«La fausse viande, pour moi c’est non. Ca me rappelle les animaux et ça ne me donne pas envie. Je préfère me contenter d’autres alternatives. J’ai toujours été connue comme la pote végétarienne, ca me va de continuer comme ça. Dans ma philosophie, le but n’est pas de trouver un remplacement végétarien à la viande. Il faut aussi apprendre à faire sans et se dire que la viande, ce n’est pas le centre du plat »
Paakhi, 23 ans, étudiante à L’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne