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Poèmes imitant "les hirondelles" de Francis Ponge

Transcript

Notre inspirateur Francis Ponge

Les animots en poesie

Les Hirondelles

Chaque ouistitiranosore habilement se précipiteRapidement il est élastiquede feuille en goutte verte il s’agitemalgré sa masse il s’exécutegrâce à ses pointes bien aiguisées,il peut savourer ses croissants jaunes.

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Ousistitirannosaure

Chaque Chathon s’adapte facilement à son UNIVERS . Dans l’eau comme sur terre .Rapide comme un éclair le Chathon saute, nage à vive allure, pour ne pas se faire attraper.Dans l’eau le soleil fait briller ses écailles. Dans le brouillard ses poils se voilent .Petits poissons, Chathon attrapera, petits poissons Chathon dévorera. Enjoué et sociable ton amitié est profonde envers ton vieil ami Tigrenouille.

Chathon

Chaque Poulémurien,rapidement saute d’arbres en arbres selon son espèce. Ailes d’avion, placées sur le dos,tu sautes. Rapidement ! Tu as la taille d’un double décimètre et le poids d’une draisienne. Tu bouges la tête et glousses comme ton ancêtre la poule. Tu as le tronc et les pattes de lémurien et le reste tu le tiens de ton autre ancêtre. Tu sautes,te rates,planes et te rattrapes sur une autre branche. Endormi quand je t’ai rencontré,tu te reposais sur une branche ,en plein milieu de l’après-midi.

Poulémurien

Chaque otaraie sensuellement se reflète dans les courants de la Grande -eau.Ne sachant guère que dans son dos, se trame un complot, un complot qui la détruirait à jamais.Elle navigue sans s’arrêter jusqu’à sentir une présence, une présence inquiétante.Otaraie: mot subtil, mot raffiné, ravissant est-il; bien mieux que «manta».Selon sa race elle se déplace à l’allure d’une sirène à la recherche d’une amseur .Mais attention à ceux qui seront imprudents face à de si grands prédateurs .Noyée dans son habitat l’otaraie mourra si elle ne se cache pas .

OTARAIE

Chaque louton lentement avance, goulûment il avale mouches et oiseaux.Son lourd poids le handicape et l’empêche d’avancer à sa guise.Vif et alerte ces tas de plumes volants ne lui échappent guère.Il aime tout autant ces petits insectes de préférence rouge, à son goût fort savoureux.Sa sieste est sacrée tout autant que ce qui le transporte dans son monde imaginaire.

Louton

Chaque oursinge se déplace, inlassablementd’arbre en arbre en bondissant .Le petit animal, aussi léger qu’un attrape-rêve,se régale de baies et d’insectes .Son corps, recouvert d’un doux pelageest parsemé de piquantsqui se hérissent quand il a peur .

OURSINGE

Chaque dauquin nage rapidement pour se nourrir d’écailles argentées ou de belles jambes épilées.Vivant dans le monde aquatique,il a parfois besoin de s’évader de l’eau et de prendre l’air pour survivre.Sa nageoire dorsale lui sert à se diriger avec précision lorsqu’il a faim au qu’il se sent en danger.Seul mammifère qui pond des œufs,son descendant peut peser six fois le poids d’un bébé humain.Donc même s’il est de nature douce et inoffensive,mieux vaut garder ses distances lorsqu’il a le ventre creux.

dauquin

Chaque autrucheval rapidement se met la tête dans la terre, on les aperçoit rarement dans la savane. L’autrucheval utilise son long cou pour se nourrir facilement.L’autrucheval a 4 pattes avant et 2 pattes arrière qu’il plante dans la sol pour se donner une impulsion et courir plus élégamment a 158 km h.

Autrucheval

Chaque zebrequin volent majestueusement.Trempe dans l’encre blanc, noirnageoires rapides, poursuivant ses ennemisavalant ses proies,Avec courses poursuites, zigzagsSon ombre sans rayures, croquant n’importe quoihumains, poissons, tout ce qui lui passe sous la dent Croquis au fond de l’océanroupille en mouvement, Qui suis-je ?

ZEBREQUIN

Chaque Lezaraignée se faufile à travers les fils,grimpant sur chaque parois qu’il voit.En cherchant le soleil et en chassant ses proies,Elle tisse son piège et elle fileen capturant rapidement et agilement les insectes.

Lézaraignée

Chaque girafennec lentement se redresse - doucement elle s’ imagine - à la pensée , selon son espèce , du desert.Oreille écartée , plongée dans son imagination fluide , tu penses vite !Si douce n’ en demeure ...

GIRAFENNEC

Chaque Lapingouin tranquillement glisse sur la lumineuse banquise pour trouver son repas.Ceci est le rituel matinal de cet etrange animal.Cet herbivore,carnivore nourrit de poissons crevettes et carottes fraîches.Pour chasser il utilise sa tête, la plonge dans l‘eau glaciale de c‘est profondeurs maritimes et attire les poissons en siffotant.Cet animal assez dodu se déplace de façon lente et lourde.Comment décrire cet animal?étrange ,petit, lent…A la peau lisse aux grandes oreilles !Cet animal est en effet tres recherché...

lAPINGOUIN

Chaque Yetigre etonnament s’agrippe sur des arbres – Violemment il tombe – Son poids ne l’aide pas.Banane en hauteur alléchante,viande fraîche appétissante sont ses raisons de vivre.Chaleur et fraîcheur,il ne sait pas ou est sa demeure mais sa perruque sait se transformer.Yétigre,Yétigre,c’est un animal inconnu,reclus,loin de sa tribu barbue.Debout ou à quatre pattes ,sa vitesse ne décoiffe pas son allure , il peut aller ou il veut quand il veut comme un paresseux.Dans sa fourrure soigneuse se cache une bete hargneuse,affreuse ,cherchant à terroriser ses proies.

YETIGRE

Chaque chevalligator lentement avale goulûment 10 kilos de brins verts chaque jour Grâce à ces petites oreilles jonchées sur le haut de sa tête,il peut percevoir tous les bruits de la forêt à 3 km à la rondeSa queue constituée de crins lui permet d’avancé à une allure spectaculaire Son corps mesurant 4 mètres de long et 30 centimètres de haut,il parvient aisément à se camoufler dans les prairies son lieu de vie Mais attention! Une simple piqûre d’une poussière ailée lui sera fatale!

Chevalligator

Chaque PANGOLYNX , rapidement repère sa proie .Un bruit : - Ses yeux s’empressent de scruter l’horizon- Ses pompons se dressent aussitôt au dessus de ses oreilles aiguiséesBOUM ! BOUM !Son coeur s’accélère .Il se prépare à agir …Et soudain il s’élance , se précipite vers son repas . Mais quand une ombre passe au dessus de lui ,de peur il se met en boule . Il roule écailles sortie sEn pomme de pin tombé d’un sapin .

Pangolynx

Chaque Quetzaloie,parvient difficilement à voler,pour que ses plumes restent dignes d’ellePlume aiguisée trempée dans du sang de cœurProie s’enfuyant rattrapee immédiatement et tuee sur le champGrâce a ses dents aiguisées comme des lames ils ôtent la vie de ceux qui le contrarientAile rapide,sang qui dégouline,rattrapage sur l’aile des cieux,piqué mortel la mort est certaineMalheureusement je le connais par cœur CE poème saignant et juteux mais je ne lui laisserai pas le temps de me tuerJe vais vous dire des mots dans son langage incompris Quetzaleur:Quetzaloie sans reviens avec une belle et nouvelle vie(incompris et voila le langage du QuetzaloieQuetzaloiye:VIeux Quetzal mâleVoyez vous cet Animal et bien courez

Quetzaloie

Chaque LAPINGOUIN , joyeusement se déplace comme un grand artisteSauteur des neigesDes petits frissons parcourent son corpsIl arrive lentement mais sûrement à sa friandiseCe fameux bonbon vert et orange qui lui plaît tantCette fantastique créature avec son pelage photographiqueSe dandine,satisfait et heureux!

Lapingouin

Chaque Chihyène,joyeusement, aboie si cela lui convient ,Se méfie des humains mais joue avec ceux qui ne le maltraitent pas .Il chasse la nuit et se nourrit de viande uniquement .Il se déplace discrètement et laisse derrière lui de légères tracesCes légères traces forment un poème.Un poème mais pas n’importe lequel.C’est un poème qu’on ne comprend pas tous…Le Chevalapin, lui, le fuit.Mais ce poème…Il est bien mieux que chien ou bien hyène…C’est un poème de Chihyène.

Chihyène

chaque aiglapin adore mange des petites proies orange qui se promènent dans les jardins .Au pelage blanc et or, tu es belle,mignonne,chou avec tes griffes pointues et tes deux grandes oreilles .De ta vu perçante, tu repéré ton amie la chihyene chez elle.Ton ouïe attentive te prévient si un renaraigné te guette quand te vole .Ton odorat incroyable te permet de trouver ces appétissantes caffarotes dans les près.Et quand tu veux dormir,tu rentres chez toi, dans ton nid de terre humide.

Aiglapin