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Page Wikipédia d'Olivier Marleix :

27 juin 2018

Modifications réalisées depuis l'Assemblée nationale

En novembre 2017 s’ouvre une commission d’enquête parlementaire sur les décisions de l’Etat en matière de politique industrielle, s’intéressant notamment sur le cas de cession de la branche Energie d’Alstom, où Olivier Marleix en est le Président.

Le PDG d’Alstom de l’époque, Patrick Kron, est soupçonné d’avoir « brader » la branche Energie d’Alstom pour échapper à des poursuites qui le visaient personnellement aux Etats-Unis. Si tel était le cas, la question était de savoir qui au sommet de l’Etat était au courant. Arnaud Montebourg, alors ministre de l’économie en 2014, a été interrogé et a déclaré à propos de la vente de la branche énergétique d’Alstom : « Les alertes ne sont pas parvenues jusqu'à moi. Elles étaient allées ailleurs, je le sais, mais pas au ministère de l'Économie », conjointement en ciblant le Président de la République, François Hollande : « Monsieur le président de la République ne voulait pas affronter les Américains. C'est un choix politique. »

Le 26 août 2014, Emmanuel Macron devient ministre de l’économie et reprend en charge le dossier « Alstom-General Electric », permettant ainsi la cession de la branche énergétique d’Alstom au géant américain General Electric. Devenu Président de la République française le 14 mai 2017, Emmanuel Macron ne peut se voir auditionner sur le sujet durant son mandat.

14h51

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27 juin 2018

Modifications réalisées depuis l'Assemblée nationale

En novembre 2017 s’ouvre une commission d’enquête parlementaire sur les décisions de l’Etat en matière de politique industrielle, s’intéressant notamment sur le cas de cession de la branche Energie d’Alstom, où Olivier Marleix en est le Président.

Le PDG d’Alstom de l’époque, Patrick Kron, est soupçonné d’avoir « brader » la branche Energie d’Alstom pour échapper à des poursuites qui le visaient personnellement aux Etats-Unis. Si tel était le cas, la question était de savoir qui au sommet de l’Etat était au courant. Arnaud Montebourg, alors ministre de l’économie en 2014, a été interrogé et a déclaré à propos de la vente de la branche énergétique d’Alstom : « Les alertes ne sont pas parvenues jusqu'à moi. Elles étaient allées ailleurs, je le sais, mais pas au ministère de l'Économie », conjointement en ciblant le Président de la République, François Hollande : « Monsieur le président de la République ne voulait pas affronter les Américains. C'est un choix politique. »

Le 26 août 2014, Emmanuel Macron devient ministre de l’économie et reprend en charge le dossier « Alstom-General Electric », permettant ainsi la cession de la branche énergétique d’Alstom au géant américain General Electric. Devenu Président de la République française le 14 mai 2017, Emmanuel Macron ne peut se voir auditionner sur le sujet durant son mandat.

15h05

En novembre 2017, à l'initiative du groupe Les Républicains, une commission d’enquête parlementaire sur les décisions de l’Etat en matière de politique industrielle, s’intéressant notamment au cas de cession de la branche Energie d’Alstom. Olivier Marleix assume la présidence de la commission.

L'objet de la commission d'enquête était d'examiner les conditions dans lesquelles les ministres de l'économie successifs ont accordé, dans la précipitation, l'autorisation de vendre Alstom, une entreprise liée à la sécurité nationale.

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27 juin 2018

Le PDG d’Alstom de l’époque, Patrick Kron, est soupçonné d’avoir « brader » la branche Energie d’Alstom pour échapper à des poursuites qui le visaient personnellement aux Etats-Unis. Si tel était le cas, la question était de savoir qui au sommet de l’Etat était au courant. Arnaud Montebourg, alors ministre de l’économie en 2014, a été interrogé et a déclaré à propos de la vente de la branche énergétique d’Alstom : « Les alertes ne sont pas parvenues jusqu'à moi. Elles étaient allées ailleurs, je le sais, mais pas au ministère de l'Économie », conjointement en ciblant le Président de la République, François Hollande : « Monsieur le président de la République ne voulait pas affronter les Américains. C'est un choix politique. »

Le 26 août 2014, Emmanuel Macron devient ministre de l’économie et reprend en charge le dossier « Alstom-General Electric », permettant ainsi la cession de la branche énergétique d’Alstom au géant américain General Electric. Devenu Président de la République française le 14 mai 2017, Emmanuel Macron ne peut se voir auditionner sur le sujet durant son mandat.

15h21

En novembre 2017, à l'initiative du groupe Les Républicains, une commission d’enquête parlementaire sur les décisions de l’Etat en matière de politique industrielle, s’intéressant notamment au cas de cession de la branche Energie d’Alstom. Olivier Marleix assume la présidence de la commission.

L'objet de la commission d'enquête était d'examiner les conditions dans lesquelles les ministres de l'économie successifs ont accordé, dans la précipitation, l'autorisation de vendre Alstom, une entreprise liée à la sécurité nationale.

L'objet de la commission d'enquête était d'une part d'examiner les conditions dans le ministres de l'économie Emmanuel Macron a accordé l'autorisation de vendre Alstom, une entreprise stratégique soumise à autorisation préalable, d'autre part d'en tirer des leçons pour mieux protéger à l'avenir les fleurons nationaux.

La commission d'enquête a révélé des dysfonctionnements dans le contrôle des investissements étrangers dans les entreprises exerçant une activité dans le domaine de la sécurité nationale et préconise d'avantage de transparence dans le processus.

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Le PDG d’Alstom de l’époque, Patrick Kron, est soupçonné d’avoir « bradé » la branche Energie d’Alstom pour échapper à des poursuites qui le visaient personnellement aux Etats-Unis. Si tel était le cas, la question était de savoir qui au sommet de l’Etat était au courant. Arnaud Montebourg, alors ministre de l’économie en 2014, a été interrogé et a déclaré à propos de la vente de la branche énergétique d’Alstom : « Les alertes ne sont pas parvenues jusqu'à moi. Elles étaient allées ailleurs, je le sais, mais pas au ministère de l'Économie », conjointement en ciblant le Président de la République, François Hollande : « Monsieur le président de la République ne voulait pas affronter les Américains. C'est un choix politique. »

Le 26 août 2014, Emmanuel Macron devient ministre de l’économie et reprend en charge le dossier « Alstom-General Electric », permettant ainsi la cession de la branche énergétique d’Alstom au géant américain General Electric. Devenu Président de la République française le 14 mai 2017, Emmanuel Macron ne peut se voir auditionner sur le sujet durant son mandat.

Version Actuelle

En novembre 2017, à l'initiative du groupe Les Républicains, une commission d’enquête parlementaire sur les décisions de l’Etat en matière de politique industrielle, s’intéressant notamment au cas de cession de la branche Energie d’Alstom. Olivier Marleix assume la présidence de la commission.

L'objet de la commission d'enquête était d'une part d'examiner les conditions dans le ministres de l'économie Emmanuel Macron a accordé l'autorisation de vendre Alstom, une entreprise stratégique soumise à autorisation préalable, d'autre part d'en tirer des leçons pour mieux protéger à l'avenir les fleurons nationaux.

La commission d'enquête a révélé des dysfonctionnements dans le contrôle des investissements étrangers dans les entreprises exerçant une activité dans le domaine de la sécurité nationale et préconise d'avantage de transparence dans le processus.

Modifications réalisées depuis l'Assemblée nationale

L'objet de la commission d'enquête était d'examiner les conditions dans lesquelles le ministre de l'économie Emmanuel Macron a autorisé la vente d'Alstom, une entreprise stratégique soumise à autorisation préalable et, d'autre part d'en tirer des leçons pour mieux protéger à l'avenir les fleurons nationaux. La commission d'enquête a révélé des dysfonctionnements dans la procédure des investissements étrangers dans les secteurs liés à la sécurité nationale et a préconisé davantage de transparence dans le processus.