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Bâtiment de désinfection : Ci-dessus, Block 40 : cuisines, habillement. Photo ci-dessous : point de collecte des vêtements dans le bâtiment de désinfection.

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LE CAMP DE BUCHENWALD

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Prisonniers polonais rasés à leur arrivée dans le camp, zone spéciale de désinfection située du côté est de la place d'appel. ​​

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Arrivée au camp de détenus politiques Toutes les photos de ce plan interactif sont tirées du site : http://fotoarchiv.buchenwald.de/results?strategy=categories&provenance=-1&place=176&dates=-1

Entrée du camp : à droite la prison. Entrée du camp à la libération Grille de l'entrée où est inscrite la phrase : "A chacun son dû".

Vue d'un mirador et de la clôture électrique qui cernait le camp.

La quarantaine au petit camp : L'intérieur d'un block du petit camp : Intérieur d'un des blocs du petit camp. "A son arrivée, le prisonnier est interné dans le « Petit camp » dit « camp de quarantaine ». Ce petit camp fonctionne jusqu’au printemps 1942. Il est installé sur une partie de la place d’appel, et comporte des tentes et un block en dur, le tout entouré de barbelés. Ni poêle, ni paillasse, ni armoires, ni couvertures. A partir de 1942, avec l’afflux en masse d’étrangers, on entreprend de construire un nouveau « Petit camp », entouré de barbelés. Rapidement, les conditions sanitaires y deviennent épouvantables. A l’intérieur du petit camp, la « Roseraie » est un enclos entouré de barbelés où l’on laisse mourir les prisonniers que l’on y enferme. Celui qui entre dans le « Petit Camp » est pratiquement condamné à mort." articles de : http://www.encyclopedie.bseditions.fr/article_complet.php?pArticleId=54&articleLib=Nazi..

Vue des baraquements, du four crématoire et d'une tour avec la clôture électrique. Des prisonniers libérés vus devant les blocks en bois. Vincent Garcia était dans le block 9. Des détenus dans un block (certains installés dans les châlis) au moment de la libération :

Blocks des prisonniers soviétiques : ci-dessous, des prisonniers soviétiques lors du 1er mai 1945.

Blocks des enfants Trois prisonniers inconnus libérés marchent dans le petit camp avec l'enfant de la détenue Janek Szlajtsztajn (no 116543). À gauche au premier plan, un prisonnier mort. Portrait du détenu libéré Janek Szlajtsztajn (détention n ° 116543) Janek Szlajtsztajn est un enfant arrêté et interné en camp de travail à l'âge de 3 ans et demi, considéré comme un "dangereux terroriste". Ce n’était pas le seul enfant de cet âge dans le camp. Le premier étant arrivé à Buchenwald au moins d'août 1944, caché dans le sac de son père, s'appelle Juschu Zweig. La lutte a été compliquée pour ces enfants, mais chaque chef de Block, à qui les enfants étaient confiés, veillait personnellement à leur protection. Par suite de l'avance de l'Armée rouge, de nombreux Camp de concentration et leur kommandos à l'est de Berlin sont évacués vers le centre de l'Allemagne. Pendant l'hiver 1344/1945, de nombreux convois arrivent à Buchenwald. Tous ces prisonniers avant d'être embarqués sur les trains, ont accompli des marches forcées à pied, dans la neige et le froid, parmi eux de nombreux enfants. Photo d'un détenu de Samu Berkovics, arrivé le 24 juin 1944 avec un transport de Juifs hongrois d'Auschwitz. Photo de groupe d'enfants et d'adolescents libérés devant l'une des casernes SS.

Place d'appel : Place d'appel. L'immensité de cette place laisse imaginer le nombre de détenus que ce camp pouvait contenir. Un des appels durant des heures sur la place. Dessin représentant les différents camps d'où beaucoup de détenus ont été déplacés vers Buchenwald lors de l'avancée des troupes soviétiques à l'Est. Ce sont les marches de la mort. Lorsque les troupes américaines progressent vers Buchenwald, les nazis ont évacué de nombreux prisonniers. Vincent Garcia devait partir le 10 avril dans une de ces marches de la mort mais avec d'autres détenus il ne s'est pas présenté et le camp a été libéré le lendemain.

Liaison ferroviaire du chemin de fer de Buchenwald dans l'usine de Gustloff II. Détenus travaillant à l'arrière-plan.

Vues de la carrière où Vincent Garcia a travaillé quelques temps avant d'être intégré aux cuisines grâce à l'aide du groupe de résistance interne au camp.

Four crématoire

Entrée de l'usine Gustloff II Retour d'une colonne de prisonniers du Gustloff Works II sur le "Carachoweg" du camp. Usine bombardée par les alliés :

Blocks des expériences médicales : Les Blocks 46, 50 et 61 sont consacrés aux expériences médicales où sont enfermés des "cobayes" humains. Block 46 : Le block 50 était séparé du reste du camp par des barbelés. Vue extérieure du bloc 50. L’Institut d’hygiène de la Waffen-SS, qui réalisait diverses expériences médicales sur des prisonniers. Le camp de Bunchenwald était composé d'un « service de pathologie » . La pathologie est la science liée à la physiologie et à l'anatomie, qui a pour objet l'étude et la connaissance des maladies (causes, mécanismes, symptômes). Les décès ne sont évidemment jamais indiquées, et l’administration SS du camp note : « décédé des suites d’attaques cardiaques, de problèmes circulatoires ou respiratoires, ou des suites d’une tentative d’évasion », etc. C’est de ce service administratif mensonger que naîtra le « bloc de pathologie » de Buchenwald, où l’inimaginable s’exécutera : expériences de vivisection sur l’homme, d’hypothermie et de stérilisation .Enfin les nazis pousseront la monstruosité jusqu’à s’inspirer de techniques cannibales des îles du Pacifique pour effectuer des réductions de têtes d’hommes et en faire des presses-papiers. L’horreur va jusqu’à dépecer certains déportés tatoués pour faire des abat-jours, étuis, reliure de livres et autres objets en peau humaine. A la libération présentation des horreurs perpétrées par les S.S. dans le cadre de ces expériences... Source : https://furtherglory.wordpress.com/tag/liberation-of-buchenwald/p et http://www.encyclopedie.bseditions.fr/article.php?pArticleId=54&pChapitreId=33224&pSousChapitreId=33230&pArticleLib=Les+Blocks+laboratoires+%5BNazisme%3A+le+camp+de+concentration+de+Buchenwald+%282i%E8me+guerre+mondiale+1939-1945%29-%3EDescription%5D

Le camp de concentration de Dora se situe en Allemagne. C'est un camp souterrain, il permettait de cacher les armes secrètes des nazis (les V1 et V2). Il a été créé comme dépendance du camp de Buchenwald. Il devient un camp de concentration autonome en octobre 1944. Il y a environ 60 000 prisonniers de 21 pays qui ont étés détenus à Dora. Près de 20 000 y sont morts. L'espérance de vie était de 7 mois. Entrée de l'usine souterraine.

Vue extérieure de l'atelier de menuiserie de la Deutsche Ausrüstungwerke (DAW) Vue à travers la clôture de barbelés sur l'ancien site du German Equipment Works (DAW). À gauche au premier plan, la menuiserie, derrière l'atelier automobile. À droite dans le fond de l'image, la tour de guet n ° 1 à la porte est du camp.

Vue depuis la tour du bâtiment de la porte sur le Carachoweg jusqu'à l'ancien centre de commandement ainsi que dans le bâtiment administratif de la SS. Le drapeau américain est hissé devant le centre de commandement Bâtiment administratif :

Prisonniers célèbres à Buchenwald À Buchenwald, des hommes politiques de pays occupés se trouvaient dans des villas hors de l'enceinte du camp. Environ une cinquantaine de personnalités sont déportées, dont des Français comme : Léon Blum : Président du conseil lors du gouvernement du Front populaire de 1936 à 1938. George Mandel : député de la Gironde, s'est engagé pour que la SDN s'oppose au nazisme. Léon Jouhaux : secrétaire général de la CGT jusqu'en 1947. Paul-Emile Janson : homme politique belge, réfugié dans le midi de la France, arrêté par les Allemands lors de l'invasion de la zone sud et déporté à Sachsenhausen puis à Buchenwald où il mourut en 1944.