THEME 2 Faire la guerre, faire la paix
melanielavigne13
Created on July 15, 2020
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Transcript
THEME 2 : Faire la guerre, faire la paix : formes de conflits et modes de résolutions
Mélanie Lavigne - Lycée Notre-Dame des Minimes
Quels conflits interétatiques existent en 2020 ?
Clash sino-indien sur le toit du monde : juin 2020
Arménie / Azerbaïdjan : au sujet de la possession d'un district frontalier, le Tovouz, juillet 2020
Conflit Inde/Pakistan pour la possession du Cachemire (janvier 2020)
Connaissez vous des pays en situation de conflit intra-étatique? Quelles sont les causes du conflit, qui les mène, dans quels buts ?
S'il existe une diversité des conflits et qu'il est très difficile d'en dresser un typologie, il existe aussi une diversité des acteurs, entre les acteurs conventionnels (Etats, organisations internationales...) et les acteurs non conventionnels que sont les groupes terroristes, les groupes de rebelles, criminels... De même, il existe une diversité dans les motivations et les enjeux qui poussent au conflit : elles peuvent être politiques, économiques, religieuses, idéologiques... Enfin, les modes de résolution des conflits sont eux aussi diverses et se soldent le plus souvent par ce que l'on appelle la paix négative. Mais aujourd'hui de nombreux acteurs tentent de s'accorder pour bâtir dans la mesure une paix positive, gage de durabilité. (voir axe 2).
La guerre de Sept Ans : 1756-1763
Les guerres napoléoniennes
PPT slideplayer : Antoine Roussel. https://slideplayer.fr/slide/3695690/
https://www.alternatives-economiques.fr/reseaux-terroristes-attentats-islamistes-monde-0101201274993.html
Proposition fiche de lecture Al-Qaïda
Proposition fiche de lecture Daech.
Un monstre géopolitique Jean-Pierre Filiu dans mensuel 419daté janvier 2016 - Histoire courte de Daech, prétendu « État islamique », né de la désastreuse intervention en Irak en 2003. Daech, le bien mal nommé « État islamique », est apparu et s'est développé à la faveur de la désastreuse invasion de l'Irak par les États-Unis, au printemps 2003. Il n'y avait alors dans ce pays aucune présence djihadiste organisée, à l'exception du groupe Unicité et Djihad, dirigé par le Jordanien Abou Moussab al-Zarqaoui, implanté dans les montagnes kurdes, hors du contrôle du régime de Saddam Hussein. Or, l'occupation américaine abolit les frontières intérieures de l'Irak, permettant à Zarqaoui d'étendre son influence jusqu'à Bagdad. Surtout, le proconsul nommé par Washington dissout l'armée irakienne et bannit tous les membres du parti Baas hors de la fonction publique, précipitant dans l'insurrection des milliers de militaires aguerris. Zarqaoui, servi par le ralliement d'anciens cadres de la dictature, conquiert progressivement une base territoriale dans la province occidentale d'Anbar. A l'automne 2004, Oussama ben Laden l'adoube chef de la branche irakienne d'Al-Qaida. En novembre 2005, Zarqaoui parvient à projeter sa terreur depuis son sanctuaire irakien jusque dans son pays natal, avec un triple attentat-suicide à Amman (dont le 10e anniversaire a été marqué par une fusillade meurtrière à l'intérieur même d'un centre de formation militaire en Jordanie). Lorsque Zarqaoui périt dans un bombardement américain, en juin 2006, une direction bicéphale se met en place : un « calife » autoproclamé originaire de Bagdad (en fait un ancien officier de Saddam) prend la tête d'un « État islamique en Irak », tandis qu'un envoyé égyptien de Ben Laden, commande la structure proprement dite d'Al-Qaida. Les États-Unis, après avoir longtemps amalgamé Al-Qaida aux autres formations insurgées, décident enfin de se concentrer sur le seul « État islamique ». Ils enrôlent dans les milices dites « du Réveil » (Sahwa) tous les combattants arabes et sunnites déterminés à lutter contre « l'occupation » d'Al-Qaida, y compris d'anciens rebelles, amnistiés de fait. Cette politique permet d'endiguer, puis de refouler l'État islamique. Mais les partis kurdes, qui ont des visées sur Mossoul, refusent le déploiement de la Sahwa dans cette ville, ce qui permet aux djihadistes d'y préserver une infrastructure clandestine. En avril 2010, les deux dirigeants locaux d'Al-Qaida sont tués ensemble dans un raid irako-américain. Abou Bakr al-Baghdadi, un imam ultraradical de Samarra, reprend en main l'organisation en multipliant les purges sanglantes. Il s'appuie plus que jamais sur des vétérans de la police politique de Saddam pour forger une phalange totalitaire à l'ambition implacable. Il peut aussi bénéficier de la protection accordée de longue date par Bachar el-Assad et les services de renseignements syriens à la guérilla anti-américaine dans l'Irak voisin. Montée en puissance de Baghdadi A la mort de Ben Laden, en mai 2011, Baghdadi refuse de prêter allégeance à son successeur, affirmant ainsi l'indépendance de son « État islamique ». C'est le début d'une spectaculaire montée en puissance, des deux côtés de la frontière syro-irakienne. A l'ouest de celle-ci, le régime Assad, confronté à une vague pacifique de contestation populaire, joue la politique du pire et libère des centaines de détenus djihadistes qui vont grossir les rangs de l'État islamique. A l'est, le Premier ministre Nouri al-Maliki, un fondamentaliste chiite, est d'un sectarisme si agressif qu'il démobilise la Sahwa et s'acharne contre les personnalités sunnites, ainsi rejetées dans une opposition de plus en plus radicale, ce qui fait aussi le jeu de l'État islamique. Assad et Maliki misent sur l'épouvantail djihadiste, le premier pour présenter sa dictature comme un « moindre mal », notamment auprès des Occidentaux, le second pour faire taire toute critique dans son propre camp chiite. Baghdadi en profite pour consolider ses réseaux, en Syrie dans la vallée de l'Euphrate, en Irak dans la province d'Anbar et à Mossoul. En avril 2013, Raqqa est la première capitale régionale de Syrie à tomber entre les mains de l'insurrection. Mais, dès le mois suivant, Baghdadi élimine les formations révolutionnaires de Raqqa pour y proclamer « l'État islamique en Irak et en Syrie », désigné sous son acronyme arabe de Daech. Assad et Maliki continuent à jouer les pompiers pyromanes. La dictature syrienne épargne ostensiblement Daech, qui grignote les positions tenues par l'opposition armée. Celle-ci lance en janvier 2014 sa « deuxième révolution », cette fois contre Daech, et parvient à l'expulser hors des provinces d'Alep et d'Idlib, dans le nord-ouest de la Syrie. Le monde entier reste pourtant passif lorsque Assad déclenche une campagne de bombardements massifs contre la guérilla syrienne, ainsi contrainte de se battre sur deux fronts. Protégé par Assad, encouragé de fait par Maliki, Baghdadi compense ses pertes en Syrie en s'emparant en juin 2014 de Mossoul, la deuxième ville d'Irak. Il ne tarde pas à s'y déclarer « calife », à la tête d'un territoire dont la superficie équivaut à celle de la Jordanie.
Le document date de 2014.
Article pour aller plus loin, interview colonel B. Durieux. Cet article est EXTREMEMENT intéressant car il met clairement en lien la pensée de Clausewitz avec l'action de ce colonel sur le terrain, en Afghanistan notamment. CONSEIL : Prenez des notes à partir de la 3ème partie surl'Afghanistan
Axe 2 : Le défi de la construction de la paix
La guerre de Trente Ans (1618-1648)
Faire la paix au XVIIe siècle : les traités de Westphalie, 1648
Une assemblée de plénipotentiaires européensDans une vaste salle éclairée par de hautes fenêtres, les représentants de la très catholique Espagne et des très protestantes Provinces-Unies sont réunis à l’hôtel de ville de Münster pour prêter serment le 15 mai 1648. La scène saisit l’événement au moment où les Flamands, vêtus de noir, au centre de la composition, lèvent la main pour jurer de respecter la paix fraîchement signée avec les Espagnols – l’un d’entre eux, Barthold van Gent, tient ostensiblement la version flamande du serment pour en faire lecture. Deux Espagnols posent quant à eux une main sur une Bible tenue ouverte par une croix, garant de la bonne foi des prestataires, l’un d’eux tenant également une version espagnole du serment – on reconnaît les deux plénipotentiaires espagnols : Gaspar de Bracamonte y Gusman, comte de Peñaranda, à gauche (qui tient le serment), et Antoine Brun à droite. Dans les faits, ce furent les Espagnols qui prêtèrent serment les premiers, suivis des Flamands. Ter Borch fait le choix de condenser l’événement pour une plus forte intensité dramatique. Soixante-dix-sept personnes assistent à la cérémonie, concentrées sur l’acte solennel en cours. Certaines d’entre elles invitent par le regard le spectateur à participer à l’événement, à témoigner de son importance. Elles entourent une table couverte d’un tapis de velours bleu, sur laquelle reposent des documents officiels et des sceaux. Il s’agit probablement des actes authentiques de la paix signée le 30 janvier précédent, ratifiée par Philippe IV d’Espagne le 1er mars, puis par les Provinces-Unies le 18 avril. Les costumes et le décor sont fidèlement représentés, avec un luxe de détails, même si la disposition générale des acteurs adoptée par Ter Borch reste artificielle et soumise à la nécessité d’embrasser en un regard l’ensemble des participants. La comparaison des visages avec les portraits contemporains des plénipotentiaires, réalisés par Van Hulle, Bignon ou Moncornet, révèle un sens de la précision caractéristique de l’art du portrait chez Ter Borch et permet l’identification d’une vingtaine des figures peintes. Source : histoire-image.org
De la SDN à l'ONU
OBJET DE TRAVAIL CONCLUSIF : Le Moyen-Orient : conflits régionaux et tentatives de paix impliquant des acteurs internationaux (étatiques et non étatiques)
Lien du genially du cours sur le Moyen-Orient
Découvir le métier de journaliste et les spécificités liées au reportage de guerre.
Un photographe est blessé alors qu’il prend des photos lors d’un affrontement entre des manifestants palestiniens et des soldats israéliens. (AFP)
Ressource aide pour "poser sa voix"
Emission France culture : 7/02/2020 Lisez au moins l'article qui accompagne l'émission. Point de vue d'une cartographe palestinien qui affirme qu'il est possible de créer deux Etats
Article publié en juillet 2020 par le site des Nations Unies et qui exprime la volonté de relancer un processus diplomatique pour créer deux Etatx
UNE PAIX POSSIBLE ?
UNE PAIX IMPOSSIBLE ?
Article publié le 16/08/2020 par la Tribune de Genève au sujet de l'accord entre Israël et les Emirats Arabes Unis qui risque de nuire aux relations entre Israël et les autorités palestiniennes.