Une résidence en Cévennes

Immersion en Cévennes

Invitée en résidence au lycée Jacques Prévert de Saint-Christol-lez-Alès, par Sandra Lavedan, professeure de Lettres, Juliette Mézenc, auteure, a rencontré des membres issus de l’ensemble de la communauté éducative. Malgré la rupture due au confinement, Juliette est néanmoins parvenue à poursuivre les échanges avec quelques élèves. Elle a laissé au lycée, sans aucun doute, l’empreinte de son passage.

Le projet à la loupe

Un projet fédérateur

Créations d'élèves et de l'autrice

Témoignages

Partages en confinement

Juliette Mézenc

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Le projet à la loupe

Qu’est-ce qu’une résidence d’artiste ?

Quel projet d’écriture pour l’auteure en résidence ?

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Le projet à la loupe

Qu’est-ce qu’une résidence d’artiste ?

Une résidence d’artiste, c’est un temps d’immersion fort d’un professionnel, ici une auteure Juliette Mézenc, dans un établissement scolaire, ici le lycée Jacques Prévert de Saint-Christol-lez-Alès qui baigne dans un écrin de verdure et porte l’empreinte du passé cévenol. Une présence qui nourrit les élèves et les personnels d’un établissement de la personnalité et du professionnalisme de l’auteure. Mais aussi des rencontres de nature à féconder l’auteure en résidence qui est engagée dans un travail de création personnelle. Ce sont ces échanges, qui se sont déclinés en présentiel et ont dû se poursuivre par du virtuel qui ont fait surgir ces innombrables traces de temps très intenses, ces fragments d’écriture.Pour favoriser des échanges avec tous les adultes et jeunes de l’établissement, Juliette a rencontré de manière informelle dans des lieux divers, adultes et jeunes, sur le temps méridien, certains soirs et ouverts à tous.

Présentation des ateliers de Juliette

Présentation résidence d'artiste J. Mézenc

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Le projet à la loupe

Quel projet d’écriture pour l’auteure en résidence ?

Pour Juliette Mézenc, il s'agit de s'immerger dans un milieu propice à la création littéraire. Elle définit son projet littéraire en ces termes: « Chalap » sera un récit qui relève de la fiction écologique dans le sens où il explorera les échanges, multiples, qu'ils soient gazeux, sonores ou écrits, entre des êtres vivants et leur milieu, les montagnes Cévenoles.Il s'agira de suivre le doux délire de Bassoléa, narratrice du Monologue de Bassoléa (paru à la suite Des espèces de dissolution en 2019), qui continuera de creuser une « véranda sous terre », poste d'observation privilégié pour suivre au plus près le processus du vivant (pour y accéder rendez-vous sur partages en confinement).

Le projet Chalap présenté par l'auteure

Un projet pour tous

La résidence d’artiste a eu vocation de permettre à chacun, adulte ou jeune, scientifique ou amateur de fictions, de faire un pas en littérature. Juliette Mézenc a rencontré des personnels très variés de l’établissement, et a aussi échangé avec des lycéens…Voici quelques témoignages de ces rencontres !

Témoignage de MarjorieCPE

Témoignage de Nathan, élève de première

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Prénoms

Newtopies

Chalap

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Prénoms

Déclinons nos prénoms.

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Prénoms

Je ne réfléchis pas souvent à mon prénom.Je n’y ai même jamais pensé.Mais je sais qu’il ne représente pas grand-chose pour moi.Mon indifférence est probablement due au manque d’informations que j’ai sur son origine.On m’a répété maintes fois que fut un temps où Armand était un membre de ma famille.En quoi cela m’importe-t-il ?Je n’ai jamais connu cet homme…Seule me plait l’originalité de ce prénom.Mais il ne me suffit pas, j’en suis conscient,Je ne suis pas seulement Armand.Il y a plus.Les prénoms restreignent ce que l’on est.Je suis plus qu’Armand.

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Prénoms

Mon prénom est né d’un désaccord,Ça a commencé avec l’idée de mon père avec le prénom de sa mère Meryem.Cela n’a pas plu à ma mère et elle était en quelque sorte «jalouse».Ma mère voulait donc donner le prénom de sa mère à elle, Emine.D’un désaccord ils sont passé à un accord,Aujourd’hui je m’appelle Emine Meriem, mais mon deuxième prénom Meriem est comme invisible.

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Prénoms

Mon prénom n’a pas de réelle signification mise à part que mon prénom commence par un D, et ce D a une importance pour la suite de la petite histoire de mon prénom.Mon père étant berger, à l’époque, voulait que son fils reprenne son troupeau de brebis et pour cela il fallait que mes initiales soit les mêmes que mon père et mon grand-père… Hé oui, en effet mon grand-père a souhaité la même chose pour le prénom de mon père, tout ça pour que le troupeau familial survive avec chaque brebis marquée de nos initiales ( DD ).D, c’est la première lettre de mon prénomD, c’est l’histoire de mon prénomD, c’est l’histoire de toute une générationEt d’un simple troupeau de brebis familialD, comme mon père et mon grand-père,D, une lettre pour des initiales communesDaniel, Damien, Dorian, Toute une descendance…

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Prénoms

Mon prénom,Qu’en pensez -vous ?Je n’en pense rienAucune émotion voir,de l’irritation.Pourquoi ?Je n’ai jamais aimé l’entendre.Un surnom ? AbsolumentPlus de facilité à l’accepter.Pourquoi donc ?Lui a une signification.Mon prénom lui,N’a pas de signification,Pas d’histoire,Pas de vie.Il est vide de tout sensUn peu comme moi. (Flavie)

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Prénoms

Je n’ai pas du tout envie de parler de mon prénom car j’ai un prénom qui est tout à fait banal et sans intérêt alors à la place je vais partir sur tout autre chose. Mais mon prénom me sert aussi à me reconnaître. Il me permet la plupart du temps de savoir que c’est moi qu’on appelle. Pourtant quelquefois je préférerais que l’on ne m’appelle pas, le matin je préfère le silence et le fait que l’on dise mon prénom me dérange car je sais qu’il y aura forcément une discussion derrière. Quand on est en classe aussi le fait que quelqu’un prononce mon prénom me dérange car que ce soit les élèves ou les professeurs ils me demanderont quelque chose à quoi je n’aurai sûrement pas envie de répondre. (Lana)

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Prénoms

Qui suis-je? Mathias Forbras, c’est ma seule certitude au sujet de mon prénom. Pourquoi ? Comment ? Je n’en ai pas la moindre idée. Et aujourd’hui, c’est la première fois que je m’interroge sur mon prénom. Auparavant, je le portais presque inconsciemment, cela ne me faisait rien, je n’y pensais même pas. Désormais, je m’interroge, je me demande ce qu’ont ressenti mes parents en me l’offrant. Mais surtout, pourquoi ? Plusieurs fois, je me suis imaginé des scénarios expliquant ce choix : par exemple, était-ce une rencontre fortuite qui les avait inspirés, ou alors un bon ami à eux qui portait ce prénom ? Ou alors était-ce un choix parfaitement banal et désintéressé, je ne le sais pas. Cependant, malgré toutes ces questions, je ne demande pas la raison à mes parents, m’imaginant toujours plus de raisons possibles. Je veux y réfléchir.

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Prénoms

Elsa, Emma, Léa c'était les prénoms qu’aimaient mes parents mais pourquoi finalement je m'appelle Cléa ?Léa était quand même leur préférée mais ce prénom était trop courant et pas assez original, comment faire pour l'originaliser ?Ils ont tout simplement essayé le prénom Léa avec toutes les lettres de l'alphabet devant ce qui donnait Aléa, Bléa, Cléa, Dléa, Eléa, Fléa, Gléa , Hléa, Iléa, Jléa, Kléa…Ils ont fini par sélectionner Cléa, Eléa et Kléa, par la suite ils ont retiré Eléa de la liste car avec mon nom de famille ça faisait Eléa Hebrard et ça leur a pas plu.Puis il restait Cléa et Kléa, mais avec un K pour eux c’était moins joli donc j'ai fini par me nommer Cléa à la naissance, d'ailleurs quand j'étais plus jeune sur les cartes d'anniversaire de mes amis leurs mamans écrivaient mon prénom avec un K.

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Prénoms

En voiture un jour, ma maman promenait ma mamie.Devant eux, se trouvait un scooter.Sur ce scooter, le conducteur avait un casque.La marque de ce casque était Nolan.Ma mamie a lu la marque.Ce prénom l'a illuminée.Aujourd’hui mon prénom est Nolann.

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Prénoms

Un jour, ma mère entre dans une librairie. Elle ne cherche rien en particulier, ouvre un livre et découvre un prénom, Ysalis. Ça a été un véritable coup de cœur, ma mère était sur le point de mettre au monde un petit ange, dont elle ne connaissait pas le sexe. En sortant de cet endroit, elle était certaine que si ce petit qui régnait en elle était une fille, elle l’appellerait Ysalis.Quand cet ange est né, une merveilleuse nouvelle, après avoir eu un garçon elle mit au monde une fille qu’elle a décidé de nommer Ysalis, hé oui, c’est moi qui porte ce si beau prénom. Je l’aime beaucoup, je le trouve très original et cela me donne l’impression d’être unique. Je n’ai jamais entendu d’autres personnes portant le même prénom, et ci cela arrivait, ça me ferait très bizarre car j’ai l’habitude qu’il n’y ait que moi que l’on appelle comme ça.Quand j’ai grandi, je me suis plus intéressée à mon prénom, j’ai appris qu’il était d’origine hébraïque, signifiant «Dieu est plénitude».Dans ma famille on m’appelle beaucoup « poupoune » ou bien « poupounette », mes amies c’est plutôt ysa, c’est plus court. Mes parents m’ont donné deux autres prénoms qu’ils adorent, l’un toujours dans l’originalité, c’est Isaure et puis Lou.

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Chalap

« Chalap » sera une fiction écologique dans le sens où il explorera les échanges, multiples, qu'ils soient gazeux, sonores ou écrits, entre des êtres vivants et leur milieu, les montagnes Cévenoles. Il s'agira de suivre le doux délire de Bassoléa, narratrice du Monologue de Bassoléa (paru à la suite Des espèces de dissolution en 2019), qui continuera de creuser une « véranda sous terre », poste d'observation privilégié pour suivre au plus près le processus du vivant.

« Après j’ai récupéré des vitres et des tasseaux et j’ai construit une sorte de véranda qui donne directement dans la terre là où les vérandas donnent habituellement plutôt sur le jardin, ça m’a fait une belle extension de la cave, petite mais largement suffisante pour y placer le canapé-lit qui m’a toujours suivie partout, et quand je suis allongée dans le canapé-lit qui m’a toujours suivie partout je peux à loisir contempler la terre à côté de moi, au-dessus de moi et même sous moi, parce que même le sol de ma véranda est vitré, et tout ce que j’ai appris comme ça, tu ne peux pas savoir, à juste contempler la terre, des choses simples, élémentaires, que pourtant jamais personne ne m’avait enseignées, ni à l’école ni chez moi ni nulle part, et là, enfin, j’étais en plein dans les sciences de la vie et de la terre, en plein dedans, une immersion complète dans les sciences de la vie et de la terre, je lisais dans la terre vivante comme dans un livre, et quel livre (...) ».

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Écouter le monologue de Bassoléa

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Chalap

Ce faisant, Bassoléa continuera de creuser les questions parce que « plus je creusais la question et plus je me disais que tout communique, plus je creusais la question et plus je me disais qu’il fallait creuser les questions, chaque question, que c’était ça l’urgence, s’arrêter et creuser chaque question, ce qui demande un temps fou c’est vrai, et alors, au moins pendant ce temps je ne construisais pas des trucs débiles et hideux et qui détruisent tout (...) ».Le texte formera une tresse où alterneront des passages de monologue, des dialogues avec d'autres humains mais aussi des animaux et des plantes, et des moments plus narratifs qui assureront les liens tout en permettant d'adopter des angles de vue différents.Ce texte de résistance à une vision où s'opposent nature/culture, humain/paysage, civilisation/sauvage, avec les effets désastreux que l'on connaît, se greffera aux résistances des Cévennes, celles des Camisards jusqu'aux communautés libertaires qui s'y sont établies ; d'où le titre (provisoire), tiré du nom d'un hameau qui a fait l'objet d'un documentaire réalisé par Antoine Page : « Chalap : une utopie cévenole ». Avec cet enjeu : trouver dans et par l'écriture une façon nouvelle de s’accorder au monde « qui nous entoure », comme on le croit, mais qui justement ne nous entoure pas, pour la simple raison que ce monde dit « extérieur » nous fait à chaque instant, à chaque inspiration. Faire corps avec.

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Chalap

« (…) j’ai respiré fort l’air avec le fumier dedans et j’ai senti l’air avec le fumier dedans entrer dans mon corps jusque dans mon sang et j’ai trouvé ça étonnant, et j’ai senti aussi l’air avec un peu de mon corps dedans ressortir par mes narines et petit à petit je suis entrée dans le champ et dans le fumier pendant que le champ et le fumier m’entraient dans le corps, je ne faisais pas qu’un avec le champ et le fumier il ne faut pas exagérer mais je faisais partie et je me suis dit, même si je ne me le suis pas dit comme ça, mais d’une certaine façon je me suis dit que c’était peut-être ça, participer, et ça m’a enthousiasmée, et quand je pense maintenant que personne ne dit ça, per- sonne n’explique ça, personne n’écrit ça, que le dehors sans arrêt entre dans le dedans et que le dedans sans arrêt entre dans le dehors et que le dehors est fait de dedans et que le dedans est fait de dehors, quand je pense que les écrivains, même les grands écrivains, n’en font aucun état, leurs per- sonnages vont et viennent, comme ça, naturellement, les écrivains font aller et venir leurs personnages sans que jamais ne soit mentionné le fait qu’ils sont faits de dehors et que le dehors est fait de leur dedans, ils les font aller et venir comme si ça allait de soi, comme si c’était anodin, alors que c’est essentiel, sans ça comment pourraient-ils aller et venir, comment pourraient-ils vivre leurs histoires d’amours, de batailles, de héros et même d’anti-héros, ils ne pourraient pas, c’est bien simple, mais on dirait que c’est pas une question pour eux, pour les écrivains, que c’est pas un émerveillement, que ça va de soi, rien à dire là- dessus, rien à signaler, ils ont autre chose à faire qu’à respirer, leurs personnages, ils ont des projets, ils ont des ambitions, ils ont des sentiments, ils sont des personnages dans des romans écrits par de grands écrivains, respirer c’est banal pour eux, et même pire, c’est un dû, et d’ailleurs le dehors n’est pas un dehors fabriqué par le dedans des vivants, le dehors n’est qu’un décor pour eux, rien de plus, et respirer juste un moyen d’avancer dans ce décor et réaliser des choses plus ou moins grandes en fonction du personnage qui est fonction de l’écrivain, mais respirer, et là je respirais, pour la première fois de ma vie je respirais, mais respirer c’est l’affaire de toute une vie, respirer c’est l’affaire, la grande affaire de la vie, ce n’est pas rien, c’est phénoménal, c’est la merveille des merveilles, et personne pour s’extasier, ou même s’étonner, personne pour consacrer une fresque ou même une trilogie ou ne serait-ce qu’un roman, un court roman, à la respiration, j’en étais stupéfaite (...) ».

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Newtopies

Utopies artisanales, concrètes et poétiques

Newtopie de Walid

Newtopie de Maeva

Newtopie de Clément

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Quelques Newtopies écrites par les 2nde 4

Newtopies mises en vidéo par les CAP Opérateur Logistique

Newtopies proposées par J. Mézenc au 2nde 4 comme support

Témoignages variés

Partages autour du vidéo poème « Trois digues 55 » en Enseignement de Spécialité 1ère HLP (Humanités Littérature et Philosophie)

Un message sur le chat pendant une classe virtuelle

Échanges avec Maëlle (document échanges virtuel avec élève)

Retour sur expérience de Juliette Mézenc, l’auteure en résidence

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Un autre témoignage d'élève

Témoignages variés

« j’ai énormément aimé vous écouter parce que depuis toute petite moi aussi je me pose beaucoup de questions, sur tout et n’importe quoi. De ce fait, je me suis sentie comprise, et je vous ai compris dans votre questionnement."

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Témoignages variés

Un message sur le chat pendant une classe virtuelle

COMBE THIBAULT14:51que enfaîte dans la classe ils sont tous poète

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Témoignages variés

Partages autour du vidéo poème « Trois digues 55 » en Enseignement de Spécialité 1ère HLP (Humanités Littérature et Philosophie)

« Lors de cette rencontre avec Juliette nous avons pu avoir le plaisir de l'écouter lire un de ses écrits. C'était une belle expérience d'entendre l'auteure lire sa propre création car nous avons directement été plongés au cœur de son univers. Ce moment de partage était très paisible mais aussi très intense dans la façon dont Juliette exprimait ses sentiments, c'était comme si elle nous amenait avec elle, dans son histoire mais surtout dans ses pensées. »"Où un mercredi matin nous a servi d'échappée belle, les esprits s'éveillent et admirent les écrits de cette femme de lettres passionnée d'astronomie "

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Témoignages variés

Retour sur expérience de Juliette Mézenc, l’auteure en résidence

à l'internatun jeune homme lit un texte qu'il a choisic'est vibrant…une toute jeune fille est là, comme à chaque fois son visage pointu, curieux, et ses yeuxsi brillantselle ne dit rien ou presquemais elle est làcomme à chaque fois

…que sera-t-elle venue chercher, qu'aura-t-elle trouvé ?elle qui reviendraà chaque foisqu'aura-t-elle vécu là, avec nous ?

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Lire le témoignage dans son intégralité

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Lien vers une prise de notes sur tableau blanc du cours en classe virtuelle (extrait)

Lien vers l'ENT du Lycée"Poésie en ligne"

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Prise de notes sur tableau blanc du cours en classe virtuelle (extrait)