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DE JULIEN SOREL

Le MusÉe

Bienvenue !

Le mémorial de saint-hélène

Le premier livre qui a sa place dans le musée de julien sorel est sans conteste le mémorial saint-hélène. Dès de le début du roman, au chapitre 4, nous est présenté Julien comme un personage qui n'a absolument rien a faire dans sa famille. Il y a un lourd décalage entre sa famille qui travaille dans le manuel, dans un métier physique, alors que Julien "avait les larmes aux yeux, moins à cause de la douleur physique que pour la perte de son livre". En effet ce livre est le Mémorial de Saint-Hélène "celui de tous qu'il affectionnait le plus" Il indique aussi sa passion pour son idôle Napoléon 1er (car cet ouvrage raconte les mémoires de Napoléon Bonaparte à travers des entretiens quasi quotidiens avec l'Empereur, lors de son séjour à Sainte-Hélène) ce qui en dit beaucoup sur sa personnalité ...

La mèche de cheuveux de Mme de rênal

"-Nous avons besoin de fermeté, mon ami. Elle coupa une mèche de ses cheveux." (P.194 - L. 342-343)

Dans ce passage, Mme de Rênal coupe une mèche de ses cheveux. Pour elle, cela signifie un souvenir qui lui permettrait der ne pas oublier ses enfants et d'autre part elle meme : "[...] mais si je meurs, promets-moi de ne jamais oublier mes enfants". Symboliquement cette mèche de cheveux fait partie de l'histoire de julien, de son aventure avec Mme de Rênal : Julien était amoureux d'elle car il cherchait l'amour d'une mère (syndrôme d'oedipe), un amour maternel qui n'a céesé de lui manquer, cela illustre donc ce trait.

Les cheveux de mathilde

"Je veux me rappeler, lui dit-elle, que je suis ta servante : si jamais un exécrable orgueil vient m'égarer, montre-moi ces cheveux[...]"(P.434-L.210-212)

Une seconde mèche de cheveux se trouve en effet dans le musée de Julien Sorel, Similairement a l'épisode précédent avec Mme de Rénal, Mathilde lui offre une partie de ses cheveux. Seulement ce geste était plus un sacrifice d'une preuve d'amour en échange de son orgueil. Pour Julien ces mèches de cheveux prennent une place très importante dans son musée car se sont les symboles des deux femmes qu'il a vraiment aimées.

Ces chants impériaux napoléoneoniens viennent directement faire écho a la grandeur de celui-ci et cela est evident à mettre dans son musée, le fond de ses pensées, sa manière de réfléchir , tout est reliéà Napoléon son idole.. A plusieurs reprises dans le livre il se demande comment Napoléon aurait agi, comment faire pour faire comme lui. Il n'a pas mentioné ces musiques qu'il affectionnait, cependant ces chants impériaux qui illustre la grandeur et la prospérité de son empire selon Julien sont donc témoins de sa personnalité.

35 francs

"Trente-cinq francs, mon père"(P.214-L.240)

Ces trente-cinq francs sont une illusttration de la vie de Julien. Durant sa vie Julien Sorel s'en va de Verrières pour aller au séminaire, à Besançon, car selon lui c'est l'une des deux manières de monter l'échelle socliale. L'une est de s'engager en tant que soldat et de se vêtir d'habits rouges et l'autre et de se vêtir d'une tenue noire en tant que prêtre, ce qui peut etre une suggestion du titre du livr. D'ailleurs. Il y fait la rencotre de l'abbé Pirard avec qui il s'entretient pour intégrer le séminaire. A la suite il y est accépté et l'abbé Pirard lui demande : "Combien avez-vous d'argent ?" et c'est alors que que Julien lui répondit qu'il en avait trente cinq : cela fut la première question que l'abbé Pirard lui posa avant de l'installer à son logement. Cette monnaie a une valeur symbolique pour ce musée car c'est avec cet "argent" que Julien commença une nouvelle aventure hors de la Franche-Comté qui est là où tout a commencé ...