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Semons, plantons, jardinons à l'école

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Transcript

Maternelle

Semons, plantons, jardinons à l'écoleet à la maison

1Éléments du programme et attendus de fin de cycle

2enjeux didactiques et pédagogiques

3premièreapprocheavec des semis et Plantations

4Séquencesavec des graines

5projet globalFaire un jardin à l'école

Découvrir le monde vivant

6Des plantes À FLEURS

7Mise en scène des savoirs

8Sites et Ressources

Faire des semis Des sources d'observations passionnantes À partir de quelques graines, les enfants vont découvrir les conditions de la vie. Les graines éveillent la curiosité et offrent des champs d'expériences passionnants. Placées dans des pots et au chaud dans la classe, les graines germent ; dehors, il fait froid, elles ne germent pas ou plus difficilement comme la germination du grain de maïs. Plus les graines de petits pois ou de haricot sont semées profond, moins les plantules sont vigoureuses. Sans eau, les graines de capucine ne se "réveillent" pas ; elles ne germent pas. Toutes ces expérimentations où la sensualité est omniprésente, l'enfant observe, compare, donne son avis et découvre les manifestations secrètes de la naissance des plantes. ................ Pour découvrir que les graines et les plantes sont des êtres vivants et qu'elles ont des besoins d'éléments nutritifs comme l'eau, la lumière, la chaleur, l'air et d'un peu d'attention.Nous vous proposons 3 fiches qui vont vous permettre de mettre en place les premières découvertes, les premières observations et les premiers constats.Les enfants vont découvrir le monde fascinant de l'aventure des graines et de la vie des plantes. ............... Documents en téléchargement ......... Format vidéo ............ Documents en téléchargement ....... Format vidéo

Graines ou pas graines ? Les enjeux de la séquence

  • Familiariser les enfants avec la vie végétale au sens large : découvrir les graines, pratiquer des semis afin de mettre en place des plantations dans des jardinières ou dans un coin « jardin » de la cour de l’école.
  • Faire évoluer les représentations des enfants à propos de la notion du vivant et du concept de graine.
  • Pratiquer progressivement une activité d’investigation en réponse à une question identifiée.
  • Analyser et comprendre les résultats liés à cette activité d’investigation.
  • Communiquer, entre enfants et à l’adulte, en utilisant différentes compétences langagières.
  • Prendre quelques éléments de repérage temporel.
Les grandes étapes de la démarche d’investigationconsultez les documents cités en référence :
  • LAMAP
  • Boites à trucs
  • Enseigner – Apprendre : une démarche en 5 étapes construite par Britt-Mary Barth
Résumé du module Le but de ce module est de repérer les caractéristiques simples d’une graine afin de savoir la reconnaitre. Il est composé de cinq séances dont certaines étapes sont réalisables en grand groupe, d’autres non.Ainsi certaines activités menées en groupes, sous tutelle de l’enseignant, devront être répétées plusieurs fois et le reste de la classe devra être en travail autonome. Séquence à télécharger ........... Semer des graines Les enjeux de la séquence
  • Familiariser ces enfants des villes avec la vie végétale au sens large : découvrir les graines, pratiquer des semis afin de mettre en place des plantations dans une jardinière ou dans un coin « jardin » de la cour de l’école.
  • Faire évoluer les représentations des enfants à propos du concept de graine.
  • Pratiquer une activité d’investigation en réponse à une question identifiée.
  • Prendre et comprendre les résultats liés à cette activité d’investigation.
  • Communiquer, entre enfants et à l’adulte, en utilisant différentes compétences langagières.
  • Prendre quelques éléments de repérage temporel.
Séquence à télécharger

POURQUOI FAIRE UN JARDIN ? DES ACTIONS DE JARDINAGE À L’ÉCOLE MATERNELLE Où faire un jardin ?

  • À l’école,
  • en classe,
  • à la maison
Pour quoi faire ?1) Pour découvrir le monde des végétaux, 2) Pour découvrir le monde des animaux, 3) Pour découvrir le monde des objets. 4) Pour faire de l’éducation au Développement durable Jardiner est la source de bien des plaisirs et de nombreuses activités pédagogiques. Les enjeux :
  • Apprendre à observer,
  • Comprendre que les plantes ont des besoins,
  • Mettre en évidence le cycle de vie d’une plante,
  • Connaître et appliquer quelques règles d’une bonne hygiène de vie en les reliant à l’alimentation,
  • Développer progressivement des attitudes scientifiques,
  • Construire/comprendre le concept de vie, de cycle de vie.
Compétences, actions et capacités Observer, comparer, associer, faire/découvrir avec les mains, manipuler, trier, classer, organiser, catégoriser, décrire, expliquer, échanger, argumenter, justifier, semer, faire pousser, planter, arroser, prendre soin, mesurer, peser, compter, s’entraider, coopérer, collaborer, gérer, économiser, partager, communiquer… ........Projet à télécharger

Les plantes à fleurs Les enjeux de la séquence

  • Familiariser les enfants avec la vie végétale au sens large : découvrir les graines, pratiquer des semis afin de mettre en place des plantations dans des jardinières ou dans un coin « jardin » de la cour de l’école.
  • Faire évoluer les représentations des enfants à propos de la notion du vivant et du concept de graine.
  • Pratiquer progressivement une activité d’investigation en réponse à une question identifiée.
  • Analyser et comprendre les résultats liés à cette activité d’investigation.
  • Communiquer, entre enfants et à l’adulte, en utilisant différentes compétences langagières.
  • Prendre quelques éléments de repérage temporel.
Résumé du module Le but du module est d’aborder les différences entre le vivant et le non-vivant ainsi que d’observer la diversité du monde du vivant. Il est organisé en trois phases. La phase 1 nécessite des fleurs « fraiches » plus difficiles à trouver en hiver… néanmoins on peut conduire les phases 2 et 3 indépendamment de cette phase. Les phases 2 et 3 seront nécessairement faites en plusieurs séances. Comme elles nécessitent des temps d’attente (croissance des plantes) elles peuvent éventuellement se mener en parallèle. Séquence à télécharger

Éléments de programme

1Explorer le monde

2objectifs visés et éléments de progressivité

3découvrir le monde vivant

4explorer la matière

5Utiliser le numérique éducatif

Les attendus de fin de cycle

1

7Documentàtélécharger

6Les attendus de fin de cycle

retour

Jalons de progressivité

Éléments de programme et attendus de fin de cycle – École maternelle 5. Explorer le monde 5.2. Explorer le monde du vivant, des objets et de la matière À leur entrée à l’école maternelle, les enfants ont déjà des représentations qui leur permettent de prendre des repères dans leur vie quotidienne. Pour les aider à découvrir, organiser et comprendre le monde qui les entoure, l’enseignant propose des activités qui amènent les enfants à observer, formuler des interrogations plus rationnelles, construire des relations entre les phénomènes observés, prévoir des conséquences, identifier des caractéristiques susceptibles d’être catégorisées. Les enfants commencent à comprendre ce qui distingue le vivant du non-vivant ; ils manipulent, fabriquent pour se familiariser avec les objets et la matière.

5.2.1. Objectifs visés et éléments de progressivité Découvrir le monde vivant L’enseignant conduit les enfants à observer les différentes manifestations de la vie animale et végétale. Ils découvrent le cycle que constituent la naissance, la croissance, la reproduction, le vieillissement, la mort en assurant les soins nécessaires aux élevages et aux plantations dans la classe.Ils identifient, nomment ou regroupent des animaux en fonction de leurs caractéristiques (poils, plumes, écailles…), de leurs modes de déplacements (marche, reptation, vol, nage…), de leurs milieux de vie, etc. À travers les activités physiques vécues à l’école, les enfants apprennent à mieux connaître et maîtriser leur corps. Ils comprennent qu’il leur appartient, qu’ils doivent en prendre soin pour se maintenir en forme et favoriser leur bien-être. Ils apprennent à identifier, désigner et nommer les différentes parties du corps.Cette éducation à la santé vise l’acquisition de premiers savoirs et savoir-faire relatifs à une hygiène de vie saine.Elle intègre une première approche des questions nutritionnelles qui peut être liée à une éducation au goût. Les enfants enrichissent et développent leurs aptitudes sensorielles, s'en servent pour distinguer des réalités différentes selon leurs caractéristiques olfactives, gustatives, tactiles, auditives et visuelles.Chez les plus grands, il s’agit de comparer, classer ou ordonner ces réalités, les décrire grâce au langage, les catégoriser. Enfin, les questions de la protection du vivant et de son environnement sont abordées dans le cadre d’une découverte de différents milieux, par une initiation concrète à une attitude responsable.

5.2.1. Objectifs visés et éléments de progressivité Explorer la matière Une première appréhension du concept de matière est favorisée par l’action directe sur les matériaux dès la petite section.Les enfants s'exercent régulièrement à des actions variées (transvaser, malaxer, mélanger, transporter, modeler, tailler, couper, morceler, assembler, transformer). Tout au long du cycle, ils découvrent les effets de leurs actions et ils utilisent quelques matières ou matériaux naturels (l’eau, le bois, la terre, le sable, l’air…) ou fabriqués par l’homme (le papier, le carton, la semoule, le tissu…). Les activités qui conduisent à des mélanges, des dissolutions, des transformations mécaniques ou sous l’effet de la chaleur ou du froid permettent progressivement d’approcher quelques propriétés de ces matières et matériaux, quelques aspects de leurs transformations possibles. Elles sont l’occasion de discussions entre enfants et avec l’enseignant, et permettent de classer, désigner et définir leurs qualités en acquérant le vocabulaire approprié.

Utiliser des outils numériques Dès leur plus jeune âge, les enfants sont en contact avec les nouvelles technologies.Le rôle de l’école est de leur donner des repères pour en comprendre l’utilité et commencer à les utiliser de manière adaptée (tablette numérique, ordinateur, appareil photo numérique…).Des recherches ciblées, via le réseau Internet, sont effectuées et commentées par l’enseignant. Des projets de classe ou d’école induisant des relations avec d’autres enfants favorisent des expériences de communication à distance. L’enseignant évoque avec les enfants l’idée d’un monde en réseau qui peut permettre de parler à d’autres personnes parfois très éloignées. Ce qui est attendu des enfants en fin d'école maternelle

  • Reconnaître les lettres de l'alphabet et connaître les correspondances entre les trois manières d'écrire : cursive, script, capitales d'imprimerie. Copier à l'aide d'un clavier.
  • Utiliser des objets numériques : appareils photos, tablette, ordinateur.

5.2.1. Objectifs visés et éléments de progressivité Trois sous-domaines sont déclinés :

  1. Découvrir le monde vivant.
  2. Explorer la matière.
  3. Utiliser, fabriquer, manipuler des objets.
Un dernier sous-domaine, plus transversal, est au service de l'enseignement et des apprentissages :
  • Utiliser des outils numériques.

Programme et attendus de fin de cycle - Explorer le monde Document à télécharger ........................................ Le numérique et les programmes actualisés Rentrée 2018 Ce document rassemble les extraits des programmes de l'école primaire qui font explicitement référence aux usages du numérique au service des apprentissages et de la construction des compétences et des connaissances. Le numérique et les programmes actualisés Rentrée 2018 Ce document rassemble les extraits des programmes de l'école primaire qui font explicitement référence aux usages du numérique au service des apprentissages et de la construction des compétences et des connaissances. Document à télécharger

5.2.2. Ce qui est attendu des enfants en fin d'école maternelle - Reconnaître les principales étapes du développement d'un animal ou d'un végétal, dans une situation d’observation du réel ou sur une image (photographie). - Connaître les besoins essentiels de quelques animaux et végétaux. - Situer et nommer les différentes parties du corps humain, sur soi ou sur une représentation. - Connaître et mettre en œuvre quelques règles d'hygiène corporelle et d’une vie saine. - Choisir, utiliser et savoir désigner des outils et des matériaux adaptés à une situation, à des actions techniques spécifiques (plier, couper, coller, assembler, actionner...). - Réaliser des constructions ; construire des maquettes simples en fonction de plans ou d’instructions de montage. - Utiliser des objets numériques : appareil photo, tablette, ordinateur. - Prendre en compte les risques de l'environnement familier proche (objets et comportements dangereux, produits toxiques).

Jalons de progressivité Document en téléchargement

1Des conceptsetDes notions

2Des méthodes et des attitudes

5L'enseignement des sciences à l'école

6L'organisation de l'apprentissage

7Dépasser le faire

2

ENJEUX DIDACTIQUES ET PÉDAGOGIQUES

Jouer, manipuler, réfléchir, comprendre, concevoir, communiquer...

3L'activité réflexive des enfants

4Langages et traces écrites

retour

8Ressources didactiques

LES ENJEUX DIDACTIQUES ET PÉDAGOGIQUES Inscrits dans le cadre général de la démarche d’investigation, les modules d’apprentissage autours des végétaux permettent aux élèves de construire des premières compréhensions du monde vivant, et des débuts de raisonnement scientifiques. ................. Des concepts Le concept de vie

  • Les végétaux font partie du monde vivant, ils se nourrissent, naissent, croissent, meurent,....
  • Plantes et animaux font partie d’une chaîne alimentaire
Les concepts de temps et d’espace
  • le temps linéaire (naissance, croissance…)
  • le temps cyclique (rythmes biologiques, générations successives, cycle de vie, rôle des saisons.).
Des notions scientifiques Les notions biologiques
  • fonctions des végétaux :, croissance, nutrition, reproduction.
  • diversité du vivant (comparaisons)
  • unité du monde vivant
Les notions écologiques
  • les relations alimentaires
  • les relations entre les êtres vivants et leur milieu.
............ Ressource en ligne SEMIS, PLANTATIONS ET CULTURES EN MATERNELLE

Organisation de l'enseignement des sciences à l'école maternelle Cet enseignement recouvre les domaines suivants : Le vivant La vie végétale et l’environnement La vie animale, le cycle de la vie, le corps La matière La matière et ses changements d’états La technologie Les objets techniques et technologiques, leur fonctionnement et leur usage. L’enseignant doit consacrer une séance hebdomadaire à l’un de ces domaines scientifiques en organisant son enseignement de façon cyclique et mettre en relation ces domaines (tout particulièrement la vie animale et la vie végétale).Les semaines peuvent être organisées selon le cycle suivant :

  • La vie végétale,
  • La vie animale,
  • La matière,
  • La technologie.
Organisation annuelle de l’enseignement scientifique Domaine étudié Activités pédagogiques Semaine 1 Le vivant vie végétale Découvrir le monde végétal Activités sur la découverte du monde végétal et de leur cycle de vie Semaine 2 Le vivant vie animale Découvrir le monde animal Activités sur la découverte du monde animal Semaine 3 La matière Découvrir la matière Activités sur la découverte de la matière et de ses transformations Semaine 4 La technologie Découvrir la technologie Activités sur la découverte des objets techniques et technologiques Semaine 5 Le vivant – vie végétale Découvrir le monde végétal Activités sur la découverte du monde végétal et de leur cycle de vie Semaine 6 Le vivant – vie animale Découvrir le monde animal Activités sur la découverte du monde animal Semaine 7 La matière Découvrir la matière Activités sur la découverte de la matière et de ses transformations Des informations scientifiques à destination de l’enseignant La graine La graine est le résultat de la reproduction sexuée des plantes à fleurs.Elle provient de la rencontre entre un ovule (femelle) et un grain de pollen (mâle).Les graines sont le plus souvent des organes très déshydratés.Elles sont vivantes mais en vie ralentie. Tant qu’elles sont sèches, elles sont très résistantes.La graine peut subsister, en apparence inerte, jusqu’à ce que les conditions d’environnement (notamment de température et d’humidité) soient favorables à sa germination. La graine est contenue dans un fruit.Elle est constituée d’une plantule (ou embryon), de réserves et d’une enveloppe (ou tégument). Elle peut être transportée par le vent, l’eau, les animaux : la graine permet la dissémination de l’espèce. Les étapes de la germination Une période d’hydratation (imbibition) : la graine s’imbibe d’eau et gonfle. Germination au sens strict : la racine perce les téguments et commence à croître. Après avoir percé les téguments, la racine et la tige continuent de grandir en utilisant les réserves contenues dans la graine. Lorsque la plante a utilisé toutes les réserves de la graine, la germination est terminée. La photosynthèse permet alors la production des substances nécessaires à la croissance et au développement de la plante. La lumière n’est indispensable qu’à partir de ce moment-là. Les réserves de la graine Dans l’obscurité, si la température et l’hydratation sont convenables, une graine peut germer. La plantule grandit, se développe. Les enfants pourront observer qu’elle a, dans un premier temps, mieux poussé que celles qui étaient à la lumière. Mais attention : Il ne faut pas se fier seulement à ce que l’on voit : si on pèse la plantule qui s’est développée dans l’obscurité, on s’aperçoit que sa masse est inférieure à la masse de celles qui se sont développées à la lumière, puisqu’elle ne peut que puiser dans les réserves nutritives contenues dans la graine (expérience difficile à réaliser en classe). Une fois toutes les réserves utilisées, la plantule qui était dans le noir meurt. Pour la plupart des plantes à fleurs, les réserves nutritives sont stockées dans les cotylédons. La nature des réserves varie selon les graines : certaines contiennent plus de lipides, comme les graines de tournesol, d’arachide, ou de colza, d’autres contiennent plus de glucides, comme le haricot, le pois, le blé. Enfin, certaines graines contiennent plus de protides comme le soja. La dormance d’une graine Certaines graines présentent une « dormance » tant qu’elles n’ont pas suffisamment séjourné au froid, même si les conditions habituellement favorables sont réunies (température, humidité). Cela prévient la graine d’une germination prématurée. Exemple : Pour lever sa dormance (de façon artificielle, placer la graine une semaine au réfrigérateur). Ensuite, elle germera dans les conditions habituelles. Contre-exemple n’importe quelle période de l’année, Elle nécessite au minimum un peu d’eau et une température d’au moins 15 ° C pour germer, la température idéale étant aux alentours de 20° (voire légèrement plus). Elle germe en moins d’une semaine. Semences ou graines ? Attention les semences de graminées (maïs et le riz, le blé, l’orge, l’avoine…) sont en fait des fruits secs (appelés caryopses) qui ne s’ouvrent pas (indéhiscents) et qui contiennent la graine. Le « grain » de blé n’est pas une graine, mais contient la graine. On pourra semer: - des graines de haricots de toutes sortes, lentilles et pois, fèves, melon, citrouille, pépins de pommes. Ces graines contiennent un germe, deux cotylédons, un ou plusieurs téguments, de couleur spécifique à la plante. - des semences dont la graine ne possède qu’un seul cotylédon, comme le blé, l’orge, l’avoine. Pour plus d’informations : > documentation scientifique > biologie végétale

Organisation de l'apprentissage Les séquences d’apprentissage

  • Chaque séquence peut être instruite selon trois phases distinctes totalisant une durée comprise entre 40 minutes et 1 heure.
  • Elle peuvent être proposées sur trois moments distincts de la semaine.
  • Chaque séquence peut couvrir une période offrant des prolongements possibles (vie animale, développement durable, outils technologiques, constructions en lien avec la matière).
PHASE DÉROULEMENT DURÉE 1 Découverte, exploration de la situation. Appropriation du contexte pour mieux aborder et appréhender la notion étudiée. 20 min 2 Recherche collective et appropriation de cette notion. 10 à 20 min 3 Réinvestissement individuel et ludique des apprentissages (faire et re-faire en jouant, re-brasser le vocabulaire, s’exercer, s’entrainer, vérifier par une manipulation ou une expérience, se-remémorer, mémoriser, acquérir, construire…). 10 à 20 min

Les mises en commun - Dépasser le faire Les mises en commun visent à dépasser le FAIRE. L’enseignant aide les enfants à prendre conscience, progressivement, de ce qu’ils sont en train de faire : Dire, Expliquer, Expliciter, Décrire ou Raconter pour qu’ils soient en mesure de répondre à la commande qui leur est faite. Il est impératif que l’enseignant aménage des temps, des lieux pour que ce langage prenne un autre statut. Cf. Les coins sciences Les stratégies mises en œuvre L’adulte doit, sur des temps de « jeux arrêtés », organiser des moments d’échanges pour évoquer les stratégies mises en œuvre. Sur ce temps « suspendu », cette "pause cognitive", c’est prendre le temps d'opérer intellectuellement, pour évoquer les faits, pour raisonner, réfléchir, constituer un réseau de connaissances, faire unité, mettre en cohérence pour organiser sa pensée. Passer du langage du quotidien au langage scientifique Ces moments sont donc propices au développement d’un autre type de langage sur l’action?C'est utiliser un lexique juste, précis, scientifique qui s’articule autour d’un verbe (mot pivot de la phrase) pour construire des phrases simples et structurées. Des activités comme supports d’évocations, de débats, d’explications et de justifications. Au cours de la séquence, l’enseignant pourra être particulièrement attentif à certains points :

  • l’usage des expressions qui évoquent l’incertitude (« peut-être, il me semble, je crois… ») et des connecteurs (« parce que, à cause de… ») qui revêt ici une signification et une fonctionnalité particulières ;
  • les changements énonciatifs, comme le passage du « je » au « nous » puis, pour les plus grands, l’énonciation de tournures plus générales (« j’arrose ma plante pour qu’elle pousse », « nous arrosons les plantes pour qu’elles poussent », « les plantes ont besoin d’eau pour pousser ») ;
  • la prise en compte des paramètres de quantité et de taille chez des enfants qui n’ont pas construit le nombre comme quantité.Les différentes traces possibles : des dessins, des dessins d’observation, des tableaux pour consigner les observations, des photos pour faire un arrêt sur image et revernir en arrière, prendre conscience du cycle de vie, des photos pour identifier les différentes parties de la plante, etc.

Des méthodes et des attitudes La connaissance scientifique procède d’un double levier : en contexte et de généralisation.

  • La construction des savoirs chez l’enfant se joue dans un rapport avec le monde qui est médiatisé par des conceptions personnelles (le déjà-là) et des supports concrets (à définir).
  • Cette approche d’abord subjective – intrapersonnelle – va peu à peu s’opérer et s’exprimer au travers de l’échange, l’interaction avec les pairs et l’adulte – approche interpersonnelle - pour une transformation plus objective et généralisable de la notion, du concept étudié.
  • L’action et le langage sont donc au cœur de cette construction.La verbalisation quotidienne, qualitativement et quantitaivement opérée par les élèves et l’adulte permettent de faire passer l’étude scientifique du plan de l’action à celui du langage.
  • Les élèves se saisissent d’une notion au moment où :Ils la caractérisent eux-mêmes par des mots justes – signifiants (en contexte),Des mots justes – signifiants - qui la caractérisent (généralisation).
  • Pour chaque séance instruite, faire apparaître une rubrique « langage brigué » que l’adulte souhaite entendre de la part de l’élève ou qu’il ambitionne de formuler ou re-formuler pour enrichir le lexique scientifique et développer la compréhension des élèves (souligner ou mettre en gras/italique).
Des méthodes et des attitudes Une méthode de travail
  • prendre appui sur le "déjà-là" plus ou moins sûr, plus ou moins robuste (représentation du sujet - dimension subjective),
  • observer de manière régulière et fréquente en utilisent de façon complémentaire l'Appareil Photo Numérique ou APN (ou la tablette).
  • adopter une attitude de plus en plus objective,
  • développer l’esprit scientifique par l'installation très progressive de la démarche d’investigation
Des comportements fondamentaux
  • responsabiliser les enfants et faire naître le respect de la vie,
  • développement des moyens d’expression et de communication.
Des compétences mathématiques
  • comparer, classer les grandeurs,
  • approcher les quantités et les nombres.
Premières compréhensions
  • les différentes parties d’un végétal et leurs rôles,
  • les besoins des plantes,
  • les modes de reproduction,
  • le cycle de vie d’une plante,
  • les milieux de vie.
............ Ressource en ligne SEMIS, PLANTATIONS ET CULTURES EN MATERNELLE

L'activité réflexive des élèves De l'analyse à la synthèse Au plan cognitif, une découverte scientifique se fonde sur deux types de processus mentaux : l’analyse et la synthèse (raisonnement et transformation cognitive). Par l’analyse, l’élève se concentre sur certaines parties ou éléments qu’il voit (observe), qu’il entend (écoute), qu’il sent ou qu'il goûte.À travers le corps engagé (les sens sont impliqués), il nomme, il qualifie des caractéristiques et/ou des actions et y associe des propriétés, l’enfant va raisonner, allant de l’analyse à la synthèse en opérant une transformation progressive passant d’une observation locale, subjective à une observation de plus en plus objective (globale – allostérique – il prend de la hauteur, de la distance, il se décentre pour faire un pas de côté, il prend le risque de faire un saut dans l’inconnu, progressivement cette audace va devenir féconde ». Cette approche, source de découvertes, permet à l’enfant d’errer, de prendre des chemins inconnus en acceptant la possibilité de faire des erreurs donc le risque de se tromper).Progressivement, il apprend à abstraire des caractéristiques pour les généraliser (propriétés scientifiques établies, argumentées et justifiées – et parfois mathématiques) qu’il a identifiées pour les restituer dans un contexte graduellement plus large. Lorsque cette dimension analytique fait défaut chez un élève, si celui-ci regarde (# observe) ce qu’on lui présente et n’exprime aucun intérêt significatif ou aucune curiosité, les interactions, les échanges, le lexique s’en trouvent limités. Les possibilités de tri, de classement, de catégorisation, de comparaison, d’association, de relation (tisser un faisceau de liens entre les éléments pour constituer progressivement un réseau de connaissances sont verrouillés ; la « machine à parler » et la machine à « penser » sont inopérantes. Point de vigilance Si un élève est capable de désigner une noisette quand il regarde ce fruit sans pouvoir préciser ce qu’il voit par : la taille, la couleur, l’enveloppe externe dure, utilisation d’un casse-noisette, l’amande interne (« graine »), qu’elle se mange, qu’elle se sème, qu’elle pousse, qu'elle meure (le cycle de la plante), etc.Il lui sera difficile de bien connaître la noisette sans pouvoir la comparer et l’associer à un autre fruit proche (noix, amande, noyau de pêche ou d’abricot…).Il aura le plus grand mal à constituer un réseau de connaissances efficient et élaboré entre ces différents éléments proches et plus éloignés.Cette construction se réalise en alternance régulière entre observation, analyse et synthèse afin de favoriser une réelle appropriation du vivant, de la matière et des objets. ………. La langue est l'une des composantes importantes du progrès Bien évidemment, les progrès sont corrélés aux compétences langagières.Celles-ci contraignent les progrès possibles dans tous les domaines et en particulier dans le domaine des sciences. Le progrès des enfants dépend de la façon dont l'enseignant et les élèves dialoguent autour des situations («parler, représenter/conceptualiser, dessiner, schématiser, modéliser, partager et communiquer » ). Le langage et l'activité réflexive de l'élève de type séquentiel : ici, ce sont des repères temporels et leur succession qui sont visés (au début, d’abord, en premier, avant, puis, ensuite, juste après, plus tard, le lendemain, au bout de 3 jours, à la fin, enfin…). La succession des étapes du cycle de vie peut servir à baliser le temps, (germination, croissance, mort). Sur des périodes plus courtes que le cycle de vie, de nombreuses possibilités s’offrent à la classe.de type conditionnel (relations logiques) : si… alors.de type analogique et comparatif : attributs physiques, milieux de vie communs ou différents. ............ Les conceptions des élèves : de l’obstacle à l’objectif Les conceptions des élèves peuvent constituer un obstacle très important et méritent de s'y attarder."Prendre en compte les conceptions des enfants pour aller contre et les dépasser". Les conceptions ne sont plus alors ce qui s’oppose à l’objectif, mais elles constituent le cœur même du projet didactique. Quelques exemples de conceptions initiales des élèves : • Une plante, ce n’est pas vivant parce que ça ne me ressemble pas.• Une plante, ce n’est pas vivant parce que ça ne bouge pas.• Les vers de terre mangent les graines.• Le soleil est un fortifiant pour les plantes (vitamine).• La nourriture des plantes, c’est la terre. Le modèle allostérique d'apprentissage de A. GIORDANCe qu’est le modèle allostérique : 1. Il explicite les principales caractéristiques de l'acte d'apprendre ; 2. Il identifie, repère une série d'obstacles à l'apprentissage ; 3. Il fournit des indications pratiques (pédagogique et didactique) sur les environnements éducatifs propres à faciliter les apprentissages. L’ACTE D’APPRENDRE A. Giordan rappelle, avec beaucoup d'autres, qu'apprendre n'est pas un simple processus de stockage de l'information mais une acquisition, une élaboration, une construction de connaissances et de compétences. Seul l’élève peut construire son savoir. Ces mécanismes ne sont pas immédiats. Pour en savoir plus

Du langage quotidien au langage scientifique L’acquisition du langage – le langage au cœur des apprentissages Le principal objectif de l’école maternelle est l’acquisition d’un langage oral riche, juste, structuré, efficace dans des situations de réflexion, d’échange, d’analyse et de communication.Découvrir le monde s’inscrit pleinement dans cet objectif en mettant le langage au cœur des apprentissages/acquisitions scientifiques. Les situations suggérées/proposées mettent autant l’accent sur le « déjà-là », autrement dit les premières conceptions plus ou moins robustes des enfants, le « Dire », le « faire », le « savoir-faire » que sur le comment faire (les démarches). Point de vigilance – Les enfants ayant des difficultés langagières rencontrent des obstacles dans l’articulation des dimensions scientifique et quotidienne du langage. Le lexique reste imprécis, saturé « d’expérience » relatant ce que l’enfant a vu et fait.Ils ne s’emparent peu ou pas des verbalisations/explicitations de l’adulte.Ils n’arrivent pas à établir de relation entre les mots et phrases entendus à leur vécu/histoire/expérience personnel ou à une utilisation plus rationnelle pour mieux comprendre le monde et en avoir un usage potentiel, tangible, effectif, réel............... Au cours d’échanges avec l’adulte et avec ses pairs, l’enfant construit des représentations plus claires, s’appuyant sur un lexique précis :

  • graine, racine, tige, feuille, fleur, fruit, bulbe, bourgeon… ;
  • semer, planter, creuser, arroser… ;
  • germer, grandir, pousser, fleurir, mourir… ;
  • chêne, peuplier (espèces de l’environnement proche) ;
  • usage d’adjectifs qualificatifs plus précis pour aider à la description ou à la comparaison.
La place du langage dans les situations d’entraînement et de mémorisation :
  • Le langage peut être présent à des moments de synthèse (arrêt sur l'expérience, la résolution du problème, l’exercice).
  • Il peut être/devient le support de mémorisation : l’observation, l’expérience, les faits scientifiques, le vocabulaire.
  • La mise en commun se prolonge par une trace écrite (entrée dans l’écrit progressivement par le dessin puis par le schéma et par des symboliques adaptées qui vont favoriser, faciliter les images mentales, la conception (re-présentations communes comprises par tous).
  • Lors des séances suivantes, ces éléments permettront de revenir plus facilement sur la notion ou le concept étudié en se remémorant, en re-brassant le lexique, en faisant et/ou en refaisant par le jeu, en répétant l’exercice, l’entrainement pour se familiariser progressivement avec la notion étudiée.
La mise en place d’une trace écrite Les supports peuvent être :
  • un cahier, un cahier ou un carnet d’expériences, un classeur ;
  • des affiches ;
  • des panneaux ;
  • des outils numériques (Appareil Photo Numérique - APN -, tablette, PC, enregistreur MP3, logiciels adaptés...) ;
  • un journal personnel des sciences. Cette trace écrite personnelle fixe les connaissances « sûres » de l’élève.
  • Enfin, elle peut prendre la forme d’une trace écrite collective qui communique les SAVOIRS – institutionnalisation des connaissances "reconnues" (Ex. Journal de science en grande section dédoublée avec le dessin d’observation (BookCreator en ligne – Catherine Lignon, R. Rolland, Évreux).

Des ressources didactiques Un espace sciences en maternelle, pour quoi faire et comment l'organiser ? ............... Le modèle allostérique d’apprentissage de Giordan - version courte (1989) ............... Le modèle allostérique d’apprentissage de Giordan - version longue ............... Enseigner - apprendre Une démarche en 5 étapes construite par Britt-Mary Barth ............... Dessiner à l'école maternelle ............... Des étapes pour des démarches d'investigations scientifiques

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EDUSCOL Des ressources d'accompagnement disponibles sur le portail Eduscol proposent des pistes pour la mise en œuvre du programme, des outils scientifiques et didactiques, des vidéos de situations de classe, et des supports pour organiser la progressivité des apprentissages.Pour cette partie du domaine « Explorer le monde », les ressources proposent deux premiers modules : l'un sur les élevages d'escargots et de phasmes en classe, l'autre sur les miroirs. Ces deux unités sont composées de nombreuses photographies et vidéos de situations de classe. https://eduscol.education.fr/117/explorer-le-monde-du-vivant-des-objets-et-de-la-matiere

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1présentation du support

2Le texte De l'histoire

3Vidéo de l'albumen français

4VIDÉO DE L'ALBUM EN anglais

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DIX PETITES GRAINES

Mise en scène des savoirs

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Dix petites graines - Mise en scène des savoirs Dix petites graines, puis neuf, puis huit… Un petit garçon plante dix petites graines dans son jardin mais la nature n’en laissera pousser qu’une seule. La fourmi en vole une, le pigeon en picore une autre, la limace avale une pousse et la taupe en déterre une seconde puis une balle écrase une jeune plante… La seule fleur qui arrivera à maturité donnera… dix nouvelles petites graines, pour recommencer ! ............ Les usages de ce livre sont induits par une mise en scène particulière du texte et de l’image. Il s’agit d’une histoire en images de 10 graines, chaque double page représentant l’événement qui explique la disparition de neuf graines ou plantules. Le texte désigne la quantité de graines et la cause de la disparition de la graine, de la pousse, du plant … et la progression de la désignation marque non seulement la quantité mais aussi le développement de la plante, la germination, la croissance, la floraison, la montée en graines.

Vidéo de l'album - en français

Vidéo de l'album - en anglais

Dix petites graines Ruth Brown C’est l’histoire d’un petit garçon. Il a acheté un sachet de graines de tournesol. Il va dans le jardin. Il enfonce son doigt dans la terre pour planter ses petites graines. Il en met dix ! Dans la terre, il y a plein de vers de terre qui creusent. Soudain, une fourmi arrive dans le jardin et déterre une graine. Elle l’emporte sur sa tête dans sa maison. Maintenant, il ne reste que neuf graines !Elles poussent, les graines. Elles ont germé. Une petite racine commence à s’enfoncer dans la terre. Mais un pigeon arrive. Il a faim et il picore une graine. Il ne reste plus que huit graines. Les racines grossissent et s’enfoncent. Les racines se développent. Mais une petite souris arrive, gratte la terre et trouve une graine. Elle la prend et la mange. Il ne reste plus que sept pousses dans le jardin. Les tiges montent vers la surface, les feuilles arrivent au niveau du sol. Les vers de terre continuent de creuser autour des racines. Et une limace passe dans le jardin. Elle aussi a faim. Alors elle mange les feuilles de la petite pousse. Il ne reste plus que six pousses dans le jardin. Les feuilles grandissent. Soudain, une petite taupe surgit. Elle pousse la terre pour voir le soleil. Mais elle déterre une pousse! Elle a une plante sur la tête ! Il ne reste que cinq plants dans le jardin. Ils ont quatre grosses feuilles qui ont poussé. Mais le gros chat passe par là. Il gratte la terre. Il veut faire ses besoins. En grattant, il enlève un nouveau plant. Il ne reste plus que quatre jeunes plantes dans le jardin. Elles sont belles : elles ont des belles feuilles vertes et un joli bourgeon au sommet. Mais un grand garçon joue dans la jardin. Il tient un grand bâton et il tape dans une balle de tennis. Il est un peu maladroit ce garçon ! Il envoie la balle dans le jardin du petit garçon. La balle a écrasé une plante, elle ne va plus pousser ! Le garçon est très ennuyé ! Maintenant, il y a trois grandes plantes dans le jardin. Elles grandissent beaucoup. Un petit chien joue dans le jardin. Il trouve la balle qui est à côté des plantes et il court la chercher. Et voilà qu’il écrase une plante! La tige se casse et la plante ne va plus pousser! Il ne reste plus que deux plantes dans le jardin. Sur la tige, il y a plein de pucerons. Ils sont bien accrochés ! Il y en a même qui ont abîmé une plante. Ils se sont accrochés sur le bouton de la fleur. La coccinelle vient les manger. Elle grimpe sur le tige pour les manger. Mais ils sont trop nombreux! Le petit bouton s’est ouvert. Il a donné une belle et grosse fleur de tournesol. Elle est belle cette fleur ! Toute jaune ! Une petite abeille vient se poser doucement sur son coeur. Elle a les pattes pleines de pollen. Elle suce le bon jus de la fleur. Puis elle s’en va ! La plante a beaucoup grandi. Elle a même fané ! Le chat et le chien sont là eux aussi ! Ils regardent le petit garçon. Ils sont cachés dans les herbes. Dans la fleur, le petit garçon trouve dix petites graines. Elles tombent dans sa main. Il est content le petit garçon : il a à nouveau 10 petites graines ! ......... Document à télécharger

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