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Bric à Brac Géologie
Bric à Brac Génétique
Bric à Brac Biologie
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Les tutos de SVT
Une coupe géologique
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Une observation au microscope
Réaliser un diagramme floral
Légender un schéma
Un tableau
Un schéma fonctionnel
Un schéma d'une observation
Une observation à la loupe binoculaire
Un schéma d'une lame mince de roche
Une observation au microscope polarisant
Un graphique
Réaliser
Tableau de croisement
Manipuler en milieu stérile
Observer des poils absorbants
Compter des cellules
cellule végétale colorée
Antibio-gramme
Une électrophorèse2 fiches
Une chromatographie
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Une extraction d'ADN
Une empreinte de feuille
Un frottis sanguin
TestOuchterlony
Rincer ou changer de colorant
Les colorants en SVT
Glucotest
Les réactifs des glucides
Manipuler en toute sécurité.
Une préparation microscopique
Double coloration lignine cellulose
Un prélèvement pour observer au microscope
Rouge de Crésol
Un prélèvement de cellules buccales
Une dissection de fleur
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Les enzymes
De le fleur au fruit
Les niveaux d'organisation du vivant.
Anatomie des cellules
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Régulation de l'expression des gènes
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Bractée
Pétales
Ovaire
Etamines
Sépales
Plan floral
Symboles de représentation :•Arc de cercle pour les bractées, sépales et pétales•section transversale d’anthère avec les loges pour les étamines•section transversale du ou des ovaires•une croix en lieu et place du ou des pièces manquantes •un trait plein pour marquer les soudures •un trait pointillé pour marquer l’appartenance à un même cycle.
Diagramme conforme à la réalité
Titre explicite
Travail propre
Respect des consignes de représentation
Le diagramme floral est orienté et indique : le nombre de pièces par cycle, la disposition des pièces florales, la structure de l’ovaire.
But : Symboliser la position et le nombre des pièces florales.
Réaliser un diagramme floral.
Coupe
Carte
Donner un titre et légender.
Tracer les différentes couches géologiques avec leurs relations.
Reporter sur la coupe les limites des différentes couches géologiques.
Reporter sur la coupe les accidents tectoniques (failles, plis ...)
Reporter sur la coupe les limites des structures géologiques.
Tracer au crayon uniquement le profil topographique.
Repérer la topographie (altitudes des différents points de la coupe)
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Coupe conforme à la réalité
Titre explicite
Travail propre
Respect des consignes de représentation
Repérer les différentes structures de la carte
But : Les coupes géologiques permettent de montrer la structure en profondeur. Elles sont réalisées à partir de la carte géologique interprétative, perpendiculairement aux principales structures. S'il y a plusieurs secteurs sur la carte ayant une structure remarquable (faille, chevauchement, plis...) il convient de faire plusieurs coupes.
Réaliser une coupe géologique.
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Déplacer la préparation afin d'observer une zone pertinente
Affiner la mise au point avec la vis micro uniquement.
Zoomer avec l'objectif jaune puis bleu
A partir de l'étape Ne plus jamais toucher à la vis macro
Mettre au point avec la vis macro puis la vis micro
Matériel rangé
Choix pertinent de la zone à observer et de l'objectif utilisé
Eclairage correct
Lame centrée et correctement placée sur le chevalet
Observer et régler la luminosité
Positionner la lame sur le chevalet.
Positionner l'objectif rouge (le plus petit objectif)
Allumer la lampe
But : Un microscope est un outil optique de précision, son maniement demande des gestes précis.
Réaliser une observation au microscope optique
Matériel rangé
Choix pertinent de la zone à observer et de l'objectif utilisé
Eclairage correct
Lame centrée et correctement placée sur le chevalet
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Déterminer les minéraux présents en LPNA puis remettre en place l'analyseur pour affiner la détermination en LPA.
Poser la lame mince sur la platine, observer et régler la luminosité
...Observer et tourner le polariseur jusqu'à obtenir l'extinction.
Régler l'extinction : Tirer pour mettre en place l'analyseur ...
Déplacer la préparation afin d'observer une zone pertinente
Zoomer avec l'objectif jaune puis bleu, mise au point vis micro !
A partir de l'étape Ne plus jamais toucher à la vis macro
Mettre au point avec la vis macro puis la vis micro
Repousser la tirette pour enlever l'analyseur.
Positionner l'objectif rouge (le plus petit objectif)
Allumer la lampe
10
But : L'identification des minéraux d’une roche en lame mince, observés en Lumière Polarisée et non Analysée (LPNA) et/ou en Lumière Polarisée et Analysée (LPA), permet de déterminer la composition minéralogique de la roche étudiée.
Réaliser une observation au microscope polarisant
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Ne pas oublier le titre avec le mode d'observation et le grossissement.
Vous pouvez utiliser des couleurs afin de mettre en évidence une zone spécifique de votre schéma.
Les traits des légendes ne doivent pas se croiser et être tracés à la règle au crayon.
Les caractéristiques des éléments observés doivent être respectées (forme, proportion ...)
Titre et légendes correctes
Respect des proportions
Traits des légendes à la règle au crayon
Traits nets, fins et continus.
Votre schéma doit représenter une zone précise de votre observation
Les traits doivent être fins, nets et continus ...
Les seuls outils autorisés au départ.
Prévoir une 1/2 page pour réaliser le schéma
But : Un schéma est une interprétation d’une observation ou d’une photo, vous devez chercher sur votre préparation la zone la plus pertinente.
Réaliser le schéma d'une observation microscopique
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Les légendes doivent être écrites en dehors du schéma.
Choisir des couleurs si demandé (avec un code couleur judicieux)
Préparation indispensable : repérer les consignes (colorier différentes zones, ou choisir une couleur de stylo pour les molécules par ex ...), comprendre ce que représente le schéma,
Ne pas oublier le titre
Attention à l'orthographe des mots scientifiques utilisés.
Titre et légendes correctes
Respect des consignes (couleurs)
Position des légendes adaptée
Traits des légendes à la règle au crayon
Préparer vos légendes selon la place autour du schéma.
Les traits des légendes ne doivent pas se croiser.
Les seuls outils autorisés au départ.
But : Il s'agit de vérifier vos connaissances en anatomie, géologie ...
Légender un schéma, une photographie ...
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Mettre au point avec la vis macrométrique de mise au point sur les côtés.
La loupe binoculaire ne permet d'observer que la surface d'un objet en relief.
Régler la hauteur globale avec la vis de potence située à l'arrière.
Matériel rangé
Choix pertinent de la zone à observer et de l'objectif utilisé
Eclairage correct
Lame centrée et correctement placée sur la platine
Régler les oculaires à l’écartement de ses yeux: on doit voir avec les 2 yeux.
Positionner la lame ou l'échantillon en se servant des valets de façon à ce que la zone à observer se trouve sous l'objectif
Choisir la couleur du fond selon le type d'objet à observer en retournant le disque, fond blanc ou fond noir.
Allumer la lampe posée à coté de la loupe.
But : Une loupe binoculaire est un outil optique de précision, son maniement demande des gestes précis. A la loupe binoculaire, la lumière est réfléchie à la surface de l'objet à observer.
Réaliser une observation à la loupe binoculaire
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Gamètes types recombinés -issus d'un CO
a b
A b
a b
a B
a b
A B
a b
a b
F1
a b
A b
a B
A B
a b
Gamètes types parentaux - non issus d'un CO
Les proportions phénotypiques des descendants obtenus à l’issue de ce croisement-test sont révélatrices des différents gamètes formés par l’individu F1 à la fois en qualité et en quantité.
F1
a b
a b
a b
A B
A B
A B
a b
a b
Tableau (ou échiquier) de croisement = tableau à double entrée :⇒ Faire figurer les génotypes des gamètes d’un parent dans la première ligne du tableau et ceux des gamètes de l’autre parent dans la première colonne.
Lignée pure: lignée constituée d'individus homozygotes pour le (ou les) gène(s) étudié(s).
Titre pertinent
Calculer un %
Savoir écrire un génotype
Connaître le résultat d'une méiose
Le tableau de croisement se fait sur un test-cross ou back-cross, c'est à dire le croisement d'un individu double hétérozygote (issu du croisement de deux lignées pures) avec un individu double récessif.
But : Calculer des pourcentages de génotypes de descendants.
Réaliser un tableau de croisement
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B : Basalte
A : Gabbro
Verre
Mêmes minéraux (1- Pyroxène 2- Feldspath) mais structure différente (A-Grenue B-Microlitique) : Deux roches.
Ne pas oublier les consignes habituelles de réaliser d'un schéma d'observation !
L'organisation des minéraux sur votre schéma doit être conforme à la structure de la roche.
Les caractéristiques de minéraux doivent être représentés : relief (traits plus épais) clivages (traits fins à l'intérieur du minéral).
Titre et légendes correctes
Respect des proportions
Traits des légendes à la règle au crayon
Traits nets, fins et continus.
Votre schéma doit représenter une zone précise de votre observation
Ne jamais perdre de vue qu'un minéral est un cristal donc de forme géométrique, vous ne devez pas représenter des formes arrondies.
Les seuls outils autorisés !
Prévoir une 1/2 page pour réaliser le schéma
But : Le schéma de la lame mince est le résultat de l'observation et de l'analyse de la structure et de la composition minéralogique d'une roche observée au microscope polarisant en LPNA et en LPA.
Réaliser le schéma d'une lame mince de roche.
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Positionner les légendes
Choisir des couleurs (avec un code couleur judicieux)
Préparation indispensable : dresser la liste des acteurs concernés, des lieux ou des moments à représenter, des conditions nécessaires à la réalisation de l'action ...
Ne pas oublier le titre
Attention au sens des flèches dans les relations entre les acteurs.
Les traits des légendes ne doivent pas se croiser et être tracés à la règle au crayon.
Relier les différents acteurs par des flèches.
Titre et légendes correctes
Respect des proportions
Traits des légendes à la règle au crayon
Traits nets, fins et continus.
Placer les différents acteurs en choisissant des figures différentes (carré-organes, rond-cellule...)
Les traits doivent être fins, nets et continus ...
Les seuls outils autorisés au départ.
Prévoir une page pour réaliser le schéma
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But : Il s'agit de montrer par un schéma des phénomènes qui évoluent dans le temps ou dans l'espace.
Réaliser un schéma fonctionnel
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Variations de la quantité de Dioxygène et de Glucose au cours du temps lors de la photosynthèse.
Mettre un titre au tableau, titre en cohérence avec les données du tableau.
Remplir le tableau avec les données.
Respecter les conventions d'écriture du document (nombre de décimales...) et surtout ne pas oublier les unités !
Mettre un titre pour les lignes et pour les colonnes.
Tracer les bordures du tableau à la règle, proprement, au crayon de papier
Respect des conventions du document
Unités pour les valeurs chiffrées
Titres sur les colonnes-lignes et tableau
Traits tracés à la règle, propres.
Déterminer le nombre de colonnes et de lignes du tableau.
Si besoin mettre en couleur dans le texte ou les documents initiaux les données à classer.
Regarder attentivement les données à classer de manière à choisir ce qui sera « rangé » en colonne et en ligne.
But : Un tableau est une représentation permettant de classer et de comparer (mettre en évidence des points communs ou des différences) des données (issues d'un texte, d'une expérience, de mesures …) en fonction de deux critères au moins, ligne et colonne.
Réaliser un tableau
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Mettre un titre général au graphique.
Si il y a plusieurs données, utiliser des couleurs
Positionner les points, les relier à la règle ou à main levée.
Graduer vos axes, les deux axes n'ont pas nécessairement la même échelle !
Mettre un titre sur les axes, ne pas oublier les unités !
Tracer les axes à la règle au crayon
Repérer les mini et maxi des valeurs afin de préparer l'échelle de vos axes.
Un petit « truc » pour trouver une graduation raisonnée : vous disposez de 20 cm sur votre page par ex et vos données varient de 5 à 45 soit 40 unités de variation => en divisant vos 40 unités / 20 cm vous obtenez la valeur correspondant à 1 cm, soit 2 unités.
Respect des conventions du document
Unités pour les valeurs chiffrées
Titres sur les colonnes-lignes et tableau
Traits tracés à la règle, propres.
Repérer ce qui varie en fonction de quoi afin de déterminer les données en abscisses et en ordonnées.Tous les graphes que vous tracerez s'intituleront : variation (ou évolution) de ....(y) en fonction de ... (x)
But : Un graphe est une représentation mathématique de la variation d'un paramètre en fonction d'un autre.
Réaliser un graphique
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Respect des conventions du document
Unités pour les valeurs chiffrées
Titres sur les colonnes-lignes et tableau
Traits tracés à la règle, propres.
But : Un graphe est une représentation mathématique de la variation d'un paramètre en fonction d'un autre.
Réaliser un arbre phylogénétique
Avec le sclapel découper un morceau d'épiderme, puis prélever avec la pince.
Avec le sclapel découper un morceau d'épiderme, puis prélever avec la pince.
Gratter la pulpe de pomme de terre avec une aiguille lancéolée.Déposer sur une lame avec une goutte d'eau ou de colorant.
Pulpe de pomme de terre
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Une petite astuce plier la feuille sur votre doigt afin de créer un support pour réaliser le prélèvement.
Avec la pince fine prélever l'échantillon
Avec le sclapel découper un morceau d'épiderme
Matériel rangé
Surface 1 cm
Pas de plis
Objet à observer fin - transparent
Epiderme d'une feuille ou d'un pétale de fleur
Epiderme externe feuille oignon rouge
Epiderme interne feuille d'oignon
But : Prélever l'objet à observer. Le prélèvement doit être très mince puisque l'observation au microscope optique se fait en regardant « à travers » l'objet.
Réaliser un prélèvement pour une observation au microscope
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Matériel rangé
Pas de liquide en dehors de la lamelle
Pas de bulles d'air
Objet à observer fin, pas de replis
Si du liquide déborde de la lamelle, l'essuyer délicatement avec du papier absorbant
Faire descendre doucement la lamelle en évitant d'emprisonner des bulles d'air.
Déposer le prélèvement à observer sur la goutte en évitant les replis.
Déposer au centre de la lame une goute du liquide de montage (eau ou colorant)
But : Une préparation microscopique est une coupe fine d'un objet observable au microscope. Cet objet doit être le plus fin possible de façon à être observé par transparence.
Réaliser une préparation microscopique
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Observer au microscope sans lamelle
Essuyer et sécher la lame au sèche cheveux
Faire de même avec les deux colorants.
Recouvrir le frottis (posé dans une boite de Pétri) de quelques gouttes de fixateur (flacon1) et attendre 5 secondes, égoutter verticalement au contact du papier absorbant.
Sécher la lame au sèche-cheveux
Faire glisser la lame pour étaler le sang.
Appliquer une autre lame inclinée à 45° en avant de la goutte de sang de façon à ce que le sang s’étale sous la lame par capillarité.
Déposer une goutte de sang à l’extrémité d’une lame.
Nettoyer 2 lames à l’alcool (faces et tranches), les sécher avec du papier absorbant, les déposer sur papier absorbant.
Matériel rangé
Lame sèche
Frottis fin
Respect des consignes de sécurité
Coloration variante de la coloration de MAY- GRÜNWALD - GIEMSA
Préparation du frottis
But : Observer les cellules sanguines.
Réaliser un frottis sanguin
Ensemencer le milieu de culture.
Zone stérile autour du bec éléctrique.
Pipeter 5 mL de gel d’Agar chaud et fluide et le verser dans une boîte de Pétri. Fermer la boite et la laisser refroidir.
Dissoudre 0,4 g d'agar dans 14 ml d'eau dans un bécher. Porter à ébulition.
Préparation du milieu de culture solide dans une boite de pétri.
Prélever dans la zone stérile 1 ml de cellules en suspension.Ouvrir la boite de pétri dans la zone stérile.Déposer 1 ml de cellules en suspension.Avec l'étaleur répartir la suspension sur toute la boite de pétri, fermer la boite
Les outils de prélèvement, flacons ouverts ... ne doivent pas sortir de la zone stérile !
Positionner le bec électrique au milieu du plan de travail
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Se nettoyer soigneusement les mains au savon. Désinfecter le plan de travail à leau de javel.
Matériel rangé
Culture sans contamination
Respect des gestes techniques
Respect des consignes de sécurité
Préparation du matériel
But : Mettre en culture des cellules de manière stérile sur un milieu solide (boite de Pétri avec gélose)
Manipuler en milieu stérile
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Les cellules de la cavité buccale arrachées par le coton tige (ou écouvillon), forment des éléments groupés, superposés, parfois isolés. Ce sont des cellules épithéliales (un éptihélium est un tissu formé de cellules jointives) qui tapissent la cavité buccale. A la surface de ces cellules on peut observer des bactéries ; des bacilles en forme de bâtonnet et des coques de forme ronde.
Déposer une goutte de colorant puis déposer une lamelle
Frotter le coton tige sur la lame.
Matériel rangé
Colorant choisi avec pertinence
Pas de débordement de liquide
Prélèvement propre
Racler doucement la face interne de la joue à l’aide d’un coton-tige stérile pendant 1 minute.
But : Prélever des cellules buccales (de la bouche) afin de les observer au microscope optique.
Réaliser un prélèvement de cellules buccales
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Déposer l’empreinte sur une lame, dans une goutte d’eau, face décollée vers le dessus, bien à plat, sans la froisser.Recouvrir d’une lamelle
Préparer la lame
Ne prélever les empreintes que lorsque le vernis est sec. Soulever le bord d’une zone du vernis en le grattant légèrement avec la pince fine.Décoller le vernis à l’aide d’une pince fine.
Prélever les empreintes
Étaler sur l’épiderme de la feuille une goutte de vernis sur une surface d’environ 0,5 cm de diamètre. Ne pas hésiter à préparer plusieurs empreintes.
Matériel rangé
Prélèvement fin, non replié
Pas de débordement de liquide
Choix de la face de la feuille pertinent
Poser le vernis
But : Réaliser une empreinte afin d'observer au microscope des structures de surface de la feuille.
Réaliser une empreinte de feuille
HypochloriteAcide acétique
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Attention avec la manipulation de la lame de rasoir !
Couper des tranches fines avec une lame de rasoir
Insérer l'échantillon dans la moelle de sureau
Fendre la moelle de sureau en 2
Réaliser la double coloration en respectant bien les différentes étapes !
Matériel rangé
Respect des temps de coloration
Respect des consignes de sécurité
Prélèvement propre et fin
Réaliser une coupe fine dans un organe végétal (tige, racine ...)
But : Colorer la cellulose et la lignine des parois cellulaires végétales.
Réaliser une double coloration : carmino-vert d'iode.
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Par capillarité, le liquide va "traverser" sous la lamelle.
Matériel rangé
Pas de liquide en dehors de la lamelle
Pas de bulles d'air
Choix du liquide de remplacement
Déposer une goutte de colorant, eau ... sur le bord de la lamelle, de l'autre coté positionner un morceau de papier filtre.
Préparer une pipette avec le nouveau colorant ou de l'eau pour rincer
Préparer votre lame
But : Dans certains cas, on doit faire une première observation avec un colorant donné ou une solution donnée puis changer de colorant ou rincer la préparation.
Rincer ou changer le colorant d'une préparation microscopique.
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Lire le résultat après 10 secondes (ne pas tenir compte des changements de coloration se produisant au-delà des 10 sec.)
Ne jamais toucher la partie réactive de la bandelette avec les doigts !
Matériel rangé
Compréhension de la manipulation
Lecture correcte du taux de glucose
Respect des consignes
Plonger quelques secondes la totalité de l'extrémité réactive dans la solution puis égoutter la bandelette.
But : Tester la présence de glucose dans une solution à l'aide d'une bandelette réactive : glucotest.
Glucotest
Le tube A sera le témoin, dans le tube B un air enrichi en CO (en soufflant dans le tube) et dans le tube C un air appauvri en CO (en utilisant de l'hydroxyde de potassium).
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Hydroxyde de potassium
Paille
Hydroxyde de potassium
Faire de même avec du matériel vivant, feuille (éclairée -1- ou non -2-) ou racine de carotte -3.
Au bout de quelques minutes
Etat initial
Matériel rangé
Compréhension des résultats
Manipulation propre
Respect des consignes de sécurité
Préparer 3 tubes fermés avec du rouge de crésol.
But : Le rouge de crésol est un réactif chimique dont la couleur dépend du pH donc indirectement de la quantité de CO en solution. On l'utilise pour mettre en évidence les mécanismes de respiration, de fermentation ou de photosynthèse.
Le rouge de crésol.
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Ajouter 2 gouttes du colorant qui vous permettra de prouver la présence d'ADN contenu dans la méduse qui "flotte" dans votre tube.
Ajouter de l’éthanol réfrigéré en versant le long de la paroi du tube en tenant le tube incliné, doucement jusqu’au double du volume initial.
Verser le mélange dans le filtre puis laisser filtrer jusqu’à ce que le liquide recueilli atteigne 3cm de haut dans le tube à essai
Placer le filtre (gaze ou tissu fin) dans l’entonnoir et poser l’ensemble sur le tube à essai placé dans le portoir en bois.
Matériel rangé
Présence d'une méduse d'ADN dans le tube
Morceaux broyés finement
Manipulation réalisée en sécurité
Ajouter suffisamment d’eau distillée jusqu’à ce que le mélange ait une consistance liquide.
Ajouter à l’échantillon broyé, une cuillère à soupe de gros sel et de liquide vaisselle (afin de détruire les membranes des cellules).
Broyer les morceaux à l’aide du pilon
Découper en petits morceaux l'échantillon biologique fourni à l’aide du scalpel
But : Mettre en évidence la présence d'ADN dans différents tissus d'êtres vivants.
Réaliser une extraction d'ADN
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Lorsqu’on ne peut distinguer sépale et pétale, on parle de tépale)
Réaliser un diagramme floral (voir fiche)
Coller l’ensemble des pièces florales sur une feuille de papier en respectant l’agencement spatial. Légender les pièces florales.
Couper l’ovaire dans la longueur à l’aide du scalpel et observer les ovules contenus dans les ovaires à la loupe binoculaire.
Observer le pollen des étamines au microscope. Les étamines sont constituées d’un filet sur lequel est fixé l’anthère (= sac pollinique).
Puis détacher l'ovaire de la tige.
Prélever les étamines à leur base.
Puis ôter les pétales.
Matériel rangé
Observation correcte à la loupe
Organes prélevés délicatement
Manipulation réalisée en sécurité
Enlever à l'aide d'une pince les pièces florales externes, sépales.
But : Mettre en évidence l'organisation d'une fleur.
Réaliser une dissection de fleur
Ne jamais toucher le papier avec les doigts !
Ou écraser un morceau de feuille avec un agitateur en verre directement sur le papier. Répéter 5 fois sur le même emplacement.
valerie.rambaud@ac-orleans-tours.fr
Suspendre le papier, fermer le couvercle et mettre le cache.
Au bout de 20 à 25 minutes ...
A l’aide de la micropipette déposer une goutte du liquide sur le trait de dépôt, répéter l’opération 5 fois, sur le même emplacement
Ecraser un morceau de feuille (ou autre organe) dans un mortier avec 1 ml d’alcool
Matériel rangé
Résultats conformes aux attendus
Respect des étapes du protocole
Respect des consignes de sécurité
Mettre 3 cm de solvant dans l'éprouvette. Fermer l'éprouvette. Tracer un trait sur le papier au crayon à 1 cm au dessus du solvant pour marquer l’emplacement du dépôt .
But : Technique de séparation des substances organiques qui utilise la migration d’un liquide (ici de l’alcool) sur un support solide (papier...). Les molécules sont entraînées plus ou moins loin suivant leurs propriétés physico-chimiques (masse, solubilité...).
Réaliser une chromatographie.
5. Régler à 160 V prévoir 30 à 40 min de migration.
4. Fermer le couvercle et brancher les cosses sur l'alimentation externe.
3. Réaliser un dépôt précis
2. Poser les bandes essuyées sur du papier absorbant, face mate vers le haut, en les calant avec les support en verre.
1. Remplir la cuve à électrophorèse au 2/3 avec la solution tampon, de chaque côté, en évitant tout débordement.
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Matériel rangé
Respect des consignes de dépôt
Respect des étapes du protocole
Respect des consignes de sécurité
Préparation de la manipulation
Réaliser une électrophorèse (1/2).
But : Une électrophorèse est une technique utilisée pour séparer des constituants chimiques porteurs de charges électriques. Placées dans un champ électrique, les molécules telles que les protéines migrent en direction de l’anode (pôle +), elles se déplacent d’autant plus vite au sein d’une solution tampon que leur charge électrique est plus importante et/ ou que leur masse moléculaire est faible.
Poser les bandes sur des plaques en verre et laisser sécher à l'air libre ou avec un sèche cheveux.
Décolorer les bandes en les plongeant successivement dans deux bains d’acide acétique 5 %. Seules les traces laissées par les protéines apparaîtront.
10 minutes
Verser dans une cuve à dissection du rouge ponceau (1 cm d'épaisseur). Déposer les bandes d'acétate de cellulose à la fin de face de dépôt vers le bas)
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Matériel rangé
Résultats conformes
Respect des étapes du protocole
Respect des consignes de sécurité
Réaliser une électrophorèse (2/2).
But : Colorer les molécules après migration.
Utiliser des pipeteurs (ne jamais pipeter à la bouche) pour éviter tout risque d'accidents : brûlure, intoxication, contamination.
Avoir les cheveux attachés pour limiter les risques d'accident.
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Se laver les mains régulièrement - Ne pas boire, ne pas manger.Pour limiter les risques de contamination
Danger pour l'environnement
Cancérogène
Toxique - irritant
Toxique
Corrosif
Comburant
Inflammable
Explosif
Respecter les consignes d'élimination des déchets pour limiter les risques sur l'environnement.
Utiliser si nécessaire des E.P.I. (Équipements de Protection Individuelle) pour se protéger en cours de manipulation.
Organiser le poste de travail et le maintenir bien rangé pour limiter les risques d'incident.
Matériel rangé
Résultats conformes aux attendus
Respect des consignes d'élimination des déchets
Respect des consignes de sécurité
Porter une blouse non inflammable, couvrante et boutonnée, pour se protéger.
But : Un protocole consiste en une ou plusieurs manipulations à mettre en œuvre afin de résoudre ou de modéliser un problème biologique ou géologique. De nombreux produits chimiques peuvent être utilisés avec précaution.
Manipuler en sécurité.
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Colore l'ADN en vert et l'ARN en rose
"la version double" Vert de méthyl pyronine
Colore l'ADN en vert (mise en évidence du noyau ...).
"L'indispensable" Vert de méthyl acétique
Colore la cellulose en rose et la lignine en vert.
"L'agent double" Carmino vert de mirande
Colore en bleu toutes les cellules vivantes
"L'incontournable" Bleu de méthylène
Colore en brun le glycogène dans les cellules animales.
Colore en violet-noir l'amidon dans les cellules végétales.
Matériel rangé
Pas de liquide en dehors de la lamelle
... Selon le type de cellule
Choix pertinent du colorant ...
Le "classique" Eau iodée (ou lugol)
But : Un colorant permet de mettre en évidence certaines molécules au sein des cellules ou des tissus.
Utiliser un colorant en SVT
Le "lipophile" Rouge congo
"la version double" Vert de méthyl pyronine
"L'indispensable" Vert de méthyl acétique
"L'incontournable" Bleu de méthylène
"L'agent double" Carmino vert de mirande
Le "classique" Eau iodée (ou lugol)
Le "chimique" Réactif de biuret
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Les colorants dans une cellule végétale
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- Prélever 2 ml de la solution à tester
- Ajouter 1 ml de liqueur de Fehling
- Chauffer 3 minutes
Bain marie à 70°C
A : témoin, B : test positif en présence de glucose
A B
A chaud, et en présence de glucides réducteurs, la liqueur de Fehling donne un précipité rouge brique d’oxyde de cuivre Cu O.
Liqueur de Fehling : mise en évidence des sucres réducteurs, comme le glucose, le maltose, le lactose, le fructose ...
Bandelette gluco-test
A : témoin, B : test positif en présence d'amidon, C : test positif en présence de glycogène, D : puits vide
A B C D
- Prélever la solution à tester et la déposer dans un des puits de la plaque de coloration.
- Ajouter ensuite 1-2 gouttes d'eau iodée
- Attendre 10 secondes
Matériel rangé
Respect des temps de réaction
... Selon le type de glucide à tester.
Choix pertinent du colorant ...
Eau iodée (ou lugol) : mise en évidence des poly-oses, comme l'amidon ou le glycogène.
But : Utiliser le réactif adéquat selon le type de glucides que l'on souhaite mettre en évidence.
Utiliser un réactif afin de mettre en évidence des glucides
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Attendre 20 min pour la lecture des résultats.
Noter sur la boite la position des dépots
Remplir les puits sans déborder avec les produits fournis (sérums ou solutions d'antigènes). Chaque produit doit être prélevé avec une pipette propre.
Réalisation des dépots.
Creuser à l’aide du tube emporte pièce les puits nécessaires dans le gel d’Agar.Jeter les disques de gélose.
Préparation du test
Taper le fond de la boite de pétri sur la paillasse afin d'égaliser le liquide et supprimer les bulles d'air. Laisser 5 min la boite refroidir sans mettre le couvercle !
Pipeter 5 mL de gel d’Agar chaud et fluide et le verser dans une boîte de Pétri.
Faire chauffer jusqu'à ébullition, poser ensuite le bécher sur la paillasse jusqu'à ce que le flacon soit assez froid pour être touché avec les mains.
Dissoudre 0,2 g d'agar dans 14 ml d'eau dans un bécher.
Corrosif
Matériel rangé
Résultats conformes aux attendus
Respect des consignes d'élimination des déchets
Respect des consignes de sécurité
Préparation d’un gel d’Agar à couler dans une boîte de Pétri pour test d’Ouchterlony
But : Le test d'Ouchterlony est basé sur la principe de l'immunodiffusion, et permet de mettre en évidence la formation d'un complexe immun entre des Anticorps et des Antigènes.
Réaliser un test Ouchterlony
Réalisation de l'antibiogramme.
A l'aide d'un coton tige stérile, on réalise un prélèvement au niveau de la gorge, du nez ...Puis on met en culture les bactéries sur un milieu nutritif afin qu'elles se développent.
Toxique
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Matériel rangé
Résultats conformes aux attendus
Respect des consignes d'élimination des déchets
Respect des consignes de sécurité
Prélèvement et mise en culture.
But : Un antibiogramme permet de comparer la sensibilité d'une souche de bactéries à un ou plusieurs antibiotiques.
Réaliser un antibiogramme
Observer au microscope
Ecraser entre deux lames, puis retirer une des lames, déposer une goutte d'eau et déposer une lamelle.
Prélèvement d'une petite portion de la zone des poils absorbants (zone pilifère) de la racine.
Repérer les différentes zones de la racine
But : Observer les échanges entre les poils absorbants et la solution du sol, ou observer la croissance et la différenciation des cellules au niveau d'une racine
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Matériel rangé
Résultats conformes aux attendus
Respect des consignes de manipulation.
Choix de la zone à prélever
Observer des poils absorbants
Calculer la concentration
Pour les cellules "à cheval" sur deux carrés, ne les compter que pour la case où elles dépassent sur le coté droit ou inférieur.
Compter le nombre de cellules dans plusieurs carrés (rouge), sur l'ensemble de la zone bleue.
Poser une lamelle dessus, puis observer au microscope.
Déposer avec une pipette 10 µl de solution sur une zone quadrillée si la lame en contient deux comme celle sur le schéma.
Description de la lame de Malassez.
But : Une lame de Malassez (ou cellule de Malassez ou hématimètre) permet de compter des cellules en solution (vivantes ou non). Il s'agit d'une lame de verre sur laquelle un quadrillage a été gravé de 25 rectangles contenant eux-mêmes 20 petits carrés.
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Matériel rangé
Résultats conformes aux attendus
Respect des consignes d'élimination des déchets
Respect des consignes de sécurité
Comptage avec une lame de Malassez
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10
Repérer les outils d'observation nécessaires
Effectuer des calculs
Convertir en décimales
Appréhender les tailles réelles
Signification en décimales ...
Les échelles de grandeur en puissance de 10 et les outils d'observation ...
But : Faciliter la comparaison de très grands nombres ou au contraire de tout petits nombres ...
Exprimer un nombre en puissance de 10
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Température
1 K = 1°C + 273.15 (température du zéro absolu)
En France on utilise le degré Celsius symbole °C
-1
Volume des liquides en litre (l)1 dm = 1 l
-1
W= J.s
Puissance = énergie / temps
J = N.m
Energie = force × distance
Energie, symbole : E, unité : Joule (J)
-2
N = kg.m.s
Force = masse × accélération
Force, symbole : F, unité : Newton (N)
Pa = N. m
Pression = force / surface
Pression, symbole : p, unité : Pascal (Pa)
-1
-2
Hz = s
m.s
Vitesse, symbole : v, unité :
m.s
Superficie - Surface, symbole : S, unité :
Débit volumique, unité m .s
Concentration molaire, symbole : c, unité : mol/m
Accéleration, symbole : a, unité :
Fréquence, symbole : f, unité : Hertz (Hz)
Puissance, symbole P, unité Watt (W)
Volume, symbole : V, unité mètre cube (m )
12
11
10
But : Connaître les unités de mesure habituelles au laboratoire, unités dérivées des unités internationales.
Les mesures et unités au labo
5,49
1,5
1,5 cm
1,5 cm
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Donc
x =
c * b
a * x = c * b
c = x
a = b
En général.
Exprimer le résultat
calculer des proportions
Attention à l'unité du résultat
Calculer la taille réelle d'un objet
Calculer la taille réelle d'un objet, d'une photographie ...
But : Appliquer la règle de proportionnalité entre plusieurs éléments.
Règle de 3 ou règle de proportionnalité
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Cercle
Exprimer le résultat
mesurer correctement les longueurs
Attention à l'unité du résultat
Appliquer le calcul aux consignes
Rectangle
But : Savoir calculer des périmètre, des surfaces, des volumes ...
Calculs de périmètre-surfaces-volumes
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En détail.
Exprimer le résultat
Calculs corrects
confronter le résultat au réel
choix des points pertinent
Comprendre la signification du coefficient directeur ou pente
But : Calculer le coefficient de proportionnalité entre les points d'une droite.
Calcul d'une pente d'une droite.
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Exprimer le résultat
Calculs corrects
confronter le résultat au réel
choix des points pertinent
Maille cubique
-3
-1
-3
Propriétés physiques : • Masse molaire : M = 18 g.mol • Masse volumique : r = 1 g.cm à 4 °C • Pf : Point de fusion normal (à la pression atmosphérique) Patm = 1,013 bar et Tf = 0°C • Peb : Point d'ébullition normal Patm = 1,013 bar et Teb = 100°C • Point triple : conditions pour lesquelles l’eau coexiste sous les trois états solide, liquide, et gazeux P = 6,15.10 bar et T = 0,01 °C • Point critique : point à partir duquel on ne peut plus distinguer gaz et liquide P = 221 bar et T = 374 °C • Indice de réfraction : n = 1,33
Nom : Eau Formule brute : H O Formule développée : H-O-H
CARTE D'IDENTITE
D'après le travail Florence Trouillet
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La carte d'identité de l'eau
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Outil de mesure : radiomètre
Outil de mesure : thermomètre
Outil de mesure : ampèremètre
Outil de mesure : chronomètre, montre ...
Outil de mesure : balance
Interdépendance entre les unités de base du SI.
Outil de mesure : règle, mètre ruban ...
Voir les unités au labo ...
Intensité lumineuse - candela, symbole : cd
Matière - mole, symbole : mol
Température - Kelvin, symbole : K
Courant électrique - Ampère, symbole : A
Temps - seconde, symbole : s
Masse - kilogramme, symbole : kg
En sens horaire à partir du haut, on retrouve la seconde (temps), le kilogramme (masse), la mole (quantité de matière), la candela (intensité lumineuse), le kelvin (température), l'ampère (courant électrique) et le mètre (distance).
Longueur - mètre, symbole : m
But : Connaître les unités internationales de mesure.
Mesures et unités internationales
λt
a (pente de la droite) = e – 1
On utilise la plupart du temps le couple Rubidium / Strontium.
Soit un isotope père P, radioactif, qui se désintègre en un isotope fils F, radiogénique, noté F*. Le système est clos, le nombre d’isotopes P diminue en fonction du temps tandis que le nombre d’isotopes fils produits augmente.
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En pratique.
Exprimer le résultat
Calculs corrects de la pente
Détermination de l'élément père/fils
Compréhension de la méthode
Comprendre le principe de la datation par radiochronologie
But : Comprendre et réaliser le calcul de l'âge d'une roche par radiochronologie.
Datation d'une roche par radiochronologie
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Menu « insertion » « Type de diagramme » Choisir « Plage de données » : sélectionner la 1° ligne comme étiquette « Eléments du diagramme » : Titres du diagramme, axes X et Y
Attention : Le tableur mettra automatiquement en X les données de la première colonne de gauche et en Y celles des différentes colonnes de droite.
Graphique de type XY en SVT
Titres axes et général
Sélection correcte des données
Graphique obtenu cohérent
Choix pertinent du type de graphe
Selectionner les données.
But : Représenter graphiquement les variations d'un paramètre en fonction d'un autre.
Construire un graphe avec un tableur
Sélectionner les cellule contenant les valeurs des colonnes (ou des lignes) concernées puis étendre la sélection à l’ensemble du tableau avec la souris ou au clavier en utilisant les touches du curseur en maintenant la touche shift enfoncée.Ne pas oublier de sélectionner l'intitulé des colonnes ou des lignes pour faire apparaître le nom des courbes dans le cadre «Légende» du diagramme
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La hauteur du crâne est le segment Br Po. B : point de rencontre des sutures fronto-pariétales et sagittale.La longueur du crâne est le segment Na Op. Op : le point postérieur le plus proéminent de l’occiput.
L’inclinaison de la face (angle de prognathisme) est l’angle entre :- la droite O-Po joignant le point le plus bas de l’orbite oculaire (O) et le point le plus haut du trou auditif (Po)- la droite Pr-Na (Pr : point le plus proéminent de l’os maxillaire supérieur entre les alvéoles des deux incisives supérieures centrales ; Na : rencontre de la suture des os nasaux et du frontal).
Rapport hauteur Longueur.
Préparation de la communication des résultats
Choix pertinent des individus
Résultats cohérents
Repérages corrects
Mesure de l'angle de prognathisme.
But : La mesure de certains caractères crâniens permet une comparaison des différents Homininés.
Réaliser des mesures sur un crâne
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• «Fichier/Enregistrer» en renommant au format jpeg ou png
Enregister vos images
• Cliquer sur le bouton « filmer » dans l’onglet Capture et Enregistrement
Acquérir une vidéo.
• Sélectionner le périphérique à l’aide de l’onglet caméra détectée• Selon l'observation dans l’onglet Exposition et Gain cocher ou non la case exposition automatique.• Si besoin réaliser la balance des blancs.• Acquérir l’image en cliquant sur le bouton « capturer » dans l’onglet Capture et Enregistrement• L’image apparaît dans l’onglet supérieur avec un nom de fichier correspondant à un numéro
• Enlever l’oculaire du microscope et introduire la caméra dans le tube optique.
Acquérir une image.
Préparation de la communication des résultats
Choix pertinent de la zone à photographier
Image nette
Branchements corrects
Positionnement de la caméra
But : L'acquisition d'une image numérique d'une observation est essentielle pour communiquer sur les résultats de son observation.
Acquérir une image numérique : Toupview
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Modifier la police, la taille, la couleur ...
Outil Zone de texteSélectionner puis cliquer et faire glisser la souris.Menu contextuel dans barre d'outil en haut
Modifier position des flèches, type de traits, largeur de traits, couleur
Outil FlèchesSélectionner puis cliquer et faire glisser la souris.Menu contextuel dans barre d'outil en haut
• La barre d'outil dessin se trouve en bas de l'écran.
Les outils de dessin.
Activer la barre d'outil dessin
• Clic droit sur l'image, menu rogner.
Titre pertinent
Légendes réparties de chaque coté
Légendes pertinentes
Image centrée
Rogner l'image si besoin afin de ne conserver que la partie intéressante de votre observation.
But : L'utilisation du traitement de texte Libreoffice avec l'outil dessin, permet de traiter une image numérique que vous venez d'acquérir ou qui vous a été fournie.
Traiter une image numérique avec Libre Office
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Réaliser plusieurs acquisitions, 2 acquisitions avec la même intensité de stimulation, 1 acquisition en demandant de contracter le pied au bruit du marteau et 1 acquisition en fléchissant le pied.
Paramétrage de l'acquisition
Placer les électrodes sur le muscle soléaire :L’électrode avec le snap noir doit être placée au niveau de la cheville.L’électrode rouge doit être placée à la base du muscleL’électrode verte doit être placée au milieu du muscle
Matériel rangé
Résultats cohérents
Enregistrements superposés
Branchements corrects
Imbiber le coton avec de l’alcool à 70° et nettoyer la peau aux endroits où les électrodes seront placées.
But : Observer l’électromyogramme du muscle soléaire correspondant au réflexe déclenché par l’excitation du tendon d’Achille.
EXAO Enregistrer un électromyogramme REFMYO
Positionner le sujet à genou sur une chaise. Lancer l’acquisition en appuyant sur la touche F10. Frapper le tendon d’Achille avec le marteau réflexe.Le sujet fournit le réflexe, aussitôt enregistré par le transmetteur électrophysiologie.
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Menu « insertion » « Type de diagramme » Choisir Secteurs
Diagramme circulaire.
Menu « insertion » « Type de diagramme » Choisir Colonnes (attention à bien vérifier l'ordre des colonnes sélectionnées par rapport à l'aperçu fourni)« Plage de données » : sélectionner la 1° ligne comme étiquette « Eléments du diagramme » : Titres du diagramme, axes X et Y
Diagramme en bâtons.
Titres axes et général
Sélection correcte des données
Graphique obtenu cohérent
Choix pertinent du type de graphe
Selectionner les données.
But : Représenter graphiquement les variations d'un paramètre.
Construire un diagramme avec un tableur
Sélectionner les cellule contenant les valeurs des colonnes (ou des lignes) concernées puis étendre la sélection à l’ensemble du tableau avec la souris ou au clavier en utilisant les touches du curseur en maintenant la touche shift enfoncée.Ne pas oublier de sélectionner l'intitulé des colonnes ou des lignes pour faire apparaître le nom des courbes dans le cadre «Légende» du diagramme
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Etendre en "tirant" sur le coin de la cellule qui contient la fonction
Soit utiliser simplement le copier - coller et automatiquement les références des cellules seront adaptéesSoit utiliser la fonction étendre
Coller une fonction déjà fournie ou déjà sélectionnée
Choix pertinent de la formule
Respect des cellules fixes
Résultats cohérents
Synthaxe correcte
La procédure
But : Réaliser des calculs avec un tableur demande de la précision dans l'écriture des fonctions utilisées.
Utiliser un tableur afin de réaliser des calculs.
- Sélectionner la cellule destinée à recevoir le résultat- Entrer une fonction
- Soit utiliser les fonctions intégrées au logiciel pour ouvrir le menu «coller une fonction» et choisir la fonction
- Soit taper directement la fonction
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- Double-cliquer sur le diagramme pour le sélectionner intégralement (sa bordure apparaît sous la forme d’un trait gris)
- Cliquer sur la courbe pour laquelle vous voulez construire une courbe de tendance pour la sélectionner
- clic droit sur la courbe: « Insérer une courbe de tendance »
- Cocher «Linéaire »
- et cocher « Afficher l'équation» OK
- Paramétrer l'affichage du nombre de décimales clic droit sur la courbe de tendance réalisée
- Cliquer sur « Formater l'équation de la courbe de tendance »
- Choisir la catégorie « Nombre » et sélectionner ou taper le nombre de décimales voulu.
Ajouter une courbe de tendance.
Sélectionner la courbe Double clic, choisir ensuite les paramètres, couleur, épaisseur, symboles ...
La mise à l’échelle de la courbe sélectionnée se fera automatiquement indépendamment de l'axe Y principal (selon les données sélectionnées)
Attribuer une nouvelle couleur par ex ... puis OK
Dans les paramètres choisir Axe Y secondaire
Modifier les couleurs ... des courbes
Equation de la courbe de tendance
Courbe de tendance tracée
Choix pertinent des couleurs ...
Insertion correcte d'un 2° axe Y
Construire un 2° axe Y pour séparer deux types de données
But : Mettre en former différentes parties du graphe, rajouter un axe supplémentaire ...
Formater un graphe avec un tableur
Sélectionner les points de la courbe pour laquelle on veut attribuer un 2° axe Double clic.
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Doucle clic sur la courbe choisie, Option Axe Y secondaire, l'échelle sera modifiée en conséquence.
Rajouter un axe Y secondaire
Choisir si besoin échelle logarithmique, chaque échelon sera 10 x plus grand que celui d'avant ...
- Double-cliquer sur le diagramme pour le sélectionner intégralement
- Insérer Etiquette de données
- Choisir afficher la valeur sous forme de nombres (les données chiffrées du tableau de données) ou sous forme de catégories (si les données sont des mots).
- Choisir la position : au dessus, en dessous, centré par rapport à la position des points sur le graphique.
Insérer une étiquette de données
Choisir dans le menu format-axe des Y si les axes X et Y se croisent à 0, pour une certaines valeurs ...
Onglet échelle modifier si besoin le mini - maxi, les intervalles.
Menu Format - choisir Format axe Y (par ex).
Modifier le positionnement des axes.
Position des étiquettes de données
Etiquettes de données
Choix du positionnement des axes
Echelle cohérente avec les données
Formater les échelles des axes.
But : Formater les échelles des axes, insérer des étiquettes de données.
Formater un graphe avec un tableur - niveau expert
Double cliquer sur le diagramme (la bordure apparait en gris).
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- Au survol du n° sur la liste, visualisation de la portion sur la molécule.
- Clic sur un n° de la séquence modification de l'apparence de cette portion ...
- Clic droit Masquer, masquer le reste de la molécule ...
Menu Séquences : Sélectionner des portions précises de la molécule.
A partir d'un fichier local
- Utiliser les sélections prédéfinies : protéines, ADN, sucres, eau, autres.
- Représentation de la sélection : rubans, sphères, boules et batonnets.
- Colorer les atomes, chaines, résidus ...
Menu commandes : Mettre en forme différentes parties de la molécule (aide contaxtuelle au survol de la commande)
Clic droit, rotation de la molécule,Clic gauche, translation de la molécule,Molette aggrandir ou rétrécir la moléculeAu survol de la souris, nom de l'atome, du résidu, de la chaine et de la molécule.
Visualiser la molécule
Capture des observations
Compréhension des manipulations
Mise en évidence des portions demandées
Choix du fichier de molécule cohérent
Menu Fichiers Ouvrir la molécule
But : Mettre en évidence différentes portions d'une molécule.
Utiliser un logiciel de modélisation moléculaire Libmol
A partir de la banque en ligne
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Menu TableauInsérer un tableau
Menu FormatFormater le texte (sélectionné)EspacementCaractères (exposant, indice)Puces et numérosImage (sélectionnée)
Menu Insertion Insérer un saut de pageUne imageUn objet -formuleUne forme (flèche ...)Une zone de texteCaractères spéciaux @ ...
Menu Fichiers Ouvrir un fichierEnregistrerExporter en pdfImprimer
Clic gauche Menu contextuel / sélection
Clic droit sélectionner une image ...
ABC
Eviter les pertes de temps
Fichier correctement enregistré
Formatage conforme aux consignes
Fichier correctement ouvert
But : L'utilisation du traitement de texte est quasiment indispensable au lycée, vous devez savoir l'utiliser de manière efficace sans passer des heures à modifier le format des paragraphes, caractères …
Utiliser un traitement de texte
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ABC
Eviter les pertes de temps
Fichier correctement enregistré
Formatage conforme aux consignes
Fichier correctement ouvert
But : Adapter un texte autour d'une image, recadrer une image ...
Utiliser un traitement de texte - expert
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Ouvrir chaque image en cliquant sur « Ouvrir une image anatomique » dans la moitié de l’écran correspondant
Régler le contraste et la luminosité de l’image à l’aide des deux curseurs
Rechercher le fichier de l’IRM anatomique, puis Ouvrir
Afficher / masquer le panneau de gauche.
IRM anatomique
- Enregistrer une capture d’écran
L’œil permet de masquer ce calque fonctionnel, la croix permet de le fermer.
Régler le seuil du (des) calque(s) fonctionnel(s) à l’aide du curseur ainsi que l'échelle de couleurs.
Rechercher le fichier de l’IRM fonctionnelle puis cliquer sur « Ouvrir ».
IRM fonctionnelle
Réinitialiser l’orientation de la vue 3D
Utiliser la molette de la souris pour zoomer sur la vue 3D - Bouger la souris tout en maintenant le bouton gauche enfoncé pour faire pivoter la vue 3D
Préparation de la communication
Comparaison pertinente
IRM f et IRM anat même sujet !
Choix pertinent des fichiers à comparer ...
But : Comprendre l'organisation du cerveau grâce à l'utilisation d'images d'IRM.
Utiliser le logiciel Eduanat 2
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Cliquer avec la souris sur la zone mise en évidence
Vue en 3D de la position de la souris
Coordonnées de la position de la souris
Choix d'une zone à mettre en surbrillance
Réglage du seuil
Echelle d'IRM fonctionnelle selon réglage du seuil
Ascenseur pour se déplacer
3 coupes selon 3 axes dans le cerveau
Préparation de la communication
Mise en surbrillance des zones pertinente
Repérage sur le crâne
Choix pertinent des situations à comparer ...
But : Comprendre l'organisation du cerveau grâce à l'utilisation d'images d'IRM.
IRM virtuelle en ligne.
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Charger un ou plusieurs sismogrammes par le menu «Fichier» Dans le menu « Sismogrammes » il possible de pointer le temps d’arrivée des ondes
Sélectionner un modèle de tomographie sismique dans le menu «Données affichées ». Puis tracer une coupe.
Menu «Actions», «Tracer une coupe»Cliquer sur le globe virtuel en 2 points, de façon à délimiter la coupe : la coupe apparaît alors dans la fenêtre de résultats.
Afficher des sismogrammes
Tracer un profil de tomographie sismique
Tracer une coupe
Afficher le Moho, ou la LVZ sur les coupes
Afficher des calques de données sur le globe (âge du plancher océanique, carte géologique, anomalies magnétiques etc.)
Afficher des foyers sismiques ou des volcans
Afficher des stations GPS
Fenêtre « Résultats » où notamment les coupes réalisées sont tracées, et où la consigne est donnée.
Fenêtre « Globe virtuel » où il est possible de se déplacer et de zoomer à l’aide de la molette de la souris.
Barre de menus
Fenêtre « Réglages » où il possible de changer certains paramètres en lien avec l’action en cours
Présentation générale
Afficher des données - menu "Données affichées"
Préparation de la communication
Affichages séismes volcans selon besoins
Zone de coupe pertinente
Choix pertinent des zones à comparer.
But : Appréhender les manifestations géologiques, zone de subduction, séismes ....
Utiliser Tectoglob 3D
2 types de règles :- génération spontanée - réaction entre plusieurs agents.Dans le cas de relations entre les agents, choisir entre quels agents la réaction a lieu (réactifs) et quel est le résultat (produits), la probabilité de réaction.
Choix des comportements = relations entre les agents
Les acteurs du modèle. Choisir les critères - d’apparence (une icône ou choisir une image) - de déplacement, - la probabilité de déplacement, - la demi vie - et le mode de déplacement. Il est toujours possible de modifier ensuite ces critères.
Choix des agents
Mode expert : possibilité de créer des zones
1. Charger un modèle, enregistrer ...2. Paramètres d'affichage du graphique3. Paramètres de la simulation, vitesse, tour de chauffe ...
123
Agents et comportements
Liste des agents
Fenêtre de simulation
Graphique effectifs des agents en fonction du temps
Barre de menus
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Présentation générale
Confrontation à la réalité.
Logique de la modélisation
Réglage des comportements
Choix pertinent des agents.
But : Modéliser des phénomènes moléculaires, cellulaires ou à l'échelle des individus.
Edumodeles
Choix des comportements selon les zones.
Choisir les pixels de la zone
Ajouter une zone
Choix des acteurs selon les zones.
Délimiter la zone sélectionnée
Zones
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Mode expert
Confrontation à la réalité.
Logique de la modélisation
Réglage des comportements
Choix pertinent des agents.
But : Construire des zones dans lesquelles certains agents se trouvent ou certaines réactions se déroulent.
Edumodeles mode expert
Fenêtre de modélisation
Résultats
Effectifs
Immunité
% transmission
Couverture vaccinale
Menu général
Contaminer en cliquant sur les individus
Vacciner
Analyse des résultats
Lancer la modélisation
Choix de l'effectif Peupler
Choix des caractéristiques de l'épidémie
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Présentation générale
Confrontation à la réalité.
Logique de la modélisation
Réglage des comportements
Choix pertinent des caractéristiques.
But : Modéliser les conséquences de la vaccination sur la propagtion d'une épidémie.
Modéliser la vaccination - couvac
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Moyen d'observation
km
mm
pm
nm
µm
Univers
Distance Terre-soleil
Rayon Soleil
Distance Terre-lune
Rayon Terre
Montagne
Organismes
Cellule
Molécule ADN
Noyau d'un atome
But : Appréhender les ordres des grandeur de l'atome au soleil ...
De l'atome à l'Univers
https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Plastids_types-fr.svg
Vue schématique d’une cellule végétale
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Un plaste, est un organite présent dans les cellules des eucaryotes chlorophylliens. Un plaste possède une enveloppe composée d'une ou plusieurs membranes. Suivant la cellule, les plastes peuvent se spécialiser pour accomplir certaines fonctions.
Les plastes des cellules végétales
Morgan est le premier à travailler sur les drosophiles en génétique : elle a la capacité de se reproduire rapidement et ne possède que quatre paires de chromosomes, aisément observables au microscope photonique. Morgan découvre, à la suite de croisements entre les individus, qu'une des drosophiles mâles possède des yeux blancs plutôt que les yeux rouges habituels. À la suite de plusieurs générations, il découvre que seuls les mâles peuvent avoir le caractère des yeux blancs. Il tire la conclusion que la couleur des yeux doit être liée d'une certaine manière au sexe de l'individu.
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La drosophile Drosophila melanogaster est depuis longtemps un outil fascinant très utilisé en génétique. Elle permet d’illustrer simplement les notions de dominance et récessivité des allèles. A l’état sauvage, on la trouve sur les fruits pourris car elle est attirée par la fermentation alcoolique. C’est une petite mouche dont la taille adulte (ailes comprises) n’excède pas 3-4 mm. A l'état sauvage elle possède des yeux rouge brique et un corps gris- jaune. Différence de taille : les femelles sont plus grandes que les mâles. Différence dans la forme et la couleur de l’abdomen. Vu dorsalement, l’abdomen de la femelle est de forme pointue, avec des segments terminaux gris assez clair. L’abdomen du mâle, plus arrondi, a des segments terminaux gris très foncé. Présence de « peignes sexuels » chez le mâle seulement. Il s’agit d’une touffe de poils noirs, au niveau métatarse – 1er article du tarse de la paire de pattes antérieures.
Les drosophiles
Anabolisme : réaction de synthèse "accrochage" de molécules
Catabolisme : réaction de dégradation "découpage" de molécules
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Une enzyme est une protéine qui augmente la vitesse de réaction d'une réaction biochimique. L'enzyme n'est pas modifiée au cours de la réaction. Les molécules initiales sont les substrats de l'enzyme, et les molécules formées à partir de ces substrats sont les produits de la réaction. Presque tous les processus métaboliques de la cellule ont besoin d'enzymes pour se dérouler à une vitesse suffisante pour maintenir la vie. Les enzymes catalysent plus de 5 000 réactions chimiques différentes. L'ensemble des enzymes d'une cellule détermine les voies métaboliques possibles dans cette cellule.
Les enzymes
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De la fleur au fruit
L'expression des gènes, désigne l'ensemble des processus par lesquels l'information héréditaire stockée dans un gène est « lue » pour aboutir à la fabrication de molécules qui auront un rôle actif dans le fonctionnement cellulaire, comme les protéines. Même si toutes les cellules d'un organisme partagent le même génome, certains gènes ne sont exprimés que dans certaines cellules, à certaines périodes de la vie de l'organisme ou sous certaines conditions. La régulation de l'expression génétique est donc le mécanisme fondamental permettant la différenciation cellulaire, la morphogenèse et l'adaptabilité d'un organisme vivant à son environnement.
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La régulation de l'expression des gènes
Attention il ne faut pas confondre ces organes de réserves avec la reproduction sexuée, chacune de ces plantes fleurit et fait des graines …
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Un organe de réserve est une partie de plante modifiée spécifiquement pour lui permettre de stocker de l'énergie (généralement sous la forme de glucides) ou de l'eau pour passer la mauvaise saison et se développer l’année suivante. Les organes de stockage sont souvent des organes souterrains, qui sont mieux protégés que les parties aériennes des attaques des animaux herbivores.
Les organes de réserves
- Trachéïdes, vaisseaux conducteurs
- Collenchyme
- Sclérenchyme
- Epiderme
La différenciation des parois selon le type de tissu végétal.
Dans le cas de cellules végétales différenciées la paroi primaire s’enrichit en lignine un composé hydrophobe et la paroi secondaire s’épaissit vers l’intérieur de la cellule. C’est cette paroi secondaire qui forme notamment le bois des troncs d’arbre.
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La paroi des cellules végétales constitue plusieurs ressources naturelles : le bois et les fibres textiles d'origines végétales : coton, lin... La paroi primaire a une double spécificité, elle doit en même temps :• être rigide pour jouer le rôle de squelette du végétal• assurer une plasticité/élasticité permettant la croissance et la division cellulaire.
La paroi des cellules végétales
Les positions relatives des vaisseaux du xylème et du phloème sont différentes selon l’organe considéré :- Dans la racine, xylème et phloème sont disposés en alternance sur un cercle central- Dans la tige, xylème et phloème sont superposés sur les bords externes de la tige.- Dans les feuilles, xylème et phloème sont superposés au niveau des nervures.
Chez les végétaux terrestres la circulation des sèves est assurée par un appareil conducteur composé de deux types de tissus : le xylème pour la sève brute et le phloème pour la sève élaborée.
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Les vaisseaux conducteurs de sève
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L'échelle stratigraphique
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La structure de la Terre
Atome
Maille
Cristal
Minéral
Roche
Toutes les roches sont constituées d’un assemblage ordonné de minéraux. Les minéraux sont définis par leur composition chimique et l’agencement de ses atomes suivant un motif ou maille élémentaire se répétant de façon ordonnée pour former un cristal.
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La structure d'une roche
Les plaques lithosphériques (ou plaques tectoniques) sont définies en surface par des limites de plaques (zones de subduction, dorsales, zones de collision) et en profondeur par l’isotherme 1300°C qui marque la séparation entre la partie lithosphérique du manteau ayant une structure cassante et la partie asthénosphérique du manteau ayant une structure ductile).
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Les plaques lithosphériques
Nouveau minéral formé par une réaction métamosphique en présence d'eau entre les deux minéraux initialement présents.
En présence d’eau et de nouvelles conditions de P et de T, de nouveaux minéraux peuvent se former à partir des minéraux présents dans la roche. La présence de nouveaux minéraux donne une indication sur les conditions de pression et de température subies par la roche après sa formation. On peut alors établir des faciès métamorphiques.
La pression augmente en raison de l'augmentation du poids de la colonne de roches sus-jacentes, c'est la pression lithostatique. La pression de contrainte est aussi responsable de métamorphisme ; c'est une pression orientée qui affecte les roches lors de l'orogénèse (naissance des montagnes) à la suite de mouvements tectoniques.
La température : il existe un gradient thermique et un gradient de pression croissant avec la profondeur. Ainsi des roches peuvent être soumises à ces gradients lors d'un enfouissement d'une partie de la croûte terrestre (subduction) ou au contraire lors d'une remontée.
À la suite de modifications des conditions physico-chimiques, le métamorphisme est un processus interne ou endogène, qui provoque le changement à l'état solide de la texture et de la composition minéralogique d'une roche dont les minéraux étaient stables jusque-là.
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Le métamorphisme
• La convection est le mode de transfert d’énergie thermique prépondérant dans le manteau terrestre. • Les roches de la lithosphère ne sont pas ductiles, le mode de transfert de chaleur est alors la conduction.
Modalités de transfert de la chaleur.
- Désintégration radioactive d'élements chimiques dans le manteau terrestre.
- Résidu de la chaleur initiale de la formation dans le Terre dans le noyau.
- Réactions de cristallisation à la limite entre le manteau et le noyau.
Origine de la chaleur de la Terre :
La Terre reçoit de l’énergie du Soleil (de l’ordre de 350 W.m-2) mais est elle-même une source d’énergie (de l'ordre de 80 mW.m-2) ce qui est négligeable pour en terme de chaleur mais primordial au niveau géologique car c'est le moteur de la tectonique des plaques.
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La chaleur de la Terre
• Les ondes de surface qui ne se propagent qu’à la surface de la Terre, comme les rides formées à la surface d'un lac. Elles sont moins rapides que les ondes de volume ; leur amplitude en surface est généralement plus forte, mais décroît rapidement avec la distance. o Les ondes L. o Les ondes R.
Les ondes sismiques, ou ondes élastiques, sont des mouvements vibratoires qui se propagent à travers un matériau. Elles sont générées par un événement initial brutal, l'impulsion de départ déplace les atomes du milieu, qui en poussent d'autres avant de reprendre leur place, ces déplacements oscillatoires se propageant ensuite de proche en proche. Un séisme émet des ondes sismiques dans toutes les directions.
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Les ondes sismiques
On distingue deux grands types d’ondes sismiques : • Les ondes de volume qui se propagent à l’intérieur du globe. Leur vitesse de propagation dépend du matériau traversé, de sa densité, de sa température. o Les ondes P (ondes de pression). o Les ondes S (ondes de cisaillement Shear wave en anglais).
À partir des profils sismiques et des résultats de forages qui permettent de déterminer la nature des roches du sous-sol, les géologues évaluent la vitesse des ondes dans les structures. La vitesse des ondes étant estimée, il est possible de déterminer la profondeur des discontinuités et de construire une image des structures en profondeur.
Les techniques de sismique-réflexion et sismique réfraction.Ces techniques consistent à émettre des vibrations (par camion vibreur ou par explosion de petites charges) en milieu continental ou des explosions (par canon à air) en milieu océanique. Les ondes produites se propagent alors dans l’eau et le sous-sol. Des récepteurs enregistrent les échos des ondes réfléchies et réfractées par les surfaces de discontinuité ; zones de transition entre deux milieux.
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La sismique réflexion - réfraction
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Les marges passives
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Les dorsales océaniques
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Les zones de subduction
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Comparaison des croûtes terrestres
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1 autre fraction une autre paire chromosomes
1 fraction2 barres 2 chromosomes homologues
a b d
A B D
Travail propre
Essayer pour une cellule haploïde.
... Selon les consignes des doc.
Respect des conventions ...
Le génotype correspond à l’ensemble des allèles possédés par une cellule ou un organisme. Par convention, il s’écrit entre parenthèses, en utilisant des symboles pour chaque allèle considéré.Attention pour un gène donné conserver la même "lettre" pour noter les 2 allèles.
[ A B , D]
Le phénotype d’un organisme correspond à l’ensemble des caractères affichés par celui-ci. Par convention, il s’écrit entre crochets. Seuls les allèles dominants sont mentionnés.
But : Savoir écrire correctement le génotype et le phénotype d'un individu.
Conventions d'écriture en génétique.
Un allèle dominant est un allèle dont l’expression confère à la cellule / à l’organisme son phénotype ➜ il est représenté le plus souvent par une lettre MAJUSCULE.Un allèle récessif est un allèle dont l’expression est masquée et non visible dans le phénotype de la cellule / de l’organisme ➜ il est représenté le plus souvent par une lettre minuscule.
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Séparation des chromatides de chaque chromosome
Séparation des chromosomes homologues
4 gamètes équiprobables à n = 2
2n = 4
Méiose, juste en nombre de chromosomes
2n = 4
Après réplication
2 cellules filles à 2n = 4
Séparation des chromatides de chaque chromosome
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2n = 4
La mitose, une division conforme
Les déformations à l’échelle des roches et des minéraux. : - Schistosité : feuilletage en plans parallèles, plus ou moins serrés de certaines roches. La roche peut se débiter en plaques ou feuillets - Foliation : orientation préférentielle de minéraux visibles à l'œil nu à l’échelle de l’échantillon conséquence de la différence de résistance des différents minéraux constituant une roche.
Les deux structures peuvent aussi êtres associées plis et faille :
Les plis : Structure courbe due à une déformation ductile (non cassante) des roches.- Un pli anticlinal présente les couches les plus anciennes au cœur du pli.- Un pli synclinal présente les couches les plus récentes en son centre.
Les failles : Structure formée par une déformation non ductile (cassante) des roches. 3 types différents de failles. - Les failles coulissantes ou failles transformantes - Les failles inverses correspondent à un raccourcissement horizontal des couches - Les failles normales correspondent à un allongement horizontal des couches
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But : Soumises à des contraintes les roches se déforment selon leur texture, leur résistance à la déformation. Ces déformations peuvent être à des niveaux macroscopiques ou microscopiques.
Les déformations à l'échelle des paysages et des roches
La membrane plasmique, est une membrane biologique séparant l'intérieur d'une cellule, appelé cytoplasme, de son environnement extérieur, c'est-à-dire du milieu extracellulaire. Cette membrane joue un rôle biologique fondamental en isolant la cellule de son environnement. Elle est constituée d'une bicouche lipidique comprenant des phospholipides et du cholestérol permettant d'ajuster la fluidité de l'ensemble en fonction de la température, ainsi que des protéines membranaires intégrales ou périphériques, les premières jouant généralement le rôle de transporteurs membranaires tandis que les secondes interviennent souvent dans les processus intercellulaires, l'interaction avec l'environnement, voire les changements de forme de la cellule.
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La membrane plasmique
Au moment de la fécondation les chromosomes s'assemblent par paire
Gène 1 sur le chromosome de la paire 2
Gène 1 sur le chromosome 2
Gène 1 sur le chromosome 2
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Chez tous les êtres vivants pluricellulaires, issus de la fécondation d’un ovocyte par un spermatozoïde, il existe des paires de chromosomes.Un des chromosomes de la paire provient du spermatozoïde, l’autre chromosome de la paire provient de l’ovocyte.Les gènes sont des portions de chromosomes codant pour la fabrication d’une protéine et ayant une place définie sur une paire donnée de chromosomes.
Gènes - chromosomes
Les roches sédimentaires sont dites roches exogènes, c'est-à-dire qu'elles se forment à la surface de l'écorce terrestre.La texture d'une roche sédimentaire est conditionnée par sa taille, la forme et l'orientation de ses clastes. Cette texture est une propriété à petite échelle d'une roche, mais détermine une grande partie de ses propriétés à grande échelle, telles que la densité, la porosité ou la perméabilité.
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Les roches sédimentaires proviennent de l'accumulation de sédiments qui se déposent le plus souvent en couches ou lits superposés, appelés strates. Elles résultent de l'accumulation de sédiments divers, c'est-à-dire d'éléments solides (morceaux de roches ou fragments, minéraux, débris coquilliers...) et/ou de précipitations à partir d'éléments en solution dans l'eau. On rassemble sous le nom de diagenèse l'ensemble des processus par lesquels les dépôts issus de l'érosion sont transformés en roches sédimentaires.
Les roches sédimentaires
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Les fossiles sont des restes ou des moulages d’organismes (ou de restes d’organismes) inclus dans des sédiments. Les parties dures des organismes (coquilles, dents, os) ont davantage de chances d’être fossilisées que les partie molles (organes) qui subissent en général une décomposition rapide.La fossilisation est un phénomène exceptionnel qui selon les cas consiste en :• La conservation des organes sans modification ou très peu (recristallisation) : c’est le cas pour les coquilles, os, dents.• La conservation après remplacement de la matière d’origine par une autre : troncs d’arbres pétrifiés (de la silice remplace le bois), ammonites pyriteuses (de la pyrite (minéral) remplace le calcaire dont est constituée la coquille).• La conservation d’un moulage (empreinte) de l’organisme (de la coquille par exemple) ou d’une trace laissée par l’organisme (terrier, empreinte de pas)Les fossiles renseignent sur les caractéristiques du milieu de sédimentation (marin, lacustre … ) et certains renseignent également sur l’époque de dépôt des sédiments : ce sont les fossiles stratigraphiques utilisés pour la datation des roches.
Fossiles
Fusion
Roche métamorphique
Métamorphisme
Roche sédimentaire
Sédimentation
Erosion
Roche magmatique
Cristallisation
Magma
la croûte terrestre dans son ensemble se compose d'environ 94 % en volume de roches qui proviennent de la cristallisation d'un magma, on appelle ces roches des roches magmatiques. L'étape suivante du cycle consiste dans la remontée, souvent très lente, parfois rapide, de cette roche magmatique vers la surface, où elle se trouve alors exposée à différents processus géologiques qui l'érodent et qui la transportent sous forme de grains de tailles diverses vers des bassins de sédimentation, se sont des sédiments. Sous l'effet de processus physique de compaction et de réactions chimiques lors de la diagenèse, les sédiments se consolident et deviennent des roches compactes appelées roches sédimentaires. Des processus tectoniques peuvent enfouirles roches sédimentaires à des profondeurs appréciables sous la surface, notamment à l'intérieur de chaînes de montagnes. Ces roches sédimentaires sont alors soumises à des pressions et des températures élevées, et subissent à leur tour une transformation importante dans leur forme et leurs propriétés physiques, tout en conservant généralement la même composition chimique globale. Elles deviennent ainsi des roches métamorphiques.
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Le cycle des roches
Cellule végétale
Cône =cellule de la rétine
Spermatozoïde
Pluricellulaires : êtres vivants formés de plusieurs cellules spécialisées dans une fonction.
Paramécies
Bactéries
Unicellulaires : êtres vivants formés d'une seule cellule assurant toutes les fonctions.
Eucaryotes : cellules avec des compartiments (organites) ayant chacun une fonction au sein de la cellule. Le noyau contient l'information génétique.Les mitochondries assurent l'apport en énergie ...
Procaryotes : cellules non compartimentées, toutes les fonctions sont assurés dans le cytoplasme.
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Une cellule est l'unité fonctionnelle du vivant. Une cellule est constitué d'une membrane qui entoure un cytoplasme, dans lequel se trouve une information génétique lui permettant de se reproduire, de se dévelloper. Dans le cytoplasme se déroulent des réactions biochimiques (métabolisme) définissant ainsi deux milieux de composition différente : le milieu intra cellulaire et le milieu extracellulaire. On peut distinguer plusieurs types de cellules selon leur organisation.
Une cellule ?
Caryotype d'un rat mâleSource Wikipédia
Caryotype d'une femmeSource Wikipédia
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Le caryotype (ou caryogramme) est l'arrangement standard de l'ensemble des chromosomes d'une cellule, à partir d'une prise de vue microscopique. Les chromosomes sont photographiés et disposés selon un format standard : par paire et classés par taille, et par position du centromère. On réalise des caryotypes dans le but de détecter des aberrations chromosomiques (telles que la trisomie 21) ou d'identifier certains aspects du génome de l'individu, comme le sexe (XX ou XY).
Caryotype
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Deux chaines de NUCLEOTIDES COMPLEMENTAIRES enroulées en double hélice.Structure universelle
Ordre des nucléotides = séquence. Message unique
Deux chaines de NUCLEOTIDES COMPLEMENTAIRES
Nucléotide à Adénine
Nucléotide à Guanine
Nucléotide à Cytosine
Nucléotide à Thymine
4 nucléotides diférents, complémentaires 2 à 2
But : Comprendre la relation entre la structure universelle et le message unique à à chacun contenu dans la molécule d'ADN.
La molécule d'ADN.
2 molécules d'ADN strictement identiques
Copie de chaque brin d'ADN grâce à la complémentarité des nucléotides
Séparation des deux brins de la molécule d'ADN initiale
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La réplication de l'ADN.
Exportation de l'ARN m dans le cytoplasme
Dans le cytoplasme de la cellule.
La maturation des protéines : assemblage de plusieurs sous unités, ajout d'autres molécules, conformation 3D.
La traduction : synthèse de la protéine (séquence d'acides aminés) à partir de la séquence de ribonuclétoides de l'ARN m
La maturation ou épissage de l'ARN m, les morceaux non codants sont éliminés (introns).
La transcription : synthèse d'un ARN m à partir du brin transcrit de l'ADN
La synthèse des protéines est l'ensemble des processus biochimiques permettant aux cellules de produire leurs protéines à partir de leurs gènes. Elle comprend 4 grandes étapes : la transcription, la maturation de l'ARN messager, la traduction et la maturation des protéines.
Dans le noyau de la cellule.
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La synthèse des protéines
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Molécule d'ADN
Bobine de fil
Fil déroulé
Matériel génétique sous forme de chromosomes, forme compactée de la chromatine.
Matériel génétique sous forme de chromatine
Uniquement lors des divisions cellulaires
Cellule en interphase,la majeure partie de la vie de la cellule
But : Comprendre les modifications de l'apparence du matériel génétique au cours de la vie de la cellule.
Noyau, chromosome, chromatine ?
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Molécules ayant un rôle prépondérant dans la cellule car porteuse de l'information génétique. Elle sont formées de nucléotides. Un nucléotide est un assemblage de 3 molécules : un sucre (ribose ou désoxyribose), un acide phosphorique et une base azotée (parmi 5 possibles : Uracile, Thymine, Guanine, Cytidine, Adénine). 1 nucléotide On distingue deux molécules principales : ADN et ARN.
Molécules formées de C, H et O. Tous les lipides se caractérisent par une partie hydrophobe (qui « fuit l'eau ») et une partie hydrophile (qui « aime l'eau »). Leurs fonctions sont variées :- molécules énergétiques de stockage.- constituant de nombreuses hormones.- constituant de la membrane plasmique.CholestérolDi acyl glycerol
Les protéines sont des macro molécules constituées d'acides aminés (de 50 à 1000). Leur structure et leur fonction dépend de leur séquence en acides aminés et des relations s'établissant entre les acides aminés. Les protéines ont des fonctions très diverses :- protéines de structure : collagène, kératine- protéines motrices : myosine présente dans les fibres musculaires.- protéines réceptrices : récepteur hormonal - enzyme : réalise toutes les réactions chimiques dans les cellules. - protéines signal : hormones par exemple, insuline. - protéines de transport : hémoglobine.
Les glucides sont des hydrates de carbones c'est à dire des molécules formées d'atomes de C , d'H et d'O.Les glucides ont diverses fonctions :- dégradés lors de la respiration cellulaire ils permettent à la cellule de fabriquer de l'énergie.- ils entrent dans la formation des acides nucléiques.- ils jouent un rôle important dans la reconnaissance cellulaire (groupes sanguins).
Acides nucléiques
Lipides
Protéines
Distinction des différentes molécules organiques
Compréhension de la relation structure - fonction
... Selon le type de cellule
Réperage de la composition d'une molécule ...
Glucides
But : Connaître la composition, la structure et la fonction des molécules organiques.
Les molécules organiques
Mouvement global de ce point
- Sud
+ Nord
latitude
longitude
- Ouest
+ Est
Avec un tableur on peut construire l'évolution au cours du temps de ces différents relevés. En calculant ensuite la pente de chacun de ces graphiques on peut déterminer la vitesse de déplacement en longitude et latitude.
L'enregistrement en un point donné des données GPS au cours du temps permettent ainsi de suivre l'évolution de ce point en longitude, en latitude et en altitude.
Application en SVT
Chaque satellite émet un signal complexe qui comporte une information sur la position du satellite et l’heure exacte lors de l’émission de chaque signal. La détermination de la position du récepteur repose sur la connaissance des distances entre le récepteur et plusieurs satellites. La connaissance précise des distances entre un récepteur et trois émetteurs localisés permettrait la détermination exacte de l’emplacement du récepteur d'un point.
Point à l'intersection des zones de réception des trois satelittes.
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Mode de fonctionnement
But : Le GPS (Global Positioning System) comporte un ensemble de satellites NAVSTAR dont l’orbite est quasi-circulaire à une altitude de 20 184 km au-dessus de la surface terrestre.
Utiliser les données GPS ...
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Anatomie du cerveau
Coupe coronale
Coupe Transversale
Coupe sagittale
Coupe coronale
Coupe Transversale
Coupe sagittale
Les vues du cerveau selon les plans de coupe
Les plans de coupe
But : Connaître les plans de section sur un crâne pour repérer les différentes images d'IRM.
Se repérer dans un crâne ...
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Cycle d'infection d'un virus
Erosion : de la roche au sédiment
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Des roches ...
Ainsi, au sein des organismes pluricellulaires, les cellules présentent une grande diversité de structure et de fonction. L'organisation pluricellulaire implique la spécialisation des cellules et leur coopération. Les cellules s'associent pour former des tissus, puis des organes spécialisés dans la prise en charge d'une ou plusieurs fonctions de l'organisme. Le fonctionnement coordonné de l'ensemble des cellules, des tissus et des organes permet la vie de l'organisme pluricellulaire. Toutes les cellules d’un organisme sont issues d’une cellule unique à l’origine de cet organisme. Elles possèdent toutes initialement la même information génétique organisée en gènes. Cependant, les cellules spécialisées n’expriment qu’une partie des gènes à leur disposition.
Assurer la rigidité des vaisseaux afin de conduire la sève
Réaliser la photosynthèse
Procurer une isolation de l'épiderme face au milieu extérieur.
Transmettre un message nerveux entre deux neurones
Découper les molécules des aliments.
Lignine
Chlorophylle
Cutine
Neurotransmetteurs
Enzymes
Cellules du xylème
source
source
Cellules de parenchyme
source
Cellules épidermiques
source
Neurones
Cellules intestinales
source
vaisseau conducteur
Parenchyme chlorophyllien
épiderme
tissu nerveux
épithélium intestinal
Conduction
Photosynthèse
Protection
Communication
Nutrition
Rôle
Protéine spécifique
Structure cellulaire
Tissu
Fonction
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Des cellules spécialisées.
Méridien
Parallèle
Axe de Latitude
Axe de Longitude
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But : Connaître les repères de longitude et de latitude.
Se repérer sur la Terre
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De supercontinents en dislocations ...
Les continents sur la Terre ...
D'après Banque schéma SVT académie Dijon
Histoire de la vie sur la Terre sur 1 heure
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Histoire de la vie sur la Terre
coupe sagittale
coupe coronale
coupe transversale
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Les organes selon les plans de coupe
Les plans de coupe
But : Connaître les plans de section sur un organisme afin de repérer la position des organes.
Plan d'organisation d'un Vertébré
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Blanc, gris, noir
Teintes moyennes
Teintes vives
Vue en macro
Vue en coupe
Changement de couleur du minéral en faisant tourner la platine.
2 clivages 120°
2 clivages 90°
1 clivage
Absence
Fort
Moyen
Faible
Pléochroïsme
Forme allongée
Hexagone
Rectangulaire
Coloration vive
Faiblement coloré
Blanc
Teinte de polarisation
Macle
Clivage
Relief
Forme
Couleur
Confirmation en LPA
Détermination en LPNA - lumière naturelle
But : Utiliser une clé de détermination des minéraux
Déterminer des minéraux
Déterminer des minéraux
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lame de parquet
lame de parquet
Aspect déchiqueté
Marron- vert
Beige-marron
120°
vert
Marron -vert
Marron
90°
120°
Bleu-violet
bleu
vert
beige
rose
Toujours éteint
Fines aiguilles
Minéral
Couleur LPA
Mâcle
Pléochroïsme
Clivage
Relief
Forme
Couleur LPNA
minéral craquelé
Pas de contours visibles
Chlorite
Hornblende
Biotite
Glaucophane
Actinote
Jadéite
Clino-pyroxène
Ortho-pyroxène
Grenat
Sillimanite
Olivine
Muscovite
Andalousite
Disthène
Feldspath
Quartz
Les cellules sanguines
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Granulocytes neutrophiles
Monocytes
Granulocytes eosinophiles
Granulocytes basophiles
Lymphocytes
Globules blancs (4%)
Globules rouges (41%)
Plaquettes (0.01%)
Plasma (55%)
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Cellule animale et cellule végétale vs bactérie
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La faune du sol
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Le non soi est défini comme l’ensemble des molécules différentes du soi, qui lorsqu'elles sont présentes dans l’organisme, vont déclencher des réactions immunitaires. Ces molécules étrangères au soi sont appelées antigènes qui peuvent présenter plusieurs déterminants antigéniques qui seront reconnus spécifiquement par le système immunitaire.
Tout organisme doit faire la différence entre les cellules, les molécules qui lui appartiennent le soi, le soi « malade » et ce qui est étranger le non soi, grâce à des marqueurs membranaires, caractéristiques du soi, HLA (marqueurs de l’identité de chaque individu) codés par les gènes du CMH, qui exposent à la surface des cellules des échantillons des protéines synthétisées par ces cellules.
Le soi et le non soi
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Un anticorps est une protéine constituée de 4 chaines : 2 chaines lourdes (H pour Heavy) et 2 chaines légères (L pour Light). Chaque châine comporte une partie constante et une partie variable voire hypervariable. En effet un anticorps donné ne reconnait q'un déterminant antigénique donné.Les anticorps en se fixant sur les antigènes facilitent leur élimination par les cellules phagocytaires. Les anticorps sont fabriqués par des lymphocytes B activés devenus des plasmocytes. Il existe des anticorps membranaires présents sur la membrane des lymphocytes B, avant leur activation et des anticorps circulants émis dans le sang par les plasmocytes.
Anticorps - Antigène
Principe d'identité paléontologique
Principe de recoupement et d'inclusion
Principe de continuité
Principe de superposition
Principe de l’actualisme : principe de base de la géologie. les phénomènes qui se sont produits dans le passé lointain se produisent actuellement. Les structures géologiques passées ont été formées par des phénomènes (sédimentaires, tectoniques ou autres) toujours visibles de nos jours.
La datation relative regroupe l'ensemble des méthodes de datation permettant d'ordonner chronologiquement des événements géologiques ou biologiques, les uns par rapport aux autres. Cette méthode dans certaines circonstances favorables (grande richesse en fossiles stratigraphiques et taux de sédimentation élevé) peut permettre un repérage d’une grande finesse mais ne donne pas l’âge d’un événement. Il est donc impossible par cette approche de chiffrer (en millions d’années) l’âge d’un phénomène, ou d’aborder directement la durée des phénomènes observés.
La datation relative
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Les niveaux d'organisation du vivant
... molécules, structures constituées d'atomes ayant une fonction propre.
... organites, structures intracellulaires ayant une fonction propre constitués de ...
Ecosystème ensemble formé par des êtres vivants (biocénose) en relation avec leur environnement (biotope).
... est constitué d'organes, ayant une fonction précise au sein de l'organisme (protection, nutrition, reproduction ...) ...
... eux mêmes composés de tissus ...
... formés de cellules spécialisées dans une fonction précise, comportant des ...
Biosphère = ensemble de tous les êtres vivants sur Terre, animaux, végétaux, bactéries ....
Un organisme pluricellulaire : un être vivant capable de se nourrir, se reproduire, grandir, ...
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Jumeaux
Enfant à naître phénotype inconnu
Femme phénotype alternatif
Homme phénotype alternatif
Femme phénotype sain
Homme phénotype sain
Numéros des individus (plus pratique que Mamie Paulette ou Tonton René ...)
Prédiction du phénotype de l'enfant à naître
Compréhension des relations au sein de la famille
Repérage correct des individus
Repérage correct des générations
Numéros des générations
But : L'analyse d'un arbre généalogique permet de montrer le mode de transmission de certains caractères héréditaires et ainsi de prédire le phénotype d'enfants à naître.
Analyser un arbre généalogique.
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Rédiger un tableau de croisement et comparer les résultats réels (du document) avec ceux prévus par le tableau de croisement. Confirmer ou infirmer l'hypothèse du
Etablir la diversité et les proportions des gamètes de F1 (double hétérozygote)
Ecrire le phénotype des individus parents puis F1 avec les conventions du document (ou en ayant choisi des conventions logiques)Ecrire le génotype des indiviuds parents et F1 selon l'hypothèse choisie.
- Les 2 gènes sont indépendants (sur deux paires de chromosomes différentes)
- Les 2 gènes sont liés (sur la même paire de chromosomes)
Formuler une hypothèse quant à la répartition des 2 gènes (cas le plus général) :
En osbervant le phénotype de F1 (individu né du 1° croisement) en déduire les allèles dominants et récessifs.
Déterminer le nombre d'allèles différents : voir les variations possibles pour chaque caractère dans l'énoncé.
Par définition les individus de la 1° génération sont de lignées pures (donc homozygotes) pour les gènes considérés.
Déterminer le nombre de gènes impliqués en fonction des données de l'énoncé, 1 caractère pour 1 gène.
Conclusion pertinente
Méiose de F1 correcte
... Selon les consignes des doc.
Respect des conventions d'écriture ...
But : Déterminer l'origine de la proportion des phénotypes des individus de la 2° génération issue d'un test cross.
Analyse de croisement génétique.
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IRM anat et fonctionnellee de la vision d'une image en couleur
La localisation des zones cérébrales activées est fondée sur une propriété magnétique de l’hémoglobine contenue dans les globules rouges du sang. Dans les zones activées par la tâche effectuée, une petite augmentation de la consommation d’oxygène par les neurones induit une augmentation locale de flux sanguin. Il en résulte une diminution de la concentration de désoxyhémoglobine. Ainsi, le signal IRM augmente légèrement pendant les périodes d’activation.
L’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) est une application de l’imagerie par résonance magnétique à l’étude du fonctionnement du cerveau. Elle consiste à faire alterner des périodes d’activité (par exemple bouger une main) avec des périodes de repos.
L’imagerie par résonance magnétique nucléaire (IRM) est la technique d’imagerie médicale la mieux adaptée à l’observation du cerveau en deux ou trois dimensions. Placés dans un champ magnétique intense, les protons s’orientent. Dès que ce champ magnétique cesse, ils se relaxent en émettant des ondes radio qui sont enregistrées. Cet examen ne nécessite l’injection d’aucun produit et n’irradie pas.
Fonctionnement d'une IRM
IRM fonctionnelle
Préparation de la communication
Repérage des zones actives
Comprendre le protocole d'une IRM f
Comprendre la technique de l'IRM
But : Comprendre l'intéret de l'utilisation d'images d'IRM.
Analyser une IRM
Pour rendre compte d’un volume, trois sections suivant trois plans différents sont nécessaires. L’avancée des techniques actuelles permet de balayer suivant ces trois plans tout le volume d’un organe comme le cerveau.
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Rédiger une conclusion générale permettant de répondre au problème posé.
Ne jamais écrire : la courbe augmente ....Mais : le paramètre (fréquence cardiaque...) augmente en fonction du temps .. lors d'un exercice musculaire.
Éviter les variations anecdotiques.
Repérer les valeurs caractéristiques (minimum, maximum, pallier..) et les variations.
Repérer les unités.
Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Repérage des variations
Repérage correct des axes et unités
Essayer de comprendre comment on a pu enregistrer ce graphe (les conditions expérimentales).
Repérer ce qui varie (en ordonnées y) en fonction du paramètre de mesure (en abscisse x).
But : Un graphe est une représentation mathématiques de la variation d'un paramètre en fonction d'un autre. Votre analyse doit donc montrer les relations entre les deux paramètres.
Analyser un graphe.
Le document x montre que �,on peut expliquer ces données par � donc on en déduit que�.
Organiser la réponse : TOUJOURS PARTIR DES DONNÉES DU TEXTE et ensuite CONCLURE AVEC L'AIDE DE VOS CONNAISSANCES.
Relire attentivement le texte en le découpant en différentes parties selon les réponses souhaitées. Prendre des notes, surligner les parties essentielles.
Lire une première fois le texte en lecture rapide de façon à situer dans quel paragraphe vous allez trouver des réponses à telle question.
Lire attentivement le titre ce qui permet d'indiquer l'objectif général du texte.
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Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Repérage des variations, temps ...
Repérage correct des données
Lire les questions avant de lire le texte de façon à savoir quelles sont les informations recherchées.
But : Il s'agit de sélectionner dans un texte des informations permettant de répondre aux questions posées.
Analyser un document.
Schéma fonctionnel de la phagocytose : processus au cours duquel une cellule immunitaire, reconnaît, ingère (1) et détruit (2-3) une particule étrangère (ici un virus) puis expulse les débris (4).
Faire une synthèse des informations sélectionnées en utilisant les connaissances.
Repérer les valeurs numériques si il y en a, et s'en servir dans l'analyse.
Repérer les relations indiquées dans le document : sens des flèches, temps … afin de mettre en évidence les relations de cause à effet.
Reconnaître les structures : situer le (ou les) niveau (x) représenté(s) : écosystème, organisme, organe, cellule, molécule ..
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Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Repérage des variations, temps ...
Repérage correct des données
But : Il s'agit de sélectionner dans un schéma ... des informations permettant de répondre aux questions posées.
Analyser un schéma.
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Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Repérage du sens de variations de P
Repérage correct des données P et T
But : Un diagramme Pression (profondeur) Température est une modélisation des conditions de P et T de stabilité de différents minéraux ou d’une roche soit lors d’une fusion partielle – cristallisation soit lors d’une transformation à l’état solide (métamorphisme). Il est très important de connaître les conditions géologiques afin d’analyser correctement un diagramme PT.
Analyser un diagramme P T.
Observation des cellules de l'épithélium bronchique au MO x 400Une question pourrait être posée sur les modalités d'évacuation du mucus des bronches ... on pourrait alors comparer avec un indivudu atteint de mucoviscidose.
https://qph.fs.quoracdn.net/main-qimg-d1b1957e8bdbeb0329a031c3e20a4273-c
Faire une synthèse des informations sélectionnées en utilisant les connaissances.
Si plusieurs documents du même type sont présentés (deux moments différents ? ...), il faut les comparer.
Se poser la question : Qu’est ce que cette photographie montre d'important ?
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Conclusion globale pertinente
Compréhension des observation effectuées
Repérage des outils d'observation
Repérage correct des données
Lire le titre pour comprendre ce que représente cette photo. Repérer l’origine de cette photo, si l’objet a été agrandi et avec quel outil ? (repérer l'échelle ou la présence d'un objet de taille de référence).
But : Il s'agit de sélectionner dans une photographie des informations permettant de répondre aux questions posées.
Analyser une photographie.
Exemple : Variations de la quantité de Dioxygène et de Glucose au cours du temps lors de la photosynthèse.
Répondre aux questions en donnant quelques valeurs caractéristiques AVEC LES UNITES !!. Ne pas recopier tout le tableau.
Lire les questions et repérer les valeurs caractéristiques qui vont permettre d’y répondre.
Repérer les unités utilisées, dans l'analyse rédigée il faudra les utiliser !
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Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Repérage des variations, temps ...
Repérage correct des données
Essayer de comprendre comment les mesures ont été faites = ce qui a été mesuré en fonction de quoi ? Pour cela lire attentivement le titre général et le titre des colonnes et des lignes.
But : Il s'agit de sélectionner dans le tableau des informations, les comparer afin de répondre aux questions posées.
Analyser un tableau.
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On cherche a mettre en évidence l’utilisation de dioxyde de carbone dans la photosynthèse. On prend une feuille d’érable que l’on place dans une atmosphère dans laquelle on a mis du dioxyde de carbone radioactif. On obtient les résultats suivants : Les zones plus foncées sur l’image de droite correspondent à la présence de dioxyde de carbone radioactif, donc aux zones de la feuille ayant réalisé la photosynthèse avec du CO2 radioactif.
On prend ensuite des photographies régulièrement des cellules ou des organes mis en culture. Les grains d’argent contenus dans la plaque photographique sont opaques au rayonnement radioactif et révèlent ainsi la présence et la localisation précise des molécules dans la cellule ou le tissu étudié (sous la forme de grains ou tâches noires).
Ce rayonnement radioactif n'est pas toxique pour la cellule, il ne modifie en rien son fonctionnement normal. C'est comme si l'on mettait un « gyrophare » sur la molécule afin de la suivre.
Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Repérage du phénomène biologique mis en évidence
Repérage du traceur radioactif
On utilise un précurseur radioactif qui joue le rôle de traceur (on dit marqué). L'élément radioactif se désintègre au cours du temps et émet alors un rayonnement permettant de le suivre dans la cellule ou l'organe dans lequel on l'a injecté.
But : L’objectif d’une autoradiographie est de suivre l'utilisation et/ou le devenir d’une molécule particulière dans des cellules ou des tissus.
Analyser une expérience d'autoradiographie.
La mère (6) et le père (7) de ce couple sont porteurs de l'allèle HbS, bien que sains. Ils sont hétérozygotes. Il y a donc 1 risque sur 4 qu'ils aient un enfant qui serait malade comme son oncle (4).
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Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Repérage des résultats obtenus
Repérage de la molécule utilisée
On réalise une électrophorèse de protéines sanguines de différents individus d'une famille afin de déterminer le risque d'avoir un enfant atteint de drépanocytose.
Analyser une électrophorèse.
But : Une électrophorèse est une technique utilisée pour séparer des constituants chimiques porteurs de charges électriques. Les protéines se séparent les unes des autres en bandes parallèles que l'on peut ensuite colorer. Cette technique peut aussi s'appliquer aux acides nucléiques (ARN ou ADN).
Rédiger une conclusion afin d'expliquer en quoi l'expérience réalisée a permis ou non de répondre au problème posé. Proposer si besoin une expérience complémentaire.
Description des résultats, mettre en évidence les différences de résultats entre le témoin et le test.
Description des expériences réalisées, en mettant en évidence les différences entre le témoin et le test.
Formuler une ou des hypothèses, c'est à dire des solutions logiques en réponse au problème.
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Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Repérage du phénomène biologique mis en évidence
Repérage du problème posé
Quel est le problème posé ? Que cherche t'on à mettre en évidence avec cette expérience ?
Analyser une expérience.
But : Décrire le protocole d'une expérience, comparer les résultats et donner une conclusion.
Revenir sur l'hypothèse et formuler une nouvelle hypothèse, refaire une expérience ...
Le pb est résolu.
Formuler un problème
Les résultats confortent l'hypothèse ?
Confronter les résultats obtenus avec l'hypothèse formulée.
Concevoir un protcole et réaliser des expériences afin de confirmer ou d'infirmer l'hypothèse
Formuler une ou des hypothèses, c'est à dire des solutions logiques en réponse au problème.
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Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Hypothèse proposée logique
Formulation du problème pertinente
Des faits, des observations au départ, mise en situation.
La démarche expérimentale
Présenter les résultats obtenus sous forme d'un graphe, d'un tableau de résultats...Noter les conditions initiales précisément et les résultats en fin d'expérience.Comparer par rapport au témoin.
Schématiser ou décrire le montage expérimental. Prévoir les résultats attendus.
- Rechercher la grandeur mesurée afin de prévoir le matériel nécessaire aux mesures.
- Prévoir une expérience témoin
- Rechercher les autres facteurs constants afin de pouvoir comparer deux expériences.
- Rechercher le facteur à faire varier. Attention à ne faire varier qu'un seul facteur à la fois
Définir le protocole à réaliser :
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Conclusion globale pertinente
Compréhension des mesures effectuées
Hypothèse proposée logique
Formulation du problème pertinente
Proposer une hypothèse et rechercher la conséquence vérifiable : c'est à dire retrouver au cas où l'hypothèse serait vérifiée, ce que l'expérience devra montrer. « si l'hypothèse est vraie, on doit montrer que ... ».
Concevoir un protocole expérimental
But : Une expérience permet entre autre de vérifier la validité d'une hypothèse.
« car » est le contraire de « donc ».
MAIS : permet d'indiquer une idée d'opposition entre seulement deux éléments.OU : permet d'indiquer une idée de sélection, de choix, entre les éléments.ET : permet d'additionner deux éléments (ou davantage) de même nature. DONC : permet d'indiquer une idée de conséquence entre les deux éléments.OR : permet d'indiquer une opposition entre deux affirmations sous-entendant qu'il manque une donnée. NI : permet d'indiquer une idée d'exclusion entre les éléments CAR : permet d'indiquer une idée de cause entre les deux éléments .
« Mais ou et donc or ni car »
Justifier : présenter des preuves et des arguments
Identifier : reconnaître l'objet de l'étude
Définir : formuler de manière brève et précise, le contenu d'un concept ou le sens d'une expression.
Commenter : donner des remarques et des observations ou des symboles qui facilitent la compréhension d'un document donné.
Expliquer : mobiliser des connaissances pour donner un sens au phénomène étudié.
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Conclusion globale pertinente
Explication en rapport avec les documents
Relation logique entre les documents, notions.
Compréhension du problème
Analyser : décomposer des informations ou des données en éléments essentiels, afin de déterminer les rapports et les relations qu'entretiennent ces éléments les uns avec les autres.
Présenter son raisonnement.
But : Pratiquer un raisonnement est la capacité à extraire dans un document des informations utiles afin de résoudre un problème scientifique, formuler une hypothèse explicative
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■ les zones plus lentes sont interprétées comme étant plus chaudes et donc moins denses,■ les zones plus rapides sont interprétées comme plus froides et donc plus denses
Si une onde sismique traverse un milieu dont les propriétés physiques (densité, modules élastiques) différent de celles du modèle moyen (PREM), elle arrivera en retard ou en avance par rapport aux prédictions de ce modèle. On en déduit alors des cartes de variations de VP et VS par rapport au modèle (notons que l'établissement de ces cartes nécessite la donnée d'un grand nombre de temps de parcours). sect.1 : secteur où les ondes sont accélérées sect.2 : secteur ou les ondes sont ralenties
Vision globale des transferts de matière au sein de la Terre
Compréhension des mesures effectuées
... et température des roches.
Relation entre vitesse des ondes ...
But : La tomographie sismique est une méthode pouvant être assimilée à un scanner de temérature pour la Terre.
La Tomographie sismique.
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Matériel rangé
Pas de liquide en dehors de la lamelle
Pas de bulles d'air
Objet à observer fin, pas de replis
Si du liquide déborde de la lamelle, l'essuyer délicatement avec du papier filtre.
Faire descendre doucement la lamelle en évitant d'emprisonner des bulles d'air.
Déposer le prélèvement à observer sur la goutte en évitant les replis.
Déposer au centre de la lame une goute du liquide de montage (eau ou colorant)
But : Une préparation microscopique est une coupe fine d'un objet observable au microscope. Cet objet doit être le plus fin possible de façon à être observé par transparence.
Réaliser une préparation microscopique
Phénotype macroalternatif
Phénotype moléculaire alternatif
Cellule = phénotype cellulaire
Mutation
Du génotype au phénotype : expression IG
Organisme = phénotype macro
Cellule = phénotype cellulaire
ADN = génotype
Protéine = phénotype moléculaire
Influence de l'environnement sur l'expression du gène
allèle
récessif
dominant
Phénotype macroalternatif
Phénotype moléculaire alternatif
Cellule = phénotype cellulaire
Organisme = phénotype macro
Du génotype au phénotype
Cellule = phénotype cellulaire
Génotype
Protéine = phénotype moléculaire
Maintien du caryotypeDiversité allélique au cours des générations
Répartition aléatoire des allèles des parents dans les gamètes
2° division séparation des chromatides de chaque chromosome
1° division séparation des chromosomes de chaque paire
Méiose
Méiose
n = 2323 chromosomes simples
n = 2323 chromosomes simples
2n = 4623 paires de chromosomes
2n = 4623 paires de chromosomes
2n = 4623 paires de chromosomes
Méiose et fécondation : 1+1=1