La Résistance 1940-1944

Mme ■z

défendre des valeurs

protéger du danger

rejoindre le maquis

chasser les occupants

renseigner les Alliés

informer la population

Résister en Francede 1940 à 1944, c'est...

Défendre les valeurs de la République, c'est...oser défiler le 11 novembre ou le 14 juillet.

Ces tracts volontairement abandonnés dans les gares et autres lieux publics, contribuent à changer les mentalités dans un pays sonné par la défaite, et plutôt favorable, dans les premières années d’occupation, au régime de Vichy et à la personne du maréchal Pétain.

Informer, c'est... oser distribuer des tracts.

Informer, c'est aussi...diffuser des journaux clandestins.

Informer, c'est encore...émettre des messages à la radio de Londres à destination des Français.

Chasser l'occupant, c'est...mener des attentats et organiser des sabotages.

Renseigner, c'est...transmettre aux Alliés des informations collectées par les réseaux de résistance, en utilisant le code morse ou des codes plus complexes.

Protéger du danger, c'est...fabriquer des faux-papiers.

Protèger du danger, c'est parfois...cacher des enfants juifs.

Les maquis sont des secteurs ruraux où se réfugient des résistants, notamment des réfractaires au travail obligatoire en Allemagne (le fameux STO).

Rejoindre le maquis.

"Il a été chanté dans les prisons. Les passeurs le sifflaient pour signaler aux clandestins que la voie était libre. Et j'ai su que des condamnés à mort l'avaient chanté face au peloton d'éxécution." Maurice Druon

Résister, c'est aussi chanter !

Également appelé chant de la Libération, ce chant devient l’hymne de la Résistance et un chant de reconnaissance dans le maquis.Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu’on enchaine ? Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c’est l’alarme. Ce soir l’ennemi connaitra le prix du sang et les larmes.Montez de la mine, descendez des collines, camarades !Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades.Ohé, les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite !Ohé, saboteur, attention à ton fardeau : dynamite…Paroles de Joseph Kessel et Maurice Druon, musique d’Anna Marly, 1943.