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Transcript

Grrrrr

les lycéens de Saint-Vincent-de-Paul vous parlent de la cause animale

Illustration Lisa Bersweiler

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DROLES DE LEZARDS !

dossier : nourrir l'humanité

Édito

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Des cartes mentales

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1, 2, 3 contes

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07

08

09

Galgos

La corrida : ¿culture ou torture?

Maltraitance vs bien-être animal

Nourrir l'humanité

La fourrure

La zoothérapie,vue par des élèvesde 2nd PEC

COUP DE GUEULE !

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Coin tendresse : le sauvetage d'Igor

Des livreset des bandes dessinées

Les chiens sauveteurs, vus par des élèves de 2 CVP

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CARTES MENTALES

1 STDA

Pour introduire la thématique sur la cause animale, les élèves de première arts appliqués ont constitué un état des lieux de leurs connaissances sur le sujet. La mise en forme de la recherche s'effectue en heuristique. L'arborescence vise à organiser les idées en catégories. Associer mots synthétiques, couleurs et croquis : contribution à la mémorisation et incitation à la créativité !

Voici les cartes mentales réalisées en groupe de 3 à 5.

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Comment réaliser une carte mentale ? Lecture utile : Mind map, dessine-moi l’intelligence, Tony & Barry Buzan.

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Merci aux élèves de 1 STDA !

DROLES DE LEZARDS !

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Le Scinque à langue bleue vous tire la langue !

Fiche d’identité :Le nom courant du lézard Tiliqua scincoides est reptile diapsides.C'est un gros lézard qui peut atteindre 45 à 55 cm de long (et parfois jusqu'à 60), aux écailles de brun à gris marbré de bandes jaunes, oranges ou marrons, parfois noires. Ovovivipares, ils donnent naissance à 6 à 20 petits par portée. Les jeunes lézards ressemblent déjà beaucoup au lézard adulte.Ils sont appréciés comme animaux de compagnie et peuvent vivre jusqu'à 30 ans en captivité. Le Scinque à langue bleue doit être nourrit d’aliments carnés et végétaux deux fois par semaine. Ses repas seront constitués de 60% de végétaux en tous genres : fruits, légumes, verdures, et 40% de carnes : vers, grillons, sauterelles et petits mammifères (type souriceaux). De temps à autres on pourra lui offrir un peu de poulet ou de dinde.

DROLES DE LEZARDS !

Particularité :Ce reptile trapu et lent a une arme secrète ! Lorsqu’il se sent menacé il sort une langue bleu vif démesurée qui suffit généralement à faire fuir l’individu hostile et à éviter une attaque.

Un lézard à sang vert ?Des chercheurs américains s’interrogent sur la particularité de ces lézards de Nouvelle-Guinée dont les muscles, les os, la langue et le sang sont… verts ! Du venin dans le sang ? Une molécule sensée être extrêmement toxique lorsqu’elle est fortement concentrée explique cette coloration il s’agit en fait d’un pigment nommé « biliverdine ». La question est de savoir comment ces animaux résistent à cette molécule mais aussi pourquoi une telle évolution dans cette espèce ? En tout on dénombrerait 4 sous-catégories différentes de l’espèce ayant cette même particularité sans connaître, à l’heure actuelle, le possible avantage de cette anomalie.

DROLES DE LEZARDS !

Merci à Maxime et Arthur de 2CVP !

1. Le scinque est une grande famille de lézards qui compte entre :a) 700 et 1300 espècesb) 500 et 700 espècesc) 100 et 200 espèces

DROLES DE LEZARDS !

Let’s Quiz !

1. Le scinque est une grande famille de lézards qui compte entre :a) 700 et 1300 espècesb) 500 et 700 espècesc) 100 et 200 espèces

2. L’espèce Tiliqua scincoides a été découverte et nommée en 1790 par l’explorateur britanniquea) John BLUEb) John WHITEc) John RED

2. L’espèce Tiliqua scincoides a été découverte et nommée en 1790 par l’explorateur britannique a) John BLUEb) John WHITEc) John RED

DROLES DE LEZARDS !

Let’s Quiz !

3. Ce lézard à langue bleue est commun sur tout le continenta) Européenb) Australienc) Africain

3. Ce lézard à langue bleue est commun sur tout le continenta) Européenb) Australienc) Africain

4. Quant à lui, le lézard à sang vert vit a) En Océanie b) En Antarctiquec) En Nouvelle Calédonie

4. Quant à lui, le lézard à sang vert vit a) En Océanie b) En Antarctiquec) En Nouvelle Calédonie

DROLES DE LEZARDS !

Let’s Quiz !

5. Le lézard à sang vert passe la majeure partie de son tempsa) dans les hautes herbesb) au milieu des rochers c) dans les arbres

5. Le lézard à sang vert passe la majeure partie de son tempsa) dans les hautes herbesb) au milieu des rochers c) dans les arbres

Merci à Maxime et Arthur de 2CVP !

Les contes

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Les chats

Il était une fois, il y a de cela bien longtemps, au milieu des océans, le royaume des chats.Les chats étaient d’étranges créatures formées d’algues et d’écumes, et qui vivaient pacifiquement dans les océans. Ils se nourrissaient de poissons, dont ils enterraient les restes dans le sable et récoltaient ceux qui avait repoussé le lendemain. C’était une petite fille nommée Marine qui prenait soin d’eux. Elle les protégeait, les câlinait, brossait leur fourrure, et tout allait bien.Mais Marine se fit de plus en plus absente, jusqu’au jour où elle disparut totalement. La panique s'installa chez les chats. Comment allaient-ils survivre sans leur chère protectrice ? Nul ne le savait. En réalité, Marine avait simplement été voir la surface, et y avait rencontré un humain dont elle avait fini par tomber amoureuse.

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Son nom était Henry, et il avait pris la suite de son maître, un scientifique retraité. Il avait pris Marine sous son aile, et lui avait raconté le monde des Hommes. Elle l’avait écouté jusqu’au bout, et il lui avait parlé de son rêve : Henry voulait voler. Il voulait visiter la lune, se promener sur les allées et les cratères qui la parcouraient. Elle s’inquiétait pour ses protégés sous l’océan, mais ne dit rien, car elle voulait qu’ils apprennent à vivre sans elle.Henri et Marine était amoureux, et ce fut sans hésitation qu’elle l’épousa. Peu de temps plus tard, Henry termina sa nacelle volante, et elle embarqua avec joie. Une fois arrivés sur la lune, ils découvrirent avec émerveillement la nation des Sélénites, le peuple qui y vivait. Malgré tout le temps passé, les chats n’oublièrent pas. Ils ne dormaient plus, ne mangeaient plus, tout chagrinés qu’ils étaient par la perte de leur défenderesse. Un jour cependant, le plus jeune de tous, Kitty, décida de partir chercher Marine. Personne ne l’arrêta, et il sortit des flots, vers la terre ferme. Là, il rencontra Joey, l’ancien assistant d’Henry, qui lui raconta comment ce dernier avait rencontré Marine, l’avait épousée et était parti sur la lune. Kitty décida donc d’accompagner Joey pendant son excursion annuelle vers la lune. Une fois arrivé, il remercia Joey pour sa gentillesse et alla voir Marine. Il expliqua la situation à Marine, qui fut prise de court, choquée de voir ses craintes devenues réalités.“ Kitty ” , dit-elle, “ Retourne sur Terre, chez ton peuple, et dit-leur de quitter la mer. Trouvez, chacun d’entre vous, refuge chez les Hommes »,

Cela se passa donc exactement comme elle l’avait demandé, et les chats devinrent les amis de l’homme ; ils se trouvèrent une petite place dans les foyers, où ils se trouvèrent à leur aise. Depuis ce jour, les chats montent chaque nuit sur les cheminées pour miauler à la lune, pour remercier Marine, qui les a aidés jusqu’au bout. La légende raconte que Marine et Henry vivent toujours tout là-haut, en paix, et que Joey a pris la suite de Marine et passe désormais son temps à défendre les petits félins pour lesquels il semble s’être pris d’affection, punissant quiconque leur ferait du mal. Souvenons-nous de ces jours glorieux, et, à la suite de Joey, protégeons les chats. Ils en ont tant besoin...

Création de Manon Sauvage

Les contes de Noël

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Les rennes du Père Noël

C'était une autre époque. Le gibier abondait dans les campagnes et les parties de chasse rythmaient la vie au village. Il y avait même de la place pour quelques braconniers sachant capturer les lièvres au collet ou tromper les bécasses avec un béret. Le dimanche à midi, les chasseurs se retrouvaient au café pour raconter leurs exploits et plaisanter. Alors qu'ils buvaient et riaient aux éclats l'un d'entre eux s'écria: " Les amis, vous ne me croirez jamais! Hier après-midi, alors que nous chassions avec Éric dans la forêt, nous avons croisé un troupeau de cerfs dotés d'une fourrure à l'aspect incroyablement doux, et de bois gigantesques! Croyez-moi, jamais en trente ans de carrière je n'ai eu l'occasion de voir d'aussi belles bêtes!"Son ami Éric reprit: " Oh que oui! Leur fourrure vaudrait une fortune. C'est bien le genre de choses que recherchent les nobles dames de nos jours. Nous pourrions devenir riches en vendant leur peau, imaginez !"

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Le lendemain, les chasseurs partirent dans les bois, un fusil de chasse à la main, afin de retrouver ce fabuleux troupeau de rennes. Il faisait froid. La neige, qui recouvrait le sol, étouffait le bruit de pas des Hommes. Après quelques bonnes heures de marche dans le froid glacial de l'hiver, un braconnier qui accompagnait le groupe se mit à terre. En effet, devant eux se trouvait une dizaine de cerfs, aussi beaux et majestueux que l'avait conté leur ami.Ils se munirent de leur carabine, et firent feu sur les pauvres bêtes. Certaines réussirent à s'enfuir, les autres périrent dans le froid et l'humidité de la forêt. Quelques heures plus tard, alors que le soleil se couchait, la neige avait perdu sa blancheur et était devenue rouge. Les carcasses dépourvues de peaux jonchaient le sol, et les loups, affamés, ne se génèrent pas pour dévorer ce que les chasseurs n'avaient pas emporté.Les braconniers rentrèrent au village, se ventant de leur prises, et le reste du troupeau, bien loin des hommes maintenant, avait fui dans le coin le plus reculé de la forêt. Les rennes, choqués, essayaient de reprendre leurs esprits." Qu'allons-nous faire? Ce n'est pas la première fois que les Hommes nous attaquent! ça ne peut plus durer!" dit Rufus, encore choqué par la mort de ses camarades." Je ne sais pas, répondit le plus vieux renne. Pour l'instant, reposons-nous. La nuit tombe et nous sommes tous fatigués."

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Ils s'allongèrent les uns contre les autres pour se réchauffer, et tentèrent de fermer l'œil.Tout à coup, ils entendirent quelque chose qui semblait se rapprocher. Une grande silhouette se dressa devant eux. Étonnamment, les rennes restaient méfiants mais n'avaient pas peur. C'était un vieil homme, habillé de rouge et de blanc, qui vint à leur rencontre." N'ayez pas peur, je ne vous veux aucun mal! dit-il. Je suis le père Noël, je viens vous aider. Vous n'êtes pas en sécurité ici, les Hommes sont mauvais, il vaudrait mieux partir! "" Que veux-tu? dit Rufus, Les humains nous ont causé assez de problèmes! Vas t'en!"" Du calme, Je vous propose de venir avec moi. J'habite loin des Hommes, chez moi vous serez en sécurité. Je vous hébergerai au chaud, et vous nourrirai. En échange, une fois par an, je traverse le monde pour distribuer des cadeaux aux bonnes personnes; j'aurai besoin de rennes pour tirer mon traineau. Qu'en dites-vous?"Le vieux renne se retourna vers ses amis, qui semblaient acquiescer la demande du vieillard." Et bien, dit Rufus, j'ai confiance en vous, Père Noël. C'est décidé. Nous partons avec vous!" Ils marchèrent donc jusqu'au petit jour, traversant des forêts et de gigantesques montagnes, pour enfin apercevoir la maison du Père Noël.

FIN

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Depuis ce jour, Rufus, Rodolphe et leurs amis font partie de l'attelage de Noël, et chaque 24 décembre, apportent la joie et la magie dans les villes et villages du monde entier.

FIN

fin

Création de Julie Cannito 2AAC

Conte de Noël

Il était une fois, au pays du père Noël un peuple d’escargots baveurs qui avaient pour mission d’emballer les cadeaux des enfants. Parmi eux se trouvait Gary, qui avait la sale manie de mentir à ses amis. De ce fait personne ne l’appréciait pour ce qu’il était. Par un jour pluvieux de dur labeur, alors que les escargots s’affairaient à leurs tâches, un malheur s’abattit sur le royaume : plus aucun escargot ne sécrétait assez de bave pour emballer les cadeaux. Soudain, un rire maléfique venu des cieux se fit entendre ! Tous les escargots regardèrent et virent la sorcière corbeau Gracacha volant au-dessus d’eux. Ils prirent peur. La sorcière était en train de leur jeter un mauvais sort. Plus aucune bave ne sortit de leur bouche, les escargots tout penauds voyaient déjà Noël gâché. Puis en un clin d’œil plus rien, la sorcière s’en été allée, ne laissant derrière elle que peur et tristesse.

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Le lendemain, s’apitoyant sur leur sort Gary décida de prendre la parole en public « J’ai la solution ! Mon père me racontait dans ma jeunesse l’histoire d’un magicien humain qui était le maître des potions. » Personne ne fit attention à lui et le peu de ses congénères qui l’écoutaient finirent par le le huer. Gary très attristé, se résolut à partir seul dans la forêt pour trouver ce fameux magicien. Suite à son départ, le royaume des escargots fut sceptique à l’idée de laisser Gary seul dans la forêt habitée par de nombreuses créatures plus dangereuses les unes que les autres. De fait, l’escargot solitaire rencontra un centaure qui l’aida a traverser un lac gelé, puis une chimère qui elle lui fit traverser la moitié de la forêt infestée par des rats mangeurs de petites bêtes et enfin un loup garou qui lui montra le chemin de la cabane ou vivait, selon la légende, le magicien. Après toutes ses aventures Gary se retrouva face à face avec la cabane abandonnée. Malgré la façade délabrée de la maison, un détail intrigua le petit mollusque, une fumée multicolore s’échappait de la cheminée. Gary, tremblotant, prit son courage à deux mains et frappa la porte, elle s’entrouvrit et des yeux marrons se posèrent sur son minuscule corps. Puis, une voix apaisante lui demanda :-« Que fait-tu là, petit ?

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Gary lui répondit :« Mon peuple a subi un sortilège de la part de la sorcière corbeau et mon père m'a parlé de votre existence quand j’étais un enfant. Alors j’ai traversé toute la forêt avec l’aide d’animaux rencontrés au fur à mesure de mon périple jusqu’ici. » -Le mage lui demanda : « Quel maléfice a-t-elle utilisé sur votre peuple de travailleurs ? »et Gary lui dit : « Elle nous a enlevé notre bave collante qui sert a fixer les emballages cadeaux des enfants pour Noël ». A la fin de cette explication, le mage ne rétorqua pas mais commença la préparation d’une potion pour régler ce maléfice et une autre qui servirait de repulsif pour que la sorcière ne revienne plus les embêter lors des fêtes de Noël.Quelques minutes plus tard, les potions furent prêtes et l’humain les lui donna dans un sac adapté à sa coquille. Puis il lui fit part d'une petite astuce pour retourner plus vite dans son royaume en mangeant le champignon Rapido-Rapido qui accélère la personne le dégustant pour atteindre la vitesse de la lumière ainsi il serait à son royaume en quelques secondes ! Au pied d’un arbre, il trouva ce fameux champignon qu’il dévora sans retenue et en un éclair il arriva au royaume avec les potions qu’il fit prendre à chaque sujet présent et il put enfin retourner au travail et finir les emballages cadeaux avant le jour J.

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Le Roi des escargots, qui jusque-là n’avait que freiné la quête de Gary, s’exila suite à la demande de son peuple et Gary l’ancien escargot baveur-menteur fut unanimement installé au pouvoir mais le petit escargot refusa cette requête. Il demanda alors une condition à ses congénères pour accepter d'être couronné : la venue de tous ses compagnons d’aventures mais surtout celle du mage à un immense banquet pour les remercier. Le banquet terminé, Gary se dirigea vers le magicien humain et lui fit une proposition : celle de devenir son ami et de s'installer vivre aux portes du royaume des escargots baveurs de Noël, ce que l’homme accepta sans hésitation.Ainsi, tout finit pour le mieux, à la grande joie de tous, et particulièrement de celle des enfants qui, les yeux brillants, reçurent leurs cadeaux de Noël bien emballés.

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Création de Léa Evrard 1ST2S

Levriers calgos

Chaque année plus de 50 000 Lévriers sont massacrés

Offrez leur une seconde chance

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La corrida : ¿culture ou torture?

1. OriginesIl y a beaucoup d’hypothèses sur l’origine de la corrida. Les premiers documents retrouvés remontent au Moyen-Age. Malgré tout, quelques affirmations sont possibles : le fait que l’Espagne ait quasiment cette tradition pour elle seule vient en partie du fait que les aurochs, ancêtres du taureau, sont présents en Espagne depuis des millénaires. Leur présence est attestée par des peintures préhistoriques.Il semblerait que les premiers loisirs incluant des taureaux dont on ait connaissance datent des fêtes royales données par Alfonso II de Asturias en 815.

1ère corrida aux arènes de Nîmes en 1853

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2. Les pays qui pratiquent la corridaLa corrida est pratiquée le plus fréquemment en Espagne, mais elle est aussi présente au Portugal, dans le midi de la France et dans certains pays d’Amérique latine tels que le Pérou, le Mexique ou la Colombie.

Départements « taurins » français opposés (en rouge) à ou en faveur de la corrida

Il existe une différence de règles et de lois selon les pays.En France, la corrida est devenue légale en 1951 ; en 2011, elle est devenue patrimoine culturel immatériel.En Espagne, la corrida a été interdite en Catalogne dès 2010, mais a été également déclarée « bien d’intérêt culturel » par le Parlement espagnol en 2013.Il existe plusieurs types de corridas de par le monde :3.1. La corrida traditionnelleIl s’agit d’une « course de taureaux », durant laquelle un homme à pied et un taureau «combattent », et dont l’issue est la mise à mort du taureau.3.2. La corrida de RejónCe type de corrida ressemble à la corrida traditionnelle, à la différence que le taureau est combattu par un cavalier.3.3. La course portugaiseAu Portugal, la mise à mort est interdite, c’est la grande différence avec la corrida traditionnelle.

3. Les types de corridas

3.4. La course landaiseCorrida française qui se pratique dans les Landes et le Gers. Comme au Portugal, il n’y a pas de mise à mort, et les taureaux sont remplacés par des vachettes (femelles).3.5. La course camarguaiseCette corrida est pratiquée en région PACA, dans le Gard et l’Hérault. Il faut attraper les attributs accrochés sur un boeuf : le cocardier. Il n’y a pas de mise à mort.

Tableau de Fernando Botero, la plaza, 1985

La corrida est une des traditions espagnoles les plus connues au monde, bien qu’en même temps l’une des plus polémiques. Les corridas sont le 2ème spectacle le plus suivi en Espagne après le football. Les corridas font partie de la culture espagnole. Certains voient la corrida comme un art, où l’homme et le taureau s’affrontent avec courage.Des auteurs célèbres, peintres et écrivains comme Botero et Mario Vargas Llosa (écrivain hispano-péruvien), ont mis en valeur la corrida pour en faire des oeuvres.Les taureaux ont toujours fait partie de la culture espagnole et de ses traditions. Cependant, cette tradition est aujourd’hui de plus en plus controversée.

4. La corrida, on est pour, ça fait partie de la culture

La corrida est un « sport » déloyal : avant la corrida, le taureau peut être mutilé, ses cornes limées, … pour le désorienter et amoindrir ses capacités physiques. Le matador n’aura alors aucun mal à le torturer, pour ensuite procéder à sa mise à mort, ceci de façon théâtrale afin d’amuser et exciter le public.Environ 250.000 taureaux meurent chaque année, et pour les corridas de Rejón, environ 200 chevaux terrifiés meurent encornés.La corrida est une forme de maltraitance animale.

5. La corrida, on est contre, c’est de la torture

SkaP, Wild Spain : chanson et clip contre la corrida en Espagne.

Les Espagnols eux-mêmes sont très partagés sur cette tradition séculaire. En témoignent Antony et María José : ils sont attachés à leur culture, mais ne peuvent pas nier la torture de la corrida.

6. Conclusion

Au final, même si nous sommes tous conscients des maltraitances qui nous entourent, parfois la tradition et la culture prennent le dessus !Prenons par exemple le gavage des oies dans le Sud-Ouest de la France, pour fabriquer le foie gras, ou l’élevage intensif des saumons dans les eaux norvégiennes pour fournir le saumon fumé, tous deux rois à nos tables françaises festives ; ou encore les élevages intensifs de porcs et de vaches, pour finir, au terme de multiples tortures et d’une « vie » de souffrance… Alors, culture ou torture ?

Par nos actions individuelles quotidiennes, nous pouvons changer les choses ! faites vos choix !Article réalisé par les élèves de 2 ST2S et 2 STI LV2 espagnol

Maltraitance Bien-être animal

De nos jours, il y a des animaux qui souffrent de diverses façons. L’une d’entre elles est la maltraitance en élevages intensifs. Nous avons étudié plusieurs documents en cours d’espagnol qui relèvent de la maltraitance ou du bien-être animal. Nous allons vous les décrire ici, et tenter de faire bouger les choses, rien qu’en changeant quelques (mauvaises) habitudes alimentaires que nous avons.

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Elevage de cochons en Espagne, pour la marque Campo Frío = Aoste en France

Il s’agit ici d’un grand producteur international de viande porcine, que nous retrouvons dans nos assiettes sous la marque Aoste. C’est une marque connue, donc on s’attend à de la viande de qualité. Les cochons sont confinés en surnombre dans une grange-usine faite de béton et de fer, sans ouverture sur l’extérieur, sans autre source de lumière que les néons, avec des systèmes d’aération insuffisants. Ils ne sortent jamais de la grange, de leur naissance à leur trajet ultime vers l’abattoir.

Dans la vidéo que nous vous proposons de flasher ici (attention, images fortes), nous avons pu constater beaucoup de maltraitances ; même si vous ne parlez pas espagnol, les images parlent d’elles-mêmes.

Comme ils sont très serrés, les éleveurs n’hésitent pas à leur couper la queue et les oreilles pour gagner quelques centimètres carrés d’espace ; ils leurs scient ou leur arrachent également les dents pour éviter qu’ils ne se blessent entre eux. Chacun de ces actes est pratiqué sans anesthésie.

Dans la zone réservée aux mères porteuses, de nombreux porcelets meurent piétinés par leur mère car celle-ci n’a pas assez de place ni de lumière pour voir où elle pose ses pattes. D’autres meurent de faim car ils n’arrivent pas à accéder aux mamelles de leur mère qui n’a pas assez d’espace pour se coucher et leur permettre de venir téter. Quant aux petits qui survivent, il y en a beaucoup qui souffrent de malformations. Ces malformations sont dues à la malnutrition de la mère et à son stress.

Nous suggérons de sélectionner du jambon élevé en plein air, c’est marqué sur l’étiquette !

cliquez

La famille vend les produits de la ferme (volaille et œufs principalement) en circuit court, c’est-à-dire sur des marchés proches de la ferme, mais aussi grâce à un réseau local de commerce équitable. Grâce à la qualité des produits, la clientèle est fidèle et garantit un revenu correct à la famille.

Cette petite vidéo nous présente une famille argentine qui a abandonné la ville pour s’installer à la campagne et élever des poules en plein air. Ici, les poules alternent entre le poulailler couvert et chauffé, et le champ où elles courent et picorent des vers. Elles ne sont pas très nombreuses et sont en bonne santé. Elles bénéficient d’une nourriture à base de graines et de maïs biologiques, en plus des vers de terre qui viennent compléter leur régime alimentaire.

Elevage de poules bio en Argentine, vente en circuit court

Soutenons ce type d’élevage, vous verrez le goût de la viande est bien meilleure !Comment contrer les pratiques barbares des éleveurs ?L’être humain a-t-il oublié qu’il est lui aussi un animal ? Ou ne pense-t-il qu’à la rentabilité ?On peut agir au quotidien, en réduisant notre consommation de viande, en manifestant, en boycottant les marques qui maltraitent les animaux et en privilégiant les élevages en plein air.

Elèves de 1ère ST2S et de 1ère STD, LV2 espagnol

L'élevage intensif des cochons, réalisé par Iris, Grégoire et Théo de 2 CVP

Lycée Saint-Vincent-de-Paul LUNDI 21 JANVIER 2019 : Une journée consacrée à la Cause Animale et à l'Alimentation

L’organisation :En amont de cette journée particulière, différentes classes ont pu découvrir au CDI une exposition réalisée par l’association L214 et intitulée « Nourrir l’humanité » et appréhender différents aspects de la thématique, comme la faim dans le monde, la condition des animaux d’élevage, l’avenir de l’agriculture, les problèmes environnementaux et nos choix en matière d’alimentation, etc.M. Dominic Hofbauer, éducateur en éthique animale et responsable du département Education de L214, a consacré sa matinée à trois conférences afin de porter à la connaissance des élèves un savoir scientifique – avec des éléments de biologie, d’éthologie – et d’ouvrir sur cette base un espace de réflexion et de discussion autour d’une question simple : partant du fait que les autres animaux sont, comme nous, les sujets de leur propre vie, qu’ils ressentent comme nous ce qui leur arrive, comment notre responsabilité est-elle engagée dans les différentes relations que nous entretenons avec eux?Sur la pause méridienne, le Lycée a également invité un foodtruck nomade de Nilvange (association Le Berceau du Faire) pour l’occasion. Le camion No Meat Nomade a proposé une alternative au repas habituel des lycéens sous la forme d’un repas cuisiné et vegan.

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M. Dominic Hofbauer, éducateur en éthique animale et responsable du département Education de L214

« Les élèves s’installent au CDI Du lycée st Vincent de Paul. Il est 08h32, et l’envoyé d’L214 s’installe, le brouhaha se calme. Le thème est lancé: « Nourrir l’humanité ».La première diapositive arrive : une image du film Matrix, au moment précis où l’on donne le choix au héros entre la vérité et l’aveuglement, à travers les pilules rouges et bleues. Nous allons donc suivre la métaphore et prendre la pilule rouge, pour voir la vérité sur les conditions d’élevage des animaux.L’homme présente son association. L214, C’est une association dont le nom vient de l’article L214-1 pour les conditions de vie des animaux sensibles. Sensible, c’est un mot important. Cela signifie que l’on ressent de la douleur, de la joie, de la peur… Cela ne prend pas en compte les animaux qui n’ont pas de cerveau, comme les huîtres et les moules.

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Le compte-rendu

Pause dans le sujet, on fait un détour par le passé et on détaille la RSPCA, la plus ancienne association de protection des animaux. C’est William Wilberforce, qui, grâce à un groupe de personnes, a réussi à forcer le parlement nord-américain à voter l’abolition de l’esclavage. « La question n’est pas : Peuvent-ils raisonner ? ni : Peuvent-ils parler ? mais : Peuvent-ils souffrir ? » Jérémy Bentham, philosophe et réformateur britannique, chef de file de l’utilitarisme, réfléchit aux droits universels, qui s’appliquent de même manière à des animaux. Pause, réflexion. “Pouvez-vous penser à des humains incapables de raisonner? Incapable de parler?” La question est posée, la réponse fuse : « les bébés ». On considère que les bébés sont humains à partir de 12 semaines de développement, c’est-à-dire lorsque le système nerveux se développe : nous devenons ‘humains’ lorsque nous devenons ‘sensibles’. On change le sujet : Place aux chiffres et aux graphiques. Une petite cinématique se lance, avec des chiffres choc : un français mangera 7000 animaux en moyenne dans sa vie. C’est un résumé des pancartes qui nous entourent, un exposé rapide mais sans question.

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Une autre question est lancée – est-ce que les bêtes sont bêtes? On présente les expériences sans commentaire. Dans le premier, on passe une vidéo à des poules qui cherchent la nourriture dans la gamelle similaire à celle de la vidéo qu’elles ont pu « visionner »: les poules réussissent sans problème à retrouver leur nourriture. Les poules sont donc capables d’apprentissage. Dans la seconde, un cochon joue à un jeu vidéo dans lequel il bat un chien. Dans la dernière vidéo, on présente Coco, une femelle gorille maitrisant 1500 mots en langue des signes. Elle est connue grâce à sa rencontre avec un chat, qu’elle a pris sous son aile et nommé Boulette. À sa mort, Coco a pleuré et exprimé son chagrin. Plus tard, Coco a tout de même trouvé un autre compagnon, qu’elle a nommé Smokey. Oui, les animaux sont intelligents.

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On passe à un puzzle pour enfant : seize pièces d’animaux de ferme heureux et « tout sourire ». Retour à la vérité cruelle : des poules en batteries, ce qui est le cas de 68% des poules. Pourtant, à l’origine les poules sont des animaux sauvages qui dorment dans les arbres, dans la jungle. Il s’agit de la seule espèce pour laquelle la législation oblige les producteurs à préciser les conditions d’élevage. Sur les œufs, les deux premiers chiffres correspondent à cette même information, tandis que le reste correspond à l’immatriculation de la ferme d’élevage.

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La sonnerie retentit, un murmure remplit la salle- il est déjà l’heure de s’en aller. Les élèves de 1ère se lèvent, mais pour les terminales, l’aventure continue ! »

lien pour télécharger expo L214

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Sur la pause méridienne, le Lycée a également invité un foodtruck nomade de Nilvange (association Le Berceau du Faire) pour l’occasion. Le camion No Meat Nomade a proposé une alternative au repas habituel des lycéens sous la forme d’un repas cuisiné et vegan.

Un mois après cette journée, les participants ont pu renseigner un questionnaire-bilan. A la question « Pensez-vous changer vos habitudes alimentaires », 76 % des participants répondent « oui » ou « peut-être » ; concernant le bien-être animal, 100 % des participants déclarent qu’il est important à leurs yeux. Plus de 95 % des personnes ayant répondu à l’enquête estiment qu’il est important de connaitre les conditions d’élevage et de pouvoir choisir les produits de consommation selon ce critère.

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Le bilan de la journée :

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Ilustration de Camille SICCHIA, TAA

La fourrure en France

Photo by Ray Hennessy on Unsplash

Je suis un renard Voyez comment je vis en liberté !

voici la triste vie de mes congénères élevés pour leur fourrure :

Les animaux sont capturés ou élevés dans de petites cages oppressantes qui sont empilées les unes sur les autres dans d'affreuses conditions d' hygiène, les locaux étant souvent nauséabonds. Arrivés au bon âge, ils se font électrocuter pour que leur fourrure soit bouffante et pour ne pas abîmer la peau. L’industrie de la fourrure, depuis longtemps synonyme de cruauté, est responsable de la mort de millions d’animaux dans des conditions atroces chaque année dans le but de tirer profit du commerce de leur peau.

Titre 1

285 élevages d'animaux à fourrure en France (2010)

Les éleveurs tuent et vendent plusieurs millions d'animaux pour tirer profit de leur fourrure ce qui provoque l’extinction de plusieurs espèces ou leur disparition progressive. 86% des Français réclament la fermeture des élevages d'animaux à fourrure MAIS en octobre 2017 la réponse du ministère indiquait qu'"il n'est pas envisagé d'interdire les élevages d'animaux destinés à la production de fourrure".

  • Liste à puces
  • Liste à puces

Zgonc Andréa 2pec Nicolas Manon Pais Léa

Comment cela se passe-t-il chez nos voisins européens ?

Et si la France, suivant l'exemple de l'Autriche, de la Belgique, de la Croatie, de la Bosnie-Herzégovine, du Luxembourg, des Pays-Bas, de la République de Macédoine, du Royaume-Uni, de la Suisse, de la Serbie et de la Slovénie en finissait avec l'archaïque production de fourrure qui fait souffrir et tue encore des milliers d'animaux chaque année ?

les visons

WATCH

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Attention donc à bien lire les étiquettes en choisissant votre parka car derrière chaque morceau de fourrure, aussi petit soit-il, se cache la même réalité.

la zoothérapie

les bienfaits...

mieux comprendre

L' histoire de la zoothérapie

Erina RAMAMadison STACHLYEmilie TRESSONMarie MOUREY

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Nous trouvons que la zoothérapie est très utile de nos jours, elle aide beaucoup les patients. Cette technique devrait être plus largement reconnue et utilisée dans le monde médical.

Des chiens qui sauvent des vies

chiens sauveteurs

Mathiez Sofia, Pico Iris & Sidler Noé

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Cet article parle des chiens sauveteurs en montagnes, près à risquer leur vie pour en sauver d'autres. Ces chiens font preuve d'un extrême courage. Cependant, il s’agit d’un entraînement complexe qui commence lorsque le chien a 7 mois et ce, jusqu’à la fin de sa “carrière” aux alentours de 7-8 ans.

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Basic templatePresentation

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ce jeune Staffordshire Bull Terrier nommé Ivor est sourd

Des livres ...

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Lettre du blaireau aux déterreurs Photographie de l'association Meles Tandis que je suis traqué au fond du terrier, mes cris, mes râles et mes coups de griffes sont insuffisants à exprimer ma souffrance. C'est la peur qui m'envahit lorsque je sens approcher les museaux de vos chiens. Viennent ensuite les coups de crocs. Pendant que je tente d'esquiver, j'entends déjà des pioches qui creusent. Dans quelques minutes, vous m'extirperez comme une marionnette à l'aide de pinces qui m'empoigneront au point que j'en suffoquerai. Comment en êtes-vous arrivés à une telle violence ? Que vous ont fait les blaireaux pour mériter un tel traitement ? Ce n'est quand même pas notre régime alimentaire qui vous indispose ? Même s'il nous arrive d'apprécier des œufs de faisans ou de poules et de capturer des lapereaux affaiblis, l'essentiel de notre menu est constitué de vers blancs et autres lombrics, ainsi que de coléoptères en tout genre, d'escargots, de limaces et parfois, j'en conviens, de quelques fruits, racines, tubercules ou épis de maïs, de blé, d'orge ou d'avoine. En fait, nous sommes des opportunistes omnivores capables, à l'occasion, de croquer un cadavre. Pas de quoi mériter la corde ! Certes, nous pouvons être des vecteurs de la tuberculose bovine, inutile de le nier. Mais est-ce en nous déclarant la guerre que vous trouverez la paix ? Du reste, l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) précise que « la maladie se transmet d'abord et avant tout de bovin infecté à bovin sain » 1. Elle rappelle que la France est considérée comme officiellement indemne de tuberculose bovine par l'Union européenne et elle recommande de « se préparer dès maintenant à la possibilité d'engager une vaccination des blaireaux à l'aide du BCG ». Cette stratégie de sagesse avait, du reste, été mise en œuvre durant les années 1990 pour endiguer la rage2. Après avoir tué, piégé, gazé et traqué les renards au nom de la lutte antirabique, les scientifiques avaient constaté que le « vide biologique » favorisait la progression du virus. Eh oui ! La nature a horreur du vide... À l'époque, c'est la vaccination qui mit finalement un terme à cette redoutable maladie. Secouée par les coups de pioches, la galerie dans laquelle je me suis réfugié se fragilise. J'ai l'ouïe fine, et le martellement de la terre ressemble à un séisme. Mon odorat est 700 à 800 fois plus fin que le vôtre. Sentir votre transpiration m'est insupportable. J'ai eu la naïveté de croire qu'en m'enfouissant au fond de mon terrier, composé de multiples galeries et construit à l'aide de mes longues griffes non rétractiles, je serais à l'abri des dangers. Mon gîte est un véritable labyrinthe Il est si vaste, 2 000 mètres carrés en moyenne, qu'il compte de 3o à 40 entrées3 des accès que vous avez baptisés « gueules ». Ce n'est pas moins de 40 tonnes de terre qu'il m'a fallu déplacer sur un site toujours en pente, pour éviter le milieu ouvert, et protégé par des bosquets de ronces ou une épaisse haie. Tout a été pensé depuis des générations de blaireaux pour qu'une certaine qualité de vie s'impose dans notre univers sans soleil. Nous avons même imaginé des chambres tapissées de feuilles fréquemment changées, de mousse, de fougères ou d'herbacées4, permettant à nos mères d'accoucher et d'allaiter leurs petits dans les meilleures conditions possibles. Cet underground pouvant descendre jusqu'à 4 mètres de profondeur fait le bonheur d'un clan de blaireaux comptant cinq adultes et trois jeunes. Même les renards ont reconnu nos talents de bâtisseurs ! Ils s'invitent volontiers et occupent les espaces disponibles dans le terrier, et nous cohabitons sans difficulté. C'est d'ailleurs parce que nous subissons des persécutions comparables que je prends la défense de Goupil. Comme moi, il est agressé, et pourtant on le sait capable d'ingurgiter de 6 000 à 10 000 campagnols par an5, ce qui en fait un auxiliaire précieux de l'agriculture. Paradoxalement, on persiste à utiliser des produits chimiques, telle la bromadiolone (anticoagulant puissant), pour lutter contre la prolifération des campagnols et on continue de considérer le renard comme un nuisible. À ce non-sens écologique, il faut ajouter les arrêtés préfectoraux autorisant la destruction du renard... même la nuit Pourquoi une telle énergie à tuer ? En Moselle, par exemple, il a été prévu de relâcher 9 000 faisans pour le plaisir de les chasser, et Goupil pourrait se montrer un rude concurrent. Un collectif d'associations de protection de la nature6, soutenu par des scientifiques, s'est constitué pour tenter d'enrayer le massacre, mais l'Administration reste déterminée. L'affaire sera tranchée par la justice. En attendant, c'est par plaisir que l'on poursuit le « déterrage », y compris lorsque nos petits blaireaux sont encore dépendants de leur mère et du groupe. Cette pratique est inconcevable aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, au Danemark, en Grèce, en Espagne ou encore au Portugal, où notre espèce est protégée7. La France pourrait prendre des dispositions comparables. J'entends vos cris et vos rires. Le plafond de mon terrier s'effondre. Impossible d'éviter la pince qui vient de me saisir. Me voici extirpé en pleine lumière puis cloué au sol. Une dague s'approche de ma tête... •« La tuberculose bovine. Présentation et rôle de l'Anses », www.anses.fr. •Le dernier cas de rage de renard en France (Moselle) remonte à 1998 (Institut Pasteur). •Cahiers d'éthologie appliquée, « Choix de l'habitat chez le blaireau européen (Meles meles) en Belgique », 1983. •« Le blaireau et l'homme. Pour une cohabitation pacifique », www.fne.asso.fr, 2008. •Chambre d'agriculture de la Haute-Marne. •Collectif Renard Grand Est. •Aspas (Association pour la protection des animaux sauvages), vive le blaireau !, brochure, 44 p. Extrait du livre d’Allain Bougrain Dubourg « Lettre des animaux à ceux qui les prennent pour des bêtes » édité par Les Echappés, 2018.Lettre du blaireauaux déterreursTandis que je suis traqué au fond du terrier, mes cris, mes râles et mes coups de griffes sont insuffisants à exprimer ma souffrance. C'est la peur qui m'envahit lorsque je sens approcher les museaux de vos chiens. Viennent ensuite les coups de crocs. Pendant que je tente d'esquiver, j'entends déjà des pioches qui creusent. Dans quelques minutes, vous m'extirperez comme une marionnette à l'aide de pinces qui m'empoigneront au point que j'en suffoquerai. Comment en êtes-vous arrivés à une telle violence ? Que vous ont fait les blaireaux pour mériter un tel traitement ? Ce n'est quand même pas notre régime alimentaire qui vous indispose ? Même s'il nous arrive d'apprécier des œufs de faisans ou de poules et de capturer des lapereaux affaiblis, l'essentiel de notre menu est constitué de vers blancs et autres lombrics, ainsi que de coléoptères en tout genre, d'escargots, de limaces et parfois, j'en conviens, de quelques fruits, racines, tubercules ou épis de maïs, de blé, d'orge ou d'avoine. En fait, nous sommes des opportunistes omnivores capables, à l'occasion, de croquer un cadavre. Pas de quoi mériter la corde ! Certes, nous pouvons être des vecteurs de la tuberculose bovine, inutile de le nier. Mais est-ce en nous déclarant la guerre que vous trouverez la paix ? Du reste, l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) précise que « la maladie se transmet d'abord et avant tout de bovin infecté à bovin sain » 1. Elle rappelle que la France est considérée comme officiellement indemne de tuberculose bovine par l'Union européenne et elle recommande de « se préparer dès maintenant à la possibilité d'engager une vaccination des blaireaux à l'aide du BCG ». Cette stratégie de sagesse avait, du reste, été mise en œuvre durant les années 1990 pour endiguer la rage2. Après avoir tué, piégé, gazé et traqué les renards au nom de la lutte antirabique, les scientifiques avaient constaté que le « vide biologique » favorisait la progression du virus. Eh oui ! La nature a horreur du vide... À l'époque, c'est la vaccination qui mit finalement un terme à cette redoutable maladie.Secouée par les coups de pioches, la galerie dans laquelle je me suis réfugié se fragilise. J'ai l'ouïe fine, et le martellement de la terre ressemble à un séisme. Mon odorat est 700 à 800 fois plus fin que le vôtre. Sentir votre transpiration m'est insupportable. J'ai eu la naïveté de croire qu'en m'enfouissant au fond de mon terrier, composé de multiples galeries et construit à l'aide de mes longues griffes non rétractiles, je serais à l'abri des dangers. Mon gîte est un véritable labyrinthe Il est si vaste, 2 000 mètres carrés en moyenne, qu'il compte de 3o à 40 entrées3 des accès que vous avez baptisés « gueules ». Ce n'est pas moins de 40 tonnes de terre qu'il m'a fallu déplacer sur un site toujours en pente, pour éviter le milieu ouvert, et protégé par des bosquets de ronces ou une épaisse haie. Tout a été pensé depuis des générations de blaireaux pour qu'une certaine qualité de vie s'impose dans notre univers sans soleil.Nous avons même imaginé des chambres tapissées de feuilles fréquemment changées, de mousse, de fougères ou d'herbacées4, permettant à nos mères d'accoucher et d'allaiter leurs petits dans les meilleures conditions possibles. Cet underground pouvant descendre jusqu'à 4 mètres de profondeur fait le bonheur d'un clan de blaireaux comptant cinq adultes et trois jeunes. Même les renards ont reconnu nos talents de bâtisseurs ! Ils s'invitent volontiers et occupent les espaces disponibles dans le terrier, et nous cohabitons sans difficulté. C'est d'ailleurs parce que nous subissons des persécutions comparables que je prends la défense de Goupil. Comme moi, il est agressé, et pourtant on le sait capable d'ingurgiter de 6 000 à 10 000 campagnols par an5, ce qui en fait un auxiliaire précieux de l'agriculture. Paradoxalement, on persiste à utiliser des produits chimiques, telle la bromadiolone (anticoagulant puissant), pour lutter contre la prolifération des campagnols et on continue de considérer le renard comme un nuisible. À ce non-sens écologique, il faut ajouter les arrêtés préfectoraux autorisant la destruction du renard... même la nuit Pourquoi une telle énergie à tuer ? En Moselle, par exemple, il a été prévu de relâcher 9 000 faisans pour le plaisir de les chasser, et Goupil pourrait se montrer un rude concurrent. Un collectif d'associations de protection de la nature6, soutenu par des scientifiques, s'est constitué pour tenter d'enrayer le massacre, mais l'Administration reste déterminée. L'affaire sera tranchée par la justice. En attendant, c'est par plaisir que l'on poursuit le « déterrage », y compris lorsque nos petits blaireaux sont encore dépendants de leur mère et du groupe.Cette pratique est inconcevable aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, au Danemark, en Grèce, en Espagne ou encore au Portugal, où notre espèce est protégée7. La France pourrait prendre des dispositions comparables.J'entends vos cris et vos rires. Le plafond de mon terrier s'effondre. Impossible d'éviter la pince qui vient de me saisir. Me voici extirpé en pleine lumière puis cloué au sol. Une dague s'approche de ma tête... • « La tuberculose bovine. Présentation et rôle de l'Anses », www.anses.fr. • Le dernier cas de rage de renard en France (Moselle) remonte à 1998 (Institut Pasteur). • Cahiers d'éthologie appliquée, « Choix de l'habitat chez le blaireau européen (Meles meles) en Belgique », 1983. • « Le blaireau et l'homme. Pour une cohabitation pacifique », www.fne.asso.fr, 2008. • Chambre d'agriculture de la Haute-Marne. • Collectif Renard Grand Est. • Aspas (Association pour la protection des animaux sauvages), vive le blaireau !, brochure, 44 p. Extrait du livre d’Allain Bougrain Dubourg « Lettre des animaux à ceux qui les prennent pour des bêtes » édité par Les Echappés, 2018. Lettre du tigre aux circassiens illustration de Théotime Grisard 2NDAA Les visiteurs qui déambulent devant ma voiture-cage voient-ils les barreaux qui m'obsèdent ? Je suis né dans la sciure et n'ai eu d'horizon que ces barres d'acier alignées devant un décor inaccessible. Nulle perspective au-delà de ces barreaux. Vous qui m'observez, vous effacez inconsciemment cette barrière qui nous sépare. Vous plongez directement dans mon regard, vous évaluez mes griffes et vous appréciez ma fourrure. Vous souhaiteriez même que je bouge. Un geste, une réaction, un mouvement qui pourrait provoquer votre émotion et engendrer des souvenirs. Mon père est né dans cette étroite cage. Mon grand-père également. Et aussi loin que l’on se souvienne, des générations de tigres ont eu comme moi la captivité comme seul destin. Sont-ils devenus des chats pour autant ? Non, ils ont toujours conservé les fondements de leur espèce. Un tigre ne se domestique pas. Même élevé au biberon, voire choyé, il n’en demeure pas moins un félin aux besoins immuables. Mes semblables vivant à l'état sauvage n'ont guère le goût de la communauté. Ils aiment la solitude, alors que je suis condamné à survivre en groupe. Le territoire qu'ils marqueront devra faire quelque 100 kilomètres carrés : là, ils pourront guetter la gazelle, rechercher le plan d'eau où il fait bon se baigner, trouver le tronc pour aiguiser leurs griffes, flâner... Dans ma cage, j'ai droit à 7 mètres carrés avec, durant les arrêts, une « cage de détente » de 6o mètres carrés. C'est le ministère de l'Écologie qui, en mars 20111 , a signé cet arrêté pour que je vive dans des conditions capables de « satisfaire mes besoins biologiques et comportementaux ». Il n'y a pas de texte plus hypocrite que celui-ci. Laisser croire que mon gourbi étriqué peut répondre à mon équilibre physiologique et psychologique relève de l'indécence. Mes cousins libres sont également confrontés à la réduction de leur territoire. En 25 ans, 95 % de ce dernier a disparu. Autant dire que, faute d'habitat suffisant, les seigneurs de la jungle n'ont guère l'espoir de voir leur communauté s'épanouir. En 1990, on estimait la population mondiale de tigres à près de 100 000 individus. Ils ne sont plus que 4 000 aujourd'hui... Ce déclin dramatique n'exonère pas la captivité. Il impose bien au contraire davantage d'éthique. Nous, les bêtes de scène, sommes contraintes de nous donner en spectacle. Les ours ont-ils vocation à faire du vélo ? Les éléphants font-ils le poirier dans la nature ? Les singes apprécient-ils de se déguiser en humains ? Les zèbres s'épanouissent-ils en tournant en rond ? Et les projecteurs et le bruit, la musique, les longues heures de dressage avant l'entrée en piste... Tout cela est contre nature. Je tiens à remercier les pays qui ont compris combien la captivité itinérante était synonyme de souffrance. Lucides, ils ont purement et simplement supprimé les cirques. La Grèce fut sans concession. Qu'ils soient sauvages ou domestiques, tous nos semblables ont été interdits d'exhibition dans les cirques. L'Autriche, ainsi que la Belgique, a fait de même pour tous les animaux sauvages. L'Allemagne, le Danemark, la Hongrie et la Suède ont pris des mesures partielles mais allant dans le bon sens. En France, plus de 4o villes ont officiellement déclaré ne plus vouloir accueillir de cirques détenant des animaux sauvages. Ajaccio, Chartres, La Trinité-sur-Mer, La Ciotat, Tourcoing, Villeneuve-lès-Avignon, Yerres figurent dans la liste, qui ne cesse de s'allonger. En ce début de XXIe siècle, il est temps de tourner la page, d'effacer les barreaux, de redonner leur dignité à des bêtes dénaturées. Le cirque n'en mourra pas, il évoluera comme il l'a toujours fait. Le Cirque du Soleil, la Compagnie Morosof, le Cirque dans les Étoiles, le Cirque Plume et bien d'autres se sont affranchis des animaux tout en multipliant les spectacles à succès. Oublions les animaux sauvages, et que la fête commence ! 1. Arrêté fixant les conditions de détention et d'utilisation des animaux vivants d'espèces non domestiques dans les établissements de spectacles itinérants. Extrait du livre d’Allain Bougrain Dubourg « Lettre des animaux à ceux qui les prennent pour des bêtes » édité par Les Echappés, 2018.

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Le biomimétisme est une approche scientifique révolutionnaire qui consiste à imiter les plus belles inventions de la nature l'efficacité énergétique de la photosynthèse, la solidité du corail, la résistance des fils de soie de l'araignée, les propriétés adhésives des filaments de la moule pour les adapter au service de l'homme.Janine M. Benyus nous fait découvrir des applications efficaces et respectueuses de l'environnement, développées par des chercheurs pionniers dans les domaines de l'agriculture, des matériaux, de l'informatique, de l'industrie, etc. Elle nous révèle surtout la merveilleuse richesse de la nature, et nous incite à mieux l'observer pour l'imiter. Illustration de Manon et Kenza ( 1 STDA)

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Anthologie d’éthique animale apologie des bêtes La conduite des hommes à l'égard des animaux fait depuis toujours l'objet d'une évaluation morale par ceux d'entre nous que la souffrance indigne. La philosophie officielle en occident, qui justifie l'exploitation des bêtes pour manger, travailler, expérimenter, nous divertir et nous tenir compagnie, n'a jamais fait l'unanimité. L'éthique animale est l'étude de la responsabilité morale des hommes à l'égard des animaux et cette anthologie est son histoire. Une contre-histoire des animaux, dans laquelle Pythagore, Vinci, Cyrano de Bergerac, Rousseau, Voltaire, Sade, Schopenhauer, Lamartine, Darwin, Wagner, Hugo, Tolstoï, Zola, Gandhi, Russell, Colette, Claudel, Yourcenar, Singer, Levi-Strauss, Derrida, Houellebecq, Onfray et beaucoup d'autres prennent position sur les droits des animaux, les devoirs de l'homme à leur égard, le végétarisme, la chasse, l'expérimentation, la corrida, les zoos et d'autres questions théoriques et pratiques. Réunissant 180 auteurs, plus de 40 traductions et plusieurs textes inédits, ce livre de référence est la première et la seule anthologie francophone sur le statut moral des animaux. Jeangène Vilmer, Jean Baptiste. Anthologie d' éthique animale apologie des bêtes. [Livre]. PUF, 2011. 407 p.

Le seul et unique Ivan Ivan est un gorille, mais il n'a rien d'une bête sauvage. C'est un animal paisible qui vit dans un vieux centre commercial oublié de tous. Ivan s'accommode assez bien de sa condition. Il a ses amis : Stella, la vieille éléphante, Bob, le chien errant, et Julia, la fille du gardien. Il a la télé et, surtout, il a le dessin, car Ivan est un peu artiste. Mais l'arrivée dans la ménagerie de Ruby, une petite éléphante innocente et fragile, va changer sa vie... /Un petit bijou de sensibilité unanimement plébiscité et récompensé par plus de 20 prix littéraires. Applegate, Katherine. Le seul et unique Ivan. [Livre]. Seuil, 2012. 270 p

Des animaux et des bêtes "Ils m'ont attaché à un arbre et ils sont partis ! Ils ne reviennent pas et ça m'inquiète beaucoup, c'est ma famille ! Il leur est arrivé quelque chose, c'est O-BLI-GE !! Alors je me suis détaché et je suis parti à leur recherche, à leur secours ! Mais j'ai rencontré d'autres humains qui m'ont mis en cage, qui me font faire des choses que je ne comprends pas ! Puis j'ai rencontré toutes sortes d'animaux qui eux aussi ont rencontré des hommes qui leur font faire des choses qui n'ont aucun sens, qui font mal, qui nous rendent triste et malheureux. Ma famille me manque, eux étaient gentil, ils me nourrissaient, me donnaient de la tendresse et jouaient avec moi ! Où sont-ils ?"Note de l'auteur : Le manque de respect, la cruauté dont nous faisons preuve envers ces animaux à qui nous devons tout m'a toujours révolté. La bd humoristique est un moyen beaucoup plus « doux » pour informer les gens sur ce que subissent les animaux par rapport aux vidéos ou photos terribles qui peuvent en rebuter bon nombre car certains d'entre nous, les humains, sont des êtres sensibles... Bebb. Des animaux et des bêtes. [Livre]. Les points sur les i éditeurs, 01-02-2013. 46 p.

Le roman du loup Il y a quelque chose qui bloque toute curiosité, toute objectivité humaine dans l'étude et la présentation du loup. " Cette réflexion de l'historien Robert Delort illustre bien la fascination qu'exerce, entre fantasme et réalité, cet animal, tour à tour ridiculisé, craint, divinisé, haï, traqué ou protégé, mais toujours omniprésent dans l'imaginaire collectif. Au fil d'expériences vécues, de rencontres et de légendes, le loup raconte lui-même son long voyage à travers l'histoire et le monde, du paradis des Indiens au roman noir de la persécution, de la Mongolie où Gengis Khan est réputé être son fils, à d'Italie où, symbole vénéré de Rome, il n'a jamais quitté le massif des Abruzzes. En passant par la France où, après avoir officiellement disparu, il a récemment refait son apparition dans le parc national du Mercantour, réveillant d'anciennes terreurs et suscitant la polémique... Le Roman du loup - le roman dont le loup est le héros ! - nous permet ainsi de découvrir, au-delà des préjugés et des " procès d'intention ", un prédateur certes - l'homme n'en est-il pas un lui aussi ? -, mais surtout un animal intelligent, qui organise sa vie sociale et familiale de manière identique à ce que l'on observe dans les sociétés humaines. VADROT, Claude-Marie. Le roman du loup. [Livre]. Editions du Rocher, 01-11-2009. 217 p.

Un autre regard sur les zoos Depuis toujours, le zoo est un lieu très populaire pour les enfants et les parents qui souhaitent approcher au plus près les animaux sauvages. Il est souvent présenté comme nécessaire pour préserver les espèces les plus menacées. Mais qu'en est-il vraiment ? C'est à cette question et bien d'autres encore que tente de répondre ce livre à travers des exemples clairs et concrets : Qu'est-ce qu'un zoo ? Comment se sentent des animaux dans les zoos ? Les zoos permettent-ils de sauver les espèces ? Les zoos sont-ils aujourd'hui indispensables ou faut-il les faire évoluer ou bien les fermer ? Grâce à ce livre, vous découvrirez ce qui se cache véritablement derrière les grilles d'un zoo et pourquoi il est nécessaire de se questionner sur les conditions de détention des animaux et plus largement sur l'avenir des zoos. SCHRAFSTETTER, Franck. Un autre regard sur les zoos. [Livre]. Les points sur les i éditeurs, 01-10-2013. 119 p.

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Antispéciste - Réconcilier l'humain, l'animal, la nature " Nous ne sommes que les jeunes visiteurs d'un zoo égaré au milieu de nulle part. "Antispéciste » explore la génétique, la cosmologie, l'éthologie, le droit et la philosophie pour expliquer pourquoi nous sommes tenus aujourd'hui d'accorder certains droits fondamentaux aux animaux non humains sensibles. Cet ouvrage pose également des questions inédites : qui sont les animalo-sceptiques ? Pourquoi l'antispécisme est-il un combat social ? Pourquoi Superman est-il un superhéros antispéciste ? Cet ouvrage est un appel au soulèvement des consciences. Un appel à la révolte individuelle. Un appel à un nouvel humanisme. CARON, Aymeric. Antispéciste - Réconcilier l'humain, l'animal, la nature. [Livre]. Points, 01-09-2017. 472 p.

Contre l'exploitation animale Séisme dans le monde du cirque : André-Joseph Bouglione, membre de la célèbre lignée de circassiens, a déclenché la colère d'une partie de la profession après avoir annoncé publiquement qu'il abandonnait le spectacle avec les animaux dont les conditions de dressage et de captivité étaient devenues trop cruelles et contre nature. Le début d'une révolution et un acte de courage de la part de ce dompteur de tigres, directeur du cirque qui porte son nom, que rien dans l'ADN ne prédisposait à une telle prise de conscience. Réinventer le métier, proposer un nouveau modèle de cirque éco-responsable, tel est l'enjeu de cette croisade entamée avec le soutien du public, qui n'accepte plus de se divertir au mépris de la souffrance animale. Une démarche exemplaire défendue avec passion dans ce manifeste, pour en finir avec l'hypocrisie qui entoure la maltraitance des animaux de cirque et redonner ses lettres de noblesse à cet art du spectacle qui fascine tant. BOUGLIONE, André-Joseph. Contre l'exploitation animale. [Livre]. Tchou, 01-04-2018. 115 p.

Dictionnaire horrifié de la souffrance animale L'auteure a enquêté dans les élevages industriels, les zoos, les laboratoires d'expérimentation ou encore dans les abattoirs pour témoigner de la souffrance endurée par les animaux dans ce dictionnaire au caractère ubuesque. Civard-Racinais, alexandrine. Dictionnaire horrifié de la souffrance animale. [Livre]. Fayard, 2010. 190 p.

Entre l'humain et l'animal : La zoothérapie Saviez-vous que le seul fait de caresser un animal entraîne une réduction du stress en diminuant la pression sanguine et le rythme cardiaque ? Saviez-vous que les personnes âgées qui possèdent un animal se sentent moins seules, sont plus actives, ont une plus grande vivacité d'esprit et une meilleure santé que les autres ? La présence d'un animal peut même réactiver des souvenirs chez une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer ou favoriser la concentration chez un enfant hyperactif. Qu'ils souffrent de maux physiques ou psychologiques, la zoothérapie fait des merveilles chez les gens de tout âge. Par des témoignages touchants, ce livre nous montre que les animaux peuvent, par leur amour inconditionnel, transformer notre vie de tous les jours. L'auteure explique notamment comment s'exercent les pouvoirs thérapeutiques des chiens, des chats, des perroquets et des chevaux sur les êtres humains, qui en retour auront souvent pour eux une reconnaissance et un dévouement sans borne. Enfin, cet ouvrage explore l'univers mystérieux de la télépathie animale à travers des histoires extraordinaires, dont certains phénomènes sont expliqués ici par des scientifiques réputés. DE PALMA, Maryse. Entre l'humain et l'animal : La zoothérapie. [Livre]. AMBRE Editions, 01-03-2013. 273 p.

Sommes-nous trop bêtes pour comprendre l'intelligence des animaux ? Un livre qui surprend. Frans de Waal, psychologue et primatologue mondialement reconnu, nous amène à réexaminer tout ce que nous croyions savoir sur l'intelligence animale et humaine. Fascinant ! De Waal, Frans. Sommes-nous trop bêtes pour comprendre l'intelligence des animaux ?. [Livre]. Les liens qui libèrent, 01-10-2016. 407 p.

La rencontre Par un jour orageux de 1870, Ben MacDonald, un petit garçon un peu sauvage, se perd dans la prairie américaine où ses parents ont installé leur ferme. Surpris par la tempête, Ben se glisse dans un terrier où vit une mère blaireau. De la rencontre de ces deux êtres solitaires naît une extraordinaire aventure. ECKERT, Allan Wesley. La rencontre. [Livre]. Le Livre de Poche, 01-07-2014. 223 p.

Faut-il manger les animaux ? Etre carnivore est-il moralement légitime ? Comment traitons-nous les animaux que nous consommons ? Avant de se lancer dans une vaste enquête, Jonathan Safran Foer convoque souvenirs d'enfance, données statistiques et arguments philosophiques pour interroger nos comportements vis-à-vis des animaux. Il dénonce ainsi l'abomination actuelle des pratiques d'élevage et d'abattage, tout en se penchant sur les derniers vestiges d'une civilisation qui respectait encore l'animal. Choquant, drôle et inattendu. FOER, Jonathan Safran. Faut-il manger les animaux ?. [Livre]. Editions de l’Olivier, 01-02-2012. 388 p.

Mille milliards de fourmis Un documentaire largement illustré, qui tord le cou aux idées reçues et qui nous fait découvrir les singularités de cet animal familier mais fort méconnu, la fourmi. Godard, Delphine. Mille milliards de fourmis. [Livre]. Seuil, 2013. 29 p.

Le chagrin des animaux Le chagrin des animaux Prix 30 Millions d'Amis -essai. Depuis notre plus tendre enfance, nous attribuons aux animaux des émotions qui ressemblent aux nôtres. Les scientifiques se sont longtemps battus contre un tel anthropomorphisme, considérant que cela limitait notre capacité à comprendre la vie d'autres créatures. Cependant, récemment, les choses ont commencé à évoluer et l'anthropologiste Barbara J. King se trouve au premier plan de ce mouvement. Avec Le Chagrin des animaux, Barbara J. King attire notre attention sur la souffrance qu'ils peuvent éprouver devant la maladie et la douleur des leurs, ou devant leur mort. Elle nous raconte, à travers différentes situations vécues sur le terrain, l'histoire d'animaux endeuillés par la perte de leurs proches. Dans chacun des cas, l'auteur utilise sa formation d'anthropologue pour interpréter et expliquer ce à quoi nous assistons, pour nous aider à comprendre le chagrin des animaux, quels qu'ils soient, comme quelque chose qui n'est pas si différent de l'expérience des hommes. King, Barbara J.. Le chagrin des animaux. [Livre]. Editions de Fallois, 01-05-2014. 236 p.

L214 : Une voix pour les animaux Depuis 2015, la diffusion de vidéos choc, insoutenables de cruauté sur le martyr des animaux dans les abattoirs français a placé le combat de L214 en faveur des droits des animaux au cœur de l'actualité. Grace à la détermination de ses fondateurs et à l'activisme de ses militants, L214 nous permet de croire que la défense des animaux n'est plus une utopie mais une réalité, un combat, un débat qui anime toute la société. Aujourd'hui, L214 intrigue ses sympathisants comme ses détracteurs. De multiples articles et reportages interrogent son fonctionnement, cherchent à comprendre comment un simple groupe de militants est parvenu à faire voler en éclat la loi du silence qui pesait jusqu'alors et depuis plusieurs décennies sur la question de la souffrance animale dans les élevages et les abattoirs. Comment les membres de l'association ont-ils encouragé les médias et les plus hautes instances politiques à s'engager dans le débat ? Comment ont-ils conduit une société entière à questionner ses habitudes de consommation et son rapport avec les animaux ? Parce que L214 est avant tout une aventure humaine mais aussi l'histoire collective d'un projet associatif en perpétuel mouvement, ce livre dresse un portrait honnête et sensible de l'association L214. DEL AMO, Jean-Baptiste. L214 : Une voix pour les animaux. [Livre]. Arthaud, 01-09-2017. 408 p.

L'animal est l'avenir de l'homme -Munitions pour ceux qui veulent (toujours) défendre les animaux.La vie partagée avec l'animal constitue un enjeu politique, philosophique et éthique majeur de notre temps. Pour Dominique Lestel, cette question métabolise quelques-unes des caractéristiques les plus pathologiques de la civilisation occidentale, qui s'expriment en particulier à travers la thèse de l'animal-machine ou le mépris dont font encore trop souvent l'objet les défenseurs des animaux.Dans cet essai enlevé et engagé, l'auteur affirme au contraire que le souci des animaux fait partie intégrante de notre humanité, analysant notamment les problèmes posés par l'expérimentation animale – dont il révèle toute la complexité –, il plaide pour le développement d'une bioéthique de la réciprocité : si nous pouvons prendre beaucoup à l'animal, nous devons aussi lui donner beaucoup. LESTEL, Dominique. L'animal est l'avenir de l'homme. [Livre]. Fayard, 01-11-2010. 187 p.

Biomimétisme : Il y a du génie dans la nature ! Depuis 3,85 milliards d'années, la nature n'a eu de cesse de faire prospérer la vie. C'est dire si elle a un temps d'avance sur nous ! Grâce à la science, nous prenons chaque jour un peu plus la mesure des incroyables performances du monde vivant. "Prenez vos leçons dans la nature !", disait Léonard de Vinci. Des ailes "solaires" du papillon Morpho au ver marin donneur de sang universel, des algues puits de carbone aux enseignements médicaux des chimpanzés, en passant par le fil de l'araignée cinq fois plus solide que l'acier... l'homme s'émerveille et invente. Camborde, Jean-Philippe. Biomimétisme : Il y a du génie dans la nature !. [Livre]. Versailles : Éditions Quae, DL 2018, 2018. 143 p. ill

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100 chiens qui ont fait l'histoire 100 chiens héros célèbres ou méconnus de l'histoire. Fidèle, courageux, dévoué, le chien est un animal précieux pour l'homme. Dorica Lucaci a exploré l'Histoire pour retrouver 100 chiens fabuleux. Qu'il s'agisse des chiens engagés dans des conflits, de chiens royaux ou des chiens des grands dirigeants mondiaux, elle nous raconte leur histoire et leurs exploits. Sur tous les fronts (Première et Seconde Guerres mondiales, Vietnam.) dans tous les salons royaux et auprès des principaux présidents : Fla, Bo, Judy, Baltique, Blondi, César, Coco, Biche, Brount et les autres méritaient qu'un livre leur soit enfin consacré ! LUCACI, Dorica. 100 chiens qui ont fait l'histoire. [Livre]. Les éditions de l'opportun, 01-03-2016. 233 p.

Caballero « Sélection 2016 Prix Littéraire 30 Millions d’Amis » Jusque-là brillant élève, Genaro Reyes, collégien en 3e, par peur d'être rejeté par ses camarades, ne travaille plus en cours. Cette stratégie s'avère payante puisqu' il fait maintenant partie d’une bande de jeunes qui va le pousser à boire jusqu au coma. Choqués par son comportement, ses parents décident d’envoyer Genaro en Espagne chez Pepito, cousin de sa mère, qui tient un refuge pour galgos (lévriers). « La punition « se révélera très rapidement salutaire et transformera totalement le jeune adolescent. Genaro va alors découvrir un monde inconnu, celui de la souffrance et de la cruauté infligées aux galgos. Mais c’est pourtant là qu’il va connaître le vrai sens de l’amitié, le combat pour une cause, le sens de l’entraide et de l’acte gratuit et également le sentiment amoureux avec sa rencontre avec Lucy, jeune bénévole espagnole passionnée. MAJOR, Lenia. Caballero. [Livre]. SAMIR Editeur, 01-06-2016. 462 p.

Les animaux ne sont pas comestibles Le véritable test moral de l'humanité (le plus radical, qui se situe à un niveau si profond qu'il échappe à notre regard), ce sont les relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. Milan Kundera Récit du parcours de l'auteur vers le véganisme, ce livre navigue entre essai et aventure intime pour présenter la cause animale comme une lutte politique et éthique exigeante mais aussi joyeuse et inventive. Être végane, c'est avoir la conviction que l'être humain ne doit pas asservir et tuer les animaux pour manger, se vêtir ou se divertir. C'est un chemin passionnant et imparfait, riche en réflexions, débats, rencontres et connaissances. Page,Martin. Les animaux ne sont pas comestibles. [Livre]. Laffont, 2017. 265 p.

Enfants et Animaux, des liens en partage Sauvage ou domestiqué, quelles que soient les espèces, les époques et les cultures, l'animal a toujours tenu une place importante dans la vie des enfants. Ce sont ces liens qu'explore le livre « Enfants et animaux ». Cet ouvrage très documenté et abondamment illustré s'appuie sur des témoignages d'écrivains, de scientifiques, de pédopsychiatres et d'éthologues reconnus. Il étudie cet univers en montrant l'interdépendance, les dimensions psychologiques, sociologiques et ethnologiques de ces liens et confronte ces différents points de vue. Au-delà de la relation de complicité qui peut se nouer entre l'enfant et l'animal, l'ouvrage analyse aussi comment les bêtes deviennent des moteurs dans l'éducation et l'apprentissage, comment ils peuplent l'imaginaire et quelle est leur place dans différentes civilisations. D'autres aspects de ces rapports fascinants sont également abordés comme le rôle de l'animal à l'hôpital ou dans la résolution de traumatismes. Autant d'exemples riches et variés qui donnent une vision large d'un univers encore méconnu et font de cet ouvrage un repère important. MATIGNON, Karine Lou. Enfants et Animaux, des liens en partage. [Livre].Editions de La Martinière, 01-09-2012. 192 p.

Pas si bêtes ! Pourquoi le mâle des mantes religieuses est-il idiot au point de mourir d'amour pour sa femme ? Qu'est-ce qui fait si honte aux babouins pour qu'ils rougissent des fesses ? Les dragons de Komodo ont-ils le nez à la place de la bouche ? Les requins-marteaux sont-ils fous dès la naissance ? Les paresseux ont-ils inventé le régime éclair ? Les chauves-souris ont-elles le cerveau dans les pattes ? JOUVE, Louis / POUPON, Nicolas. Pas si bêtes !. [Livre]. Bréal, 01-11-2009. 130 p.

Hubert Reeves nous explique / La forêt La forêt est la maison de nos plus lointains ancêtres, elle est le lieu de notre passé et nous relie à lui. Nous y retournons pour nous pénétrer de notre origine et pour en retrouver la formidable vitalité. Grâce aux récentes observations scientifiques, nous savons désormais que le monde végétal et le monde animal se ressemblent plus qu'on ne le pensait. Car les arbres sont eux aussi et à leur façon des êtres sensibles. Il importe d'assurer le développement durable des forêts et la protection de toutes les espèces, végétales et animales, qui constituent ces écosystèmes. Reeves, Hubert. Hubert Reeves nous explique / La forêt. [Livre]. Lombard, 01-10-2018. 64 p.

Plaidoyer pour les animaux Comment peut-on manger d'autres êtres vivants ? Une réflexion que mène le penseur bouddhiste avec une stimulante élégance... Magnifiquement documentée - comme toujours chez cet auteur à l'érudition éblouissante, qui s'appuie sur des sources historiques et philosophiques glanées au cours de ses incessantes recherches -, la réflexion de Matthieu Ricard dépasse largement la seule question de l'alimentation. En réalité, c'est l'omnipotence de l'homme, à tous les égards - dans les univers du cirque, de la corrida, de la chasse... -, que cet amoureux de la vie sous toutes ses formes questionne avec vigueur. De quel droit, au fond, nous croyons-nous tout permis ? RICARD, Matthieu. Plaidoyer pour les animaux. [Livre]. Allary Editions, 01-10-2014. 370 p.

L'égalité animale expliquée aux humain-es Puisque tous les animaux, humains ou non, peuvent souffrir et veulent l'éviter, ne serait-il pas juste de considérer également leurs intérêts à vivre et à vivre bien ? Cette égalité ne doit-elle pas concerner l'ensemble des êtres sensibles ? Les critères qui fondent l'exclusion des animaux de nos préoccupations morales ne sont-ils pas en effet arbitraires - c'est-à-dire injustifiables ? SINGER, Peter. L'égalité animale expliquée aux humain-es. [Livre]. Tahin Party, 01-03-2011. 75 p.

La belle histoire de la SPA. DE 1845 à nos jours. La S. P. A. a été fondée en 1845, il y a tout juste cent cinquante ans sous Louis-Philippe. La protection du cheval (il y en avait près de quatre millions en France !) fut alors son souci principal. Puis, quand le moteur remplaça peu à peu le cheval, la S. P. A. étendit sa sollicitude à tous les animaux domestiques. Anecdotes et grands faits de l'Histoire, personnalités ayant œuvré pour la S. P. A. comme Zola, Hugo, le général Boulanger, Sarah Bernhardt, et encore Colette, Léautaud ou Brigitte Bardot, ce livre nous raconte les militants qui se battent chaque jour pour que les meilleurs amis de l'homme, ne soient plus maltraités. Georges Fleury a bénéficié du concours de Jacqueline Faucher, la présidente de la S. P. A., qui a mis toutes les archives de la société à sa disposition. FLEURY, Georges. La belle histoire de la SPA. DE 1845 à nos jours. [Livre]. Grasset, 01-10-1995. 336p.

Des loups et des hommes Histoire et traditions populaires. Respecté et vénéré dans de nombreuses civilisations antiques (la louve romaine allaitant Rémus et Romulus), le loup cristallise ensuite au fil des siècles toutes les peurs et les superstitions, en particulier dans l'espace rural. Gratifié du qualificatif de "nuisible", gibier de choix, il périclite mais continue de vivre dans nos subconscients. La lutte politico-écologique concernant sa réintroduction remet au premier plan ce "sauvage voyageur aux yeux luisants"... La réédition d'un ouvrage qui a connu un grand succès, plébiscité par les spécialistes de l'animal qui saluent la documentation exceptionnelle ici réunie. BERNARD, Daniel. Des loups et des hommes. [Livre]. De Borée, 01-09-2011. 256 p.

Plus malin qu'un singe ? : Mesurez-vous à l'intelligence des animaux Êtes-vous plus futé qu'un chimpanzé ? Plus rusé qu'un chat ? Plus intelligent qu'une chauve-souris? Plus perspicace qu'un pigeon ? À travers soixante-dix tests, exercices ou devinettes, mesurez-vous à divers animaux, tous plus malins les uns que les autres ! Vous découvrirez que les fourmis sont capables de trouver l'itinéraire le plus court pour visiter plusieurs lieux différents, que les dauphins peuvent apprendre une langue étrangère, que les mésanges savent mémoriser tous les endroits où sont cachées leurs réserves secrètes. Cette étonnante arche de Noé et les incroyables compétences de ses passagers vous conduira à réfléchir, avec autant d'humour que de sérieux, aux mécanismes de l'évolution et, finalement, à vous demander : « Mais, sommes-nous vraiment si différents »? AMBRIDGE, Ben. Plus malin qu'un singe ? : Mesurez-vous à l'intelligence des animaux. [Livre]. Buchet-Chastel, 2019. 334 p.

Tendrement bêtes... S'il est des images que l'on aime regarder, ce sont bien celles des animaux dont les gestes, les attitudes, les comportements font référence à des sentiments où des situations dans lesquels l'homme se reconnaît. Affection de la mère jouant ou éduquant ses petits, clin d'œil amusé d'un grand singe, regards complices, bagarres quotidiennes entre les jeunes, l'univers des animaux est si proche du nôtre qu'il nous interpelle, nous amuse, nous touche aussi. Qu'ils soient singes, oiseaux, lions ou poissons aux milles couleurs, les parallèles fonctionnant, la tendresse passe. NACCI, Benoît. Tendrement bêtes... [Livre]. Editions de La Martinière, 01-09-2008. 143p.

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& Bandes dessinées

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Réalisées par les 1 CVP.

BD réalisée par Maxime, Nathan & Robin.

COUP DE GUEULE !

La Fondation 30 millions d'amis et L214 rendent publiques mardi 11 juin 2019 de nouvelles images, tournées dans un élevage intensif de 190 000 poules pondeuses à Caro, dans le Morbihan. Cet élevage fournit notamment le groupe Avril, premier producteur d'œufs français.Les deux associations de défense des animaux portent plainte.Pour la vidéo, c’est ICI

Le chiffre choc : 1 MILLION D’ESPECES MENACEES D’EXTINCTION

« 75 % de l'environnement terrestre et 40 % de l'environnement marin présentent des « signes importants de dégradation ». Résultat : un million d'espèces, sur les quelque 8 millions estimées sur la planète, seraient menacées d'extinction dans les décennies à venir ».Selon un rapport sans précédent publié lundi 6 mai par le groupe d’experts de l’ONU sur la biodiversité (IPBES).

Journal numérique n°1 : Grrrrr, réalisé au cours de l’année scolaire 2018-19 ; participation des classes de LT et LP du Lycée Saint-Vincent-de-Paul d’Algrange.Coordinatrice : Marielle SchmittAide technique : Quentin VeryAssemblage : Noémie SicardMerci à toutes et tous pour cette énergie mobilisée !

A bientôt & bonnes vacances !

Quel thème pour le prochain numéro du journal numérique ?à vos votes, suivez le lien :