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Mais l'épidémie s'est propagée et les morts se multiplient... Peut-être auriez-vous dû être plus sérieux et écouter le briefing !

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Bien vu

Si le gel hydroalcoolique est très utile pour lutter contre les infections, le volume de votre flacon est trop important !Vous devez donc le laisser à la sécurité.Du gel vous sera fourni en cabine.

Vous pouvez procéder à l'embarquement. Bon vol !

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Lepto

La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.

  • Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
  • Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
  • Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
Rappels sur la leptospirose La leptospirose est une maladie bactérienne présente dans le monde entier. La leptospirose est causée par la bactérie Leptospira interrogans. Celle-ci se maintient assez facilement dans le milieu extérieur (eau douce, sols boueux), ce qui favorise la contamination. La saisonnalité de la maladie est très marquée, avec une recrudescence estivo-automnale liée à la chaleur et aux précipitations. Les leptospires sont des bactéries susceptibles d'infecter un grand nombre de mammifères sauvages (rongeurs et insectivores : rats, tangues, musaraignes, etc.) et domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chiens), qui servent de réservoirs et les excrètent dans leur urine. Les bactéries peuvent survivre plusieurs mois dans un milieu humide et chaud. Certaines professions (agriculteurs, éleveurs, égoutiers, éboueurs…) et les personnes pratiquant des loisirs nautiques (baignade, canoé, kayak, pêche, chasse, canyoning...) sont particulièrement à risque. Chez l'humain, la bactérie pénètre principalement par la peau lésée ou les muqueuses, la maladie est souvent bénigne, mais peut conduire à l'insuffisance rénale, voire à la mort dans 5 à 20% des cas. L'incubation dure de 4 à 14 jours. Dans la forme modérée, la maladie débute par une fièvre élevée avec frissons, maux de tête, douleurs musculaires et douleurs articulaires diffuses. Dans 20% des cas, elle se complique d'un syndrome hémorragique. Les formes graves (ictéro-hémorragique ou maladie de Weil) associent insuffisance rénale aiguë, atteinte neurologique (convulsions, coma) et des hémorragies plus ou moins sévères (pulmonaire, digestive). Les signes cliniques initiaux peu spécifiques (céphalées, fièvre, myalgies) peuvent conduire à un retard diagnostique et thérapeutique par confusion avec des diagnostics différentiels tels que la grippe, le chikungunya ou la dengue. Mesures de prévention et de protection individuelle contre la leptospirose
  • dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
  • éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
  • limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
  • éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
  • consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Il existe une vaccination contre la leptospirose. Son efficacité étant limitée à certaines souches de leptospires, elle est rarement réalisée en pratique. Pour le voyageur, des informations détaillées sont disponibles sur les sites Mesvaccins.net ou Medecinedesvoyages.net. Source : Médias locaux via Outbreaks Next Today

Palu

Dengue

Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.

SVT

Épidémie

Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion

  • Article de France Info
Notes personnelles : Revoir les notions de virulence et de prévalence.

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Choix du menu

  • Le poulet

Le repas est excellent ! Vous avez retrouvé toute votre énergie pour travailler. Vous décidez de retourner à vos dossiers.

  • Le POISSON

Le poisson est riche en vitamine B. On dit qu'elle excellente pour le travail intellectuel. Il est temps de retourner à vos dossiers.

  • Le Menu végétarien

Le repas est coloré mais insipide. Décidément le monde a encore des progrès à faire pour considérer les végétariens comme tout le monde. Au moins il vous aura permis de récupérer de l'énergie pour analyser vos dossiers.

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  • RESTER SURVOTRE Téléphone et vos dossiers

Après votre repas, retournezau travail

Bonjour, Que désirez-vous manger ? Nous avons le choix entre du poulet, du poisson ou un menu végétarien.

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Carte

Lepto

La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.

  • Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
  • Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
  • Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
Rappels sur la leptospirose La leptospirose est une maladie bactérienne présente dans le monde entier. La leptospirose est causée par la bactérie Leptospira interrogans. Celle-ci se maintient assez facilement dans le milieu extérieur (eau douce, sols boueux), ce qui favorise la contamination. La saisonnalité de la maladie est très marquée, avec une recrudescence estivo-automnale liée à la chaleur et aux précipitations. Les leptospires sont des bactéries susceptibles d'infecter un grand nombre de mammifères sauvages (rongeurs et insectivores : rats, tangues, musaraignes, etc.) et domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chiens), qui servent de réservoirs et les excrètent dans leur urine. Les bactéries peuvent survivre plusieurs mois dans un milieu humide et chaud. Certaines professions (agriculteurs, éleveurs, égoutiers, éboueurs…) et les personnes pratiquant des loisirs nautiques (baignade, canoé, kayak, pêche, chasse, canyoning...) sont particulièrement à risque. Chez l'humain, la bactérie pénètre principalement par la peau lésée ou les muqueuses, la maladie est souvent bénigne, mais peut conduire à l'insuffisance rénale, voire à la mort dans 5 à 20% des cas. L'incubation dure de 4 à 14 jours. Dans la forme modérée, la maladie débute par une fièvre élevée avec frissons, maux de tête, douleurs musculaires et douleurs articulaires diffuses. Dans 20% des cas, elle se complique d'un syndrome hémorragique. Les formes graves (ictéro-hémorragique ou maladie de Weil) associent insuffisance rénale aiguë, atteinte neurologique (convulsions, coma) et des hémorragies plus ou moins sévères (pulmonaire, digestive). Les signes cliniques initiaux peu spécifiques (céphalées, fièvre, myalgies) peuvent conduire à un retard diagnostique et thérapeutique par confusion avec des diagnostics différentiels tels que la grippe, le chikungunya ou la dengue. Mesures de prévention et de protection individuelle contre la leptospirose
  • dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
  • éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
  • limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
  • éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
  • consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Il existe une vaccination contre la leptospirose. Son efficacité étant limitée à certaines souches de leptospires, elle est rarement réalisée en pratique. Pour le voyageur, des informations détaillées sont disponibles sur les sites Mesvaccins.net ou Medecinedesvoyages.net. Source : Médias locaux via Outbreaks Next Today

Palu

Dengue

Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.

SVT

Épidémie

Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion

  • Article de France Info
Notes personnelles : Revoir les notions de virulence et de prévalence.

Vidéosur la grippe espagnole

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

L'ambassadeur vous accueille

Sur le chemin qui mène à la mission chargée des épidémies en cours, il vous prévient :

"Les médecins locaux n'ont pas été consultés lors de la décision de vous faire venir. Il est probable qu'ils soient peu coopératifs. Il vous faudra sans doute gagner leur confiance."

Il a néanmoins confiance dans vos capacités scientifiques et votre sens de la diplomatie. Il est certain que vous réussirez à coopérer avec eux.

"L'OMS et votre pays comptent sur vous. Nous avons préparé un document de mission. Pensez à le remplir scrupuleusement pour pouvoir nous faire un rapport détaillé.

Télécharger le document de mission

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Vous arrivez à la mission. Il est temps de faire ce que vous savez faire.

"Bonne chance. Vous êtes notre meilleur élément pour régler ce problème. N'oubliez pas de remplir le document de mission au fur et à mesure de votre avancement."

Entrer dans la mission

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Briefing

Grippe espagnole

Consulterle docde mission

Il faudra envoyer vos résultats sous forme de code à Paris.N'oubliez pas de sauvegarder ce document sur votre ordinateur et de le remplir au fur et à mesure !

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Vous arrivez à la mission

Visiblement l'ambassadeur avait raison. Les docteurs refusent de vous recevoir. Le personnel médical local est en grande réunion pour faire le point sur les épidémies en cours dans les villes de Nuwara-Eliya (qui se prononce "nourélia") perchée dans les montagnes du Sud du pays et de Negombo, un port de pêche 40km au Nord de Columbo.

Vous êtes reçu par quelqu'un, dont l'identité n'est pas certaine : il ne parle pas français et mal anglais. Il semble vous parler des symptômes rencontrés dans les villages. Sans doute s'agit-il d'une sorte de test de vos compétences.

Écouter l'individu

Tenter de forcerle passage

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Description des symptômes

Tenter de forcer le passage

"De doctors told me de symptoms vere Very high fever, often above 40°HeadacheMuscle sorenessJoint painVat do you dink it iz?"

Vous essayer de lui faire comprendre que la maladie est peut-être :

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Regarder discrètement sur votre téléphone les symptômes des maladies communes au Sri Lanka

La typhoïde

La leptospirose

Le paludisme

L'encéphalite japonaise

Le chikungunya

La dengue

L'hépatite A

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Votre réponse ne le satisfait pas... peut-être devriez vous regarder votre téléphone

Tenter de forcer le passage

"De doctors told me de symptoms vere Very high fever, often above 40°HeadacheMuscle sorenessJoint painVat do you dink it iz?"

Vous essayer de lui faire comprendre que la maladie est peut-être :

Regarder discrètement sur votre téléphone les symptômes des maladies communes au Sri Lanka

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La typhoïde

La leptospirose

Le paludisme

L'encéphalite japonaise

Le chikungunya

La dengue

L'hépatite A

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Il semble que vous ayez bien comprisVous avez semble-t-il passé le test.Les docteurs Sri Lankais acceptent enfin de vous recevoir.

Rejoindre la réunionsur l'Épidémie

Les symptômes correspondent bien à cette maladie.En fait cela peut correspondre à plusieurs maladies présentes au Sri Lanka :

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La leptospirose, le paludisme, la dengue ou encore le chikungunya

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La discussion est animée

Les docteurs discutent de la stratégie à suivre pour identifier la nature de l'épidémie dans les deux villages.

Vous proposez d'aller dans les villages pour identifier les symptômes

Vous décidez de les écouter en silence

Vous proposez d'aller dans les villages faire des prélèvements urinaires

Vous proposez d'aller dans les villages faire des prélèvements sanguins

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Les docteurs Sri Lankais vous signalent que les prélèvements urinaires semblent peu pertinents vu les symptômes. Ils seraient plus adaptés pour des suspicions de diabètes ou d'infections urinaires par exemple.

Vous proposez d'aller dans les villages pour identifier les symptômes

Vous insistez pour aller dans les villages pour faire des prélèvements urinaires

Vous proposez d'aller dans les villages pour faire des prélèvements sanguins

Votre proposition surprend

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Votre proposition surprend

Les médecins Sri Lankais vous font remarquer qu'ils connaissent déjà les symptômes.

Vous insistez pour aller dans les villages pour identifier les symptômes

Vous proposez d'aller dans les villages faire des prélèvements urinaires

Vous proposez d'aller dans les villages faire des prélèvements sanguins

Retour au départ

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Les arguments défilent

Certains pensent qu'il faut faire des prélèvements sanguins pour identifier le parasite responsable de la maladie.Un médecin traditionnel pense qu'il faut faire des prélèvements urinaires pour vérifier un déséquilibre énergétique.

Vous pensez qu'il est préférable d'aller dans les villages identifier les symptômes

Vous tranchez en faveur des prélèvements urinaires

Vous tranchez en faveur des prélèvements sanguins

Les regards se tournent vers vous, l'expert international

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Votre proposition séduit

OUI ! Les maladies infectieuses attaquent l’organisme et le plus souvent les agents pathogènes laissent des traces dans le sang

Partir préparer votre déplacement dans les villes touchées

C'est particulièrement vrai pour les maladies soupçonnées.Après, le problème ce sera l’analyse.Qu’a dit le chef déjà pour les analyses ?

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Vous décidez de voyager léger

En effet, vous trouvez les taxis Sri Lankais peu adaptés à la saison des pluies.Vous préparez votre bagage : Vêtements de rechange, répulsifs antimoustiques, quelques formulaires et le matériel de prélèvement.

Analyser les échantillons

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Alors que vous vous apprêtez à partir, la nouvelle tombe : les routes ont été coupées par les dernières inondations. Il va falloir patienter.

Votre attente sera utile : des échantillons d'eau des deux villes sont disponibles pour analyse.

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Commencer par les échantillons de Negombo

Commencer par les échantillons de Nuwara-Eliya

Les autorités locales considèrent que votre mission est de première importance. Un hélicoptère doit venir vous prendre dans 2h. Cela vous laisse le temps pour des observations microscopiques.Aidée de Tharushi, technicienne de laboratoire, vous vous atelez à la tâche.

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Vous observez des larves de moustiques

Vous pensez que ce sont

Des larves de Negombo

des larves d'Aedes

des larves de Culex

des larves d'Anopheles

pas des larves de moustiques

Retour au départ

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

La technicienne de laboratoirene semble pas d'accord avec vous

Vous devriez lire le livre sur la reconnaissance des moustiques

Des larves de Negombo

des larves d'Aedes

des larves de Culex

des larves d'Anopheles

pas des larves de moustiques

Retour au départ

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Tharushi ne semblepas d'accord avec vous

Vous devriez lire le livre sur la reconnaissance des moustiques

Des larves de Negombo

des larves d'Aedes

des larves de Culex

des larves d'Anopheles

pas des larves de moustiques

Retour au départ

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

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Oui ! Bien vu !

Ces larves n'ont pas de siphon au bout de leur abdomen.

Des larves de Negombo

Passer à l'identification de la deuxième larve

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Ces moustiques sont donc bien des anophèles.

N'oubliez pas de le noter dans votredocument de mission

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Vous observez un deuxième type de larves

Vous pensez que ce sont

des larves d'Aedes

des larves de Culex

des larves d'Anopheles

pas des larves de moustiques

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Une deuxième larve

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

des larves d'Aedes

des larves de Culex

des larves d'Anopheles

pas des larves de moustiques

Retour au départ

Une deuxième larve

Tharushi ne semblepas d'accord avec vous

Vous devriez regarder les soies sur le siphon

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Oui ! Bien vu !

Ces larves ont une seule touffe de soies sur le siphon.

Voyons, les anophèles et les Aedes peuvent transmettre quelles maladies déjà ?

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Ces moustiques sont donc bien des Aedes.

Une deuxième larve

N'oubliez pas de le noter dans votredocument de mission

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Vous pouvez maintenant affiner vos hypothèses concernant l'épidémie à Negombo

Vous avez identifié la ou les maladies responsables de l'épidémie !

Vous pensez pouvoir poser des hypothèses éclairées

OU

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Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

En voyant votre air de victoire, Tharushi se tourne vers vous dans l'expectative.Quel est votre verdict docteur ?

C'est le paludisme !

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C'est une double épidémie : paludisme et dengue

C'est la dengue !

C'est le la leptospirose !

C'est le chikungunya !

C'est une double épidémie : chikungunya et dengue

C'est une double épidémie : paludisme et chikungunya

C'est une triple épidémie : paludisme, dengue et chikungunya !

C'est une quadruple épidémie : paludisme, dengue, chik et lepto !

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Vous avez raison d'être prudent. La présence du moustique ne signifie pas que la maladie circule.

Le paludisme seul

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Le paludisme et la dengue

La dengue seule

Le chikungunya seul

Le chikungunya et la dengue

Trois maladies possibles : paludisme, dengue et chikungunya.

On peut envisager ces 4 maladies : paludisme, dengue, chik et lepto

D'après-vous quelles maladies sont susceptibles de circuler à Négombo ?

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

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Que de certitudes !

La présence des vecteurs ne garantit pas que la maladie circule !Les moustiques sont indispensables, mais encore faut-il que les transmissions se fassent.

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Vous allez devoir poser des hypothèses éclairées qu'il faudra ensuite vérifier par des analyses sur le terrain

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Votre hypothèse est partiellement correcte. On peut envisager d'autres maladies.

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N'oubliez pas de lire les notes de la mission sur les maladise infectieuses

Retourner poser des hypothèses

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

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Le paludisme est transmis par les anophèles. La dengue et le chikungunya sont transmis par les moustiques Aedes.Ces trois maladies peuvent donc être présentes à Négombo.

Oui ! Bien vu !

On ne peut pas non plus exclure la présence de rats qui peuvent transmettre la leptospirose.

Plus que 30 minutes avant l'hélicoIl faut analyser l'eau de Nuwara-Eliya

N'oubliez pas de noter vos hypothèses dans votredocument de mission

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VOUS N'OBSERVEZ AUCUNELARVE DE MOUSTIQUES

Leptospirose

Vous pouvez donc affiner vos hypothèses concernant l'épidémie à Nuwara-Eliya.

Vous pensez que c'est une épidémie de ... ?

Leptospirose mais vous n'éliminez pas d'autres possibilités

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Dengue

Chikungunya

Paludisme

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

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Une maladie transmise par les moustiques ?Vraiment ?

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Tharushi vous corrige : la présence de moustiques est nécessaire et vous n'avez pas observé de larves dans l'eau de la ville.

Une épidémie de Leptospirose

Une épidémie probable de leptospirose mais vous n'éliminez pas d'autres possibilités

Il ne reste que deux possibilités :

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

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De bonnes idées !L'absence de larve de moustique permet de douter de la présence de maladies transmises par les moustiques.

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La leptospirose est donc un bon candidat.

Ranger le matériel d'observation et se préparer à partir

Cependant les symptômes étant très courants, on ne peut pas éliminer d'autres maladies

N'oubliez pas de noter vos hypothèses dans votredocument de mission

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Oui ! Bien joué !L'absence de larve de moustique permet de douter de la présence de maladies transmises par les moustiques.

Retour au départ

La leptospirose est donc un bon candidat.

Ranger le matériel d'observation et se préparer à partir

Cependant les symptômes étant très courants, on ne peut pas éliminer d'autres maladies

N'oubliez pas de noter vos hypothèses dans votredocument de mission

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Pendant que vous rangez votre matériel, vous notez vos hypothèses dans votre rapport de mission

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Vous prenez le temps de réfléchir pour lui répondre

Tharushi vous interrompt, curieuse :

"Pourquoi n'y a-t-il pas de moustique à Nuwara-Eliya ?"

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Pourquoi n'y a-t-il pas de moustique à Nuwara-Eliya ?

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Les températures trop froides toute l'année

Donnée météo Nuawa-Eliya

Carte de la pluviométrie annuelle au Sri Lanka Pluviométrie et température à Nuwara-Eliya

L'avantage d'un smartphone c'est qu'on a beaucoup de données à portée de doigt.Vous décidez de vous renseigner !

Donnée météo Nebomgo

Carte de la pluviométrie annuelle au Sri Lanka Pluviométrie et température à Nebomgo

Les températures trop froides en hiver

La pluviométrie trop faible

La pluviométrie trop importante

Vous expliquez à la technicienne que l'absence de moustique s'explique par :

docde mission

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

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Tharushi s'étonne de votre réponse

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Elle est déjà allé au Canada et les moustiques sont présents en été malgré un hiver très froid où l'eau stagnante gèle !

Vous réfléchissez à une meilleure réponse

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Tharushi s'étonne de votre réponse

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Les larves de moustiques ont besoin d'eau et la pluie est suffisamment abondante partout au Sri Lanka.

Vous réfléchissez à une meilleure réponse

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Vos explications convainquent Tharushi

Retour au départ

Il est l'heure. Vous vous élancez vers l'hélicoptère.

Vous expliquez que les larves de moustiques ont besoin d'une température suffisante pour se développer.Or cette ville de montagne a une température inférieure à 25°C toute l'année. Les larves de moustiques ont toute l'eau nécessaire, mais les adultes ne pondent pas à cause de la température trop froide.

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L'hélicoptère militaire s'élance avec Tharushiet vous-même à bord.Quelle sera votre première destination ?

Direction les montagnes et la ville de Nuwara-Eliya

Direction le Nord et la ville de Negombo

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Des observations microscopique sur place

Arrivée à Nuwara-Eliya

Vous prélevez le sang de 3 patients.Qu'allez-vous en faire ?

Nouvelle vidéo

Envoyer les échantillons à Paris pour analyse génétique

Les deux

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Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves. Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Des observations microscopiques sur place

Tharushi commence à perdre patiente. Vous devriez réfléchir davantage !

Tharushi vous faire remarquer que votre stratégie ne permettra de détecter que certaines maladies

Que proposez-vous maintenant ?

Test API

Envoyer les échantillons à Paris pour analyse génétique

Tharushi commence à perdre patiente. Vous devriez réfléchir davantage !

Les deux

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Retour au départ

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

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Très bonne stratégie !

Au microscope on pourra déjà voir les maladies parasitaires comme le paludisme !Mais les analyses à Paris sont nécessaires pour détecter bactéries et virus.

Test API

Pas de maladie parasitaire

Le patient 1 a le paludisme

Retour au départ

Un des patients a une autre maladie parasitaire

Le patient 3 a le paludisme

Le patient 2 a le paludisme

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves. Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

Observer les échantillons

docde mission

Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3

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Peut-être devriez-vous réobserver les échantillons et revoir la méthode pour détecter les gros parasites pour vérifier si on peut réellement en voir dans le sang des patients ?

Test API

Pas de maladie parasitaire

Le patient 1 a le paludisme

Retour au départ

Un des patients a une autre maladie parasitaire

Le patient 3 a le paludisme

Le patient 2 a le paludisme

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

Observer les échantillons

Tharushi n'est pas d'accord avec vos observations

Après réflexion vous pensez que ?

docde mission

Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3

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Oui !

A Nuwara-Eliya pas de paludisme !En fait, pas de maladies parasitaires transmises par les moustiques... ce qui est logique puisqu'il n'y avait pas de larves de moustique dans l'eau.

Reprendre l'hélicoptère vers Negombo

Vous avez déjà visité Nebomgo. Vous pouvez reprendre l'hélicoptère pour rentrer à Colombo.

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N'oubliez pas de noter vos résultats dans votredocument de mission

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Arrivée à Negombo au coucher du soleil

Des observations microscopiques sur place

Votre mission n'attend pas, vous vous coucherez tard ! Vous prélevez le sang de 3 patients.Qu'allez-vous en faire ?

Envoyer les échantillons à Paris pour analyse génétique

Les deux

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves. Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Test API

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

Retour au départ

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves. Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Test API

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

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Tharushi vous faire remarquer que votre stratégie ne permettra de détecter que certaines maladies

Que proposez-vous maintenant ?

Des observations microscopiques sur place

Tharushi commence à perdre patiente. Vous devriez réfléchir davantage !

Envoyer les échantillons à Paris pour analyse génétique

Tharushi commence à perdre patiente. Vous devriez réfléchir davantage !

Les deux

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Très bonne stratégie !

Au microscope on pourra déjà voir les maladies parasitaires comme le paludisme !Mais les analyses à Paris sont nécessaires pour détecter bactéries et virus.

Test API

Pas de maladie parasitaire

Le patient 1 a le paludisme

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Des patients ont une autre maladie parasitaire

Le patient 3 a le paludisme

Le patient 2 a le paludisme

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

Observer les échantillons

Plusieurs patients ont le paludisme

Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Ce patient a bien le paludisme !

On peut effectivement voir des Plasmodium au milieu des globules rouges.Mais Tharushi est en désaccord avec un autre patient. Regardez de nouveau !

Test API

Pas de maladie parasitaire

"Vous êtes illogique !", s'agace Tharushi. Nous avons tous les deux vu qu'un des patients était porteur du parasite responsable du paludisme.

Le patient 1 a le paludisme

"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"

Retour au départ

Des patients ont une autre maladie parasitaire

"Je ne suis pas d'accord", affirme Tharushi, je ne vois que du plasmodium dans les échantillons et aucun autre parasite en forme de vers."

Le patient 3 a le paludisme

"Je ne suis pas d'accord avec vous", soupire Tharushi, on ne voit pas de plasmodium dans le sang de ce patient"

Le patient 2 a le paludisme

"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

Observer les échantillons

Plusieurs patients ont le paludisme

docde mission

Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Tharushi est en désaccord total avec vos observations

Regardez de nouveau ! Et n'oubliez pas de vérifier les moyens de détection des gros parasites sur votre téléphone.

Test API

Pas de maladie parasitaire

"Non !", s'agace Tharushi. "On voit clairement des parasites chez certains des patients !"

Le patient 1 a le paludisme

"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"

Retour au départ

Des patients ont une autre maladie parasitaire

"Je ne suis pas d'accord", affirme Tharushi, "je ne vois que du plasmodium dans les échantillons et aucun autre parasite en forme de vers."

Le patient 3 a le paludisme

"Je ne suis pas d'accord avec vous", soupire Tharushi, "on ne voit pas de plasmodium dans le sang de ce patient"

Le patient 2 a le paludisme

"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

Observer les échantillons

Plusieurs patients ont le paludisme

docde mission

Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Tharushi est en désaccord total avec vos observations

Regardez de nouveau ! Et n'oubliez pas de vérifier les moyens de détection des gros parasites sur votre téléphone.

Test API

Pas de maladie parasitaire

"Non !", s'agace Tharushi. "On voit clairement des parasites chez certains des patients !"

Le patient 1 a le paludisme

"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"

Retour au départ

Des patients ont une autre maladie parasitaire

"Je ne suis pas d'accord", affirme Tharushi, "je ne vois que du plasmodium dans les échantillons et aucun autre parasite en forme de vers."

Le patient 3 a le paludisme

"Je ne suis pas d'accord avec vous", soupire Tharushi, "on ne voit pas de plasmodium dans le sang de ce patient"

Le patient 2 a le paludisme

"Il a le paludisme oui", s'exclame Tharushi, mais à mon avis ce n'est pas le seul !"

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

Observer les échantillons

Plusieurs patients ont le paludisme

docde mission

Frottis sanguin du patient n°1 Frottis sanguin du patient n°2 Frottis sanguin du patient n°3

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Oui !

A Negombo il y a du paludisme !Les patients 1 et 2 présentent des Plasmodium dans leur sang, ils sont donc porteurs de cette maladie.Ce qui concorde avec la présence de l'anophèle que vous aviez détectée dans les échantillons d'eau.

Reprendre l'hélicoptère vers Nuwara-Eliya

Vous avez déjà visité Nuwara-Eliya. Vous pouvez reprendre l'hélicoptère pour rentrer à Colombo.

Retour au départ

N'oubliez pas de noter vos résultats dans votredocument de mission

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

L'hélicoptère militaire atterrit à Columbo

Direction les montagnes et la ville de Nuwara-Eliya

Direction le Nord et la ville de Negombo

Avez-vous bien visité les deux villes ?Si ce n'est pas le cas vous ne pourrez pas finir cette aventure !Le pilote vous offre une dernière chance de visiter la ville manquante.

Vous retournez à la mission en attente des résultats de Paris

Retour au départ

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Retour à la mission

En attendant les résultats de Paris, vous passez les jours suivantsà analyser des échantillons d'eau et de sang.Vos premières conclusions sont confirmées.Deux jours après les résultats des analyses des laboratoires parisiens arrivent !

Prenez donc connaissances des résultats

Retour au départ

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Commencer par les tests génétiques

Analyse des résultats

Test API

Paris a effectué un test API et un test génétique sur chaque échantillon

Commencer par les test API

Retour au départ

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

Détecter les virus

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Certains ont le ChikV

Analyse génétique

Test API

Retour au départ

Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

Télécharger les résultats du test ChikV

Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Télécharger les résultats du test DENV

Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Tharushi et les docteurs Sri Lankais attendent votre verdict. Votre réputation est en jeu !

Certains ont le DENV

Les deux virus circulent

Alors... ?

Aucun des deux virus présent

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Certains ont le ChikV

Il semblerait que vous ayez tort...

Test API

Retour au départ

Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

Télécharger les résultats du test ChikV

Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Télécharger les résultats du test DENV

Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Les docteurs vous regardent d'un air méprisant tandis que Tharushi vous encourage

Certains ont le DENV

Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.

Les deux virus circulent

Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.

Alors... ?

Aucun des deux virus présent

Tharushi sent que vous allez faire une erreur et vous fait un signe discrètement. Peut-être devriez vous revoir les résultats et la fiche d'identification des virus.

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

A Negombo

Analyse génétique

Test API

Retour au départ

Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

Télécharger les résultats du test ChikV

Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Télécharger les résultats du test DENV

Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Tharushi et les docteurs Sri Lankais attendent votre verdict. Votre réputation est en jeu !

A Nuwara-Eliya

Exact - mais dans quelle ville ?

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Il semblerait que vous ayez tort...

Test API

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Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

Télécharger les résultats du test ChikV

Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Télécharger les résultats du test DENV

Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Les docteurs vous regardent d'un air méprisant tandis que Tharushi vous encourage

Alors... ?

A Negombo

A Nuwara-Eliya

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Le 1

Analyse génétique

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Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

Télécharger les résultats du test ChikV

Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Télécharger les résultats du test DENV

Résultats obtenus pour la détection du DENV virus responsable de la dengue Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Tharushi et les docteurs Sri Lankais attendent votre verdict. Votre réputation est en jeu !

Le 2

Exact - mais quel patient ?

Le 1 et le 2

Le 3

Le 1 et le 3

Les 3

Le 2 et le 3

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Il semblerait que vous ayez tort...

Test API

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Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

Télécharger les résultats du test ChikV

Résultats obtenus pour la détection du CHIKV virus responsable du Chikungunya Résultats concernant la ville de Negombo (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya (+) indique un échantillon témoin positif pour la présence du virus recherché

Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

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Le 1 et le 2

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Le 3

Le 1 et le 3

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Les 3

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Les patients de Nuwara-Eliya

Analyse bactérienne par test API

Test API

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Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

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Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Télécharger les résultats du test API

Résultats obtenus pour la détection de bactérie par le test API en utilisant la galerie API 10S Résultats concernant la ville de Negombo Les résultats sont identiques pour les trois patients Résultats concernant la ville de Nuwara-Eliya Les résultats sont identiques pour les trois patients

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Les patients de Nebomgo

Les patients des deux villes

Alors, quels patients sont porteurs d'une bactérie ?

Aucun des patients

Application d'analyse des test API

Application d'interprétation des tests API Mode d'emploi Dans l'application vous devez :

  1. Sélectionner la galerie utilisée pour le test.
  2. Indiquer pour chaque puits du test les résultats en cochantremarque : lorsque vous cocher, un code couleur correspondant aux résultats du test permet de vérifier votre réponse:
    • - (présence du marqueur à détecter) ;
    • + (absence du marqueur à détecter) ;
    • ou ? si le marqueur n'a pas été vérifié
  3. Le résultat s'affiche :
    • Une bactérie est détectée : la personne porte cette bactérie
    • Plusieurs bactéries sont envisagées : le test donne des probabilités pour chaque bactérie
    • Aucun nom n'est donné : le test est négatif. L'individu porteur d'aucune des bactéries détectables par le test.
Lien vers l'application Identifieur microbien - APImis à disposition par : UPBM le Lab

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  1. Sélectionner la galerie utilisée pour le test.
  2. Indiquer pour chaque puits du test les résultats en cochantremarque : lorsque vous cochez, un code couleur correspondant aux résultats du test permet de vérifier votre réponse:
    • - (présence du marqueur à détecter) ;
    • + (absence du marqueur à détecter) ;
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Salmonella pullorum

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Exact - mais quelle bactérie ?

Salmonella Typhi

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Test génétiques

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Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

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Escherichia coli

Proteus vulgaris

Une autre bactérie

Leptospira interrogans

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Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

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Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

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Il s'agit en effet de la bactérie Salmonella typhi.

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docde mission

Une rapide recherche sur le site de l'Organisation Mondiale de la Santé devrait vous renseigner sur cette bactérie.

N'oubliez pas de noter vos résultats dans votredocument de mission

Site del'OMS

Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits

  • La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
  • On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
  • Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
  • On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
  • On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
  • La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
La suite sur le site officiel....

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Pas encore ! Allons voir les tests génétiques

Excellente analyse !

Avez-vous identifié la maladie de chaque patient et tout noté dans votre carnet de mission ?

Pas encore !Allons voir les test API

Pas encore ! Retournons sur le terrain prélever du sang

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Oui ! Il ne reste plus qu'à prévenir l'ambassadeur

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Vous prenez le taxi

Vous arrivez bientôt à l'ambassade, où l'ambassadeur vous accueille en personne.

"Alors cher ami, avez-vous pu identifier les épidémies en cours ?"

Confiant dans vos déductions, vous répondez par l'affirmative.

"Parfait ! il n'y a plus qu'à prévenir Paris.Comme je vous l'avais dit au début de votre mission, nous allons devoir remplir ce formulaire codé."

Vous lancez l'application du formulaire

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OK

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"Entrez le 9 pour indiquer qu'il s'agit d'une épidémie"

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"Suivez un peu ! J'ai dit d'entrer le 9 pour signaler une épidémie"

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"Vous avez appuyez sur entrée trop tôt. Il va falloir tout recommencer !"

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"Entrez maintenant le code épidémique pour chaque patient dans l'ordre que je vais vous donner"

"D'abord le patient n°1 de Negombo."

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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°1 de Nuwara-Eliya."

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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°2 de Negombo."

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"Ensuite entrez le code EPI pour le patient n°2 de Nuwara-Eliya."

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"Maintenant validez en appuyant sur OK."

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"Maintenant validez en appuyant sur OK."

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L'ambassadeur est inquiet

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"Le code que vous avez entré ne correspond pas aux conclusions que vous m'avez données."

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L'ambassadeur est soulagé

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"Parfait ! Les informations ont été transmises. Il ne me reste plus qu'à les valider"

Il sort son propre téléphone et valide vos conclusions

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Le risque des évacuations sanitaires

Le sourire de l'ambassadeur est rayonnant et chaleureux.

"Vous avez effectué un travail remarquable en très peu de temps. Recevez les remerciements de la France."

Il reprend un air sérieux.

"Cependant, il reste une dernière question à traiter : nous avons des ressortissants français atteints à Negombo et à Nuwara-Eliya. Il faut pouvoir évaluer le risque pour le pays d'éventuelles évacuations sanitaires."

En route pour votre dernier défi !

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Le risque des évacuations sanitaires

L'ambassadeur vous rappelle que les évacuations sanitaires sont des transferts de malades pour les traiter dans nos hôpitaux.Il faut donc déterminer s'il y a risque de transmission de chacune des maladies présentes ici sur le sol français.

Traiter le cas des evasan atteints de paludisme

"Nous laissons à votre disposition des données sur la situation des vecteurs de ces maladies en France.N'hésitez pas à consulter tous les documents auxquels vous avez eu accès ces derniers jours pour tirer vos conclusions."

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Risque épidémique des Evasan Palu

Carte

Lepto

La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.

  • Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
  • Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
  • Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
Rappels sur la leptospirose La leptospirose est une maladie bactérienne présente dans le monde entier. La leptospirose est causée par la bactérie Leptospira interrogans. Celle-ci se maintient assez facilement dans le milieu extérieur (eau douce, sols boueux), ce qui favorise la contamination. La saisonnalité de la maladie est très marquée, avec une recrudescence estivo-automnale liée à la chaleur et aux précipitations. Les leptospires sont des bactéries susceptibles d'infecter un grand nombre de mammifères sauvages (rongeurs et insectivores : rats, tangues, musaraignes, etc.) et domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chiens), qui servent de réservoirs et les excrètent dans leur urine. Les bactéries peuvent survivre plusieurs mois dans un milieu humide et chaud. Certaines professions (agriculteurs, éleveurs, égoutiers, éboueurs…) et les personnes pratiquant des loisirs nautiques (baignade, canoé, kayak, pêche, chasse, canyoning...) sont particulièrement à risque. Chez l'humain, la bactérie pénètre principalement par la peau lésée ou les muqueuses, la maladie est souvent bénigne, mais peut conduire à l'insuffisance rénale, voire à la mort dans 5 à 20% des cas. L'incubation dure de 4 à 14 jours. Dans la forme modérée, la maladie débute par une fièvre élevée avec frissons, maux de tête, douleurs musculaires et douleurs articulaires diffuses. Dans 20% des cas, elle se complique d'un syndrome hémorragique. Les formes graves (ictéro-hémorragique ou maladie de Weil) associent insuffisance rénale aiguë, atteinte neurologique (convulsions, coma) et des hémorragies plus ou moins sévères (pulmonaire, digestive). Les signes cliniques initiaux peu spécifiques (céphalées, fièvre, myalgies) peuvent conduire à un retard diagnostique et thérapeutique par confusion avec des diagnostics différentiels tels que la grippe, le chikungunya ou la dengue. Mesures de prévention et de protection individuelle contre la leptospirose
  • dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
  • éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
  • limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
  • éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
  • consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Il existe une vaccination contre la leptospirose. Son efficacité étant limitée à certaines souches de leptospires, elle est rarement réalisée en pratique. Pour le voyageur, des informations détaillées sont disponibles sur les sites Mesvaccins.net ou Medecinedesvoyages.net. Source : Médias locaux via Outbreaks Next Today

Palu

Dengue

Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.

SVT

Épidémie

Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion

  • Article de France Info
Notes personnelles : Revoir les notions de virulence et de prévalence.

Briefing

Test API

Grippe espagnole

Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

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Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Photo des notessur la vie des moustiques

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

La fièvre typhoïde

Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits

  • La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
  • On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
  • Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
  • On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
  • On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
  • La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
La suite sur le site officiel....

Risque faible

Risque élevé

Concernant les risques épidémiques en France, vous pensez que les evasan de malades du paludisme entrainent un :

Présence de l'anophèle en France En France hexagonale, on retrouve l'espèce Anopheles Atroparvus dont la capacité à transmettre le paludisme est extrêmement faible. Dans les DOM, on retrouve d'autres espèces d'anophèles dont la capacité à transmettre le paludisme est forte. Coupure de presse Par Le Figaro Santé Publié le 27/08/2008 à 18:36 Ils contractent le paludisme sans quitter la France Cas rarissime : un couple de Parisiens est atteint de cette maladie tropicale alors qu'il n'a pas quitté le sol français. Deux Parisiens sont atteints de paludisme, alors qu'ils n'ont pas quitté la France. Les deux jeunes gens sont hospitalisés au CHU de Nice depuis le 23 août. «Leur état de santé est en voie d'amélioration» a indiqué la Direction générale de la Santé (DGS). Les premiers signes cliniques (fièvre, maux de tête, vomissements et baisse des plaquettes sanguines) sont apparus le 18 août, cinq jours après leur arrivée dans le sud de la France. La DGS précise que le couple a séjourné à 7 kilomètres de l'Aéroport de Roissy Charles de Gaulle du 5 au 7 août. Si une recherche a été lancée autour de leur lieu de vacances, à Saint-Raphaël dans le Var afin d'écarter l'hypothèse de la présence d'un moustique vecteur du palu, il semblerait que le diagnostic de «paludisme autochtone» dit «d'aéroport» soit le plus probable. Comment un moustique peut-il être vecteur de l'infection dans un pays sain? Le paludisme est transmis à l'homme par la piqûre d'un moustique femelle, du genre Anopheles, elle-même infectée après avoir piqué un homme atteint du palu : la femelle, en prenant le repas de sang nécessaire à sa ponte, injecte le parasite à son hôte. Les mâles ne piquent pas. Il arrive qu'un Anophele infecté soit transporté dans la soute à bagage d'un avion en provenance d'un pays de zone impaludée et parvienne en zone saine, en ayant survécu au voyage. Un cas d'infection qui serait déclaré suite à la piqûre de ce moustique est appelé « paludisme d'aéroport».Les professionnels des aéroports exposés au cours d'un trajet aérien, d'une escale, ou lors de l'ouverture des containers et des bagages, ainsi que les riverains immédiats des aéroports ont le plus de chances d'être infectés. Est-ce fréquent ? Selon les autorités sanitaires, le paludisme d'aéroport est rare, puisque les derniers cas signalés datent de 1999. Entre 1977et 1999, 28 cas ont été observés France Métropolitaine, soit au maximum un cas par an. Comment lutter contre ces cas ? Des procédures de désinsectisation ont été proposées par l'OMS; en général, elles sont bien respectées par les compagnies aériennes : désinsectiser les avions, par pulvérisation d'un aérosol juste avant l'embarquement des passagers ou le décollage notamment. De nombreux pays insistent sur la nécessité d'une nouvelle désinsectisation à l'arrivée, surtout si les vols proviennent de pays à risques et si l'on a des doutes sur la façon dont les traitements sont réalisés au départ. La DGS rappelle que tous les cas de paludisme autochtones ou importés dans les départements d'Outre mer doivent faire l'objet d'une déclaration obligatoire.

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Risque épidémique des Evasan Palu

En lisant l'article du Figaro inclus dans les notes de l'ambassade sur le paludisme en France, l'ambassadeur arrive à une conclusion différente de vous.

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"Vous pensez vraiment que les malades du paludisme que nous évacurions en France risqueraient de déclencher une épidémie chez nous ?Peut-être devriez-vous relire les notes sur le paludisme."

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Lepto

La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.

  • Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
  • Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
  • Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
Rappels sur la leptospirose La leptospirose est une maladie bactérienne présente dans le monde entier. La leptospirose est causée par la bactérie Leptospira interrogans. Celle-ci se maintient assez facilement dans le milieu extérieur (eau douce, sols boueux), ce qui favorise la contamination. La saisonnalité de la maladie est très marquée, avec une recrudescence estivo-automnale liée à la chaleur et aux précipitations. Les leptospires sont des bactéries susceptibles d'infecter un grand nombre de mammifères sauvages (rongeurs et insectivores : rats, tangues, musaraignes, etc.) et domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chiens), qui servent de réservoirs et les excrètent dans leur urine. Les bactéries peuvent survivre plusieurs mois dans un milieu humide et chaud. Certaines professions (agriculteurs, éleveurs, égoutiers, éboueurs…) et les personnes pratiquant des loisirs nautiques (baignade, canoé, kayak, pêche, chasse, canyoning...) sont particulièrement à risque. Chez l'homme, la bactérie pénètre principalement par la peau lésée ou les muqueuses, la maladie est souvent bénigne, mais peut conduire à l'insuffisance rénale, voire à la mort dans 5 à 20% des cas. L'incubation dure de 4 à 14 jours. Dans la forme modérée, la maladie débute par une fièvre élevée avec frissons, maux de tête, douleurs musculaires et douleurs articulaires diffuses. Dans 20% des cas, elle se complique d'un syndrome hémorragique. Les formes graves (ictéro-hémorragique ou maladie de Weil) associent insuffisance rénale aiguë, atteinte neurologique (convulsions, coma) et des hémorragies plus ou moins sévères (pulmonaire, digestive). Les signes cliniques initiaux peu spécifiques (céphalées, fièvre, myalgies) peuvent conduire à un retard diagnostique et thérapeutique par confusion avec des diagnostics diffé- rentiels tels que la grippe, le chikungunya ou la dengue. Mesures de prévention et de protection individuelle contre la leptospirose
  • dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
  • éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
  • limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
  • éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
  • consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Il existe une vaccination contre la leptospirose. Son efficacité étant limitée à certaines souches de leptospire, elle est rarement réalisée en pratique. Pour le voyageur, des informations détaillées sont disponibles sur les sites Mesvaccins.net ou Medecinedesvoyages.net. Source : Médias locaux via Outbreaks Next Today

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Dengue

Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.

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Épidémie

Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion

  • Article de France Info
Notes personnelles : Revoir les notions de virulence et de prévalence.

Test API

Grippe espagnole

Briefing

Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

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docde mission

Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Photo des notessur la vie des moustiques

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

La fièvre typhoïde

Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits

  • La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
  • On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
  • Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
  • On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
  • On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
  • La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
La suite sur le site officiel....

Changer votre avis : le risque de transmission en France hexagonale est faible

Confirmer votre opinion : le risque est élevé

Après vérification, vous décidez de :

Présence de l'anophèle en France En France hexagonale, on retrouve l'espèce Anopheles Atroparvus dont la capacité à transmettre le paludisme est extrêmement faible. Dans les DOM, on retrouve d'autres espèces d'anophèles dont la capacité à transmettre le paludisme est forte. Coupure de presse Par Le Figaro Santé Publié le 27/08/2008 à 18:36 Ils contractent le paludisme sans quitter la France Cas rarissime : un couple de Parisiens est atteint de cette maladie tropicale alors qu'il n'a pas quitté le sol français. Deux Parisiens sont atteints de paludisme, alors qu'ils n'ont pas quitté la France. Les deux jeunes gens sont hospitalisés au CHU de Nice depuis le 23 août. «Leur état de santé est en voie d'amélioration» a indiqué la Direction générale de la Santé (DGS). Les premiers signes cliniques (fièvre, maux de tête, vomissements et baisse des plaquettes sanguines) sont apparus le 18 août, cinq jours après leur arrivée dans le sud de la France. La DGS précise que le couple a séjourné à 7 kilomètres de l'Aéroport de Roissy Charles de Gaulle du 5 au 7 août. Si une recherche a été lancée autour de leur lieu de vacances, à Saint-Raphaël dans le Var afin d'écarter l'hypothèse de la présence d'un moustique vecteur du palu, il semblerait que le diagnostic de «paludisme autochtone» dit «d'aéroport» soit le plus probable. Comment un moustique peut-il être vecteur de l'infection dans un pays sain? Le paludisme est transmis à l'homme par la piqûre d'un moustique femelle, du genre Anopheles, elle-même infectée après avoir piqué un homme atteint du palu : la femelle, en prenant le repas de sang nécessaire à sa ponte, injecte le parasite à son hôte. Les mâles ne piquent pas. Il arrive qu'un Anophele infecté soit transporté dans la soute à bagage d'un avion en provenance d'un pays de zone impaludée et parvienne en zone saine, en ayant survécu au voyage. Un cas d'infection qui serait déclaré suite à la piqûre de ce moustique est appelé « paludisme d'aéroport».Les professionnels des aéroports exposés au cours d'un trajet aérien, d'une escale, ou lors de l'ouverture des containers et des bagages, ainsi que les riverains immédiats des aéroports ont le plus de chances d'être infectés. Est-ce fréquent ? Selon les autorités sanitaires, le paludisme d'aéroport est rare, puisque les derniers cas signalés datent de 1999. Entre 1977et 1999, 28 cas ont été observés France Métropolitaine, soit au maximum un cas par an. Comment lutter contre ces cas ? Des procédures de désinsectisation ont été proposées par l'OMS; en général, elles sont bien respectées par les compagnies aériennes : désinsectiser les avions, par pulvérisation d'un aérosol juste avant l'embarquement des passagers ou le décollage notamment. De nombreux pays insistent sur la nécessité d'une nouvelle désinsectisation à l'arrivée, surtout si les vols proviennent de pays à risques et si l'on a des doutes sur la façon dont les traitements sont réalisés au départ. La DGS rappelle que tous les cas de paludisme autochtones ou importés dans les départements d'Outre mer doivent faire l'objet d'une déclaration obligatoire.

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Conclusion de votre aventure

Recommencer l'aventure

Vous avez brillamment identifié les trois épidémies en cours au Sri Lanka. Les autorités locales sont très heureuses de votre travail.

En revanche les précautions que vous avez conseillées pour les evasan du paludisme sont ridicules.

L'espèce d'anophèle présente en France est un trop faible vecteur du paludisme.

Votre réputation dans le milieu médical est ruinée.

And I don't give a damn 'bout my bad reputation

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Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Evasan des malades du paludisme

Vous expliquez à l'ambassadeur qu'il est inutile de prendre des précautions particulières pour éviter les contaminations en France hexagonale.

Traiter le cas des evasan atteints de chikungunya

En effet, l'espèce d'anophèle présente en France est très mauvaise vectrice de la maladie. Elle ne pourra donc pas se transmettre localement.En revanche, ce risque est élevé dans les DOM où l'espèce d'anophèle est différente.

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Risque épidémique des Evasan Chik

Carte

Lepto

La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.

  • Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
  • Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
  • Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
Rappels sur la leptospirose La leptospirose est une maladie bactérienne présente dans le monde entier. La leptospirose est causée par la bactérie Leptospira interrogans. Celle-ci se maintient assez facilement dans le milieu extérieur (eau douce, sols boueux), ce qui favorise la contamination. La saisonnalité de la maladie est très marquée, avec une recrudescence estivo-automnale liée à la chaleur et aux précipitations. Les leptospires sont des bactéries susceptibles d'infecter un grand nombre de mammifères sauvages (rongeurs et insectivores : rats, tangues, musaraignes, etc.) et domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chiens), qui servent de réservoirs et les excrètent dans leur urine. Les bactéries peuvent survivre plusieurs mois dans un milieu humide et chaud. Certaines professions (agriculteurs, éleveurs, égoutiers, éboueurs…) et les personnes pratiquant des loisirs nautiques (baignade, canoé, kayak, pêche, chasse, canyoning...) sont particulièrement à risque. Chez l'humain, la bactérie pénètre principalement par la peau lésée ou les muqueuses, la maladie est souvent bénigne, mais peut conduire à l'insuffisance rénale, voire à la mort dans 5 à 20% des cas. L'incubation dure de 4 à 14 jours. Dans la forme modérée, la maladie débute par une fièvre élevée avec frissons, maux de tête, douleurs musculaires et douleurs articulaires diffuses. Dans 20% des cas, elle se complique d'un syndrome hémorragique. Les formes graves (ictéro-hémorragique ou maladie de Weil) associent insuffisance rénale aiguë, atteinte neurologique (convulsions, coma) et des hémorragies plus ou moins sévères (pulmonaire, digestive). Les signes cliniques initiaux peu spécifiques (céphalées, fièvre, myalgies) peuvent conduire à un retard diagnostique et thérapeutique par confusion avec des diagnostics différentiels tels que la grippe, le chikungunya ou la dengue. Mesures de prévention et de protection individuelle contre la leptospirose
  • dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
  • éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
  • limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
  • éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
  • consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Il existe une vaccination contre la leptospirose. Son efficacité étant limitée à certaines souches de leptospires, elle est rarement réalisée en pratique. Pour le voyageur, des informations détaillées sont disponibles sur les sites Mesvaccins.net ou Medecinedesvoyages.net. Source : Médias locaux via Outbreaks Next Today

Palu

Dengue

Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.

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Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion

  • Article de France Info
Notes personnelles : Revoir les notions de virulence et de prévalence.

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Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

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Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Photo des notessur la vie des moustiques

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

La fièvre typhoïde

Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits

  • La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
  • On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
  • Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
  • On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
  • On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
  • La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
La suite sur le site officiel....

Risque faible

Risque élevé

Concernant les risques épidémiques en France, vous pensez que les evasan de malades du chikungunya entrainent un :

La propagation du moustique Tigre Aedes Albopictus en France

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Risque épidémique des Evasan Palu

En regardant la carte de la propagation du moustique tigre en France, l'ambassadeur arrive à une conclusion différente de vous.

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"Vous pensez vraiment que les malades du chikungunya que vous évacurions en France ne risque pas d'y transmettre la maladie ?Peut-être devriez-vous relire les notes sur le chikungunya."

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Carte

Lepto

La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.

  • Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
  • Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
  • Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
Rappels sur la leptospirose La leptospirose est une maladie bactérienne présente dans le monde entier. La leptospirose est causée par la bactérie Leptospira interrogans. Celle-ci se maintient assez facilement dans le milieu extérieur (eau douce, sols boueux), ce qui favorise la contamination. La saisonnalité de la maladie est très marquée, avec une recrudescence estivo-automnale liée à la chaleur et aux précipitations. Les leptospires sont des bactéries susceptibles d'infecter un grand nombre de mammifères sauvages (rongeurs et insectivores : rats, tangues, musaraignes, etc.) et domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chiens), qui servent de réservoirs et les excrètent dans leur urine. Les bactéries peuvent survivre plusieurs mois dans un milieu humide et chaud. Certaines professions (agriculteurs, éleveurs, égoutiers, éboueurs…) et les personnes pratiquant des loisirs nautiques (baignade, canoé, kayak, pêche, chasse, canyoning...) sont particulièrement à risque. Chez l'humain, la bactérie pénètre principalement par la peau lésée ou les muqueuses, la maladie est souvent bénigne, mais peut conduire à l'insuffisance rénale, voire à la mort dans 5 à 20% des cas. L'incubation dure de 4 à 14 jours. Dans la forme modérée, la maladie débute par une fièvre élevée avec frissons, maux de tête, douleurs musculaires et douleurs articulaires diffuses. Dans 20% des cas, elle se complique d'un syndrome hémorragique. Les formes graves (ictéro-hémorragique ou maladie de Weil) associent insuffisance rénale aiguë, atteinte neurologique (convulsions, coma) et des hémorragies plus ou moins sévères (pulmonaire, digestive). Les signes cliniques initiaux peu spécifiques (céphalées, fièvre, myalgies) peuvent conduire à un retard diagnostique et thérapeutique par confusion avec des diagnostics différentiels tels que la grippe, le chikungunya ou la dengue. Mesures de prévention et de protection individuelle contre la leptospirose
  • dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
  • éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
  • limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
  • éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
  • consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Il existe une vaccination contre la leptospirose. Son efficacité étant limitée à certaines souches de leptospires, elle est rarement réalisée en pratique. Pour le voyageur, des informations détaillées sont disponibles sur les sites Mesvaccins.net ou Medecinedesvoyages.net. Source : Médias locaux via Outbreaks Next Today

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Dengue

Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.

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Épidémie

Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion

  • Article de France Info
Notes personnelles : Revoir les notions de virulence et de prévalence.

Grippe espagnole

Briefing

Test API

Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

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Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Photo des notessur la vie des moustiques

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

La fièvre typhoïde

Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits

  • La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
  • On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
  • Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
  • On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
  • On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
  • La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
La suite sur le site officiel....

Confirmer votre avis : le risque de transmission en France hexagonale est faible

Changer votre opinion : le risque est élevé

Après vérification, vous décidez de :

La propagation du moustique Tigre Aedes Albopictus en France

Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Conclusion de votre aventure

Recommencer l'aventure

Vous avez brillamment identifié les trois épidémies en cours au Sri Lanka. Les autorités locales sont très heureuses de votre travail.

En revanche, quelques années plus tard, on apprendra que le Chikungunya est arrivé en France depuis le Sri Lanka.

Vous auriez dû voir que le moustique tigre, vecteur de la maladie, était présent en France !

Votre réputation dans le milieu médical est ruinée.

And I don't give a damn 'bout my bad reputation

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Alerte au Sri Lanka - Voyage en avion

Evasan des malades du chikungunya

Vous expliquez à l'ambassadeur qu'il faut prendre des précautions pour éviter les contaminations en France hexagonale.

Traiter le cas des evasan atteints de fièvre typhoïde

En effet, le moustique tigre, vecteur de la maladie est présent dans le Sud de la France hexagonale et dans les DOM.Le risque de transmission est donc élevé et il faut isoler les malades des moustiques.

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Risque épidémique des Evasan Typh

Carte

Lepto

La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.

  • Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
  • Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
  • Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
Rappels sur la leptospirose La leptospirose est une maladie bactérienne présente dans le monde entier. La leptospirose est causée par la bactérie Leptospira interrogans. Celle-ci se maintient assez facilement dans le milieu extérieur (eau douce, sols boueux), ce qui favorise la contamination. La saisonnalité de la maladie est très marquée, avec une recrudescence estivo-automnale liée à la chaleur et aux précipitations. Les leptospires sont des bactéries susceptibles d'infecter un grand nombre de mammifères sauvages (rongeurs et insectivores : rats, tangues, musaraignes, etc.) et domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chiens), qui servent de réservoirs et les excrètent dans leur urine. Les bactéries peuvent survivre plusieurs mois dans un milieu humide et chaud. Certaines professions (agriculteurs, éleveurs, égoutiers, éboueurs…) et les personnes pratiquant des loisirs nautiques (baignade, canoé, kayak, pêche, chasse, canyoning...) sont particulièrement à risque. Chez l'humain, la bactérie pénètre principalement par la peau lésée ou les muqueuses, la maladie est souvent bénigne, mais peut conduire à l'insuffisance rénale, voire à la mort dans 5 à 20% des cas. L'incubation dure de 4 à 14 jours. Dans la forme modérée, la maladie débute par une fièvre élevée avec frissons, maux de tête, douleurs musculaires et douleurs articulaires diffuses. Dans 20% des cas, elle se complique d'un syndrome hémorragique. Les formes graves (ictéro-hémorragique ou maladie de Weil) associent insuffisance rénale aiguë, atteinte neurologique (convulsions, coma) et des hémorragies plus ou moins sévères (pulmonaire, digestive). Les signes cliniques initiaux peu spécifiques (céphalées, fièvre, myalgies) peuvent conduire à un retard diagnostique et thérapeutique par confusion avec des diagnostics différentiels tels que la grippe, le chikungunya ou la dengue. Mesures de prévention et de protection individuelle contre la leptospirose
  • dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
  • éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
  • limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
  • éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
  • consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Il existe une vaccination contre la leptospirose. Son efficacité étant limitée à certaines souches de leptospires, elle est rarement réalisée en pratique. Pour le voyageur, des informations détaillées sont disponibles sur les sites Mesvaccins.net ou Medecinedesvoyages.net. Source : Médias locaux via Outbreaks Next Today

Palu

Dengue

Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.

SVT

Épidémie

Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion

  • Article de France Info
Notes personnelles : Revoir les notions de virulence et de prévalence.

Grippe espagnole

Briefing

Test API

Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

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Photo des notes sur les maladies communes

Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Photo des notessur la vie des moustiques

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

La fièvre typhoïde

Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits

  • La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
  • On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
  • Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
  • On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
  • On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
  • La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
La suite sur le site officiel....

Risque faible

Risque élevé

Concernant les risques épidémiques en France, vous pensez que les evasan de malades de la fièvre typhoïde entrainent un :

Extraits du rapport de l'institut Pasteur concernant la fièvre typhoïde Les fièvres typhoïde et paratyphoïde sont des maladies infectieuses potentiellement mortelles en l’absence de traitement. Ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire et frappent principalement les pays en voie de développement. En France, de 100 à 150 cas sont répertoriés chaque année chez des voyageurs ou des personnes originaires de zones d’endémie (Afrique, Asie, Amérique latine). Les fièvres typhoïdes et paratyphoïdes sont causées par des bactéries appartenant au genre Salmonella, mais dont le réservoir est strictement humain. Ces bactéries appartiennent au sérotype Typhi ou moins fréquemment aux sérotypes Paratyphi A, B ou C. La contamination résulte, le plus souvent de l’ingestion d’eau ou d’aliments ayant subi une contamination fécale d’origine humaine ou d’une transmission directe de personne-à-personne. Comme toutes les maladies à transmission oro-fécale, ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire, et frappent principalement les pays en développement en Asie, en Afrique ou en Amérique Latine. La prévention repose sur la surveillance épidémiologique et la lutte contre le "péril fécal". La dissémination des bactéries peut être enrayée par : une distribution d’eau de qualité, bactériologiquement contrôlée, le traitement des eaux usées, la généralisation du tout-à-l’égout, le contrôle des zones de récolte des coquillages, la pasteurisation des aliments, beurre et lait en particulier et le respect strict des règles d’hygiène pour tous les travailleurs du milieu de la restauration. Tous ces éléments sont très surveillés en France.

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Risque épidémique des Evasan Typh

En regardant le rapport de l'institut Pasteur, l'ambassadeur arrive à une conclusion différente de vous.

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"Vous pensez vraiment que les malades de la fièvre typhoïde que nous évacurions en France ne risque pas d'y transmettre la maladie ?Peut-être devriez-vous relire les notes sur la fièvre typhoïde."

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Risque épidémique des Evasan Typh

Carte

Lepto

La leptospirose au Sri Lanka Publié le 12 mai 2019 à 08h27 – Par Claude HENGY Au Sri Lanka, les autorités sanitaires ont notifié une augmentation du nombre de cas de leptospirose, depuis le début de l'année dans le pays.

  • Du 1er janvier au 30 avril, l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé a notifié 1464 cas, dont 12 décès.
  • Cela se compare à 1294 cas notifiés au cours de la même période en 2018.
  • Les villes ayant notifié le plus grand nombre de cas cette année sont Ratnapura (259 cas), Kalutara (205 cas) et Galle (122 cas). La capitale Colombo a notifié 70 cas.
Rappels sur la leptospirose La leptospirose est une maladie bactérienne présente dans le monde entier. La leptospirose est causée par la bactérie Leptospira interrogans. Celle-ci se maintient assez facilement dans le milieu extérieur (eau douce, sols boueux), ce qui favorise la contamination. La saisonnalité de la maladie est très marquée, avec une recrudescence estivo-automnale liée à la chaleur et aux précipitations. Les leptospires sont des bactéries susceptibles d'infecter un grand nombre de mammifères sauvages (rongeurs et insectivores : rats, tangues, musaraignes, etc.) et domestiques (bovins, ovins, caprins, porcs, chiens), qui servent de réservoirs et les excrètent dans leur urine. Les bactéries peuvent survivre plusieurs mois dans un milieu humide et chaud. Certaines professions (agriculteurs, éleveurs, égoutiers, éboueurs…) et les personnes pratiquant des loisirs nautiques (baignade, canoé, kayak, pêche, chasse, canyoning...) sont particulièrement à risque. Chez l'humain, la bactérie pénètre principalement par la peau lésée ou les muqueuses, la maladie est souvent bénigne, mais peut conduire à l'insuffisance rénale, voire à la mort dans 5 à 20% des cas. L'incubation dure de 4 à 14 jours. Dans la forme modérée, la maladie débute par une fièvre élevée avec frissons, maux de tête, douleurs musculaires et douleurs articulaires diffuses. Dans 20% des cas, elle se complique d'un syndrome hémorragique. Les formes graves (ictéro-hémorragique ou maladie de Weil) associent insuffisance rénale aiguë, atteinte neurologique (convulsions, coma) et des hémorragies plus ou moins sévères (pulmonaire, digestive). Les signes cliniques initiaux peu spécifiques (céphalées, fièvre, myalgies) peuvent conduire à un retard diagnostique et thérapeutique par confusion avec des diagnostics différentiels tels que la grippe, le chikungunya ou la dengue. Mesures de prévention et de protection individuelle contre la leptospirose
  • dans la mesure du possible, se protéger par le port de bottes et de gants lors d'une activité à risque (agriculture, élevage, jardinage, pêche en eau douce, ramassage d‘ordures) ;
  • éviter de se baigner en eau douce et de laver son linge en rivière lorsqu'on est porteur de plaies (ou à défaut protéger les plaies en utilisant des pansements imperméables) ;
  • limiter les contacts des muqueuses avec l'eau (port de lunettes de natation) ;
  • éviter de marcher pieds nus ou en chaussures ouvertes sur des sols boueux ou dans les eaux de ruissèlement ;
  • consulter sans délai un médecin en cas d'apparition des symptômes en lui signalant l'activité à risque pratiquée.
Il existe une vaccination contre la leptospirose. Son efficacité étant limitée à certaines souches de leptospires, elle est rarement réalisée en pratique. Pour le voyageur, des informations détaillées sont disponibles sur les sites Mesvaccins.net ou Medecinedesvoyages.net. Source : Médias locaux via Outbreaks Next Today

Palu

Dengue

Près de 5 000 cas de fièvre dengue, en janvier, au Sri lanka Publié le 29 jan. 2019 à 17h55 – Par Jacques MORVAN Au Sri Lanka, selon l'unité d'épidémiologie du ministère de la Santé, les responsables de la santé ont notifié 4 825 cas de dengue au cours des quatre premières semaines de 2019. Au moins deux décès liés à la dengue ont étés notifiés. Toutefois ce total est inférieur au nombre de cas signalés au cours de la même période de janvier 2018 avec 7 278 cas. Colombo a enregistré le plus grand nombre de cas (1182 cas), suivi de Jaffna (900 cas) et de Gampaha (465 cas). Rappels sur la dengue La dengue, maladie virale due au virus de la Dengue (4 sérotypes) de la famille des Flaviviridae, transmise par une piqûre de moustique, se manifeste le plus souvent par un syndrome grippal (fièvre, douleurs musculaires, parfois éruption cutanée). La dengue peut évoluer en forme grave hémorragique. La prise d'aspirine est formellement déconseillée. Il n'existe pas de traitement médicamenteux préventif disponible contre la dengue. Il n'existe pas de traitement spécifique contre le virus. Pour les touristes européens, la prévention de la dengue passe donc par la lutte contre son vecteur Aedes albopictus. Le moyen le plus efficace pour combattre ce moustique est d'éliminer ses lieux de ponte (soucoupes, petits récipients, déchets, réservoirs, vases, pneus, etc.). Il est conseillé aux voyageurs de se protéger des piqûres de moustique. Il convient de respecter les mesures habituelles de lutte anti-vectorielle : port de vêtements couvrants ; répulsifs anti-moustiques, contenant du DEET, sur la peau découverte ; vêtements et moustiquaire imprégnés d'insecticide pour la sieste et la nuit ; les personnes qui utilisent un écran solaire doivent appliquer le répulsif 20 minutes après l'écran solaire. Afin d'éviter au maximum la dissémination du virus de la dengue sur le territoire métropolitain, devant une fièvre d'apparition brutale et des douleurs articulaires ou musculaires dans les 15 jours qui suivent le retour d'un voyage en zone à risque, il faut consulter son médecin au plus vite en signalant son voyage. Source : Outbreak News Today.

SVT

Épidémie

Focus sur l'épidémie de Chikungunya à la Réunion

  • Article de France Info
Notes personnelles : Revoir les notions de virulence et de prévalence.

Briefing

Grippe espagnole

Test API

Test génétiques

Méthode pour détecter des virus Les biologistes disposent de méthodes qui permettent de détecter des fragments particulier d'ADN d'un virus. Les résultats sont révélés par la méthode de l'électrophorèse : les fragments d'ADN se présentent alors sous forme de bandes dont la distance au dépôt est caractéristique du fragment. Ces études se réalisent au laboratoire. Exemple de résultats d'électrophorèse permettant de détecter le virus de la dengue

docde mission

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Renseignement sur la dengue La dengue, aussi appelée « grippe tropicale », est une maladie virale transmise à l’homme par des moustiques du genre Aedes. L’incidence de la dengue progresse actuellement de manière très importante. L’OMS estime à 50 millions le nombre de cas annuels et l’inscrit aujourd’hui aux rangs des maladies dites «réémergentes » On compte 500 000 cas de dengue hémorragique qui sont mortels dans plus de 2,5% des cas. Le virus est bien sur invisible au microscope classique mais se repère grâce à des tests génétiques ! Le moustique tigre, un moustique du genre Aedes en plein repas de sang Renseignement sur le chikungunya Le chikungunya (en abrégé, le chik), est une maladie infectieuse tropicale provoquée par le virus du chikungunya (CHIKV), du genre Alphavirus, famille des Togaviridae. Elle est transmise par des moustiques du genre Aedes. Le nom est d'origine makondée et signifie : « qui se recourbe, qui se recroqueville », à l'image des feuilles tombées des arbres qui se recourbent en séchant. Les virus sont impossible à voir au microscope classique. On les détecte avec des méthodes de génétique ou des anticorps. Renseignement sur le paludisme Le paludisme ou la malaria est appelé également « fièvre des marais » C'est une maladie due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec 219 millions de personnes malades et 435 000 décès en 2017, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes. 80 % des cas ont été enregistrés dans quinze pays d'Afrique subsaharienne et en Inde. Anopheles en plein repas de sang Le plasmodium est très visible au microscope classique (optique). C'est un petit vers microscopique qui vit dans les globules rouges. Il est parfois aussi visible autour de ceux-ci. Plasmodium circulant dans le sang Renseignement sur la leptospirose La leptospirose est une maladie infectieuse, de gravité variable, dues à des bactéries du genre Leptospira transmise par les rongeurs sauvages (porteurs sains), souvent les rats. Ces animaux excrètent les bactéries pathogènes dans leur urine, qui contamine le sol et les eaux, source directe ou indirecte des infections humaines (activités en eaux douces ou usées). Il n'existe pas de transmission interhumaine. Les bactéries se voient au microscope mais il faut un fort grossissement. Plus classiquement on fait des tests dits API pour montrer leur présence. Le rat, vecteur de la leptospirose

Photo des notessur la vie des moustiques

La biologie des moustiques, en bref…. Il existe beaucoup de genres de moustique mais ceux qui intéressent l’humain appartiennent aux groupes suivants : Aedes, Culex et Anophèle. Tous les moustiques ont besoin d’eau pour pondre leurs œufs. Les eaux sont différentes mais les Aedes par exemple aiment les eaux stagnantes et parfois sales alors que l’anophèle préfère les eaux claires. Il faut que ces eaux soient calmes (non agitées). On appelle GITE LARVAIRE les endroits qui accumulent ces types d’eaux où les moustiques peuvent pondre. Les moustiques ont généralement besoin d’une température d’eau supérieure à 25°C pour pondre et en-dessous de 18°C ils ne se développent plus et ne sont plus actifs. Chez tous, la femelle pique un mammifère car elle a besoin du sang pour faire se développer ses ovocytes pour la fécondation. Dans l’eau, l’œuf se transforme en larve qui se transforme en nymphe qui se transforme en adulte qui lui est aérien. On peut reconnaître l'espèce de larve par l’extrémité arrière du corps. Les indices à regarder pour reconnaître des larves de moustiques

Détecter les gros parasites

Méthode pour détecter les plus gros parasites microscopiques Les protozoaires sont des unicellulaires microscopiques. Certains d'entre eux sont des parasites des cellules sanguines. Leur taille est suffisamment grande pour être observable directement au microscope optique classique. Les nématodes sont des vers pluricellulaires. Certains d'entre eux sont parasites de l'être humain et provoquent des maladies, parfois graves Ils sont responsables de nombreuses maladies qui font des centaines de milliers de morts chaque année dans le monde. Voilà des observations des plus fréquents : A. Plasmodium, protozoaire responsable du paludisme, reconnaissable à sa forme de ver - Mais attention, ce n'est pas vraiment un ver. B. Borrelia, protozoaire responsable de fièvres récurrentes C. et D. : protozoaire Trypanosomes, responsables de plusieurs maladies appelées des trypanosomiases E. Babesia, protozoaire responsable de la babésiose, une forme d'anémie F. Wuchereria, nématode responsable de la filariose

La fièvre typhoïde

Information sur la bactérie Salmonella Typhi Principaux faits

  • La fièvre typhoïde est une infection potentiellement mortelle due à la bactérie Salmonella typhi. Elle se propage habituellement par l’eau ou les aliments contaminés.
  • On estime que, chaque année, de 11 à 20 millions de personnes contractent cette maladie et que de 128 000 à 161 000 en meurent.
  • Les symptômes sont les suivants: fièvre prolongée, fatigue, céphalées, nausées, douleurs abdominales, constipation ou diarrhée. Certains patients peuvent présenter une éruption cutanée. Dans les cas sévères, elle peut entraîner des complications sérieuses, voire la mort.
  • On peut traiter la fièvre typhoïde au moyen d’antibiotiques, même si les résistances croissantes à différents types de ces médicaments compliquent le traitement.
  • On a utilisé pendant de nombreuses années 2 vaccins préventifs. Un nouveau vaccin conjugué, conférant une immunité de plus longue durée, a été préqualifé par l’OMS en décembre 2017.
  • La fièvre typhoïde est très répandue dans les endroits où l’eau potable et l’assainissement font défaut. L’accès à l’eau potable et à des moyens d’assainissement adéquats, l’éducation sanitaire, le respect des bonnes pratiques d’hygiène chez les personnes qui manipulent des aliments et la vaccination sont autant de moyens efficaces de lutter contre la fièvre typhoïde.
La suite sur le site officiel....

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Extraits du rapport de l'institut Pasteur concernant la fièvre typhoïde Les fièvres typhoïde et paratyphoïde sont des maladies infectieuses potentiellement mortelles en l’absence de traitement. Ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire et frappent principalement les pays en voie de développement. En France, de 100 à 150 cas sont répertoriés chaque année chez des voyageurs ou des personnes originaires de zones d’endémie (Afrique, Asie, Amérique latine). Les fièvres typhoïdes et paratyphoïdes sont causées par des bactéries appartenant au genre Salmonella, mais dont le réservoir est strictement humain. Ces bactéries appartiennent au sérotype Typhi ou moins fréquemment aux sérotypes Paratyphi A, B ou C. La contamination résulte, le plus souvent de l’ingestion d’eau ou d’aliments ayant subi une contamination fécale d’origine humaine ou d’une transmission directe de personne-à-personne. Comme toutes les maladies à transmission oro-fécale, ces fièvres surviennent le plus souvent dans des zones où l’hygiène est précaire, et frappent principalement les pays en développement en Asie, en Afrique ou en Amérique Latine. La prévention repose sur la surveillance épidémiologique et la lutte contre le « péril fécal ». La dissémination des bactéries peut être enrayée par : une distribution d’eau de qualité, bactériologiquement contrôlée, le traitement des eaux usées, la généralisation du tout-à-l’égout, le contrôle des zones de récolte des coquillages, la pasteurisation des aliments, beurre et lait en particulier et le respect strict des règles d’hygiène pour tous les travailleurs du milieu de la restauration. Tous ces éléments sont très surveillés en France.

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Conclusion de votre aventure

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Vous avez brillamment identifié les trois épidémies en cours au Sri Lanka. Les autorités locales sont très heureuses de votre travail.

En revanche les précautions que vous avez conseillées pour les evasan de la fièvre typhoïde sont ridicules.

La qualité du traitement de l'eau en France et les habitudes sanitaires rendent la transmission par les eaux infectées très improbable.

Votre réputation dans le milieu médical est ruinée.

And I don't give a damn 'bout my bad reputation

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Evasan des malades de la fièvre typhoïde

Vous expliquez à l'ambassadeur qu'il est inutile de prendre des précautions particulières pour éviter les contaminations de fièvre typhoïde en France hexagonale.

Bravo ! Il n'y a plus qu'à conclure votre aventure

En effet, la maladie se transmet lorsqu'elle passe des excréments de l'individu dans l'eau.Or le traitement normal des eaux en France permet d'éliminer la bactérie et les habitudes sanitaires de la population rendent cette situation très improbable.

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Bravo !

Vous avez gagné le droit de partir en vacances !

Vous avez su identifier les trois épidémies en courset évaluer correctement les risques pour la France !

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La police a été appelée en réaction à vos actions violentes

L'ambassadeur réussira à vous faire sortir de prison et à dissiper le malentendu

Mais vous ne pourrez jamais reprendre votre mission

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Votre incompétence fait peur auxSri LankaisSous prétexte de visiter des villages touchés, ils vous embarquent dans un grand tour du Sri Lanka

Vous passez 1 mois à découvrir les merveilles archéologiques et culturelles du pays

Mais vous ne pourrez jamais reprendre votre mission

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