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MAITRE MORIHEI UESHIBA né le 14 Décembre 1883 à Tanabé dans l'île de honshu. - 1893 Son père l'initie aux méthodes de combat des Samouraïs et au maniement du sabre et de la lance. - 1901 Il pratique avec Maître Tokusaburo Tojawa le Jujitsu à l'école Kito à Tokyo. - 1903 Il se rend à Sakai pour étudier le sabre avec Maître Masakatsu Nakaï de l'école Yagyu, dont il fut diplôme en 1908. - 1904 Il s'engage dans l'infanterie et il participe à la guerre entre la Russie et le Japon en Mandchourie. - 1911 Installé à Hokkaido il rencontre Maître Sokaku Takeda qui lui enseigne les techniques secrètes de l'école Daïto, dont il obtient le diplôme de Maître en Jujitsu en 1916. - 1919 Son père très malade, il décide de retourner à Tanabé. Sur le chemin du retour il fait la connaissance du Révérend Wanisaburo Deguchi fondateur de la religion Omotokyo. - 1920 Son père meurt en janvier. Touché par ce décès, il passe plusieurs mois à Ayabé dans le temple religieux de l'Omotokyo. - 1922 Il étudie les techniques de Jujitsu de l'école Shinkagé, il en sort diplômé. - 1924 Il quitte le Japon pour accompagner le révérend Deguchi en Mongolie. Il revient à Ayabé en1925 où il a, à force d'étude, la révélation de son Art. - 1927 Il s'installe à Tokyo dans une salle de billard que met à sa disposition le prince Shimazu pour qu'il aménage un dojo. - 1931 A Tokyo il construit un dojo qui prend le nom de Kobukai, où il enseigne jusqu'à ce que la guerre vide son dojo de ses meilleurs éléves. Il se retire à Iwama où se trouve le sanctuaire actuel de l'Aïkido. - 1946 Les Américains interdisent les arts martiaux. - 1948 Réouverture du Kobukai qui devient le 9 février le Zaidan Honji Aïkikaï. - 1961 Le gouvernement Japonais reconnaît officiellement l'Aïkikaï so hombu. O SENSEI s'éteint le 26 avril 1969 un beau jour de printemps

ai : du verbe au, concorder ; harmonie

ki : énergie

dō : la voie

Aïkido peut donc se traduire par « la voie de la concordance des énergies

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ki : énergie

dō : la voie

Aïkido peut donc se traduire par « la voie de la concordance des énergies

ai : du verbe au, concorder ; harmonie

ki : énergie

dō : la voie

MAITRE MORIHEI UESHIBA né le 14 Décembre 1883 à Tanabé dans l'île de honshu. - 1893 Son père l'initie aux méthodes de combat des Samouraïs et au maniement du sabre et de la lance. - 1901 Il pratique avec Maître Tokusaburo Tojawa le Jujitsu à l'école Kito à Tokyo. - 1903 Il se rend à Sakai pour étudier le sabre avec Maître Masakatsu Nakaï de l'école Yagyu, dont il fut diplôme en 1908. - 1904 Il s'engage dans l'infanterie et il participe à la guerre entre la Russie et le Japon en Mandchourie. - 1911 Installé à Hokkaido il rencontre Maître Sokaku Takeda qui lui enseigne les techniques secrètes de l'école Daïto, dont il obtient le diplôme de Maître en Jujitsu en 1916. - 1919 Son père très malade, il décide de retourner à Tanabé. Sur le chemin du retour il fait la connaissance du Révérend Wanisaburo Deguchi fondateur de la religion Omotokyo. - 1920 Son père meurt en janvier. Touché par ce décès, il passe plusieurs mois à Ayabé dans le temple religieux de l'Omotokyo. - 1922 Il étudie les techniques de Jujitsu de l'école Shinkagé, il en sort diplômé. - 1924 Il quitte le Japon pour accompagner le révérend Deguchi en Mongolie. Il revient à Ayabé en1925 où il a, à force d'étude, la révélation de son Art. - 1927 Il s'installe à Tokyo dans une salle de billard que met à sa disposition le prince Shimazu pour qu'il aménage un dojo. - 1931 A Tokyo il construit un dojo qui prend le nom de Kobukai, où il enseigne jusqu'à ce que la guerre vide son dojo de ses meilleurs éléves. Il se retire à Iwama où se trouve le sanctuaire actuel de l'Aïkido. - 1946 Les Américains interdisent les arts martiaux. - 1948 Réouverture du Kobukai qui devient le 9 février le Zaidan Honji Aïkikaï. - 1961 Le gouvernement Japonais reconnaît officiellement l'Aïkikaï so hombu. SENSEI s'éteint le 26 avril 1969 un beau jour de printemps

Le bokken (木剣), littéralement « sabre de bois ») ou bokutō (木刀?, nom généralement utilisé au Japon) est un sabre japonais en bois imitant la forme du katana. Il peut être utilisé avec la garde (tsuba) qui protège les mains, ou sans la garde. Il est employé dans l'aïkido, le iaido, le jōdō, le kendo, le kenjutsu et le ninjutsu. Il est également utilisé comme arme pour l'entrainement au chanbara. Utilisé à l'origine pour l'entraînement, il est aussi devenu une arme de combat. Le samouraï Miyamoto Musashi est réputé pour ses combats au bokken, notamment lors de son duel contre Kojirō Sasaki. Il est l'arme par excellence du kenjutsu dans la plupart des koryū. Comme les katanas, les bokken ont suivi leur époque, et chaque école traditionnelle historique — Tenshin Shoden Katori Shintō Ryu, Kashima Shinto Ryu, Yagyu Ryu, Yagyu Shinkage Ryu, Hyoho Niten Ichi Ryu, etc. — possède des caractéristiques physiques, poids, courbure, longueur, pointe, épaisseur, adaptée à la technique de cette école. Il existe aujourd’hui plus d’une centaine de modèles, dont environ la moitié est toujours utilisée.

Le jō (杖) ou bâton moyen est une arme traditionnelle japonaise en bois d'une longueur de 1,28 mètre et d'un diamètre de 2,6 centimètres environ1. Il est utilisé lors de la pratique de l'aïkido (aiki-jō), du jōdō et du jo-jutsu, et du kobudō. Le bâton de jō, de taille moyenne, se différencie du bō (bâton long), du tanbō (bâton court) et du hanbō (« demi bâton »). Le jō est l'objet du jōjutsu ou jōdō, art du maniement du jō face à un adversaire armé d'un sabre (représenté par un bokken). Il est également employé dans le cadre de l'aiki-jō, élément de l'aïkido, soit dans le cadre du désarmement à mains nues d'un attaquant armé d'un jō, soit dans le cadre de katas d'harmonisation à deux pratiquants maniant chacun un jō. Le jō est réputé avoir été conçu par l'escrimeur Muso Gonnosuke qui, après une défaite face à Miyamoto Musashi, cherchait une arme suffisamment longue pour avoir un avantage d'allonge significatif sur le sabre, mais suffisamment court pour rester plus maniable que la lance (yari) ou le bō. Aujourd'hui il est toujours utilisé par certaines forces de police japonaises.

Le tantō (短刀) est un couteau japonais légèrement courbe à un seul tranchant dont la taille de la lame est inférieure à 30 cm (un shaku en vérité, unité de mesure des longueurs japonaises). Il est l'équivalent d'un poignard ou d'une dague japonaise. Selon sa monture, il peut être appelé tantō (s'il est glissé dans la ceinture) ou kaiken (s'il est caché dans les vêtements). Le tantō était principalement porté par les samouraïs, et il était rare que les gens ordinaires en possédassent un. Les femmes portaient souvent sur elles un kaiken dans leur obi, dans un but d'auto-défense.

Les zōri (草履) sont des sandales japonaises.

Le hakama (袴) est un pantalon large plissé (sept plis, cinq devant et deux derrière), muni d'un dosseret rigide (koshi ita). Il était traditionnellement porté par les nobles du Japon médiéval, et notamment les samouraïs. Il prit sa forme actuelle durant la période Edo. Femmes comme hommes pouvaient porter le hakama. Certains prétendent qu'un des rôles du hakama était de masquer les mouvements des pieds, pour mieux surprendre l'adversaire. Selon certaines légendes, les sept plis représentent les sept vertus que doit posséder le samouraï : jin (« bienveillance, générosité »), gi (« honneur, justice »), rei (« courtoisie, étiquette »), chi (« sagesse, intelligence »), shin (« sincérité »), chu (« loyauté ») et kō (« piété »).

Keikogi (稽古着) est un mot japonais signifiant littéralement « vêtement d'entraînement » ; il est composé de keiko (la « pratique », l'« entraînement », l'« action ») et de gi (« vêtement », « tenue », « ensemble de vêtements composant une tenue »). On parle parfois de dogi, « vêtement de pratique de la voie ». Keikogi d'aïkido, se compose d'une veste et d'un pantalon de coton blanc.La veste se porte revers gauche au-dessus. La raison martiale est que cette disposition permet d'accéder au tantō, parfois porté dans les revers. La raison culturelle est que les morts sont habillés avec le revers droit du kimono au-dessus.

Sode (袖) : manche

Eri (襟) :col

Un obi (帯) est une ceinture servant à fermer les vêtements traditionnels japonais, tels que les kimonos ou les vêtements d'entraînement pour les arts martiaux (keikogi ou dōgi).

Les 7 vertus du Bushido 義 Gi : Rigueur ou droitureLa rigueur ou la droiture permettent de prendre des décisions justes dictées par la raison, de ne pas hésiter et de ne jamais s’écarter de la ligne du devoir. Véritable pilier du Bushido, ce principe engendre les suivants tels que le courage, le respect d’autrui, l'honnêteté et l’honneur. 勇 Yu : CourageAfin d’atteindre ses objectifs, il faut savoir faire preuve de courage. Il faut donc en premier lieu, accepter d’être confronté à des difficultés, aux aléas de la vie et se convaincre de ne pas baisser les bras à la moindre contrariété. Sans pour autant être aveuglé par un obstacle et s’entêter à le surmonter, il est parfois bon et nécessaire de prendre des risques, tout en en mesurant le danger, d’ôter sa carapace de tortue, de sortir de de zone de confort. Tout en se rapprochant de ses objectifs, cette faculté nous permet de nous dépasser, de gagner en estime de soi et donc en qualité de vie. 仁 Jin : Bienveillance ou compassionAider les autres et utiliser sa force à bon escient pour protéger les plus faibles, est l’un des principes fondamentaux du Bushido. Se réjouir de l’échec ou de la douleur d’un être va à l’encontre de ce code qui prône la bienveillance. Bien au contraire, la solidarité doit être de mise même dans la compétition et l’adversité, rendant plus légitime encore la réussite et la victoire. 礼 Rei : Politesse ou respectMême dans une compétition, un combat, l’on peut faire preuve de politesse et de courtoisie envers son adversaire. Plutôt que de se laisser envahir par son instinct animal et féroce, montrer du respect envers l’autre que l’on soit vainqueur ou vaincu, ne fait que nous élever et démontre notre intelligence et grandeur d’âme comme l’enseigne le Bushido. 誠 Makoto : Honnêteté ou sincéritéLa justice est primordiale dans le Code du Bushido et faire preuve d’honnêteté, de sincérité est indispensable. Demi-mesure ou de nuance de gris n’ont pas leur place, seuls le bien et le mal s’opposent et tout doit être mise en oeuvre pour accéder au premier. La parole pouvant être aussi salvatrice que destructrice, il est nécessaire de prendre conscience de ce que l’on pense et dit, et de tenir ses promesses. On peut d’ailleurs rapprocher ce principe de l’un des quatre accords toltèques de Miguel Ruiz : “Que votre parole soit impeccable”. Les actes devant être dans le prolongements de ce qui est dit, “dire” et “faire” sont une seule et même action. 名誉 Meiyo : HonneurBien que Inazo Nitobe mette en avant 7 vertus principales dans le Code du Bushido, l’honneur en est sans doute la valeur la plus importante, sorte de valeur suprême. De la même façon que l’on se doit d’être responsable de ce qui est dit, il est indispensable que les actions mises en place et les décisions prises respectent des principes honorables et éthiques. 忠義 Chugi : LoyautéTout être suivant les valeurs du Bushido se doit d’être exemplaire, fidèle et loyal. Sans cela il n’y a pas d’honneur. Cette responsabilité exige d’être sincère vis-à-vis de soi et des autres, de respecter son prochain, de tenir ses promesses et d’accomplir ce à quoi l’on s’est engagé. Bien qu’issus du Japon ancestral, les principes du Bushido restent applicables pour tout un chacun. Adaptés à la société occidentale contemporaine, ces valeurs nous offrent l’opportunité de grandir spirituellement et donc de développer à chaque instant une meilleure version de nous-même.

Te (手) : main

Kata (肩) : épaule

Ude (腕) : bras

Hiza (膝) : genou

Koshi (腰) : hanche

Nune (胸) : poitrine

Kubi (首) : cou

Ashi (脚) : jambe

Hiji (肘) : coude

Kote (手首) : poignet

Hara (お腹) : ventre

Chudan (中段) : partie médiane

Jodan (上段 ) :partie haute

Gedan (下段) : partie inférieur

Le bokken (木剣), littéralement « sabre de bois ») ou bokutō (木刀?, nom généralement utilisé au Japon) est un sabre japonais en bois imitant la forme du katana. Il peut être utilisé avec la garde (tsuba) qui protège les mains, ou sans la garde. Il est employé dans l'aïkido, le iaido, le jōdō, le kendo, le kenjutsu et le ninjutsu. Il est également utilisé comme arme pour l'entrainement au chanbara. Utilisé à l'origine pour l'entraînement, il est aussi devenu une arme de combat. Le samouraï Miyamoto Musashi est réputé pour ses combats au bokken, notamment lors de son duel contre Kojirō Sasaki. Il est l'arme par excellence du kenjutsu dans la plupart des koryū. Comme les katanas, les bokken ont suivi leur époque, et chaque école traditionnelle historique — Tenshin Shoden Katori Shintō Ryu, Kashima Shinto Ryu, Yagyu Ryu, Yagyu Shinkage Ryu, Hyoho Niten Ichi Ryu, etc. — possède des caractéristiques physiques, poids, courbure, longueur, pointe, épaisseur, adaptée à la technique de cette école. Il existe aujourd’hui plus d’une centaine de modèles, dont environ la moitié est toujours utilisée.

Le jō (杖) ou bâton moyen est une arme traditionnelle japonaise en bois d'une longueur de 1,28 mètre et d'un diamètre de 2,6 centimètres environ1. Il est utilisé lors de la pratique de l'aïkido (aiki-jō), du jōdō et du jo-jutsu, et du kobudō. Le bâton de jō, de taille moyenne, se différencie du bō (bâton long), du tanbō (bâton court) et du hanbō (« demi bâton »). Le jō est l'objet du jōjutsu ou jōdō, art du maniement du jō face à un adversaire armé d'un sabre (représenté par un bokken). Il est également employé dans le cadre de l'aiki-jō, élément de l'aïkido, soit dans le cadre du désarmement à mains nues d'un attaquant armé d'un jō, soit dans le cadre de katas d'harmonisation à deux pratiquants maniant chacun un jō. Le jō est réputé avoir été conçu par l'escrimeur Muso Gonnosuke qui, après une défaite face à Miyamoto Musashi, cherchait une arme suffisamment longue pour avoir un avantage d'allonge significatif sur le sabre, mais suffisamment court pour rester plus maniable que la lance (yari) ou le bō. Aujourd'hui il est toujours utilisé par certaines forces de police japonaises.

Le tantō (短刀) est un couteau japonais légèrement courbe à un seul tranchant dont la taille de la lame est inférieure à 30 cm (un shaku en vérité, unité de mesure des longueurs japonaises). Il est l'équivalent d'un poignard ou d'une dague japonaise. Selon sa monture, il peut être appelé tantō (s'il est glissé dans la ceinture) ou kaiken (s'il est caché dans les vêtements). Le tantō était principalement porté par les samouraïs, et il était rare que les gens ordinaires en possédassent un. Les femmes portaient souvent sur elles un kaiken dans leur obi, dans un but d'auto-défense.

Les 7 vertus du Bushido 義 Gi : Rigueur ou droitureLa rigueur ou la droiture permettent de prendre des décisions justes dictées par la raison, de ne pas hésiter et de ne jamais s’écarter de la ligne du devoir. Véritable pilier du Bushido, ce principe engendre les suivants tels que le courage, le respect d’autrui, l'honnêteté et l’honneur. 勇 Yu : CourageAfin d’atteindre ses objectifs, il faut savoir faire preuve de courage. Il faut donc en premier lieu, accepter d’être confronté à des difficultés, aux aléas de la vie et se convaincre de ne pas baisser les bras à la moindre contrariété. Sans pour autant être aveuglé par un obstacle et s’entêter à le surmonter, il est parfois bon et nécessaire de prendre des risques, tout en en mesurant le danger, d’ôter sa carapace de tortue, de sortir de de zone de confort. Tout en se rapprochant de ses objectifs, cette faculté nous permet de nous dépasser, de gagner en estime de soi et donc en qualité de vie. 仁 Jin : Bienveillance ou compassionAider les autres et utiliser sa force à bon escient pour protéger les plus faibles, est l’un des principes fondamentaux du Bushido. Se réjouir de l’échec ou de la douleur d’un être va à l’encontre de ce code qui prône la bienveillance. Bien au contraire, la solidarité doit être de mise même dans la compétition et l’adversité, rendant plus légitime encore la réussite et la victoire. 礼 Rei : Politesse ou respectMême dans une compétition, un combat, l’on peut faire preuve de politesse et de courtoisie envers son adversaire. Plutôt que de se laisser envahir par son instinct animal et féroce, montrer du respect envers l’autre que l’on soit vainqueur ou vaincu, ne fait que nous élever et démontre notre intelligence et grandeur d’âme comme l’enseigne le Bushido. 誠 Makoto : Honnêteté ou sincéritéLa justice est primordiale dans le Code du Bushido et faire preuve d’honnêteté, de sincérité est indispensable. Demi-mesure ou de nuance de gris n’ont pas leur place, seuls le bien et le mal s’opposent et tout doit être mise en oeuvre pour accéder au premier. La parole pouvant être aussi salvatrice que destructrice, il est nécessaire de prendre conscience de ce que l’on pense et dit, et de tenir ses promesses. On peut d’ailleurs rapprocher ce principe de l’un des quatre accords toltèques de Miguel Ruiz : “Que votre parole soit impeccable”. Les actes devant être dans le prolongements de ce qui est dit, “dire” et “faire” sont une seule et même action. 名誉 Meiyo : HonneurBien que Inazo Nitobe mette en avant 7 vertus principales dans le Code du Bushido, l’honneur en est sans doute la valeur la plus importante, sorte de valeur suprême. De la même façon que l’on se doit d’être responsable de ce qui est dit, il est indispensable que les actions mises en place et les décisions prises respectent des principes honorables et éthiques. 忠義 Chugi : LoyautéTout être suivant les valeurs du Bushido se doit d’être exemplaire, fidèle et loyal. Sans cela il n’y a pas d’honneur. Cette responsabilité exige d’être sincère vis-à-vis de soi et des autres, de respecter son prochain, de tenir ses promesses et d’accomplir ce à quoi l’on s’est engagé. Bien qu’issus du Japon ancestral, les principes du Bushido restent applicables pour tout un chacun. Adaptés à la société occidentale contemporaine, ces valeurs nous offrent l’opportunité de grandir spirituellement et donc de développer à chaque instant une meilleure version de nous-même.

Le tantō (短刀) est un couteau japonais légèrement courbe à un seul tranchant dont la taille de la lame est inférieure à 30 cm (un shaku en vérité, unité de mesure des longueurs japonaises). Il est l'équivalent d'un poignard ou d'une dague japonaise. Selon sa monture, il peut être appelé tantō (s'il est glissé dans la ceinture) ou kaiken (s'il est caché dans les vêtements). Le tantō était principalement porté par les samouraïs, et il était rare que les gens ordinaires en possédassent un. Les femmes portaient souvent sur elles un kaiken dans leur obi, dans un but d'auto-défense.

Le bokken (木剣), littéralement « sabre de bois ») ou bokutō (木刀?, nom généralement utilisé au Japon) est un sabre japonais en bois imitant la forme du katana. Il peut être utilisé avec la garde (tsuba) qui protège les mains, ou sans la garde. Il est employé dans l'aïkido, le iaido, le jōdō, le kendo, le kenjutsu et le ninjutsu. Il est également utilisé comme arme pour l'entrainement au chanbara. Utilisé à l'origine pour l'entraînement, il est aussi devenu une arme de combat. Le samouraï Miyamoto Musashi est réputé pour ses combats au bokken, notamment lors de son duel contre Kojirō Sasaki. Il est l'arme par excellence du kenjutsu dans la plupart des koryū. Comme les katanas, les bokken ont suivi leur époque, et chaque école traditionnelle historique — Tenshin Shoden Katori Shintō Ryu, Kashima Shinto Ryu, Yagyu Ryu, Yagyu Shinkage Ryu, Hyoho Niten Ichi Ryu, etc. — possède des caractéristiques physiques, poids, courbure, longueur, pointe, épaisseur, adaptée à la technique de cette école. Il existe aujourd’hui plus d’une centaine de modèles, dont environ la moitié est toujours utilisée.

Le jō (杖) ou bâton moyen est une arme traditionnelle japonaise en bois d'une longueur de 1,28 mètre et d'un diamètre de 2,6 centimètres environ1. Il est utilisé lors de la pratique de l'aïkido (aiki-jō), du jōdō et du jo-jutsu, et du kobudō. Le bâton de jō, de taille moyenne, se différencie du bō (bâton long), du tanbō (bâton court) et du hanbō (« demi bâton »). Le jō est l'objet du jōjutsu ou jōdō, art du maniement du jō face à un adversaire armé d'un sabre (représenté par un bokken). Il est également employé dans le cadre de l'aiki-jō, élément de l'aïkido, soit dans le cadre du désarmement à mains nues d'un attaquant armé d'un jō, soit dans le cadre de katas d'harmonisation à deux pratiquants maniant chacun un jō. Le jō est réputé avoir été conçu par l'escrimeur Muso Gonnosuke qui, après une défaite face à Miyamoto Musashi, cherchait une arme suffisamment longue pour avoir un avantage d'allonge significatif sur le sabre, mais suffisamment court pour rester plus maniable que la lance (yari) ou le bō. Aujourd'hui il est toujours utilisé par certaines forces de police japonaises.

Le salut en Aïkido entre dans "l'étiquette" ou Reïshiki qui correspond au code de bonne conduite à avoir dans le Dojo, du vestiaire aux tatamis. Il existe de nombreux saluts:

  • lorsqu'on rentre sur les tatamis et quand on les quitte
  • en seïza en début/fin de cours
  • le partenaire avec qui on travaille
  • le Senseï lorsqu'il vient corriger la technique travaillée
  • les armes : le Jo, le Bokken, le Tanto et le Katana
Le 1er salut s'effectue debout. On salue au moment d'entrer dans le Dojo puis lorsqu'on monte sur les Tatamis, en direction du Kamiza. le Seiza est la position traditionnelle pour s’asseoir. Pour descendre en Seïza, il faut plier et poser d'abord le genou gauche et ramener le genou droit, les fesses posées sur les talons, les orteils bien à plats (ils ne sont "accrochés" aux Tatamis). Les mains sont posées sur les cuisses. Le Seïza est la position assise à adopter pour le salut, pour regarder les techniques démontrées par le Senseï, au cours d'une cérémonie (remise d'un grade, d'un dan...). Le salut en Seïza ; on pose d'abord la main gauche puis la main droite pour former un triangle. Le salut s'effectue en se penchant. En saluant, tu dis "Onegaï shimasu" (s’il vous plaît) au moment du salut du début du cours et "Domo Arigatoo gozaïmashita" (merci) en fin de cours.

Sode (袖) : manche

Eri (襟) :col

Te (手) : main

Kata (肩) : épaule

Ude (腕) : bras

Hiza (膝) : genou

Koshi (腰) : hanche

Nune (胸) : poitrine

Kubi (首) : cou

Ashi (脚) : jambe

Hiji (肘) : coude

Kote (手首) : poignet

Hara (お腹) : ventre

Les zōri (草履) sont des sandales japonaises.

Le hakama (袴) est un pantalon large plissé (sept plis, cinq devant et deux derrière), muni d'un dosseret rigide (koshi ita). Il était traditionnellement porté par les nobles du Japon médiéval, et notamment les samouraïs. Il prit sa forme actuelle durant la période Edo. Femmes comme hommes pouvaient porter le hakama. Certains prétendent qu'un des rôles du hakama était de masquer les mouvements des pieds, pour mieux surprendre l'adversaire. Selon certaines légendes, les sept plis représentent les sept vertus que doit posséder le samouraï : jin (« bienveillance, générosité »), gi (« honneur, justice »), rei (« courtoisie, étiquette »), chi (« sagesse, intelligence »), shin (« sincérité »), chu (« loyauté ») et kō (« piété »).

Keikogi (稽古着) est un mot japonais signifiant littéralement « vêtement d'entraînement » ; il est composé de keiko (la « pratique », l'« entraînement », l'« action ») et de gi (« vêtement », « tenue », « ensemble de vêtements composant une tenue »). On parle parfois de dogi, « vêtement de pratique de la voie ». Keikogi d'aïkido, se compose d'une veste et d'un pantalon de coton blanc.La veste se porte revers gauche au-dessus. La raison martiale est que cette disposition permet d'accéder au tantō, parfois porté dans les revers. La raison culturelle est que les morts sont habillés avec le revers droit du kimono au-dessus.

Un obi (帯) est une ceinture servant à fermer les vêtements traditionnels japonais, tels que les kimonos ou les vêtements d'entraînement pour les arts martiaux (keikogi ou dōgi).

Chudan (中段) : partie médiane

Jodan (上段 ) :partie haute

Gedan (下段) : partie inférieur

Vidéo de Morihiro Saito Sensei sur YouTube Vidéos de Stefan Stenudd, 7 dan Aikikai shihan sur YouTube , site internet : http://www.stenudd.com/aikido/

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