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1er cercle

2e cercle

INFOGRAPHIE INTERACTIVE (cliquez sur les qualificatifs)

Voici les femmes et les hommes d’influence qui ont entre leurs mains l’avenir de la ligne ferroviaire directe entre La Chaux-de-Fonds et Neuchâtel. Prochaine étape: le vote du 7 mars au Conseil des Etats.

LIGNE DIRECTE: À EUX DE JOUER!

textes: daniel.droz@arcinfo.ch - infographie: FranCois.allanou@arcinfo.ch

Les acteurs à Berne...

En 2019, "ArcInfo" s'engage sur cinq thématiques. Ici, Dynamisons notre région.

L'AMBASSADEURà GAUCHE

LE CONVAINCU

le spécialiste

LE régional

L'architecte

l'alliéede poids

le persévérant

L'Atoutbourgeois

L'arbitre

la nouvelleCheffe

L'incontour-nable

... et ceux de l'extérieur

lepériphérique

l'indispen-sable

le relaisbâlois

le cousinvalaisan

le lobbyiste

le "sioux"

l'amialémanique

Jacques-André Maire, conseiller national, PS Le Ponlier a sacrifié son poste à la commission de la science, de l’éducation et de la culture du National pour rejoindre celle des transports il y a bientôt quatre ans. Il y effectue un travail de lobbying important.

Roger Nordmann, conseiller national, PS Défenseur des transports publics, le chef du groupe socialiste aux Chambres suit le dossier de près. La capacité de conviction du Vaudois doit permettre de rallier une grosse majorité de socialistes au moment du vote au National.

Olivier Français, conseiller aux Etats, PLR Le Vaudois, spécialiste du domaine ferroviaire, avait travaillé sur un projet de ligne directe entre le Haut et le Bas. Il connaît très bien le dossier, auquel il est favorable. Son influence aux Etats n’est plus à démontrer.

Claude Hêche, conseiller aux Etats, PS Très actif, le Jurassien préside Ouestrail, l’association de défense du rail en Suisse romande. Ses liens avec la Conférence des directeurs cantonaux des transports de Suisse occidentale sont précieux.

Anna Barbara Remund, Office fédéral des transports Responsable des infrastructures, elle est, selon plusieurs sources, à l’origine de l’actuel projet du Conseil fédéral, qui privilégie une rénovation de la liaison existante à une ligne directe. Très discrète.

Viola Amherd, conseillère fédérale, PDC Avant d’être élue à l’exécutif fédéral, la Valaisanne était présidente du Comité du Lötschberg, allié du canton de Neuchâtel dans le dossier. Sa voix sera prépondérante pour que le Conseil fédéral adopte la ligne directe.

Raphaël Comte, conseiller aux Etats, PLR Le sénateur neuchâtelois s’est activé au sein de la commission des transports du Conseil des Etats. Son passé de président de la Chambre haute du parlement pèse aussi dans ses rapports avec les parlementaires fédéraux.

Bernhard Guhl, conseiller national, PBD Encore un membre de la commission des transports du National. L’Argovien peut amener les voix du Parti bourgeois démocratique (PBD) lors du vote final. Le parti détient sept sièges à la Chambre basse. A ne pas négliger en cas de scrutin serré.

Jürg Grossen, conseiller national, vert'libéral Les sept voix vert’libérales, en cas de vote serré au National, pourraient faire la différence. Le Bernois, président du parti sur le plan national, est aussi président de la commission des transports du Conseil national.

Simonetta Sommaruga, conseillère fédérale, PS Elle a remplacé Doris Leuthard au Département des transports. Dans le dossier de la ligne directe, la Bernoise apparaît plus ouverte que l’Argovienne. C’est ce qui aurait été ressenti en commission. A vérifier lors du débat au Conseil des Etats le jeudi 7 mars.

Regula Rytz, conseillère nationale, Les Verts A priori, le vote compact des Verts est acquis. Mais, certains réflexes régionalistes pourraient se faire jour au National. Membre du groupe écologiste aux Chambres fédérales, le popiste neuchâtelois Denis de la Reussille fera passer le message.

Martin Candinas, conseiller national, PDC Même si les réalités des Grisons ne sont pas celles du canton de Neuchâtel, il faut travailler avec le conseiller national démocrate-chrétien. Venant d’une région périphérique, il sera sensible à la cause. Et sa voix pèse au PDC.

Andreas Meyer, directeur des CFF Le Zurichois a mis les points sur les «i» en décembre dernier. Aux yeux de l’ex-régie fédérale, la ligne directe est la bonne solution. D’autant plus que les CFF pourraient alors exploiter une ligne avec moins de kilomètres à entretenir et une infrastructure souterraine.

Hans-Peter Wessels, conseiller d'Etat, PS Neuchâtel peut compter sur le soutien des cantons à travers la CTP, la Conférence des directeurs cantonaux des transports, présidée par le Bâlois. Laurent Favre et le Conseil d’Etat soignent ce partenariat.

Jacques Melly, conseiller d'Etat, PDC La CTSO, la Conférence des directeurs des transports de Suisse occidentale, n’est pas totalement satisfaite des résultats des travaux à la commission des Etats. Son président Jacques Melly n’en reste pas moins un soutien inconditionnel de la ligne directe.

Bureau Furrerhügi, Mandatée par le Conseil d’Etat neuchâtelois, l’agence de communication pratique un lobbying auprès de tous les acteurs du dossier ferroviaire. Elle est très influente dans les milieux économiques et PLR.

Laurent Favre, conseiller d'Etat neuchâtelois, PLR D’une prudence de Sioux, le PLR est convaincu de la nécessité de la réalisation de la ligne directe. Il mouille le maillot et s’est bien battu auprès des CFF et de l’Union des transports publics. Il les a ralliés à la cause neuchâteloise.

Kurt Fluri, conseiller national, PLR Influent membre de la commission des transports du Conseil national, le Soleurois soutiendra la ligne directe pour autant que personne ne remette en cause les aménagements prévus par le Conseil fédéral à la gare d’Olten.