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AXE CHRONOLOGIQUE

SOCRATE - PLATON

EMPIRISME

ARISTOTE

CARTESIENISME

DESCARTES

EMPIRISME ANGLAIS

STRUCTURALISME

WUNDT / TITCHENER

EMPIRISME LOGIQUE

COMTE / BERNARD

MENTALISME / PSYCHANALYSE

BEHAVIORISME

MENTALISME / GESTALTISME

NEO-BEHAVIORISME

PAVLOV / WATSON / THORNDIKE

LOCKE / HUME

FREUD / ERICKSON

WERTHEIMER / KOFFKA

HULL / SKINNER

RATIONALISME

500-400 av JC

16 et 17ème siècle

19ème siècle

20ème siècle (début)

20ème siècle (milieu)

PSYCHOLOGIE HUMANISTE

ROGERS / PEARL

CONSTRUCTIVISME

Approche Développementale PIAGETApproche Interactionniste BUNER

APPROCHE SOCIALE COGNITIVE

ROTTER / BANDURA

20ème siècle (fin)

COGNITIVISME

Traitement de l’Information GAGNÉ / AUSUBEL Apprentissage Stratégique TARDIF / LAFORTUNE ET AL

21ème siècle

SOCIOCONSTRUCTIVISME

Perspective Européenne Doise et MUGNY / PERRET CLERMONT Approche Historico - Culturelle VYGOTSY

CONNECTIVISME

SIEMENS

Watch

TRANSMISSIVE

LE NEO-BEHAVIORISME : - Le néo-behaviorisme s'ancre à la philosophie empiriste anglaise selon laquelle l'expérience donne accès au réel. - C'est le comportement observable qui intéresse et comment l'environnement façonne les comportements.

LE BEHAVIORISME : « L’acquisition de connaissances se fait par paliers successifs via un renforcement positif des réponses justes et comportements à valoriser » « Le pédagogue est le détenteur du savoir » « L’apprenant est passif »

L'EMPIRISME LOGIQUE : - L'empirisme logique met en avant la méthode scientifique comme source de connaissances fiables. - L'accès aux connaissances passe alors par l'expérience au sens moderne du terme, c'est-à-dire de l'observation des réalités mesurables dont les lois peuvent découler.

LE STRUCTURALISME : - Suppose que le sujet développe son intelligence progressivement. L'évolution ou progression serait le développement progressif des structures opératoires de l'intelligence ou des instruments de connaissance du sujet.

LE RATIONALISME - Le savoir s'acquiert uniquement par la transmission de connaissance - Le savoir avant l'expérience

L'EMPIRISME - Soutient la thèse selon laquelle c'est l'expérience plutôt que la raison qui est la source de la connaissance, et en ce sens on l'oppose souvent au rationalisme

LE CARTESIANISME : - L'homme peut accéder à la connaissance universelle par la raison. - L'homme est une «substance pensante».

L'EMPIRISME ANGLAIS : - Ces philosophes supposent que l'esprit de l'enfant est une "feuille vierge", une "table rase" et que son contenu provient de l'expérience sensorielle du monde extérieur.

LE CONSTRUCTIVISME : « L’apprenant apprend quand il essaie de comprendre son expérience et s’approprie la connaissance »« L’enseignant doit recréer des situations d’apprentissage complexes similaires à celles que retrouve l’apprenant dans sa vie »« L’apprenant est actif : il construit son savoir en se basant sur ses expériences »

« Processus dans lequel les individus augmentent et maintiennent leur propre comportement en se récompensant eux-mêmes avec des standards qu’ils ont eux-mêmes établis » (Bandura, 1976)

LE COGNITIVISME : « L’apprenant enregistre des informations provenant de l’extérieur, les trie et les réutilise quand ils en ont besoin » « L’enseignant est un gestionnaire des apprentissages » « L’apprenant est passif : son cerveau fonctionne comme un ordinateur »

LE SOCIOCONSTRUCTIVISME : « L’acquisition de connaissance se fait grâce aux interactions sociales »« L’enseignant doit favoriser les interactions entre les élèves et les débats »« L’apprenant est actif : il est autonome dans ses apprentissage par rapport à l’enseignant mais fait partie d’une communauté d’apprentissage »

LE CONNECTIVISME : « La progression des nouvelles technologies dans nos vie modifie nos façons d’apprendre : on apprend désormais par le biais de toutes les interactions permises par les réseaux »« L’enseignant doit s’approprier les possibilités des nouvelles technologies pour favoriser la collaboration et la recherche de ressources »« L’apprenant est actif : il apprend en pratiquant et réfléchissant »

Le constructivismeL’enseignant se place comme tuteur, ce changement de position fait que son rôle est de développer les conditions les plus propices à l’apprentissage de ses élèves. L’apprenant est envisagé ici comme actif, il est censé apprendre par le biais de l’action, de la pratique, il est perçu comme acteur de sa formation. Les avantages de ce modèle de pédagogie que l’on peut nommer « tutorat » est que l’on ne perçoit pas l’erreur comme honteuse mais qu’on la considère au contraire, comme une source d’information permettant à l’enseignant de savoir sur quelle base il doit repartir pour se faire comprendre et cela lui permet de situer le développement cognitif de l’apprenant. Les principaux avantages connus du constructivisme seraient qu’il favorise l’assimilation de l’apprentissage sur une longue durée ainsi que l’autonomie des apprenants. Exemple des situations complexes ; auteur référence : Jean Piaget. Pour Vygotski, l’enseignant doit être là pour définir les objectifs de l’apprentissage en partant du niveau de l’élève (c’est la notion de calibrage). Alors que pour Piaget c’est l’environnement qui est le plus important. http://www.uqac.ca/pminier/act1/constr.htm https://www.parilab3e.fr/le-zoom-pedagogique-les-courants-pedagogiques/

Le cognitivismeC’est un courant pédagogique qui repose sur l’idée que l’apprenant n’est pas une tête vide où l’apprentissage se fait à partir de rien (ex-nihilo). On s’intéresse plus particulièrement à la manière dont se construisent les connaissances chez l’apprenant, en partant de ses connaissances antérieures et de son « bagage cognitif ». Ainsi, dans le cognitivisme les modalités de réflexion de l’apprenant, ses erreurs et leurs possibles explications et la façon dont il accède et traite l’information sont étudiés au premier plan. Ce courant s’intéresse aux rôles de la mémoire à court terme mais également à long terme dans l’organisation de nos connaissances. Le rôle de l’enseignant ici est d’accompagner l’élève dans la découverte, la construction, l’organisation et l’application des connaissances. Dans ce courant de pensée l’apprenant est envisagé plus actif (par rapport au béhaviorisme) dans l’acquisition de ses connaissances, il est plus autonome dans le traitement de l’information (esprit critique serait plus sollicité) et cette posture le rend plus conscient de la manière dont il construit des connaissances. Par exemple : les enseignants font des liens entre la mémoire épisodique vécue par les élèves et la mémoire sémantique sollicitée dans le contenu scolaire. Et les apprenants instaurent un lien entre les savoirs et les connaissances qu’ils rencontrent à l’école avec leurs souvenirs d’évènements passés (rôle des backgrounds au sens Searlien). https://www.parilab3e.fr/le-zoom-pedagogique-les-courants-pedagogiques/

Le socioconstructivismeLe rôle du langage et de l’oral est fondamental et il serait la base sur laquelle on construit nos apprentissages et ce qui nous permet de préciser nos pensées. C’est un courant qui met en avant les dimensions sociales liées à la construction cognitive, ce qui justifierait d’inciter les apprenants à verbaliser/extérioriser leurs pensées, leurs idées et leurs perceptions. Le développement cognitif de l’élève n’est pas figé. L’enseignant aurait une posture de guide et de tuteur ce qui rendrait ses relations avec l’élève moins asymétriques. C’est une pédagogie qui laisse une place à la communication et à l’entraide entre les apprenants où l’enseignant doit encadrer ces interactions et les guider. Dans ce courant, l’apprenant est actif et son apprentissage passe par des interactions avec ses pairs et avec l’enseignant. C’est une pédagogie qui respecte les rythmes d’apprentissage de l’apprenant et où l’erreur est également envisagée comme une source d’apprentissage. (Exemple : débat/travail collaboratif/échanges d’idées) https://www.parilab3e.fr/le-zoom-pedagogique-les-courants-pedagogiques/

Le behaviorismeC’est une pédagogie opérante lorsqu’il s’agit de maîtriser le plus de paramètres possibles dans la gestion de sa classe et pour les apprentissages de bas niveau. Le rôle de l’enseignant est ici d’exposer et de transmettre le savoir, il est vu comme le détenteur du savoir, il doit permettre aux apprenants de progresser. L’apprenant est passif, il écoute et afin d’apprendre il doit comprendre les comportements à renouveler et les savoirs à remobiliser. C’est une pédagogie qui ne fluctue pas beaucoup et où une certaine routine peut s’installer. Mais c’est également un courant pédagogique qui ne prend pas en compte la réflexion de l’apprenant, qui laisse peu de place à son libre-arbitre ou à son esprit critique où l’erreur a une connotation négative est où elle est envisagée comme une absence d’apprentissage, un manque de travail ou de concentration de l’apprenant ou comme un échec de l’enseignant. Elle est composée d’exercices successifs de complexité croissante et d’évaluations sommatives et formatives. Enfin, c’est une pédagogie qui penche constamment entre la punition et la récompense, on peut ainsi citer Pavlov qui s’inscrit dans le conditionnement associatif, avec son expérience sur le chien qui salive quand il entend une clochette. https://www.parilab3e.fr/le-zoom-pedagogique-les-courants-pedagogiques/

LE TRANSMISSIF : - C’est un courant ancien qui repose sur la transmission, la répétition et la mémorisation. Ce courant pédagogique ne permet pas d’apprendre à faire mais se limite à l’apport de savoirs et de connaissances.