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Bois Persan

Balade Au

start

Bretelle de Chevreuse

Bretelle de Chevreuse

ORSAY

LES ULIS

VILLEBON SUR YVETTE

Bois Persan

Bois de la Cyprenne

Lycée

Notre point de rendez-vous est au lycée, on t'y attend pour partir, dépêche-toi !

Bien, nous sommes partis du lycée pour arriver à l'entrée du Bois Persan, tout le monde a bien suivi ? Voici la carte du bois, la flèche verte peut être glissée pour avoir une vue aérienne. Clique sur le mot forêt pour débuter la balade.

De bonnes chaussures (de randonnée, ou de bonnes baskets), à adapter selon la météo.

Un sac à dos pour ton matériel. Si tu as des jumelles, prends-les aussi !

Au moins un litre d'eau !

Regarder la météo la veille pour prendre un équipement adapté : lunettes de soleil ou imperméable...

Un téléphone chargé, pour prendre des photos et pouvoir appeler en cas d'accident. Des applications à télécharger : PlantNet (reconnaissance de végétaux et champignons), BirdNet (reconnaissance de chants d'oiseaux), Lightmeter (mesure de la luminosité)...

Balade mi-avril

Balade début novembre

altitude

Altitude : 80m

Altitude : 120m

Altitude : 170m

Altitude : 160m

Au fait, cette balade est un peu magique ! Elle va vous permettre de visiter le Bois Persan en long, en large, et à travers différentes époques : printemps, automne... et au-delà ! Vous avez une heure pour récolter toutes les informations.

Des sentiers et des bancs sont aménagés dans tout le bois. Même s'il est très pentu, les chemins sont aménagés perpendiculairement à la pente, de telle sorte que des personnes à faible mobilité peuvent s'y promener et s'y reposer. L'exercice physique et l'atmosphère apaisante font partie des services écosystémiques rendus par la forêt.

Le sentier étroit et pentu parfois bordé de coupes nettes de sol forestier. On distingue en haut de l'image quelques végétaux (jeunes pousses non identifiées, mousses) et le sol composé de haut en bas de :

  • la litière (feuilles mortes)
  • l'humus (noir, nombreuses racines)
  • une zone de de mélange (noir et orange)
  • la couche minérale orangée et sableuse.
La photo correspond à environ 50cm d'épaisseur.

Tu croises plusieurs VTTistes sur ce chemin. Celui-ci vient même de faire un saut périlleux sur une rampe au bord du sentier !

Les tas de bois coupés sont entreposés et triés sur le bord des routes forestières en attendant leur départ vers les scieries, papeteries, chaufferies... La matière et l'énergie que procure le bois est un des nombreux services écosystémiques fournis par l'écosystème forêt. Certains tas peuvent être très grands ! S’asseoir dessus ou les escalader est extrêmement dangereux : risque de chute, mais surtout de déséquilibrer ces empilements qui peuvent être très lourds (plusieurs tonnes) qui peuvent s’écrouler et écraser les personnes à proximité. Source : Charte du promeneur, ONF Tas de bois au bord d'un sentier forestier en été, avec fougères poussant au pied.

Pas mal de promeneurs et de cyclistes dans cette forêt ! Normal, quoi de plus agréable et apaisant qu'une balade dans le bruissement des feuilles et les chants des oiseaux ? 90% des Français aiment se promener en forêt ! Le bien-être est un des nombreux services écosystémiques que procurent les écosystèmes comme la forêt. Source : La forêt, un capital bien-être, ONF

à terminer

Cette paroi naturelle de grès est orientée face au Nord. Toujours à l'ombre, fraîche et humide, elle présente de nombreux paliers plats où s'installent préférentiellement des mousses (strate muscinale) et des fougères (strate herbacée).

Cette croûte verte sur les rochers est constituée... d'algues ! Ce sont des Pleurocoques. Unicellulaires, elles sont aérophiles (vivent à l'air libre) et hygrophiles : elles ont besoin de beaucoup d'humidité et de pluie. Ces algues se trouvent, abondantes sur les troncs d'arbres, les branches, les rochers… où elles forment des taches vertes. Colonie de Pleuorocoques sur un tronc d'arbre, source : Wikipedia Par frottement, une partie de ces cellules peut se détacher, colorant la peau, les vêtements, le pelage d'animaux… de traces vertes (forme de dissémination appelée zoochorie), l'essentiel de la dispersion se faisant par le vent (anémochorie), l'hydrochorie intervient partiellement lors de précipitations. Pleurocoques observées en microscopie électronique à balayage, source : Wikipedia

LES ULIS

ORSAY

Vue plein ouest vers le Bois de la Cyprenne, avec la N118 en contrebas. Le lycée est derrière le bois, plus bas dans la vallée.

25000 lux

20000 lux

Des troncs et branches jonchent par endroits le sol, certains sont recouverts de mousses. Le bois mort en forêt n'est pas un signe de mauvais entretien. Bien au contraire, il est indispensable pour la biodiversité. Les branchages à terre protègent les sols et se décomposent, favorisant l'humus qui va enrichir les sols. Les arbres cassés ou morts naturellement sur pied sont conservés. Ils permettent à de nombreux insectes, champignons, oiseaux de s'y loger. On estime que près de 25% des espèces forestières animales et végétales dépendent de la présence de bois mort. En savoir plus sur le site de l'ONF

Cet arbre bien vivant a son tronc recouvert d'une plante grimpante : du lierre. Lierre grimpant, Hedera helix (Arialacées) C'est une plante épiphyte : qui se sert d'une autre plante comme support pour croître, comme les fougères, des mousses et des lichens. Ce n'est pas une plante parasite ! Il n'y a pas de désavantage pour la plante support. Intérêt du lierre :

  • La floraison tardive du lierre apporte un complément aux abeilles en fin de saison et ses fruits constituent une précieuse source de nourriture pour les oiseaux en hiver.
  • Le lierre sert d’abri pour les oiseaux en hiver et de site de nidification. Les écureuils choisissent également souvent d’installer leurs nids sous le lierre qui les protège contre les intempéries.
D'après ONF : Guide Vieux bois et bois mort

Sous les grands arbres, se trouve la strate arbustive : elle s'étend de 1 à 7 mètres de hauteur, et est constituée par des arbustes (noisetier, robinier, sureau...) ou des jeunes arbres qui forment un sous-étage. Quelques espèces rencontrées au Bois Persan en ce début de printemps : Charme, Carpinus sp (Bétulacées) jeune Érable, Acer sp (Sapindacées) Laurier (espèce et famille non déterminées) Houx, Ilex aquifolium (Aquifoliacées) En savoir plus sur les strates de végétation sur le site de l'ONF

Ces grands arbres n'ont pas encore de feuilles en avril, mais leur tronc et les feuilles qui se décomposent au sol donnent des indices : ce sont des Chênes (Quercus sp, Fagacées). Leur hauteur peut atteindre 30 à 35m. Ils appartiennent à la strate arborescente.

La strate muscinale est la strate la plus fine de la forêt. Elle est constituée par le tapis des mousses, des lichens et des champignons. Ces espèces ont la particularité d'être peu exigeantes en lumière mais sont très dépendantes de la disponibilité en eau.

La strate herbacée se situe au dessus du sol et est composée des fougères, des plantes à fleurs et des graminées. En ce mois d'avril, les premières plantes à fleur apparaissent dans les sous-bois encore baignés de lumière. La jacinthe des bois est très présente au Bois Persan et forme de grands tapis bleutés sur les bords des sentiers. Vivace, les mêmes pieds refleurissent tous les ans. Jacinthe des Bois (Liliacées, vivace) On trouve d'autres espèces de plantes herbacées printanières. Anémone des Bois (Renonculacées, vivace) Ficaire (Renonculacées, vivace) Plus tard, quand le feuillage des grands arbres aura poussé, un millième seulement des rayons du soleil parviendra à traverser le feuillage pour éclairer le sol. D'autres plantes, plus sciaphiles (qui aiment l'ombre) s'épanouiront, comme les fougères. En savoir plus sur les strates de végétation sur le site de l'ONF

Au pied de ce chêne, une toute jeune pousse de hêtre (Fagus sylvatica, Fagacées). La fable du chêne et du hêtre Le développement du hêtre illustre la possibilité qu'ont certaines essences à changer de statut. Le petit semis de hêtre supporte bien l'ombre sous la futaie des grands chênes. Dominé, il se développe pourtant jusqu'à atteindre la cime des chênes et acquiert alors le statut de codominant. Mais pourquoi s'arrêter en si bon chemin, allègrement il dépasse le chêne et lui conquiert son statut de dominant. Comme quoi, certains prospèrent à l'ombre ! À terme donc, le hêtre s’impose... La gestion de la forêt par l'ONF supprime si besoin les arbres pouvant faire concurrence à d'autres, en fonction des objectifs de la parcelle.

Le sous-sol très sableux disparaît peu à peu sous les racines de ces chênes, qui finiront par chuter si les gardes forestiers ne s'en occupent pas avant. L'érosion agit très fortement sur le sable, facilement emporté plus bas vers la vallée, d'autant qu'on est en haut du plateau.

Les feuilles au sols sont typiques des chênes. Dans la strate arborescente, les arbres sont fins, signe qu'ils n'ont que quelques dizaines d'années. Les strates arbustive et arborescente sont quasi absentes dans cette zone qui semble éventrée. C'est une ancienne carrière de grès, dont les dernières traces d'exploitation remontent à 1937.

On trouve des "bancs" de grès tout le long du chemin le plus haut. Ce sont les mêmes que certains des rochers de la cour du lycée !

On trouve des blocs de grès taillés, abandonnés depuis l'arrêt de l'exploitation de la carrière. À quoi pouvaient bien servir ces cubes ? Au premier plan : blocs de grès taillé, lisses aux arêtes nettes, juste devant une roche complètement différente (meulière) Un peu plus loin, ces blocs sont empilés et servent de remblais pour stabiliser une butte.

5000 lux

Cet arbre est complètement recouvert d'une plante grimpante. En s'approchant, on observe qu'il s'agit d'un conifère (port en triangle, feuilles en aiguilles). La plante grimpante qui le recouvre est de la vigne, ainsi que des ronces à ses pieds. Cette parcelle ne semble plus du tout entretenue.

Cet arbre bien vivant a son tronc recouvert d'une plante grimpante : du lierre. Lierre grimpant, Hedera helix (Arialacées) C'est une plante épiphyte : qui se sert d'une autre plante comme support pour croître, comme les fougères, des mousses et des lichens. Ce n'est pas une plante parasite ! Il n'y a pas de désavantage pour la plante support. Intérêt du lierre :

  • La floraison tardive du lierre apporte un complément aux abeilles en fin de saison et ses fruits constituent une précieuse source de nourriture pour les oiseaux en hiver.
  • Le lierre sert d’abri pour les oiseaux en hiver et de site de nidification. Les écureuils choisissent également souvent d’installer leurs nids sous le lierre qui les protège contre les intempéries.
D'après ONF : Guide Vieux bois et bois mort

Un ancien aménagement abandonné.

Ces grands arbres n'ont pas encore de feuilles en avril, mais leur tronc et les feuilles qui se décomposent au sol donnent des indices : ce sont des Chênes (Quercus sp, Fagacées). Leur hauteur peut atteindre 30 à 35m. Ils appartiennent à la strate arborescente.

2000 lux

Ici les arbres sont assez distants, l'espace entre eux est nettoyé de toute strate herbacée ou arbustive. La litière est exclusivement composée de feuilles de chêne. Les troncs sont très droits et de large diamètre, les arbres ont sûrement plus d'une centaine d'année. Certains troncs sont marqués. Cette parcelle semble destinée à la production de bois.

Cet arbre bien vivant a son tronc recouvert d'une plante grimpante : du lierre. Lierre grimpant, Hedera helix (Arialacées) C'est une plante épiphyte : qui se sert d'une autre plante comme support pour croître, comme les fougères, des mousses et des lichens. Ce n'est pas une plante parasite ! Il n'y a pas de désavantage pour la plante support. Intérêt du lierre :

  • La floraison tardive du lierre apporte un complément aux abeilles en fin de saison et ses fruits constituent une précieuse source de nourriture pour les oiseaux en hiver.
  • Le lierre sert d’abri pour les oiseaux en hiver et de site de nidification. Les écureuils choisissent également souvent d’installer leurs nids sous le lierre qui les protège contre les intempéries.
D'après ONF : Guide Vieux bois et bois mort

Compas, marteaux, bombes de peinture, outils de saisie de données... Avez-vous déjà vu des forestiers équipés de la sorte au cours de vos balades en forêt ? C'est tout à fait normal ! A l'automne, ils réalisent les premières opérations de martelage. Cette action de gestion forestière consiste à désigner les arbres à récolter dans le respect de l'aménagement forestier (le document de gestion durable des forêts qui prévoit sur 20 ans la sylviculture dans une forêt). Il s'agit d'un travail indispensable pour répondre aux besoins de la société, pour alimenter la filière bois et pour assurer le renouvellement des forêts françaises. ©Frédéric Glon / ONF Comment s'organise un martelage ? Alignés et espacés les uns des autres de plusieurs mètres, les forestiers progressent dans la parcelle forestière de façon très organisée et analysent les arbres. Leur objectif : marquer, au marteau ou à la bombe de peinture rouge, les arbres qui seront prochainement récoltés pour alimenter la filière bois. La première marque est faite sur le tronc, tandis que l'autre s'effectue au niveau de la souche. Une technique utilisée afin de s'assurer, après la récolte, que seuls les arbres identifiés ont bien été prélevés par les bûcherons. Source : Un automne en forêt, ONF

Ces grands arbres n'ont pas encore de feuilles en avril, mais leur tronc et les feuilles qui se décomposent au sol donnent des indices : ce sont des Chênes (Quercus sp, Fagacées). Leur hauteur peut atteindre 30 à 35m. Ils appartiennent à la strate arborescente.

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Les feuilles au sol forment une épaisse litière au sol. Les observer permet de déterminer quels grands arbres sont présents.

Les grands arbres ont presque perdu leurs feuilles. Ils ne sont pas très épais, indice qu'ils sont assez jeunes, peut-être quelques dizaines d'années. Leur hauteur peut atteindre 10 à 35m. Ils appartiennent à la strate arborescente.

Salut, moi aussi je suis en 1ère spécialité SVT ! On fait un compte-rendu en groupe, tu veux voir ?

Hey, viens voir ce qu'on a trouvé !

Le bois mort en forêt est indispensable pour la biodiversité. Les branchages à terre protègent les sols et se décomposent, favorisant l'humus qui va enrichir les sols. Les arbres cassés ou morts naturellement sur pied sont conservés. Ils permettent à de nombreux insectes, champignons, oiseaux de s'y loger. Une limace logée sous l'écorce d'une branche morte

Cet arbre bien vivant a son tronc recouvert d'une plante grimpante : du lierre. Lierre grimpant, Hedera helix (Arialacées) C'est une plante épiphyte : qui se sert d'une autre plante comme support pour croître, comme les fougères, des mousses et des lichens. Ce n'est pas une plante parasite ! Il n'y a pas de désavantage pour la plante support. Intérêt du lierre :

  • La floraison tardive du lierre apporte un complément aux abeilles en fin de saison et ses fruits constituent une précieuse source de nourriture pour les oiseaux en hiver.
  • Le lierre sert d’abri pour les oiseaux en hiver et de site de nidification. Les écureuils choisissent également souvent d’installer leurs nids sous le lierre qui les protège contre les intempéries.
D'après ONF : Guide Vieux bois et bois mort

Les feuilles ici ont des bords lobés, ce qui est typique des espèces de Chêne. En fouillant la litière en automne, on peut aussi retrouver son fruit : le gland. De 40 m de hauteur, de tronc droit et puissant – jusqu’à 2 m de diamètre, voyez-un peu la chose – une longévité qui se compte en centaines d’années, des racines profondes et des branches massives et tortueuses, mon nom est Chêne ! Je suis tellement impressionnant que mon nom grec, dru, signifie "arbre", rien que ça ! Tout comme le Châtaignier et le Hêtre, j'appartiens à la famille des Fagacées, du grec phago, "manger", en référence à mes glands comestibles. J'aime les climats très lumineux et ne supporte pas le couvert ! Je m'installe ainsi en lisère ou en haie, sur des sols compacts, profonds, frais et humides. Au dessus de 500 m, je ne pousse plus. Associés au Hêtre, nous formons des chênaies-hêtraies. Source : Sa majesté le chêne, ONF

Par leur richesse en espèces, les champignons représentent un élément important de la biodiversité de la forêt. Au niveau du sol, le mycélium constitue une ressource alimentaire essentielle pour les micro-organismes : bactéries, nématodes, insectes, vers... Les champignons servent aussi de nourriture pour des mammifères (cerfs, sangliers, écureuils et petits rongeurs), les limaces et les escargots, mais aussi de nombreux insectes (mouches, fourmis...). La dissémination des spores, non altérées par la digestion, est ainsi assurée par les déjections. Les symbiotes, amis des arbres Dans d'autres cas, les champignons s'associent aux racines des arbres. Ils vivent une relation symbiotique : chacun apporte à l'autre les substances qui lui manquent. Lactarius subdulcis, dont on voit la fructification et les mycorhizes (sans mycélium visible), est un compagnon fidèle du Hêtre © Hubert Voiry / ONF L'appareil absorbant des arbres forestiers est constitué d'un chevelu de fines racines associées à des champignons symbiotiques qui apportent des éléments nutritifs indispensables : on parle de mycorhizes. Les décomposeurs ou saprophytes, éboueurs de la nature Beaucoup d'espèces parmi les champignons décomposeurs se nourrissent de bois mort, décomposent les feuilles mortes de la litière en humus et participent ainsi au recyclage des éléments minéraux. L’Hypholome couleur de brique fait partie de ces éboueurs de la nature en décomposant les souches © Patrick Blanchard / ONF Sans les champignons, arbres et plantes mourraient rapidement, étouffés par leurs propres déchets. Car, avec les bactéries et les insectes, les champignons jouent un rôle majeur dans l'équilibre forestier, en décomposant les matières organiques et en les transformant en humus. Ces champignons « fossoyeurs » sont qualifiés de saprophytes. Parfois aussi parasites Certains champignons vivent aux dépens de végétaux vivants et sont parasites. Les champignons qui apparaissent sur le tronc, souvent à la faveur d'une blessure sont considérés comme des parasites de faiblesse ou des parasites d'équilibre. Le mycélium gagne l'intérieur de l'arbre et décompose le bois. Mais l'arbre peut rester vivant un certain temps. Pour limiter l'action du champignon et protéger son cambium, il émet des substances inhibitrices et met en place des barrières. Heterobasidion annosum, le « fomès des forestiers » pourrit le bois de cœur de l’épicéa et peut entraîner des mortalités chez le pin maritime © Patrick Blanchard / ONF Source : Le rôle important des champignons dans l’écosystème forestier, ONF

Qu'est-ce que tu fiches ici, la jeunesse ? Encore un qui vient de loin dans le futur ! Si tu veux rentrer, il va falloir repasser par le même portail. Mais dans l'autre sens, il y a un mot de passe, ahaha !

tout collé et en minuscules

Une activité extractive est attestée à Orsay à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle : carrières de La Troche et du Bois Persan. Les carrières à ciel ouvert prennent leur essor au cours du siècle suivant. La teinte très grise du grès, ainsi que sa dureté, en font un matériau de choix pour le pavage de la voierie parisienne.Une ligne de chemin de fer et une gare permettant d'acheminer les matériaux vers Paris avaient même été construites... Dans le futur, elles seront remplacées par la Bretelle de Chevreuse et son échangeur avec la N118.

gauche

Glisse les pastilles bleues.

Les grès sont des roches sédimentaires qui se forment à partir du sable. Nous avons une belle épaisseur de ces sables, d'une grande pureté, dans la couche nommée g2a2 ou g2b. Trouveras-tu le nom de ces sables ?

Déplace la flèche pour localiser la carrière du Bois Persan lors de sa dernière année d'exploitation, en 1937.

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Remerciements à : Stéphane Agniel pour l'idée d'intégration de code javascript dans une page Genially ; Mireille Philippe et à son frère pour l'astuce afin de retrouver l'URL d'une page Genially ; Alveria Val pour l'idée d'intégrer une page Genially dans une autre page Genially.