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Étape 4 : Au-delà de la 138

QUELQUES CONSIGNES

  • Le rallye se présente en 4 étapes. À la fin de chacune d'elles, vous obtenez un mot de passe qui vous donnera accès au fichier de l'étape suivante ;
  • Pour l'étape 3, vous devez trouvez 8 lettres en regardant attentivement chacun des tableaux et en résolvant les énigmes qui, une fois réussies, vous donneront une des lettres du mot de passe ;
  • Regardez tous les petits boutons qui apparaîtront sur votre page... Attention, certains vont apparaître après quelques secondes... soyez patients !

Le symbole de la main (en haut à droite) apparaît sur toutes les pages. Il vous indique qu'il y a des éléments qui peuvent être déplacés sur la page Déplacez celle-ci pour vous pratiquer

FIN

Les deux petits boutons gris avec des flèches vous permettent d'accéder à la page suivante ou à la page précédente (ils n'apparaissent pas nécessairement sur toutes les pages). Cliquez pour essayer.

Sur quelques pages, vous verrez un bouton vous menant à la fin de l'étape 1 Ne l'utilisez que si vous avez déjà complété le rallye (en mode révision !)

Sur certains quiz, vous devez valider vos réponses en cliquant sur le crochet de ce bouton. Si vous avez complété le quiz avec succès, vous obtiendrez une lettre du mot code.

En cas de panique, vous pouvez toujours cliquer sur la petite maison qui vous ramènera au début ! Essayez-là !

Les trois petits points vous donnent accès au mode pleine page pour une navigation plus agréable.

Cette dernière étape se fera par la mer. Vous embarquez sur le Bella-Desgagnés à Havre-Saint-Pierre pour la visite des villages de la Basse-Côte-Nord. Ancrez le bateau à chaque port d'escale et découvrez ce que chaque village a à vous offrir. Vous débarquerez à Blanc-Sablon.

Port-Menier

Natashquan

Kegaska

La Tabatière

Saint-Augustin

Tête-à-la-Baleine

Harrington Harbour

Blanc-Sablon

Havre-Saint-Pierre

https://youtu.be/chk3aiv1LFs

Horaire du navire – saison 2020Horaire printemps-été (protection des baleines noires) en vigueur du 18 mai 2020 jusqu’à la levée de la restriction de vitess

Havre-Saint-Pierre Selon la saison et les conditions de navigation, vous partez de Havre-Saint-Piere à 7 h un mercredi. Vérifiez les horaires pour connaître les heures d'escales aux autres ports.

Kegaska (Côte-Nord-du-Golfe-du-Saint-Laurent) - 856 habitants La jolie petite église anglicane St. Philip est tout près du quai et sa porte est ouverte en tout temps. À travers la grande fenêtre, derrière l'autel, on peut voir les colorés bateaux de pêche qui naviguent dans le port. Unique. En arrivant de Natashquan, on aperçoit les restes de l'épave du Brion, un cargo qui s'est échoué près du village en 1976. Un sentier y mène. Vous aussi vous pourrez dire que vous avez vu le bout de la route 138 ! Glissez l'image de gauche à droite pour une vue en 360 degrés.

Tête-à-la-Baleine - 145 habitants Tête-à-la-Baleine est l’une des trois communautés francophones de la Basse-Côte-Nord. Tête-à-la-Baleine tire son nom d’un rocher proéminent semblable à une tête de baleine sur l’une des îles de l’archipel Toutes-Îles voisin. Le Jersiais Michael Kanty achète, au début des années 1820, le poste de traite de Tête-à-la-Baleine de la Labrador Company alors en faillite. D’autres colons de l’île de Jersey, de la ville de Québec et de collectivités de la rive sud du Saint-Laurent le rejoignent plus tard. Au cours du XIXe siècle, les familles vivent toute l’année sur les îles. Graduellement, les insulaires commencent à passer l’hiver sur le continent afin de se rapprocher du bois et du gibier. Encore aujourd’hui, plusieurs résidents continuent de passer leurs étés dans les îles. À visiter :

  • La Maison Jos Hébert : Situé sur l’Île de la Passe, ce musée est une reproduction de la dernière maison de la légende locale Jos Hébert, le premier postier de la Basse-Côte-Nord qui livrait le courrier par traîneau à chiens aux villages isolés. Le site lui rend hommage présente la façon de vivre et les traditions des résidents de l’Archipel.
  • L’île Providence, située face au village. Les habitants du village aiment passer la belle saison au large, loin des mouches noires et viennent principalement sur cette île ;Accessible durant l’été via des excursions organisées par bateau où une visite guidée vous conduira à la chapelle Sainte-Anne, l'attrait majeur de l'île : la plus ancienne chapelle de la Basse-Côte-Nord, érigée en 1895. On peut même y séjourner, car le presbytère a été transformé en accueillant gîte du passant où l’on prépare de la cuisine française typique de la région. Le Centre d'interprétation de l'Île Providence raconte l’histoire de l’église ainsi que celle de l’Archipel. Sur l’île, vous pouvez aussi voir les vestiges d’une fonderie, où on transformait en huile la graisse de loup marin, et des résidences traditionnelles de pêcheurs. Le Centre d’Interprétation de l’Île Providence est ouvert durant l’été pour coïncider avec l’arrivée du Bella Desgagnés, et sur demande.
  • Autres îles avoisinantes : elles offrent de belles possibilités d’observer les oiseaux de mer, les dauphins, les loups marins et les baleines.
  • L'île Kanty : Prenez une excursion en bateau pour visiter cette magnifique Île, site de la première maison construite dans l’archipel de Tête-à-la-Baleine; le premier cimetière de la région.

Gros-Mécatina - 428 habitants S’étendant sur plusieurs kilomètres le long de la côte, la communauté moderne de Gros-Mécatina est composée de trois hameaux : Vieux-Poste, Baie-Rouge et La Tabatière. Le hameau de La Tabatière était connu comme la meilleure station de pêche de loup marin de la Basse-Côte-Nord depuis le XVIIIe siècle. Des concessionnaires français ayant obtenu les droits de pêche et de propriété y dirigent une industrie de pêche au loup marin. Ils font aussi le commerce de la plume d’eider ramassée dans les nids de canards. L’appellation Tabatière vient du mot amérindien tabaquen, qui signifie sorcier. Les Innus qui commerçaient avec les colons de La Tabatière consultaient habituellement un sorcier-voyant avant de partir pour une expédition de chasse. Le poste de traite français tombe aux mains des Britanniques dans les années 1760. Quelques années plus tard, une entreprise de la ville de Québec s’en porte acquéreur. En 1820, l’entreprise en faillite est achetée par Samuel Robertson, un ancien employé, originaire d’Écosse, qui produit de l’huile de loup marin. Pendant le XIXe siècle, des pêcheurs jersiais, canadiens-français et terre-neuviens arrivent dans les hameaux qui forment aujourd’hui La Tabatière. La grande usine de la communauté où on produit de l’huile de loup marin et de poisson est réduite en cendres aux environs de 1930; on la remplace par une usine de transformation du poisson. Cette dernière est aujourd’hui la plus importante de la Côte; on y traite le crabe, le pétoncle et la crevette À voir : Fonderie Robertson de loup marinLes visiteurs peuvent voir les pots de la fonderie servant à transformer la graisse de loup marin en huile à Spar Point, une partie de l’héritage de la célèbre entreprise de pêche au loup marin de la famille Robertson. Refuge d’oiseaux migrateurs de Gros MécatinaÀ l’est de la communauté de La Tabatière, le Refuge d’oiseaux migrateurs de Gros Mécatina couvre trois îles – l’île Plate, l’île aux Marmettes et l’île aux Trois Collines. Ici, le macareux moine, le petit pingouin, le guillemot noir, le goéland à manteau noir, le goéland argenté et diverses espèces de sternes forment de petites colonies. Le long de ces îles, le bleuet et la chicouté poussent sur les sommets des collines en abondance. Îles avoisinantesVous pouvez louer les services d’un propriétaire de bateau local pour vous rendre jusqu’aux Îles avoisinantes. La grosse île Mécatina, également appelée Grosse Île, était autrefois l’endroit où plusieurs familles de pêcheurs résidaient pendant la haute saison de la pêche; elle est située à 6 kilomètres à l’est de La Tabatière.

  • Promenade dans le sentier Priest’s Hill : Prenez la promenade de bois et montez jusqu’à Priest’s Hill à côté de l’école : une vue à vous couper le souffle sur le port et les îles avoisinantes vaut le détour. Continuez encore 3 kilomètres jusqu’à une suite de plages qu’on appelle « les sables ».
  • Le Parc Point aux Neiges : Ce parc local se trouve sur le parcours d’un chemin de gravier aux abords du village. Une plate-forme avec panneaux explicatifs et même un télescope vous permet d’observer la faune marine et les oiseaux et ça vaut le coup d’œil !
L'escale du Bella-Desgagnés est malheureusement trop courte pour qu'on puisse se permettre de découvrir le pittoresque village de pêcheurs de Mutton Bay, à 9 km de là.

Saint-Augustin - 445 habitants Saint-Augustin est l’un des plus grands villages de la Basse-Côte-Nord et est situé sur la rive est de la rivière Saint-Augustin, juste en face de Pakua Shipi, une communauté innue. Bien caché à l’intérieur des terres, à plusieurs kilomètres des îles truffées de passages, Saint-Augustin est à 60 kilomètres des autres villages. Étalé sur les collines ondulantes, le village est particulièrement frappant avec les superbes berges sablonneuses de la rivière Saint-Augustin au premier plan. Les premiers visiteurs et pionniers ont d’abord habité dans les îles près de Saint-Augustin. Ouvert à la fin du XVIIe siècle sur l’île de Vieux-Poste, un poste de traite français change de main pendant les Régimes français et britannique. Deux frères originaires de Boston achètent le poste de la Labrador Company en faillite au début des années 1820 et développent une entreprise florissante de pêche au loup marin et au saumon. D’autres colons arrivent plus tard d’Angleterre, d’autres coins du Québec et enfin de Terre-Neuve. Avec les années, les résidents gravitent vers le grand village de Saint-Augustin d’abord en hiver, puis toute l’année. Plusieurs résidents passent encore l’été dans les îles, pêchant l’aiglefin, le maquereau, le saumon, la truite ainsi que les mollusques et crustacés. À voir :

  • Les Rigolets : Incroyable labyrinthe de petits fjords bien protégés ressemblant à des bras de mer – d’où vous aurez une vue en gros plan sur les baleines, les loups marins, les oiseaux de mer et le rivage ;
  • Le quai de toute marée de Pointe-à-la-Truite bourdonne d’activités lorsque les pêcheurs déchargent leurs prises. C’est à cet endroit que le Bella Desgagnés s’arrête périodiquement ;
  • Le sentier de Pointe-à-la-Truite : Profitez d’une vue de la rivière Saint-Augustin et du village en suivant les cairns sur les sentiers de marche dont le point de départ est au quai de Pointe-à-la-Truite ;
  • Refuge d’oiseaux migrateurs de Saint-Augustin : une aire de nidification importante pour le goéland à bec cerclé, le goéland argenté, le goéland marin, la sterne, le petit pingouin, le guillemot noir et l’eider à duvet.

FIN

https://www.sepaq.com/sepaq-anticosti/vacances-ete/destination-reve.dot?gclid=CjwKCAjw8MD7BRArEiwAGZsrBV03HRWDC79rAHcb0xUvQd5cZyr9HQuUDwEf6ikGEBvQRrhrt5oFuhoCieMQAvD_BwEhttps://municipalite-anticosti.org/visiteurs/attraits-touristiques/

Allez à la chasse...

Si vous souhaitez en apprendre davantage sur l'histoire de l'Île d'Anticosti, vous pouvez écouter cet intéressant balado d'Ici Première de Radio-Canada et raconté par Serge Bouchard (non nécessaire pour la continuation rallye). Balado Québec - L'histoire d'Anticosti

Bienvenue à Natashquan...Laissez-moi vous conter mon village...

ERREUR

ACCÈS

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Les galets de Natashquan Sorte de « village dans le village », les Galets, un bien culturel classé par le gouvernement du Québec, désignent à la fois l’île de pierre et les hangars de pêcheurs. Depuis 150 ans, ils résistent et témoignent de la vie des ancêtres. Lieu de mémoire, de souvenirs et de nostalgie du temps où la pêche à la morue était un métier et un gagne-pain à Natashquan. Le site patrimonial des Galets présente un intérêt patrimonial pour ses valeurs ethnologique, paysagère et historique. Voué principalement à la pêche morutière, ce site évoque le passé de Natashquan. Le peuplement du lieu commence en 1855. Dès leur établissement, les pionniers construisent des "magasins" ou "galets", utilisés pour le rangement des agrès de pêche, pour le salage et le séchage de la morue ainsi que pour la conservation de l'huile de loup-marin. Pendant les décennies suivantes, Natashquan devient l'un des centres de pêche les plus actifs de la Côte-Nord. Dans les années 1880, on dénombre 23 magasins sur les galets. Il y en a plus de trente au début du XXe siècle. L'endroit est essentiellement exploité par des pêcheurs locaux et indépendants. Pendant la seconde moitié du XXe siècle, la pêche morutière s'essouffle. Au tournant des années 1980, la morue se fait rare dans le golfe du Saint-Laurent, et sa pêche est interdite. Par conséquent, plusieurs magasins disparaissent. De nos jours, le site patrimonial des Galets et ses douze magasins, dont certains ont 150 ans, témoignent de l'histoire socioéconomique des pêcheurs autonomes de Natashquan. Le site patrimonial des Galets présente aussi un intérêt patrimonial pour leur valeur emblématique. Les galets sont devenus, avec le temps, l'emblème du village de Natashquan. Le lieu et les activités de pêche qui s'y déroulaient ont été une source d'inspiration pour Gilles Vigneault (né en 1928), qui a d'ailleurs travaillé à cet endroit pendant son enfance. L'un de ses poèmes, "Île de pierre", en traite directement. Par ses poèmes, contes et chansons, l'écrivain a fait connaître Natashquan et ses galets, enrichissant ainsi l'imaginaire québécois. Écoutez-le nous raconter ce lieu : Audio - Île de Pierre - Gilles Vigneault

Centre d'interprétaion Le Bord du Cap Établi en 1998 par Bernard Landry, un historien autodidacte de Natashquan hautement respecté sur la Côte-Nord, le centre d'intreprétation propose une reconstitution du magasin général de Natashquan, 39 thématiques sur l’histoire du village et un espace réservé aux musiciens locaux, à la musique traditionnelle et à la boîte à chansons. C’est une visite incontournable lorsque vous passez sur le Parcours des Anciens (promenade piétonnière). Vous aurez également une vue magnifique sur les Galets. Le Centre d'interprétation Le Bord du Cap est ouvert aux visiteurs de la fin juin au début septembre.

Communauté innue Nutashkuan © CopacteLa communauté est associée au Conseil tribal Mamuitun en ce qui a trait à la négociation territoriale globale avec les gouvernements fédéraux et provinciaux. Les principales activités économiques sont liées à la pourvoirie, à la pêche commerciale et à la construction. Généreux et très religieux, les innus de Nutashkuan se recueillent dans leur église nommée Notre-Dame des Indiens. Les Innus sont également des gens très talentueux : musiciens, chanteurs, conteurs de légendes et fabricants d’artisanat culturel impressionnant. Durant l’été, les Innus montent leurs campements à quelques reprises à l’occasion de fêtes spéciales. À l’Ile Ste-Hélène, pour la Fête du Saumon, à la Montagne Bleue, pour la Fête de Ste-Anne, aux abords de la Grande Rivière Natashquan, pour la Fête des Aînés et au village de Natashquan pour le Festival du conte et de la légende de l’Innucadie (prochaine édition du 12 au 15 août 2021). Ces activités permettent aux autochtones et allochtones de partager et de fraterniser. Profitez de votre séjour à Natashquan pour découvrir cette belle communauté. © Copacte

L'église de Natashquan Les pionniers durent passer les premières années de leur vie à Natashquan sans organisation paroissiale. En 1859, après quelques échanges avec l’Archevêché de Québec, on débuta la construction d’une première chapelle et en juin 1861, on bénit la première cloche. C'est alors qu'arriva à Natashquan le premier missionnaire résident. La chapelle initiale aura subi nombre de transformations et plusieurs agrandissements au fil des ans. Cependant, le maître-autel, érigé entre 1910 et 1916, trône toujours sous son nouvel apparat vernissé.C’est à la dynastie de la famille d’Hilaire Carbonneau, que l’on doit la construction, l’agrandissement et l’entretien de l’église actuelle. L’histoire dit que nombre de matériaux ayant servi à sa construction proviennent d’une goélette transportant du bois d’oeuvre échouée à quelques milles à l’est de la Baie de Natashquan. Dans une des chansons de Gilles Vigneault, n’est-il pas question d’ailleurs de "l’Anse-aux-Madriers" ? Savez-vous laquelle ? Découvrez-la ici. © Marie-Claude VigneaultLa population locale est très fière de son église construite de toutes pièces par les mêmes artisans pionniers qui ont bâti le village. Elle est une des plus vieilles sur la Côte-Nord. En la visitant, on peut remarquer la forme du plafond qui rappelle la coque renversée d'un bateau. L'église a célébré son 150e anniversaire de construction en 2011. Elle est ouverte aux visiteurs toute la période estivale.

La maison natale de Gilles Vigneault Après d'importants travaux de restauration, la Maison Gilles Vigneault, à Natashquan, est ouverte au public depuis 2019, et connaît un vif intérêt chez les visiteurs de passage à Natashquan. L'exposition présente une incursion dans les premières années de carrière du poète et offre aux visiteurs la possibilité de lui adresser des cartes postales. C’est sur l’Allée des Galets, artère importante de Natashquan que se trouve le Site patrimonial de Gilles Vigneault. Il se compose à la fois de la maison natale de Monsieur Vigneault (né le 27 octobre 1928) et de la propriété voisine, soit la maison de « Monsieur Claude », ancienne propriété du grand-père de Gilles Vigneault qui est ensuite passée aux mains de son fils Claude, puis de son petit-fils Yvon. Ces deux établissements anciens constituent un tout, un lieu, un ensemble authentique et caractéristique du mode de vie traditionnel des familles de pêcheurs de Natashquan. L’ensemble architectural comporte cinq bâtiments dont les deux maisons de la famille Vigneault que la Municipalité de Natashquan a citées bien culturel en 2007. Un lieu incontournable et très émouvant à visiter. Écoutez une entrevue faite avec Monsieur Magella Landry, instigateur du projet : Ouverture de la maison natale de Gilles Vigneault

Bienvenue chez nous... là ou on chasse l'ours ! Le littoral de Nutashkuan « là où l’on chasse l’ours » était, bien sûr, fréquenté par les Innus lorsqu’en 1855, après de fructueuses migrations estivales pour pêcher la morue au large de cet endroit, des pêcheurs venus des Iles-de-la-Madeleine décidèrent de s’établir définitivement au creux de la magnifique baie sablonneuse, à l’embouchure d’une belle rivière, pour fonder Natashquan.Années de pêche prospère, années de misère aussi, les gens de Natashquan ont depuis trimé dur pour subsister et vivre honorablement. Lorsque les compagnies Jersiaises décidèrent de profiter des ressources halieutiques abondantes au large de la Côte-Nord, trois d’entre elles s’établirent à Natashquan en 1858. Une seule, celle des frères De la Parelle, réussit à s’implanter pour de bon. De tels développements s’avérèrent toutefois fragiles. Ainsi la compagnie De la Parelle fut achetée par les Robin en 1876, à son tour rachetée par les Collas en 1886. © Michel BoudreauNatashquan fut un jour le centre de pêche le plus actif de la Côte-Nord. Certes, une période de disette en 1886 força nombre de villageois, sous l’égide du curé, à quitter le village pour aller fonder celui de Saint-Théophile en Beauce, mais plusieurs certains revinrent par la suite et la pêche reprit de plus belle. Depuis le moratoire sur la morue dans les années quatre-vingt et la fin de la pêche, c’est toute une page d’histoire qui s’est tournée pour le village.En 1996, la route 138 relie le village au reste du Québec et l’exode, alors plus souvent saisonnier qu’autrement, pour gagner la pitance, se fera de plus en plus sentir. Il reste sur place aujourd’hui à peine plus de 263 descendants des premiers arrivants acadiens tandis que la communauté amérindienne, qui vit à quelques kilomètres, frôle les 1500 résidents. Mais le village de Natashquan reste le même: beau, véritable havre de paix, où il fait bon vivre et où les gens sont reconnus pour être très accueillants. Ne partez pas d'ici sans être allez voir chacun des points d'intérêt (vous trouverez l'indice pour le code qui vous permettra de retourner au bateau) :

  • La vieille école
  • Le Centre d'interprétation Le Bord du Cap
  • L'église
  • La communauté innue près de la Pointe-Parent
  • Les Galets
  • et bien sûr ma maison natale :)
Bonne visite !

Bienvenue à La Romaine et à Unamen Shipu

Bienvenue à Unamun Shipu / La Romaine - 982 habitants La Romaine, située près de l’embouchure de la rivière Olomane, comprend une petite population de langue française et une grande réserve d’Innus qu’on appelle Unamen Shipu. L’appellation La Romaine dérive du vocable innu olomane ou oromane, signifiant ocre rouge, ce qui fait allusion à la couleur rougeâtre des eaux de ruissellement du printemps. Au début du XVIIIe siècle, les Français ouvrent un poste de pêche et de traite à l’embouchure de la rivière Olomane. Le poste devient un lieu de rencontre pour les Innus nomades et les Européens plus sédentaires de la Côte. Les Britanniques prennent le contrôle du poste dans les années 1760 et sont suivis par les marchands de la ville de Québec. La réserve innue date du milieu des années 1950. Traditionnellement, les Innus ont maintenu leurs habitudes nomades. À la fin de l’été, ils quittent la côte et remontent la rivière pour y chasser et pêcher pendant l’hiver. Chaque année en mai, ils redescendent la rivière vers la côte, où ils pêchent, chassent les oiseaux de mer et cueillent leurs oeufs. La traite des fourrures, le contact avec les Blancs et l’économie de marché transformèrent graduellement les habitudes de vie des Innus. À partir des années 1950 et jusqu’à sa mort en 1992, le Père Alexis Joveneau, oblat belge, vécut à La Romaine où il se fit le promoteur des traditions innues et contribua au développement de l’infrastructure communautaire et à la construction des maisons. À voir :

  • Église catholique romaine Marie Reine-des-Indiens : Cette église est ouverte au public. Elle abrite un autel inusité fait en peau de caribou, belle intégration de la culture catholique et de la culture innue.
  • Îles avoisinantes : Un propriétaire de bateau local peut vous amener jusqu’aux îles avoisinantes pour y observer les oiseaux et cueillir des petits fruits ou baies.
  • Musée et centre d'interprétation La Romaine : Des guides bilingues vous aideront à découvrir la riche histoire exceptionnelle de La Romaine. L’histoire, les gens, l’économie régionale et les traditions se révèlent au fur et à mesure que vous franchissez le seuil du musée et que vous apercevez un grand arbre généalogique des premiers occupants et de leurs descendants. Avec autant à explorer en son centre, vous connaîtrez ce qui rend La Romaine un endroit aussi fascinant, tant au passé que dans le présent.

Profitez de cette escale pour une immersion chez les Innus Tourisme Winipeukut Nature, organisation de la communauté, vous reçoit et vous propose différentes expériences : tour guidé de la communauté, excursion en zodiac à travers les archipels du golfe du Saint-Laurent, séjour de 3 nuits sur une île isolée afin de s’immerger dans notre culture millénaire, pêche traditionnelle aux homards et observation de la faune et de la flore nordiques. Des forfaits sont offerts été comme hiver. Entre juin et octobre un forfait de 3 nuits / 4 jours peut-être jumelé à l'accès à la région avec le Bella Desgagnés. Par exemple en partant le mercredi matin de Havre Saint-Pierre, vous arriverez à Unamen Shipu en soirée pour en repartir le mardi en fin d'après-midi. Ce forfait inclut :

  • Les transferts aller-retour du quai ou de l’aéroport vers Innuberge ;
  • L’hébergement pour 3 nuits en chalet de bord de mer chez Innuberge (inaugurés en 2020) avec deux chambres à coucher chacun et entièrement équipés pour faire vos repas (transferts à l’épicerie offert) ;
  • Le tour guidé dans la communauté à bord d’un véhicule ;
  • L’excursion guidée en canot sur la rivière Olamen ;
  • L’excursion en mer par zodiac avec guide certifié et un lunch inclus ;
  • La démonstration de pêche traditionnelle aux homards (en saison, sinon cueillette des petits fruits sauvages) ;
  • Les taxes
Pour plus de renseignements, consulter le site : Tourisme Winipeukut - Unamen Shipu - La RomainenullTourisme Winipeukut NaturePar téléphone : 418-229-2218, poste #103

La Romaine... c'est aussi un complexe hydroélectrique de quatre centrales d'une puissance installée de 1 550 mégawatts sur la rivière Romaine et qui devrait être complété en 2021. À terme, sa capacité de production annuelle sera de 8,5 TWh. Ce projet a connu et connait encore plusieurs embuches, notamment de la part des Innus qui souhaitent faire respecter les ententes signées avec le gourvernement.. Mon but ici n'est pas de prendre position. Je vous suggère plutôt de lire sur le sujet et consulter les liens suivants qui présentent le travail accompli et l'ampleur du projet. La Romaine-4, le dernier grand barrage?C'est l'aboutissement d'un projet qui s'échelonne sur 10 ans et qui a déjà donné naissance à trois centrales : La Romaine-1, 2 et 3. C'est un...Radio-Canada.ca

Ressources

Plusieurs ressources sont disponibles sur le net pour apprendre la langue innue. Pour les fins de l'exercice, votre meilleure référence sera le site suivant : Jeux.innu-aimun.ca. Choisissez le dialecte Sheshatshiu pour trouver les mots d'usage courant que vous aurez besoin. D'autres sites proposent également des leçons et lexiques de mots pour garder vivante la langue innue-aimun. Si le sujet vous intéresse, vous pouvez consulter le site : Nametau Innu. L’UNESCO a désigné 2019 «Année Internationale des langues autochtones». À cette occasion, Radio-Canada a mis en ligne des modules sur différents thèmes. Pour aller encore plus loin, un cours de langue innue est même offert à l'Université de Montréal.

Comment ça va ?

Je vais bien, je te remercie

Au revoir !

OK

... Nitishinikashun

Uenapissish !

Tan eshpanin ?

Niminupan, tshinahkumitin

lame !

Eukuan !

Je m'appelle...

À bientot !

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Recommencer

Kuei !

Bonjour !

Mauat

Reliez les points en cliquant sur celui de gauche, puis celui de droite.

Eshe

Pourquoi ne pas profiter de votre séjour pour apprendre quelques mots et expressions en innu-aimun

Harrington Harbour - 229 habitants Harrington Harbour ressemble à un petit port de pêche traditionnel de Terre-Neuve. Un trottoir caractéristique, immortalisé dans la comédie La grande séduction, fait de planches de bois traverse la communauté et se prolonge au-delà des pittoresques maisons de bois. Le village est blotti sur le côté d’une petite île rocheuse donnant sur la mer. On n’y trouve ni route ni voiture – seulement des piétons, des bicyclettes et des véhicules tout terrain (VTT). Ce village, majoritairement anglophone, vit principalement de la pêche et de la transformation des produits de la mer. La Coopérative communautaire de fruits de mer de la Basse-Côte-Nord y est d’ailleurs établie depuis 1991. C’est un des plus anciens établissements de transformation de poisson encore en activité dans la région. Le Dr Wilfred Grenfell, fondateur de la célèbre mission médicale de la région, commence sa tournée de visites à Harrington Harbour vers la fin du XIXe siècle. Grenfell construit un hôpital sur l’île, ce qui vaut au village le surnom de l’île de l’Hôpital. Notre arrêt avec Le Bella Desgagnés n'est que de 2 h 30 mais profitez-en pour visiter : Le Centre d’interprétation de la maison Rowsell

  • Situé dans l’une des premières maisons bâties sur l’île de Harrington Harbour, le Centre d’interprétation de la maison Rowsell présente le patrimoine culturel et naturel de cette charmante communauté et de l’archipel qui l’entoure. Des maquettes, des tableaux et quelques objets de fabrication locale témoignent des activités traditionnelles, de la pêche, et de l’histoire du lieu.
  • Le centre abrite également des documents originaux et des souvenirs reliés au Dr Grenfell, le célèbre médecin qui desservit la région à partir de la fin du XIXe siècle.
Monument Jacques Cartier
  • Ce monument commémore le passage du fameux explorateur français dans la région en 1535. Une vue panoramique sur les îles avoisinantes, les baleines et les icebergs saura vous séduire.
L’église du Christ
  • Une marche sur les charmants trottoirs de bois qui sillonnent la municipalité vous amènera à cette attirante petite église en bois bâtie en 1952.
Refuge d’oiseaux migrateurs des îles Sainte-Marie
  • À 23 kilomètres au sud-ouest de Harrington Habour, ce refuge est celui qui présente la plus forte densité d’oiseaux de mer le long de la Côte et fournit une aire de nidification au macareux moine, au petit pingouin et au guillemot marmette.

Suivez les pas vers la grotte de Marguerite : Plusieurs versions différentes de l’histoire existent, mais on peut affirmer qu’en 1542, Marguerite de la Roque, parente de Roberval, voyageait sur le navire de celui-ci en provenance de France, pour se rendre dans une colonie du Québec. Lors de la traversée, Marguerite serait tombée amoureuse d'un membre d'équipage. Furieux de cette situation, Roberval l’a abandonné sur une petite île, qui serait Harrington Harbour, Si on se fie à la tradition orale et à certaines autres preuves, l’amant de Marguerite, de même qu’une dame de compagnie, auraient été laissés avec elle sur l'Île d'Harrington mais tous deux meurent peu après, la laissant seule sur l’île. Elle se serait réfugiée dans la « Grotte de Marguerite », un abri rocheux précaire, se nourrissant seulement grâce aux rares plantes et animaux trouvés sur l’île. Selon les recherches, elle donna naissance à un enfant qu'on croit être le premier Canadien-français né ici. Miraculeusement, elle réussit à signaler sa présence à des pêcheurs qui passent et elle retourne sans problème en France.

Lourdes-de Blanc-Sablon

Brador

Blanc-Sablon

Aqua Labadie

Salut Johhny ! :)

Lourdes-de-Blanc-Sablon - 849 habitants Située sur une pointe de terre rocheuse, Lourdes-de-Blanc-Sablon est d’abord appelée Longue Pointe. Par temps clair, vous pouvez apercevoir l’extrémité nord de l’île de Terre-Neuve de l’autre côté du détroit de Belle Isle. Les premiers peuples ont vécu sur cette étendue de terre il y a des milliers d’années. Au cours du XVIe siècle, des flottes basques et françaises pêchent et chassent la baleine au large de la pointe. Dans les années 1760, des pêcheurs de Terre-Neuve et des îles Anglo-Normandes viennent à Longue Pointe tous les étés. Dès 1820, l’abondance des loups marins et des saumons attirent des pionniers de Terre-Neuve, de la ville de Québec, de la rive sud du Saint-Laurent et de la côte nord-est de la péninsule gaspésienne. En 1907, le village est rebaptisé en l’honneur de Notre-Dame-de-Lourdes en France. Même si les villages voisins ont graduellement opté pour la langue anglaise, Lourdes-de-Blanc-Sablon a conservé son identité française et sa langue. À voir : Sanctuaire Notre-Dame-de-Lourdes

  • Une petite escalade jusqu’au sanctuaire Notre-Dame-de-Lourdes, visible du village, sera récompensée par une vue panoramique de la communauté et des environs. Une statue de bois de la Madone, sculptée en France, a été élevée ici en 1916.
Musée Monseigneur Scheffer
  • Situé dans l’église de Notre-Dame-de-Lourdes, une exposition conserve des souvenirs, des photos, des films et des vêtements liturgiques célébrant la vie et le travail de Mgr Lionel Scheffer. On doit en grande partie à cet évêque la construction de l’hôpital local et de l’église au milieu du XXe siècle.
L'île Greenly
  • En 1534, l’explorateur français Jacques Cartier débarque sur l’île Greenly, à 3 kilomètres au sud de Lourdes-de-Blanc-Sablon. Cartier la nomme l’« Isle des Ouaiseaulx », certainement en référence aux troupes de macareux moines et de petits pingouins. En avril 1928, l’île Greenly a fait la une quand, assailli par des vents violents, le Bremen, y a fait un atterrissage d’urgence. L’équipage du monoplan Junkers allemand tentait alors d’effectuer le premier vol transatlantique depuis l’Europe en Amérique du Nord. Vous pouvez louer un bateau local pour aller voir un monument en granit noir soulignant le vaillant exploit. Cette Île abrite aussi les résidences originales de ceux qui veillaient sur le Phare.

Brador Brador est protégé par un interminable labyrinthe d’îles rocheuses à faible élévation et les hautes collines sur lesquelles la communauté est adossée fournissent un abri aux premiers pionniers. Ces derniers en font un endroit central pour la pêche, la chasse et la traite car il regorge de morues, de harengs, de maquereaux, de saumons, de loups marins et de baleines. Les archéologues ont exhumé d’anciens lieux de sépulture autochtones tout près. Les pêcheurs basques pêchaient le loup marin et la morue et chassaient la baleine dans un poste important sur le côté ouest de la baie. L’appellation de Brador vient possiblement de l’expression française « bras d’or », un rappel des riches ressources marines. Après être passée aux mains des Britanniques, la Labrador Company dirige une lucrative pêcherie de loup marin à Brador pendant des décennies. En 1820, un pionnier anglais achète le poste en faillite et y rouvre une entreprise de pêche au poisson et au loup marin. La baie de Brador devient un lieu de rencontre important pour les flottes de Nouvelle-Écosse, de Terre-Neuve, des États-Unis et des îles de Jersey. Durant la seconde moitié du XIXe siècle, de nombreux pionniers arrivent de Terre-Neuve. À voir : Poste d’observation de l’Île aux Perroquets

  • Sur la route 138, un kilomètre à l’est de Brador, arrêtez-vous aux panneaux indicateurs et rendez-vous à pied jusqu’à Pointe à la Barque qui est dotée de panneaux d’interprétation; en outre, une plateforme et un télescope vous permettront d’observer le macareux moine sur l’île aux perroquets.
Les chutes de Brador
  • Au nord-ouest du village sur la route 138, un petit escalier de bois mène à un belvédère surplombant les chutes Brador. Les voyageurs intrépides peuvent se frayer un passage à travers les buissons et se rendre à des chutes encore plus impressionnantes situées en amont.
Les champs de coulée de blocailles
  • Le plus grand point d’intérêt touristique de la route 138, les champs de coulée de blocailles impressionnants, formés par le retrait des glaciers pendant la dernière période glaciaire, commencent tout juste au-delà de Brador.
L’Île du bassin
  • Elle était autrefois une station de pêche à la morue très active de la baie de Brador.
Le Refuge d’oiseaux migrateurs de la baie de Brador
  • Ce site de protection désigné par le gouvernement fédéral, fournit un habitat à près de la moitié de la population des macareux de la Côte-Nord

Blanc-Sablon - 1 112 habitants Blanc-Sablon est la municipalité la plus à l'est du Québec. Elle est située à la frontière de la province de Terre-Neuve-et-Labrador. La municipalité est composé de trois villages : le bourg de Blanc-Sablon, Brador et Lourdes-de-Blanc-Sablon, le plus peuplé des trois avec 849 habitants selon le recensement de 2016). Ces villages sont reliés par 75 km de la route 138 qui, peut-être un jour, sera ouverte sur les quelque 400 km restants entre Vieux-Fort et Kegaska. L’embouchure de la rivière de Blanc-Sablon abrite une extraordinaire concentration de sites archéologiques, datant de la première apparition de l’homme en Basse-Côte-Nord, il y a de cela quelque 9000 ans, et jusqu’au XVIe siècle. Ces découvertes représentent les sites archéologiques des tout premiers contacts des peuples autochtones du Canada tout entier avec les Européens. Connu des premiers explorateurs européens, Blanc-Sablon a été nommé « sables blancs » en ancien français à cause des kilomètres de plages sablonneuses qui jalonnent son rivage. Historiquement, Blanc-Sablon était un port de pêche important. Dans les années 1500, des pêcheurs de Bretagne, de Normandie, du Portugal, d’Espagne et du pays basque viennent pêcher en bonne saison à Blanc-Sablon. À la fin du XVIIIe siècle, la société jersiaise De Quetteville ouvre une succursale à Blanc-Sablon et garde dans la région le bureau central de ses opérations saisonnières de pêche à la morue pendant près d’un siècle. L’établissement permanent commence au XIXe siècle grâce à l’arrivée de Canadiens français, d’Acadiens et d’habitants de l’île de Jersey. Cependant, cette communauté à majorité francophone s’anglicise tout doucement après la reprise de la pêcherie de De Quetteville par la société britannique Job Brothers qui, de plus, fait venir des pêcheurs en provenance de Terre-Neuve. À voir : Île au Bois

  • L’île au Bois était le site d’installations de pêche françaises au début du XVIIIe siècle. Ce fut également une grande station de pêche à la morue et au loup marin jusqu’au début du XXe siècle. Des vestiges d’installations ou locaux de pêche sont visibles sur l’île, incluant des formations de cercles de pierres où on empilait la morue à l’abri pour la nuit.
Un modèle du monoplan Bremen
  • Vous trouverez, lors d’une visite au Centre touristique, une réplique du Bremen, un monoplan Junkers allemand. Le Bremen a atterri en catastrophe sur l’île Greenly en 1928 lors du vol transatlantique d’est en ouest, une première mondiale ;
  • Une petite exposition archéologique au Centre touristique présente des artefacts et interprète la préhistoire de la région.

Johnny Burke est le boucher du village ! Il a été aussi, à plusieurs reprises, notre coloré guide lors de séjours dans la région. Si vous allez au Marché de Lourdes-de-Blanc-Sablon, allez le saluer... Il est peut-être encore derrière le comptoir de sa boucherie et ne devrait pas trop se faire prier pour vous raconter quelques anecdotes ou derniers potins du coin ! Salut Johhny !

Gros coup de coeur pour la ferme Aqua Labadie qui se spécialise dans la culture du pétoncle géant. Le site est situé dans la baie au Saumon (ou Salmon Bay), un site de culture exceptionnel dans la municipalité de Bonne-Espérance. Claire et Phil, les propriétaires vous partageront leur passion et leurs connaissances pour mieux comprendre la culture du pétoncle. Diverses visites guidées vous sont proposées, à terre et/ou en mer, pour vous familiariser avec les techniques de croissance du pétoncle dans son milieu naturel; observer le pétoncle vivant dans un bassin d’eau de mer; déguster le pétoncle fraîchement sorti de l’eau ou cuisiné; visiter en bateau la baie pittoresque et le site de croissance des pétoncles. Une super expérience :)

https://tourismecote-nord.com/fileadmin/_processed_/csm_Carte_Route_blanche_6348513e5a.png

https://youtu.be/deWU56R1dSs

La route 138 menant à la Basse-Côte-Nord s’arrête, depuis le 26 septembre 2013, à Kegaska. Afin de desservir les populations plus à l’est, des bateaux et des avions ravitaillent les habitants en denrées et d’autres biens de consommation. L’été, le ministère des Transports entretient aussi quelques tronçons de route entre certaines localités, comme de Vieux-Fort à Blanc-Sablon. Lorsque l’hiver arrive, la Route blanche prend la relève de la circulation entre les villages.

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Votre dernière épreuve consiste à compléter le tableau des distances suivant, en glissant les chiffres au bon endroit. Bonne chance !

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La route 138 menant à la Basse-Côte-Nord s’arrête, depuis le 26 septembre 2013, à Kegaska. Afin de desservir les populations plus à l’est, des bateaux et des avions ravitaillent les habitants en denrées et d’autres biens de consommation. L’été, le ministère des Transports entretient aussi quelques tronçons de route entre certaines localités, comme de Vieux-Fort à Blanc-Sablon. Lorsque l’hiver arrive, la Route blanche prend la relève de la circulation entre les villages.

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Merci de vous être prêté au jeu de ce rallye virtuel.Si vous vous êtes amusé et si je vous ai donné le goût de visiter la région, j'ai rempli ma mission !Parlez-en à vos amis et partagez sur vos réseaux sociaux !À bientôt :)