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A la découverte de VANNES SUR COSSON

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Sommaire

Charmant village niché au coeur de la forêt, comptant près de 600 vannois et vannoises.

Blason

Eglise

Patrimoine

Histoire

Personnalités

Kommandos

Nature

Blason

"Tierce en barre : au 1er de sinople au lion d'or, au 2e d'or chargé d'une cotice en barre d'azur, au 3 de gueules chargé d'une vanne d'étang d'or accostée de quatre roseaux de même.''Il a été adopté le 12 novembre 2018.

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Le nom de la commune provient du latin médiéval venna, d'origine gauloise, signifiant : barrage pour prendre le poisson, réserve de poissons, pêcherie.La commune a changé plusieurs fois de nom : - De Vannis de 1153 à 1171 - Vannes en Sauloigne en 1481 - Vannes en 1740 - Vannes en Sologne en 1823 - Et enfin, Vannes sur Cosson par décret du 23 juillet 1911.

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Histoire

Patrimoine

La brique et le bois constituent les 2 emblèmes du patrimoine architectural local : soit en alternance, soit combinés.Le bois : principal matériau de construction durant le Moyen-Âge jusqu'au début du 19e siècle. Les paysans solognots utilisaient les matériaux qu'ils avaient sous la main pour la construction de leur logement : - le bois d'oeuvre provenait des forêts constituant l'armature des maisons - l'argile du sous-sol garnissait l'ossature.Le plus ancien habitat était des maisons à colombage avec un cadre rempli de torchis. Dans les plus maisons plus cossues, la brique a peu à peu remplacé le torchis.Pour en savoir plus :

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La matière première restait la même mais l'argile était alors cuite dans des fours alimentés en bois. Les briques étaient disposées de façon oblique en "arrête de poisson" ou en "feuille de fougère" autour du montant.

C'est un amalgame d'argile et de paille entourant un morceau de bois et formant un "paillisson".

La brique : elle a supplanté le mode de construction précédent au milieu du 19e siècle. Des rues entières ont vu le remplacement d'habitation en pans de bois par des maisons de briques. Le village possédait sa propre tuilerie-briqueterie, située au lieu-dit "le Haut des Tuileries". Ces maisons ont souvent conservé à l'extérieur, les anneaux qui permettaient d'atteler les chevaux.Place Ythier Privé : ancien cimetière devenu la place principale de la commune. Le nom vient du maréchal Ythier Privé, né dans l'auberge du Vieux Relais en 1762. Mort en 1831.

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Le vieux relais (2 route d'Isdes - photo) : plus vieux monument du village, il fit office de restaurant pendant plus de 5 siècles. Bâti vers 1515, maison à colombage avec des fenêtres à barreaux sans doute pour dissuader les bandits de chemin.Maison du forgeron (route d'Isdes) : maison solognote typique abritant l'ancienne forge, datant du 18e siècle. Colombage, briques, portes particulières et caractéristiques avec imposte, 4 cheminées.Le cheval blanc (7 route de Tigy) : corps de bâtiment remarquable.Jeu de paume : ancêtre du tennis, cette salle a longtemps servi de salle des fêtes et de bal. A l'angle de le rue du Jeu de Paume avec la rue de la Croix Ste Madeleine, on trouve une maison ancienne qui aurait abrité Jeanne d'Arc.

Rue de la Croix Ste Madeleine : découverte du four à pain. Actuellement, il reste moins de 30 fours encore partiellement débout dans les maisons privées.A l'époque médiévale et pendant l'Ancien Régime, les fours à pain sont la propriété et le monopole du seigneur en vertu de son droit de ban. Les sujets obligés de l'utiliser contre une redevance suite à l'abolition des privilèges lors de la Révolution, alors les fours privés se multiplient.Les fours se trouvent souvent sur un mur pignon, adossé à l'habitation voire intégré à celle-ci avec utilisation du même conduit que la cheminée. Ils peuvent être de plan carré, rectangulaire ou en demi-cercle et ils possèdent un espace de cuisson en briques constitué d'une voûte et d'une sole, d'une gueule, pouvant s'ouvrir dans la salle commune de l'habitation.

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Pouvoir de commandement du seigneur.

C'est la surface qui reçoit le bois de chauffage et sur laquelle sont ensuite disposés les pâtons lorsque la température souhaitée est obtenue. La sole est réalisée avec un matériau réfractaire, essentiellement des briques ou des carreaux ayant subi une cuisson prolongée.

C'est l'ouverture relativement étroite et cintrée qui peut rester ouverte pour la cuisson à "feu ouvert" ou être fermée pendant la cuisson à "feu fermé". C'est par cette ouverture que le bois de chauffe est introduit dans le four : l'air frais pénètre par sa partie inférieure pour faciliter la combustion, et la fumée s'échappe par sa partie supérieure. C'est aussi par la gueule du four que les braises sont brassées et évacuées et que les pains sont retirés lorsqu'ils sont cuits.

Maison haute (route de Tigy), ancien café de la gare : la Sologne a été très tôt desservie par la ligne de chemin de fer. A Vannes, c'est le tramway qui passait sur la ligne Orléans - Isdes, le pittoresque "tacot" 1906. Fermeture définitive en 1934.

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Croix blanche (rue de la Croix Ste Madeleine) : 17e siècle. Maison typiquement solognote, ancien relais avec le bâtiment massif très bien conservé. Elle possède une cheminée centrale remarquable et, en levant les yeux, on voit l'ancienne embrase de celle-ci surplombant le toit.Elle était l'ancien relais avec colombages, briques, ancienne grange dans la cour en armature en pans de bois.

Lavoir : ancien lavoir municipal, début du 19e siècle. Création des lavoirs fin 18e par mesure d'hygiène, importante fonction sociale, lieu exclusivement féminin où les femmes pouvaient se retrouver et discuter.Briqueterie : en tout, il en existait 3 sur la commune qui faisaient parties des propriétés avec château. A noter que c'est sous l'impulsion de Napoléon III que la brique se démocratise. Briquier - briqueur - tuilier - briquetier : 4 appellations pour un même métier.Au Moyen-Âge, on rencontre des tuiliers puis au 17e, ils sont nommés briquiers. Ils redeviennent tuiliers au 18e quand la production est plus orientée vers la tuile. Ensuite, ils sont indifféremment tuiliers ou briquetiers.

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Fermes : Poirier de 1825 la Ramelière de 1843 la Creuse de 1887 Petit-Voisin de la fin du 19e la Lande de 1901.Châteaux : Prépinson du 18e siècle le château de Montambert construit au 19e par Gaston Tassin de Charsonville.Mairie (route de Tigy) : ancienne école des garçons.Actuelle salle des fêtes (13 chemin des sables) : ancienne école des filles.

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Eglise

Le 1er lieu de culte est attesté dès le 5e siècle. En 436, Vannes possède une chapelle en bois et pisé. Au 9e siècle existe une chapelle en pierre et brique. L'église aurait été donnée à l'abbaye de Micy Saint Mesmin par Clovis (donation confirmée par une charte de Louis le Pieux du 16 décembre 836). C'est la 1ère mention écrite de Vannes sur Cosson.L'église du 9e a été abattue par les protestants en 1562 au cours des guerres de religion. Elle est reconstruite à l'initiative de Pierre de Cholludet, seigneur de Brossoloir, en 1578 et dédiée à St Martin.L'église est l'unique construction en pierres du village. La raison en est simple : il fallait faire venir la pierre par des chemins humides, souvent peu praticables donc la pierre était réservée aux églises.

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Le pisé est une technique de construction qui utilise de la terre tassée dans des moules appelés formes.

L'église était autrefois le principal rendez-vous des habitants, souvent dispersés dans les campagnes, qui se retrouvaient pour la messe dominicale. Elle est longue de 23 m et large de 6 m, et n'a qu'une nef unique, précédée d'un porche à 3 arches faisant office de caquetoire et achevée par un chevet à 3 pans. Son originalité est que le caquetoire est fermé.Une statue en bois polychrome accueille le visiteur. Elle représente Sainte Montaine, sainte patronne de la Sologne.2 chapelles saillantes s'ouvrent de part et d'autre de la nef : Sainte Vierge et Saint Roch (1862). Pour l'histoire locale, la statue de Saint Roch a été érigée lors d'une épidémie de laryngite diphtérique qui a sévi sur Vannes en 1858 - 1859.La sacristie est accolée au choeur du côté nord et éclairée en partie par un oculus oval. Le confessionnal date du 17e siècle.

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Petite ouverture sur un comble de voûte.

Son aménagement intérieur s'articule autour de 2 périodes : - Début du 18e avec un autel en marbre de 1682 et classé en 1983, un tabernacle en bois doré du 17e, ainsi qu'un retable de 1734 et leur entourage (1700 - 1734) classés le 29 mars 1983.A gauche de l'autel, statue de St Martin a été exécutée en 1884 par Kuchelbecker et Jacquier au Mans, celle de Ste Madeleine par l'atelier du Carmel au Mans également. L'église garde le témoignage de la vie du village. Pour l'histoire générale, l'inscription (près de la statue de St Martin) rappelle le saccage de l'église lors des guerres de religion et sa restauration à l'initiative du seigneur de Brossoloir, en 1578. - 2e moitié du 19e siècle a fixé la disposition actuelle de la nef : stalles et boiseries du choeur de 1845 avec les 2 médaillons représentant le sacrifice d'Isaac (à droite) et la manne au désert lors de la marche du peuple hébreu d'Egypte en terre promise (à gauche).Pour en savoir plus :

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Le clocher a été transféré du centre de la nef à son extrémité ouest en 1839. La tribune date de 1870.Sont classés, en 1981, à l'Inventaire Général des Monuments et Richesses Artistiques de la France : le retable et le tableau de St Etienne et de St François de Sales, il a été exécuté en 1671 par Etienne Pinardeau, pour une chapelle privée de St Martin d'Auxigny, près de Bourges et offert à l'église de Vannes en 1856. 2 bas-reliefs : le sacrifice d'Abraham et Moïse / la Manne (17e). Le prieuré : il donne sur la place de l'église où a eu lieu un bombardement en 1940, faisant 20 morts.

Ythier Privé : maréchal de camp, né le 19 juillet 1762 à Vannes et mort le 13 février 1831 à Paris, est un général des armées de la République et de l'Empire. Il entra au service comme soldat dans le corps des carabiniers le 15 mai 1779. En 1787, il s'engagea dans le régiment de Dauphin-Dragons et y servit jusqu'en 1789, époque à laquelle il passa comme soldat dans le bataillon de Sully, incorporé dans le Loiret. Nommé le 25 janvier 1792 sous-lieutenant au 13e Dragons, il rejoignit son régiment à Thionville. Passé comme lieutenant aide-de-camp auprès du général Bonnaud, il continua de faire la guerre à l'armée du Nord. Privé obtint le grade de capitaine et resta attaché au général Bonnaud jusqu'au décès de celui-ci. Suite à une attaque où il repoussa 4 000 Chouans, le gouverneur le récompensa de ses services en le nommant chef d'escadron. Pour en savoir plus :

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Personnalités

Il continua à montrer beaucoup de valeur dans différents combats. Il devint membre de la Légion d'honneur en 1812 et membre du collège électoral du département du Loiret. Suite à ses campagnes en Espagne, l'Empereur lui donna la croix de commandeur de la légion d'honneur. Il fut mis à la retraite en 1814 et Louis XVIII le créa chevalier de l'ordre royal et militaire de St Louis le 17 janvier 1815. Il décéda le 13 février 1831.

Pierre de Choludet :Seigneur de Brosseloir au 16e siècle.Gaston Tassin de Charsonville (1845 - 1893) :Officier de cavalerie, capitaine dans la Garde nationale mobile du Loiret, blessé en janvier 1871 à la bataille de Buzenval, chevalier de la Légion d'honneur le 14 mai 1872; son fils aîné Arthur Tassin de Charsonville, tué en 1916 à Verdun, est inscrit sur le monument aux morts.La famille Tassin de Charsonville est parmi les ''Familles subsistantes de la noblesse française'', originaire de la ville d'Orléans où ils sont connus depuis la fin du 14e siècle. Pour en savoir plus :

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La tradition orléanaise veut qu'un Jehan Tassin ait libéré Orléans des Anglais aux côtés de Jeanne d'Arc en 1429 lors du siège de la ville pendant la Guerre de Cent ans. La famille est surtout renommée pour ses activités industrielles et commerciales dans le raffinage du sucre, qui fut l'une des principales richesses d'Orléans à partir du 17e siècle. Au 18e, la fortune financière et commerciale de la famille permit à ses différents membres d'acquérir d'importants fiefs en Beauce et d'atteindre l'anoblissement par des offices et des fonctions dans l'administration royale. Ils acquièrent ainsi le château de Montambert à Vannes sur Cosson.

Famille Bouygues : propriétaire des domaines de Luet et de Blancheron.Jeanne d'Arc : elle s'est arrêtée à Vannes et y a passé une nuit entière. Après la délivrance d'Orléans en mai 1429, elle y retourne en juin en passant par Romorantin, Chaumont sur Tharonne, Marcilly en Villette.En juin, durant la campagne de Loire, elle passera par Jargeau, Beaugency, Meung, Patay, Châteauneuf, St Benoît, Sully et Gien. De là, elle se rend à Reims pour assister au sacre du roi Charles VII le 17 juillet. Jeanne se lance aussitôt sur Paris pour délivrer la capitale mais échoue et rentre à Gien le 21 septembre de la même année.Pour en savoir plus :

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C'est alors que débute la campagne du Nivernais qui verra Jeanne échouer à La Charité sur Loire. De Gien, elle se rend à Selles, puis à Vierzon, Bourges, Nevers, la Charité pour revenir près de Bourges à Mehun sur Yèvre le 20 décembre. Le 22 décembre, elle part à cheval en petit équipage pour fêter Noël à Jargeau chez des amis. Elle passe par Souesmes, Pierrefitte sur Sauldre, Souvigny en Sologne et prise par la nuit, est contrainte de s'arrêter à Vannes en Sologne, petite paroisse peuplée de quelques vilains. L'histoire raconte que le seigneur de Vannes proposa gîte et couvert pour faire honneur à la qualité de princesse de Jeanne, qu'elle refusa pour dormir dans le foin d'une masure, petite, glaciale, sale et vulgaire. Le vrai miracle du passage de Jeannes à Vannes réside sans doute dans le fait que ladite masure existe encore après plus de 5 siècles (au croisement de la rue du Jeu de Paume et de la rue de la Croix Ste Madeleine). Toujours est-il que Jeanne quitte Vannes le 23 décembre pour se rendre à Jargeau via Tigy. Le 19 janvier, elle va à Orléans puis retourne aux alentours de Bourges le 26 janvier. En mars 1430, elle retraverse la Sologne pour se rendre à Sully. De là, elle partira le 28 mars pour Compiègne pour que s'accomplisse son destin : elle y sera capturée le 23 mai 1430.

Le 4 octobre 1940, un décret du Maréchal Pétain instaure le ''statut juif'' et l'internement des ''ressortissants étrangers de race juive''. Ainsi, le 14 mai 1941 a lieu la 1ère rafle de juifs parisiens appelée "billet vert". C'est 1 700 juifs qui sont envoyés à Pithiviers et 2 000 à Beaune la Rolande.Pour suivre le discours de Pétain, il y a une volonté de faire travailler les juifs pour remettre en valeur un espace rural en déshérence. Ainsi les internés vont être répartis dans 3 fermes de Sologne : la Matelotte à Cerdon avec 94 hommes, le Rozoir (91 hommes) et Ousson (92 hommes) à 4 km de Vannes sur Cosson. Ils vont y rester 1 an.

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Kommandos de Sologne

Ces internés sont surveillés par un bataillon formé de 8 à 12 gardiens par ferme. En 1942, l'appellation officielle devient "camp de Sologne" ou "kommandos de Vannes sur Cosson" avec un "k" pour faire plaisir à l'occupant.Les conditions de vie des internés sont extrêmement pénibles. Des granges sont aménagées en dortoirs, équipées de lits en bois garnis de paille avec un poêle par dortoir, alors que l'hiver 41-42, les températures sont descendues jusqu'à -20°.Au Rozoir, le travail quotidien commence par le nettoyage des bâtiments puis le débroussaillage des terres laissées en friche. Un hectare est ensemencé avec des plants de légumes mais le manque d'outils et de matériel de culture, rend le travail difficile. Le problème de la nourriture est particulièrement terrible puisqu'il faut la trouver sur place. Sans parler de l'eau potable, inexistante à la ferme et qu'il faut aller puiser ailleurs. Une assistante sociale tente de dénoncer les conditions d'internement sans succès.Pour en savoir plus :

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Certains détenus sont envoyés pour travailler dans des fermes voisines et améliorent ainsi leur quotidien au contact de la population. Aussi curieux que cela puisse paraître, jusqu'en octobre 1941, les détenus peuvent bénéficier de permissions temporaires (pour aller voir leur famille sur Paris) ou de droit de visite. La crainte de représailles sur la famille est plus forte que l'envie de liberté, seuls 4 permissionnaires en profitent pour s'évader. Bien souvent ces évasions se font avec l'aide de la population.

La ferme d'Ousson est fermée le 15 mars 1942, celles de la Matelotte et du Rozoir le 13 juillet 1942. Les détenus sont alors réintégrés à Beaune la Roloande. Aux camps de Pithiviers et de Beaune, il "faut faire de la place", ils seront embarqués le 17 juillet dans le convoi n°6 vers Auschwitz, le jour même de la rafle du Vel d'Hiv. Seul 3% d'entre eux survivront.Bereck Zelkowicz fut interné à Vannes, a fait partit des déportés du convoi n°6, il a survécu à l'horreur d'Auschwitz pour revenir à Vannes quelques années plus tard, avec un prénom franchisé : Bernard. Il a acheté auprès de la municipalité l'ancienne gare en juin 1950, puis plus tard le café Botton avec sa salle des fêtes (situés route de Tigy).

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Nature

Vannes est en Sologne et depuis 2020, le village possède son propre parc naturel protégé, labellisé Espace Naturel Sensible. Il est créé dans le but de préserver la qualité des sites, des paysages, des milieux naturels et des champs d'expansion des crues, d'assurer la sauvegarde des habitats naturels. Accessible depuis le chemin des Sables, le site comprend les étangs communaux, le Bois Boulette et s'étend sur 7 hectares. Ce lieu discret est propice à la promenade grâce aux panneaux pédagogiques sur la flore locale.Le chemin des Sables: il fait partie du GR3C de Sologne reliant Gien à Chambord, entouré de magnifiques propriétés, avec des façades en briques, des toits en basse voûte et la silhouette d'un ancien four à pain.

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Rivières : - le Cosson qui coule jusqu'à Chambord sur 96 km en traversant 18 communes et qui prend sa source entre Isdes et Vannes. Il descend le bourg, reçoit des eaux diverses (sources, étangs, fossés) et de cette combinaison forme le berceau primitif du cours d'eau. - le Bourillon, affluent du Cosson, et le ruisseau des Forges traversent la commune.Les étangs communaux : On compte de nombreux étangs répartis sur Vannes : Chêneaux, Neuf, Vié, Ossain, Ramelière, Grand-Voisin, Beaugenceau, etc.En général, tous les étangs sont des créations humaines. Ils sont la mascotte du paysage solognot. Jusqu'à la fin du 19e, les étangs ont joué un grand rôle dans l'économie de la région : pisciculture mais aussi abreuvage des bestiaux.

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