4C. Poèmes lyriques.

4C

Recueil de poèmes lyriques

Cet amour d’automne Tout commence par ce jour d’automne, Où je ne sais pas quoi faire de ma vie C’est à ce moment que je me dis, Que la vie ne peut ne pas m’être plus monotone. Cet amour commence à me hanter. Où tout ce calme ne m’est que rage, Je ne suis qu’oiseau en cage, Cet amour de joie me fait pleurer. Et lorsque je m’approche de toi, Tu m’attrapes me rejettes , Car probablement devant toi je me noie. Alors je décide de t’écrire ce poème . Pour te montrer ces larmes de joie, Que je retiens au plus profond de moi.

L’amour au bois dormant Par une belle journée d’été Où je ne sais que faire de ma propre vie C’est là que je me dis : « à quoi sert ma vie ? » J’ai mal au cœur. Comme il est irrité ! Il est possible que l’amour prenne mon coeur Comme il l’a fait à d’autres personnes. Et soudain ça sonne Réveille-toi mon coeur c’est l’heure ! Mais il ne veut pas se lever. Je lui redemande de m’aider. Enfin, il se réveille. J’ai vu la mort devant mes yeux. Mais ce n’était qu’un rêve de cœur. Il est l’heure.

Un amour voyageur Je ressens tant d’affection pour toi Tu es mon bonheur et mon malheur J’attends toutes les heures Que tu reviennes près de moi Je ris et je larmoie Quand tu pars tant de souffrance j’endure Et quand tu reviens c’est dur En te voyant je ressens de la joie Je ne sais pas où tu m’emmènes Mais je veux être près de toi C’est mon amour qui me mène Je te hais mais je t’aime Peu importe le temps Je sais qu’il est tant

Quand je te vois, je ressens de l'afflictionMais c'est pour moi un ravissement.Tu me regardes si gaiement,Que même de loin, je regarde ton affection. Mais quand tu n'es pas là, Je deviens si mélancoliqueEt tellement nostalgiqueQue je me rends compte que c'est toi ma joie. Mais un jour, tu es parti,Malheureusement contre ton gréMa vie est passée de joie à ennui. Je n'ai plus la joie de vivreChaque jour, je fais une dépression. Ma vie est une désolation.

Un amour difficile Déjà deux semaines que tu es parti Je suis perdue dans mes pensées pensant à toi Je ris, je pleure et j’espère que tu penses à moi Maintenant il faut vivre nos vies. Je m’ennuie et je m’amuse, je tourne en rond. Je ne sais plus quoi penser Peut-être qu’il faut que je rencontre quelqu’un pour te remplacer Mais toi tu es beau, courageux, fort, et j’aime quand nous nous chamaillons. Ainsi va l’amour, je ne suis plus aimable Un jour je suis heureuse et un autre jour je suis malheureuse Et notre fils est devenu tellement adorable. Les sept mois sont enfin terminés et je suis vulnérable J’attends que tu ouvres cette porte avec un sourire heureux Et que tu me prennes dans tes bras peureux.

L'amour et les adieuxIl ne faut jamais dire adieux car nous ne savons pas ce qui peut arriver.

L’amour c’est la peur Je m’afflige puis je suis gai Je retrouve ma joie puis je replonge dans le malheur Quand je te vois je ris et pleurePour la toute dernière fois je t’ai offert du muguet. Je marche dans la pénombre puis dans une lumière scintillante Je suis heureux puis monotone Quand apparaît l’automneTristesse ou joie ; je te trouve larmoyante. Comme un ange dans un enfer Je rigole puis hurle de rageJe nageais dans le bonheur pour tomber dans une colère. Hésitant au fond du noir Je pensais que c’était la plus grande douleur Mais je me trompais, c’était la peur.

Quand je te vois, tu brûles mon coeur et je brûle comme un glaçon au soleil.

Un amour de sœur Tu as un grand cœur Avec ton grand sourire Tu me remplis souvent de jalousie Tu es la plus belle de mes fleurs Je souhaite te protéger de tous les malheurs Mais tu me rends quand même amère c’est comme ça J’adore quand même te prendre dans mes bras pour pouvoir essuyer tous tes pleurs Même si parfois je te fais de la peine Des portes qui claquent, des cris et de la la douleur Entre nous il n’y a jamais de haine Je t’écris ce poème A toi ma petite sœur Tu me combles de bonheur

Que tu te souviennes de moi ou nonPeu importe si tu le croisL'important, c'est que je t'aimeEt je ne t'oublierai jamaisJ'aimerais que tu m'aimeset que mon coeur et tes yeuxse disent "Oui"

Un amour réciproqueOn était lundi matin Quand je t’ai vueTu m’as tout de suite plu j’ai regardé mes mains Puis de petits à grands J’ai réalisé la chance que j’avais Et tous les sentiments que j’éprouvais Me rappelaient l’ancien temps Et quand je te vois Parfois, je ris, parfois, je pleure Et même parfois je larmoie Puis quand tu es partie J’étais complètement accablé Tellement que j’étais attaché

Un amour terminé Depuis que tu m’as abandonnée Je ne suis que rage et affliction, Je ne contrôle plus mes émotions J’oscille entre rires et pleurs. Je soupire et me noie, Je papillonne et m’envole Jusqu’à ce que je me rappelle Que jamais plus je n’entendrai ta voix. Et petit à petit, Je viens à réfléchir Que c’est grâce à cette souffrance que je grandis. J’aimerais te revoir Juste pour te le dire, Te dire à quel point tu m’as fait souffrir.

Amour à distance Depuis que tu es parti je souris et je larmoie et ta voixn’est pas partie je sais que tu es là avec moi mais à la fois tu es loin là-bas tu es mon malheur et ma joie tu vas revenir dans deux mois je n’ai qu’un mot à te dire sans vouloir le dire je t’aimais hier je t’aime aujourd’hui et je t'aimerai demain car notre amour et sans fin

L'amour à une personne perdueLa désolation m'envahit mais la joie me reprend, Heureuse des souvenirs, déchirée de cette perteJ'encaisse mais la douleur est violenteJe n'oublierai jamais ce sentiment. Mes sentiments ne cessent de se révolter.L'amour, c'est beau ; L'amour, c'est dans la peau. Mais surtout, l'amour, c'est compliqué. Je larmoie, je ris.Et quand je pense avoir pleuré toutes mes larmes. Un grand sanglot s'arme.Tu es si loin et pourtant si près ;Près de mon coeur et loin de mes yeux. Malgré la douleur d'aujourd'hui, je sais que l'amour rend heureux.

La vie difficileLes joies, les malheurs, je ris, je pleure.Je vis dans un monde rempli de malheurs. La vie est une épreuve interminable. Tout d'un coup, je vis, je meurs. Ma tête est chamboulée. Mon bonheur s'en va et revientQuand je touche le bonheur avec les mains. Ainsi, la joie m'amèneMais pas vers le malheur.Tout est parti, surtout la haine. Puis quand je crois être sûr de moiEt être au maximum de ma joieLe malheur retombe encore.

Je ris, je pleureJe rigole dans le videJe larmoie dans le videToi qui veux que je pleureMoi qui te dis : "Arrête"Moi qui te dis : "Je t'aime"Mais toi, tu l'aimesEt tu me rejettesJe t'ai dit "Merci"Mais toi tu t'en fichesJe me sens comme une sourisTu t'en fiches de moiC'est ma richesse qui t'intéresse

Toi cette personne qui me suis depuis mon enfance ;Tous ces magnifiques moments qu'on a partagés ;On a pleuré, crié mais avant tout rigolé. Maintenant qu'on a grandi, on rentre dans cette période d'adolescence. Toute cette souffrance ;Quand je t'ai aperçue pour la première fois, j'ai tout de suite su que j'allais t'adorer. Depuis ce fabuleux jour où on est resté bloquéesOn a appris à se faire confiance. On a appris à grandir et à mûrir ensembleJe ne regrette surtout pas de t'avoir connueTout le monde nous dit qu'on se ressembleOn est comme des jumelles, on s'assembleOn nous a confonduesÀ nos bétises, nos soirées et à toutes les belles choses à venir Toujours ensemble.

Mon p’tit frère Nous sommes amis et ennemis Je t’adore et je sais te détester Nous sommes une petite fratrie mais nous partageons une grande fraternité Je joue avec toi et en même temps je m’ennuie. Nous sommes insultants et polisEnvers nos parents qu’on doit aimer Même si parfois ils nous font pleurer Je fais tout avec toi je pleure, je ris. Je suis ta sœur, tu es petit Et je me souviens du jour où tu es né Je ne l’ai pas vu mais tu as grandi. Et j’ai oublié à quel point tu es gentil Car tu prenais toute l’attention quand tu n’étais qu’un bébé Mais maintenant tu me comprends et tu compatis.