120° maximum pour qu'ils puissent capter les regards, les gestes, les mimiques du conteur. Éviter d'avoir une porte dans le dos ou sur le côté (toute personne entrant en plein conte sera transformée en ce que le conteur vient de dire !).
  • L'horaire
  • En petite et moyenne section de maternelle, le matin (9h00-9h30) est la période idéale. Éviter le retour de sieste de l'après-midi. Il est parfois difficile d'obtenir une écoute silencieuse des 2-3 ans : ils se plaisent à répéter la formule magique ou les mots de l'histoire.
  • Pour les plus grands, le matin ou le début d'après-midi peuvent convenir. Le conte avant la sortie de la classe est plus difficile à mettre en place, et pour le conteur (fatigue) et pour les enfants inattentifs (déjà dans la pensée de la sortie). Éviter de laisser un conte en suspens (excepté pour une lecture suivie).
  • La durée
  • Un conte de dix à quinze minutes par séance est parfait s'il y a une périodicité. Sinon, prévoir au maximum :- 15 minutes en Petite Section- 15 à 20 en Moyenne Section- 20 à 30 minutes en Grande Section
La démarche en 6 temps

Pourquoi y a-t-il le Soleil le jour et la Lune la nuit ? Il y a très longtemps, il n’y avait pas de lune dans le ciel, la nuit. Il n’y avait qu’un soleil qui brillait tout le temps, jour et nuit. Et ce soleil avait l’air toujours triste. Un jour, un oiseau alla à sa rencontre : — Pourquoi pleures-tu, soleil ? demanda le petit oiseau. — Parce que j’ai beaucoup trop chaud ! répondit le soleil, les larmes aux yeux. Je voudrais me rafraîchir * un peu. Document en téléchargement

Pourquoi il n'y a plus de fourmis Un jour, une petite fille joue à la poupée sur l’herbe du jardin. Elle s’assoit sans le savoir sur le nid de la fourmi. Aussitôt, la fourmi pique la petite fille à la jambe. La fille lâche sa poupée et s’enfuit* en pleurant vers la maison. La poupée en tombant écrase la queue du chat qui, affolé, saute sur le bord de la fenêtre et fait tomber le pot de fleurs. Le pot de fleurs casse. Document en téléchargement

Pourquoi les souris ont-elles peur des chats ? Zaza est une petite souris Zaza qui vit sous le lavabo de la salle de bain. Tous les soirs, elle sort pour aller chercher la nourriture dans la cuisine : un morceau de fromage, un quartier de pomme, de grains de maïs… Chaque soir, elle suit le même chemin en faisant bien attention de ne pas faire de bruit. Tout change le jour, un chat, Patouf, arrive dans la maison. Document en téléchargement

Pourquoi les chiots font-ils des farces ? Malo est jeune chien qui aime bien jouer. Malo fait des farces à Inès et Bastien mais que parfois ces derniers n’apprécient pas toujours (répétition des farces, prise d’un objet utilisé, destruction du château de sable…). Même si on fait des farces, des bêtises ce n’est pas grave… On peut se faire pardonner avec un câlins, des bisous, un petit cadeau… Cliquez sur ce lien pour découvrir le défi. Document en téléchargement

Nathan veut s' habiller tout seul Pour chercher et savoir pourquoi Nathan veut s' habiller tout seul, cliquez sur ce lien pour découvrir le défi. Document en téléchargement