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Transcript

Les combats font rage du côté de Courrières

25-27 mai 1940

28 mai 1940

L'armée allemande massacre des civils à Oignies et Courrières

1945

Les deux villes sont reconnues cités martyres

1947

Le président de la République, Vincent Auriol, viendra inaugurer le mausolée d’Oignies.

octobre1950

Le procès du capitaineHorst Kolrep

24 mai 2020

Un hommage en comité restreint

Les associations d'histoire locale de Oignies et Courrières rassemblent et partagent de nombreuses archives

Infographie "La Voix" - Pauline Dewez

Les dates

Parmi les documents conservés par Onyacum, cette photo prise avant-guerre de cinq hommes jouant au billon (Joseph Carlier, M. Carton, Albert Dumont, Charlemagne Deltombe et Louis Poutrain). Seul le deuxième ne sera pas fusillé par les Allemands.

Ce jour-là, le curé de la paroisse polonaise, Jan Chodura, est abattu « à bout portant, derrière la chapelle, en voulant défendre ses ouailles ».

« Le bébé ne pleurait plus et le garde champêtre a serré la gueule de son chien entre ses mains. On attendait la suite... » Michel Blancke, 95 ans, se souvient de cette journée où il s'est caché dans la cave de la maison familiale.Lire son témoignage > http://vdn.lv/Jx6Rad - Michel Blancke et Jacqueline Gamand, ils ont survécu au massacre d'OigniesÂgé de 95 ans, Michel Blancke habitait là où se trouve aujourd'hui la Caisse d'épargne. Réfugié dans la cave de la maison du garde avec sa famille,...La Voix du Nord

Parmi les documents conservés par l'association d'histoire locale Onyacum, cette photo prise avant-guerre de cinq hommes jouant au billon (Joseph Carlier, M. Carton, Albert Dumont, Charlemagne Deltombe et Louis Poutrain). Seul le deuxième ne sera pas fusillé par les Allemands.

A l’aube, les soldats de la 267e division de la Wermacht s’emparent de la ville. Les soldats allemands sortent de force les habitants réfugiés dans les caves, lancent si besoin des grenades pour les déloger. Les Allemands fusillent sans distinction, brûlent les cadavres. Notre article complet > http://vdn.lv/7fP77x - Il y a 80 ans, Oignies vivait la journée la plus tragique de son histoireLe 28 mai 1940, après trois jours de combats meurtriers, l'armée allemande entrait dans Oignies. Elle commettait alors, ici et à Courrières, l'un de...La Voix du Nord

Les combats font rage, notamment du côté du pont de la Batterie, vers Courrières. Les tirailleurs franco-marocains et les hommes de la Sherwood Forester défendent vaillamment la ville et infligent de lourdes pertes à la Wehrmacht. Dans la nuit, les Alliés se retirent. Le drame peut se nouer...

Le président de la République en personne, Vincent Auriol, est venu inaugurer le monument à Oignies.

Le capitaine allemand Horst Kolrep est le seul des neuf officiers, sous-officiers et soldats accusés d’avoir participé aux massacres à comparaître les 25 au 26 octobre 1950 devant le tribunal militaire de Metz qui siège exceptionnellement à Lille. Condamné à mort, il sera fusillé en juin 1951 à la citadelle de Lille.

« Le bébé ne pleurait plus et le garde champêtre a serré la gueule de son chien entre ses mains. On attendait la suite... » Michel Blancke, 95 ans, se souvient de cette journée où il s'est caché dans la cave de la maison familiale. Lire son témoignage > http://vdn.lv/Jx6Rad - Michel Blancke et Jacqueline Gamand, ils ont survécu au massacre d'OigniesÂgé de 95 ans, Michel Blancke habitait là où se trouve aujourd'hui la Caisse d'épargne. Réfugié dans la cave de la maison du garde avec sa famille,...La Voix du Nord

Pandémie oblige, la commémoration du 80e anniversaire de la tragédie s’est déroulée dans un format restreint, samedi matin au cimetière.

Ce jour-là, le curé de la paroisse polonaise, Jan Chodura, est abattu « à bout portant, derrière la chapelle, en voulant défendre ses ouailles ».

« Votre visage est gravé dans ma tête. Je dis que c’est vous qui avez tué mon fils. » Mme Carlier, mère d’un jeune de 17 ans fusillé à Courrières, lors d’un des moments les plus forts du procès.

« Votre visage est gravé dans ma tête. Je dis que c’est vous qui avez tué mon fils. » Mme Carlier, mère d’un jeune de 17 ans fusillé à Courrières, lors d’un des moments les plus forts du procès.