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mon année DE 6°4

grandes vacances

Bonnée année scolaire

Voyage au pays des poèmes

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Escale en Polynésiedécouvrir l'autre et l'ailleurs

L'archipel de la ruse

Spectacle à Bord

Cap sur la Méditerranéeberceau des origines

3

4

6

7

1

Repères et repaires ... de Pirates

5

Le grand départ

Voyage autour du mondeDécouvrir des époques, des lieux, des cultures

Que diable, allait-il faire dans cette Galère?

l'île aux monstres

Thème: Le Monstre, aux limites du réel La figure du monstre dans L'Odyssée

Thème: création poétique poèmes célébrant le monde

Thème: Récits de création récits de la création du monde

Thème: Le Monstre aux limites de l'humain Contes et légendes antiques contes d'ailleurs défi lecture avec deux collèges polynésiens

Thème: récits d'aventures Les clients du bon chien jaune et étude du film l'ïle de Black Mor

Thème: Résister au plus fort: ruses, mensonges et masques Les Fables mettant en scène des animaux marins -l'Huitre et les Plaideurs -Les Poissons et les Cormorans -Le Petit Poisson et le Pêcheur

Thème: Résister au plus fort Pièce de théâtre Les Fourberies de Scapin

Un événement peut intervenir à tout moment et s’insérer dans la progression du voyage comme l’anniversaire du capitaine lors du voyage en Poésie. Les matelots vont organiser un pecha kucha poétique en son honneur.

Un événement peut intervenir à tout moment et s’insérer dans la progression du voyage comme l’anniversaire du capitaine lors du voyage en Poésie. Les matelots vont organiser un pecha kucha poétique en son honneur.

Bande annonce

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simulation globale: Les élèves s’inventent un personnage membre de l’équipage de notre embarcation. Ce personnage tiendra tour le long de l’année son journal de bord dans lequel il décrira en quelques lignes ce qu’il aura marqué à chaque voyage ( séquence) et à chaque escale ( séance)

simulation globale: Les élèves s’inventent un personnage membre de l’équipage de notre embarcation. Ce personnage tiendra tout le long de l’année son journal de bord dans lequel il décrira en quelques lignes ce qui l’ aura marqué à chaque voyage (séquence) et à chaque escale (séance). Ce journal de bord se fera sur le cahier ( voir exemple de présentation)

simulation globale: Les élèves s’inventent un personnage membre de l’équipage de notre embarcation. Ce personnage tiendra tour le long de l’année son journal de bord dans lequel il décrira en quelques lignes ce qu’il aura marqué à chaque voyage ( séquence) et à chaque escale ( séance)

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Les aventures de la simulation globale seront les déclencheurs des différents écrits ou oraux

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Les pièces valorisent ponctuellement un travail collaboratif. L’îlot apprend le partage équitable et mérité.

Déménagement du collège ( janvier 2020) Notre navire prend l’eau, il doit rentrer au port pour une révision complète. Partons à la découverte de notre nouvelle embarcation Reportage photos et écriture d’un article

Voyage 3 Il pleut depuis des semaines, vous imaginez un nouveau déluge. Qu’allez-vous emporter dans votre embarcation? Racontez...

Voyage 1 Vous rêvez que vous êtes Ulysse et dans votre rêve, Ulysse accoste sur l’île aux monstres., il rencontre le monstre que vous avez créé. Racontez...

Voyage 2 C’est l’anniversaire de votre capitaine, tout l’équipage lui écrit un poème.

Voyage 4: Nous découvrons la Polynésie, îles paradisiaques . Nous activons la radio de notre navire pour en informer tout le monde. ( émission radio )

Voyage 6 Renart fait l’objet d’une dispute au sein de l’équipage. Certains défendent les marchands, d’autres prennent sa défense. Le capitaine désigne des hommes et femmes d’équipage pour organiser son procès.

Qui êtes-vous? Faites une recherche sur votre prénom Remplissez votre fiche de renseignements pour monter à bord. Choisissez ensuite votre rôle sur le bateau. Charpentier, chirurgien, moussaillon, mousse, maître d’armes , maître d’équipage, cuisinier, gabier, maître artilleur, quartier-maître.

Voyage 5 La vigie aperçoit une bouteille à la mer. Elle contient une carte au trésor en très mauvais état. Vous la reconstituez grâce à l’application de la BNF ( fabricabrac) et vous écrivez le récit d’aventures correspondant aux éléments de la carte.

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La présentation du cahier

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La classe inversée, c’est quoi? Voici la démarche

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Le lancement

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Enrichissement du vocabulaire

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C’est l’homme responsable du bon fonctionnement du navire. Il détaille les ordres évasifs du capitaine en saisissant leur finalité. Il doit aussi prendre des initiatives telles que faire part des faits importants. Sa position est décisive pour la conduite du navire et des hommes. Sur un navire pirate, le Second représente les pouvoirs politique et judiciaire, alors que le capitaine représente les pouvoirs exécutif et militaire. En temps de guerre, le pouvoir militaire prime, alors qu’en temps de paix, il cède la place au pouvoir politique. Le Second s’occupe aussi du recrutement, dans les ports ou sur un navire de prise, ce qui lui permet de connaître ses hommes d’équipage.

C’est l’âme du navire, il est responsable de la stratégie et du succès de la mission de l’embarcation. Il a droit de vie et de mort sur l’équipage mais peut être abandonné sur une île déserte par l’assemblée, conformément à la chasse-partie s’il fait preuve d’incompétence (mutinerie). Il a été élu grâce à son charisme et parce que c’est le plus féroce des hommes et le meilleur des matelots.

Il assure le lien entre les hommes et le commandement. Il est chargé de la mise en œuvre des ordres du second. C’est aussi lui qui motive les hommes, organise les groupes et coordonne leurs actions. Il sert aussi de médiateur lors de litige entre pirate. Comme pour le maître-canonnier, le maître d’équipage doit souvent faire appel aux coups de triques (punition) pour faire régner la discipline et son poste est occupé par des matelots qui en ont les épaules. Si il existe un homme plus compétent, il lui prend sa place, y compris dans l’assemblée. Il est aussi le représentant de l'équipage.

C’est le responsable des tirs d’artillerie. C’est souvent un ancien chef de pièce aguerri. Au combat, il précise les ordres du capitaine au Maître-canonnier. Il anticipe les mouvements du navire et les conditions de tir. En dehors des combats, il dirige aussi les exercices pour entraîner les artilleurs.

Il est responsable des soins des blessés et des malades de l’équipage. Certes la médecine de l’époque et rudimentaire et le chirurgien est souvent obligé de couper un bras blessé, mais il vaut mieux cela que perdre la vie. Durant la marche du navire, il soigne quotidiennement les matelots dans leur hamac ou sinon dans sa cabine quand le cas est grave. Il tente de préserver l’équipage d’épidémie. Il conseille quelques fois le capitaine pour établir la route. Il dispose d’instruments de chirurgien et de registres pour des pathologies, notamment.

Le Maître-canonnier est le meilleur artilleur qui connaît les 70 ordres nécessaires à la charge et au pointage. Il veille à l’approvisionnement en gargousses de poudre et éventuellement à l’entretien des braseros qui chauffent les boulets rouges. Ses hommes sont repartis en petit groupe gérant chacun une pièce. Il transmet les ordres du canonnier en corrigeant les erreurs. Il doit souvent faire appel aux coups de triques (punition) pour faire régner la discipline. Sur un navire pirate, les postes de maître d’équipage et de maître-canonnier sont occupés par des matelots qui en ont les épaules. Si il existe un homme plus compétent, il lui prend sa place, y compris dans l’assemblée

Dans la tempête, le timonier devient l’homme le plus important à bord, plus encore que le capitaine, car il doit anticiper les mouvements du navire pour ne pas se laisser emporter par la vague ou les risées. Il risquerait de faire des embardées, mettant le navire bout au vent ou pire, le faisant accoter. Lors de temps calme, il enseigne souvent l’art de la voile et de la timonerie aux jeunes recrues.

Il prépare la nourriture de l’équipage. Il tient souvent le moral des matelots entre ses mains. Il peut préparer toutes sortes de repas mais dépend des réserves et des produits de luxe saisis sur les navires de prise.

  • Le charpentier est responsable de la structure.

​​

  • Le calfat de l’étanchéité

La maintenance des vivres, de l’eau, du bois à brûler et autres réserves est assurée par le cambusier. Il accommode les vivres frais, salés ou séchés et fabrique les tonneaux pour les stocker. Il organise des battues afin de liquider les rats à bord. Il informe le commandement lors de pénuries.

  • Le voilier est responsable des voiles et cordages. Ils ont sans doute dû travailler 10 ans comme assistant de ce poste avant de pouvoir le prendre.

simulation globale: Les élèves s’inventent un personnage membre de l’équipage de notre embarcation. Ce personnage tiendra tour le long de l’année son journal de bord dans lequel il décrira en quelques lignes ce qu’il aura marqué à chaque voyage ( séquence) et à chaque escale ( séance)

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C’est la base de la hiérarchie à bord. Le matelot obéit aux ordres du maitre d’équipage et effectue différentes tâches. Il reste sur le pont et manœuvre les amures, écoutes et autres instruments. Il mouille l’ancre et la remonte au grand cabestan. Il participe aussi à la recharge des pièces en tant que servant de pièce.

Les gabiers, eux, forment l’élite des matelots. Ils montent dans la mâture pour réaliser les manœuvres qui ne peuvent être faites du pont. Sous les ordres du maitre d’équipage et quelques soient les conditions, ils sont suspendus à plus de 30 mètres dans le gréement et sur le marchepied de vergue afin de carguer la voile. Ils redoutent le jour où une mauvaise blessure les clouera sur le pont. Ils sont vigie à tour de rôle

appelé aussi « chef de pièce », il est responsable d’un canon et dispose de 2 à 5 servants de pièce pour exécuter les ordres du maître-canonnier. Il pointe la pièce d’artillerie alors que les servant de pièce la recharge. Le poste d’artilleur est souvent rempli par un ancien gabier. En mer, l’expérience et l’intuition priment sur la technique car l’arme et la cible sont souvent en mouvement.

Tandis que ses camarades gabiers se lancent à l’abordage, le moucheur ajuste son mousquet sur un membre du commandement adverse. Privé de son capitaine, un équipage ennemi ne tarde pas longtemps à se rendre. Certains moucheurs s’entraînent au maniement de la grenade à leurs risques et périls et à ceux de leur équipage.

Un mousse est un apprenti marin chargé des corvées sur un navire.

marin qui surveille les alentours.

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DOCUMENT 1 : Extrait de L’Odyssée d’Homère. Ulysse et ses compagnons poursuivent leur route et arrivent au pays des Cyclopes, ces géants munis d’un œil unique au milieu du front. « Ulysse remarque une grotte et, poussé par la curiosité, décide de l’explorer. Il part avec douze de ses compagnons et arrive rapidement à la caverne. Là, ils découvrent des fromages énormes, des vases de métal regorgeant de lait et de nombreux agnelets. - Servons-nous et partons disent les compagnons d’Ulysse. - Non ! Voyons qui est l’habitant de ces lieux. Ulysse et ses compagnons s’installent, font du feu et attendent. Quelques minutes plus tard, la terre tremble et une ombre gigantesque se profile sur le sol. Polyphème, le cyclope, est de retour chez lui. Un frisson de frayeur saisit les grecs. Ils ont entendu parler des cyclopes, fils de Poséidon, dieu de la mer. Poussant son troupeau devant lui, Polyphème entre dans la grotte qu’il referme à l’aide d’une énorme pierre. Soudain, il aperçoit les Grecs terrorisés. - Qui êtes-vous étrangers ? - Nous sommes des guerriers revenant de Troie. Les dieux nous ont jetés sur la côte et... - Nous, les cyclopes, ne craignons pas les dieux ! Nous leur sommes supérieurs. Disant cela, Polyphème attrape deux des compagnons d’Ulysse leur fracasse la tête et les dévore. Rassasié, il se couche et s’endort. Ulysse s’interroge alors : « Vais-je le tuer avec mon glaive ? Mais comment ensuite sortir de cette caverne ? La pierre d’entrée est si lourde que jamais nous ne pourrons la pousser... Je dois trouver un autre moyen... » La nuit passe. L’aube se lève. Polyphème s’éveille. En guise de déjeuner il dévore deux autres compagnons d’Ulysse puis sort faire paître son troupeau. Le soir deux grecs lui servent encore de dîner. Ulysse s’approche alors du cyclope : - Cyclope, accepterais-tu de ce délicieux vin ? Le géant avale le breuvage d’un seul coup. - Que c’est bon ! Donne-m’en encore. Comment t’appelles-tu ? - Je me nomme personne. - Et bien personne, moi aussi je vais te faire un cadeau ; je te mangerai le dernier, voici mon cadeau. Puis, ivre, le cyclope s’allonge et s’endort. Ulysse et ses compagnons se précipitent sur le pieu qu’ils avaient taillé en l’absence du géant. Il est mis dans le feu, chauffé au rouge et enfoncé dans l’œil du cyclope. Polyphème pousse un hurlement qui se répercute au loin. Les Grecs se cachent au fond de la grotte tandis que d’autres Cyclopes, alertés par les cris de Polyphème, accourent. - Que se passe t-il ? demandent-ils du dehors. Qui t’attaque ? - C’est personne ! personne ! - Personne ? C’est alors quelque mal qui te vient du grand Zeus, dieu du ciel et de la terre, gouverneur de l’Olympe. Nous ne pouvons rien. Invoque ton père Poséidon notre roi. Sur ces mots, ils repartent. Le lendemain, Polyphème ouvre la grotte et laisse sortir son troupeau. Craignant que les grecs ne s’échappent, il laisse passer les bêtes une à une et leur caresse le dos. Mais Ulysse et ses compagnons, rusés, se sont glissés sous les brebis et les béliers et non sur leur dos. Un à un, ils parviennent à quitter la caverne. Libres, ils atteignent le rivage, montent sur leur navire, hissent les voiles et aussitôt, voguent vers le large. Ulysse ne peut s’empêcher de s’adresser au cyclope. D’une voix railleuse, il dit : - Cyclope, celui qui t’a privé de ton œil est Ulysse, le fils de Laërte, le vainqueur de Troie, le roi d’Ithaque. Polyphème, fou de douleur et de rage, s’adresse alors à son père en ces termes : - ô Poséidon, s’il est vrai que je suis ton fils, fais que cet Ulysse ne rentre jamais au logis ou du moins qu’il n’y parvienne qu’après de nombreux malheurs. ​​

DOCUMENT 2 : Extrait de L’Odyssée d’Homère. « Ô mes amis, je vais vous faire connaître les prédictions de la divine Circé ; afin que vous sachiez tous si nous périrons, ou si nous échapperons à la mort qui nous menace. Circé nous défend d'écouter les harmonieux accents des Sirènes ; elle nous ordonne de fuir leurs prairies émaillées de fleurs, et elle ne permet qu'à moi d'entendre leurs chants. Mais aussi vous devez m'attacher avec des cordes et des chaînes au pied du mât élevé pour que j'y reste immobile. Si je vous implore et si je vous commande de me délier, alors entourez-moi de nouveaux liens.» Tandis que j'apprenais à mes compagnons tous ces détails, nous apercevons l'île des Sirènes ; car notre navire était poussé par un vent favorable. Mais tout à coup le vent s'apaise, le calme se répand dans les airs, et les flots sont assoupis par un dieu. Les rameurs se lèvent, plient les voiles, et les déposent dans le creux navire ; puis ils s'asseyent sur les bancs et font blanchir l'onde de leurs rames polies et brillantes. Aussitôt je tire mon glaive d'airain et je divise en morceaux une grande masse de cire que je presse fortement entre mes mains ; la cire s'amollit en cédant à mes efforts et à la brillante lumière du soleil, fils d'Hypérion, puis j'introduis cette cire dans les oreilles de tous mes guerriers. Ceux-ci m'attachent les pieds et les mains au mât avec de fortes cordes ; ils s'asseyent et frappent de leurs rames la mer blanchissante. Quand, dans sa course rapide, le vaisseau n'est plus éloigné du rivage que de la portée de la voix et qu'il ne peut plus échapper aux regards des Sirènes, ces nymphes font entendre ce chant mélodieux : « Viens, Ulysse, viens, héros fameux, toi la gloire des Achéens ; arrête ici ton navire et prête l'oreille à nos accents. Jamais aucun mortel n'a paru devant ce rivage sans avoir écouté les harmonieux concerts qui s'échappent de nos lèvres. Toujours celui qui a quitté notre plage s'en retourne charmé dans sa patrie et riche de nouvelles connaissances. Nous savons tout ce que, dans les vastes plaines d'Ilion, les Achéens et les Troyens ont souffert par la volonté des dieux. Nous savons aussi tout ce qui arrive sur la terre féconde. » La rencontre avec les Sirènes Tel est le chant mélodieux des Sirènes, que mon cœur désirait entendre. Aussitôt fronçant les sourcils, j'ordonne à mes compagnons de me délier ; mais au lieu d'obéir ils se couchent et rament encore avec plus d'ardeur. En même temps Euryloque et Périmède se lèvent, me chargent de nouveaux liens qui me serrent davantage. Quand nous avons laissé derrière nous ces rivages et que nous n'entendons plus la voix des Sirènes, ni leurs accents mélodieux, mes compagnons enlèvent la cire qui bouche leurs oreilles et me dégagent de mes liens.

DOCUMENT 3 : Extrait de L’Odyssée d’Homère. Dès qu'ils ont laissé derrière eux l'île des Sirènes, des nuages de vapeur s'élèvent devant eux. Devant Ulysse, il y a deux périls entre lesquels il doit choisir – ainsi l'a dit l'enchanteresse Circé. Le premier est une falaise verticale qu’aucun mortel ne peut escalader : à son flanc, l'ouverture sombre d'une caverne. C'est l'habitation de Scylla, monstre horrible à six longs cous. Au bout de chaque cou, une tête horrible et affamée s'abaisse pour arracher une victime à tout navire qui passe. L'autre falaise est plus basse, mais encore plus dangereuse. Là vit la redoutable Charybde, aspirant les eaux trois fois par jour, et les vomissant ensuite. Bien que Scylla doive saisir six de ses matelots pour en nourrir ses six têtes, il est cependant préférable de passer de son côté plutôt que de l'autre. Ulysse ne dit rien de Scylla à l'équipage, car il ne veut pas que ses hommes soient pris de panique et se cachent. Ils continuent donc droit vers Charybde. Ils passent à côté au moment où elle rejette l'eau bouillonnante. Les hommes ne regardent même pas du côté de Scylla ; mais les six têtes sont projetées en avant et saisissent six des meilleurs matelots. Alors qu'ils sont enlevés en l'air, ils appellent désespérément Ulysse au secours, mais les longs cous jettent les hommes dans la caverne où Scylla les dévore.

DOCUMENT 4 : Extrait de L’Odyssée d’Homère. Ulysse s’enfonce dans l’île et rencontre Hermès, le messager des dieux. Hermès lui dit : « Où vas-tu, malheureux ? Tes compagnons sont enfermés dans l'étable à porcs de Circé. Toi aussi, tu resteras avec les autres... Mais je veux te sauver. Prends cette herbe avant d'entrer dans la maison de Circé. » Ulysse se dirige vers la maison de Circé et s'arrête à la porte de sa maison, puis se met à appeler. Aussitôt, la déesse vient lui ouvrir. Elle le fait asseoir sur un fauteuil et lui prépare un breuvage dans lequel elle verse ses drogues. Ulysse le boit, puis elle le frappe de sa baguette en disant : « A l'étable, toi aussi. » Alors Ulysse sort son épée et s'élance sur elle. Circé pousse un cri et se jette à ses genoux, en disant : « Qui es-tu ? De quel pays viens-tu ? Jamais un homme n'a pu boire ce breuvage sans être ensorcelé. Allons ! Range ton épée et soyons amis. » Mais Ulysse lui répond : « Comment peux-tu me demander mon amitié quand tu as changé mes compagnons en porcs ? » Alors Circé se rend à l’étable et en fait sortir tous les porcs. Elle passe parmi eux et les frotte chacun d'une drogue nouvelle. Aussitôt, ils redeviennent des hommes. Quand ils voient Ulysse, ils se mettent tous à pleurer. Circé elle-même est émue et lui dit : « Ulysse, je sais la peine vous avez endurés sur la mer, et combien d’ennemis vous ont attaqués sur la terre. Mangez et buvez, jusqu'à ce que vous ayez repris courage. » ​​ Ils restent donc là une année entière à faire la fête, en mangeant viandes et buvant du bon vin

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La création du monstre avec l’appli de la BNF

Fabricabrac 1

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Le travail d’écriture

Dépliant guide d’écrIture et de gestion du brouillon. Apprendre à améliorer son travail.Cliquez sur les images pour le télécharger en format PDF

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Voyage en poésie

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyageJoachim DU BELLAYRecueil : "Les Regrets"​​Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,Et puis est retourné, plein d’usage et raison,Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas, de mon petit villageFumer la cheminée, et en quelle saisonReverrai-je le clos de ma pauvre maison,Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu’ont bâti mes aïeux,Que des palais Romains le front audacieux,Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,Et plus que l’air marin la doulceur angevine.

L’invitation au Voyage de Charles Baudelaire Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D’aller là-bas vivre ensemble ! Aimer à loisir, Aimer et mourir Au pays qui te ressemble ! Les soleils mouillés De ces ciels brouillés Pour mon esprit ont les charmes Si mystérieux De tes traîtres yeux, Brillant à travers leurs larmes. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Des meubles luisants, Polis par les ans, Décoreraient notre chambre ; Les plus rares fleurs Mêlant leurs odeurs Aux vagues senteurs de l’ambre, Les riches plafonds, Les miroirs profonds, La splendeur orientale, Tout y parlerait À l’âme en secret Sa douce langue natale. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. Vois sur ces canaux Dormir ces vaisseaux Dont l’humeur est vagabonde ; C’est pour assouvir Ton moindre désir Qu’ils viennent du bout du monde. – Les soleils couchants Revêtent les champs, Les canaux, la ville entière, D’hyacinthe et d’or ; Le monde s’endort Dans une chaude lumière. Là, tout n’est qu’ordre et beauté, ​​Luxe, calme et volupté.

LES MARQUISES (Jacques Brel) 1977​​Ils parlent de la mort comme tu parles d'un fruitIls regardent la mer comme tu regardes un puitsLes femmes sont lascives au soleil redoutéEt s'il n'y a pas d'hiver cela n'est pas l'étéLa pluie est traversière elle bat de grain en grainQuelques vieux chevaux blancs qui fredonnent GauguinEt par manque de brise le temps s'immobiliseAux MarquisesDu soir montent des feux et des points de silenceQui vont s'élargissant et la lune s'avanceEt la mer se déchire infiniment briséePar des rochers qui prirent des prénoms affolésEt puis plus loin des chiens des chants de repentanceEt quelques pas de deux et quelques pas de danseEt la nuit est soumise et l'alizé se briseAux MarquisesLe rire est dans le coeur le mot dans le regardLe coeur est voyageur l'avenir est au hasardEt passent des cocotiers qui écrivent des chants d'amourQue les soeurs d'alentour ignorent d'ignorerLes pirogues s'en vont les pirogues s'en viennentEt mes souvenirs deviennent ce que les vieux en fontVeux-tu que je te dise gémir n'est pas de miseAux Marquises.

La petite fleur rose Du haut de la montagne, Près de Guadarrama, On découvre l'Espagne Comme un panorama. A l'horizon sans borne Le grave Escurial Lève son dôme morne, Noir de l'ennui royal ; Et l'on voit dans l'estompe Du brouillard cotonneux, Si loin que l'œil s'y trompe, Madrid, point lumineux ! La montagne est si haute, Que ses flancs de granit N'ont que l'aigle pour hôte, Pour maison que son nid ; Car l'hiver pâle assiège Les pics étincelants, Tout argentés de neige, Comme des vieillards blancs. J'aime leur crête pure, Même aux tièdes saisons D'une froide guipure Bordant les horizons ; Les nuages sublimes, Ainsi que d'un turban Chaperonnant leurs cimes De pluie et d'ouragan ; Le pin, dont les racines, Comme de fortes mains, Déchirent les ravines Sur le flanc des chemins, Et l'eau diamantée Qui, sous l'herbe courant, D'un caillou tourmenté, Chuchote un nom bien grand ! Mais, avant toute chose, J'aime, au cœur du rocher, La petite fleur rose, La fleur qu'il faut chercher ! ​​Théophile Gautier.

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Le pecha kucha

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Le dépliant de l’écriture

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simulation globale: Les élèves s’inventent un personnage membre de l’équipage de notre embarcation. Ce personnage tiendra tour le long de l’année son journal de bord dans lequel il décrira en quelques lignes ce qu’il aura marqué à chaque voyage ( séquence) et à chaque escale ( séance)

L’épopée de Gilgamesh Et le dieu de donner ce conseil à Utanapishtim : « Démolis ta maison pour te faire un bateau ! Renonce à tes richesses pour sauver ta vie ! Détourne-toi de tes biens pour te garder sain et sauf ! Mais embarque avec toi des spécimens de tous les animaux (...). ​​ Six jours et sept nuits durant, bourrasques, pluies battantes, ouragans et déluge continuèrent de saccager la terre ».

La Bible Voici ce qui arriva aux descendants d’Adam et Ève. Les géants étaient sur la terre en ces temps-là, après que les fils de Dieu furent venus vers les filles des hommes et qu’elles leur eurent donné des enfants : ce sont ces héros qui furent fameux dans l’Antiquité.Yahvé vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal. Il regretta d’avoir fait l’homme sur la terre.Yahvé dit : « J’exterminerai de la surface de la terre l’homme que j’ai créé, ainsi que le bétail, les reptiles et les oiseaux du ciel, car je regrette de les avoir faits. » Mais Noé, un homme juste et honnête, trouva grâce à ses yeux.Alors Yahvé dit à Noé : « Fais-toi une arche de bois. Tu disposeras cette arche en cellules et tu l’enduiras de poix en dedans et en dehors.Voici comment tu la feras : l’arche aura trois cents coudées de longueur, cinquante coudées de largeur et trente coudées de hauteur.Tu feras à l’arche une fenêtre ; tu établiras une porte sur le côté de l’arche et tu construiras un étage inférieur, un second et un troisième.Et moi, je vais faire venir le déluge d’eaux sur la terre, pour détruire toute chair ayant souffle de vie sous le ciel ; tout ce qui est sur la terre périra. Mais toi, tu entreras dans l’arche, toi et tes fils, ta femme et les femmes de tes fils avec toi. De tout ce qui vit, de toute chair, tu feras entrer dans l’arche deux de chaque espèce, pour les conserver en vie avec toi : il y aura un mâle et une femelle. Et toi, prends de tous les aliments que l’on mange, et fais-en une provision auprès de toi, afin qu’ils te servent de nourriture ainsi qu’à eux. » C’est ce que fit Noé : il exécuta tout ce que Dieu lui avait ordonné.Sept jours après, les eaux du déluge furent sur la terre. Les écluses des cieux s’ouvrirent. La pluie tomba sur la terre quarante jours et quarante nuits. Les eaux grossirent et soulevèrent l’arche, qui s’éleva au-dessus de la terre. Toutes les hautes montagnes furent couvertes. Tous les êtres qui étaient sur la surface de la terre furent exterminés, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles et aux oiseaux du ciel. Il ne resta que Noé, et ceux qui étaient avec lui dans l’arche.Dieu se souvint de Noé et de tous les animaux qui étaient avec lui dans l’arche. Il fit passer un vent sur la terre et les eaux s’apaisèrent. Les écluses des cieux furent fermées et la pluie ne tomba plus du ciel. L’arche s’arrêta sur les montagnes d’Ararat. Au bout de quarante jours, Noé ouvrit la fenêtre qu’il avait faite à l’arche. Il lâcha une colombe, pour voir si les eaux avaient diminué à la surface de la terre. Mais la colombe ne trouva aucun lieu pour se poser et elle revint à lui dans l’arche. Il attendit sept jours et il lâcha de nouveau la colombe hors de l’arche. La colombe revint à lui le soir, une feuille d’olivier dans son bec. Noé sut ainsi que les eaux avaient diminué sur la terre. Il attendit encore sept autres jours et il lâcha la colombe. Mais elle ne revint plus à lui.Et Noé sortit, avec ses fils, sa femme, et les femmes de ses fils. Et tous les animaux, de toutes les espèces, sortirent eux aussi de l’arche.Noé bâtit un autel en l’honneur de Yahvé et il offrit des holocaustes. Yahvé sentit une odeur agréable et il dit en son cœur : « Je ne maudirai plus la terre à cause de l’homme et je ne frapperai plus tout ce qui est vivant, comme je l’ai fait. »Dieu bénit Noé et ses fils et leur dit : « Soyez féconds, multipliez-vous, et remplissez la terre. » La Bible, Ancien Testament, « Genèse » (chap. 6, v. 4, à chap. 9, v. 1), trad. Louis Segond, adaptée par Stanislaw Eon du Val. Des passages ont été coupés ​​

Ovide, Les Métamorphoses : Le déluge ​​Déjà on ne distinguait plus la mer de la terre ; tout était océan ; l’océan lui-même n’avait plus de rivages. L’un a gagné à la hâte une colline ; l’autre s’est assis dans une barque recourbée et promène ses rames là où naguère il avait labouré. Celui-ci navigue sur ses moissons et sur les combles de sa ferme submergée ; celui-là prend un poisson sur la cime d’un ormeau ; on jette l’ancre, si le hasard s’y prête, dans une vaste prairie, ou bien les carènes arrondies écrasent les vignobles sous leur poids ; là où récemment les chèvres élancées ont brouté le gazon, des phoques posent leur corps informes. Les Néréides s’émerveillent de voir au fond des eaux des parcs, des villes, des maisons ; les dauphins habitent des forêts ; ils bondissent au sommet de leurs ramures et se heurtent contre les chênes qu’ils agitent. Le loup nage au milieu des brebis ; l’onde charrie des lions au poil fauve ; l’onde charrie des tigres ; le sanglier ne trouve aucun secours dans sa force foudroyante et les jambes agiles du cerf ne l’empêchent pas d’être emporté ; après avoir longtemps cherché une terre où se poser, l’oiseau errant, ses ailes lasses, tombe dans la mer. L’immense débordement de l’océan avait recouvert les collines ; des flots jusqu’alors inconnus battaient les sommets des montagnes. La plus grande partie des êtres vivants est entraînée par les eaux ; ceux que les eaux ont épargnés périssent faute de nourriture, victimes d’un long jeûne.

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Écrire un récit relatant un déluge. Travail de préparation

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Question 3: Quels sont pour vous les ingrédients d’un bon récit d’aventures?

Question 1: Quel est l’interêt de la lecture d’un récit d’aventures?

Question 2:Pourquoi le récit d’aventures nous tient-il en haleine?

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