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Scène Nationale Lille Métropole Villeneuve d'Ascq

La rose des vents

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Historique

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Projet

Service des relations avec le public Bertille Coudevylle bcoudevylle@larose.fr Anna Gerecht agerecht@larose.fr Amandine Lesage alesage@larose.fr 03 20 61 96 90

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1976

1976 : Construction du théâtre « ouvert à tous les vents, à tous les horizons » Alors directeur du CDN à Tourcoing (aujourd’hui Théâtre du Nord), Jacques Rosner envisage dans les années 70 la construction d’une salle de théâtre dans la ville nouvelle issue de la fusion de trois villages (Ascq, Flers et Annappes) : Villeneuve d’Ascq. S'inscrivant dans le projet national de création de villes nouvelles dans les années 60, un établissement public d'aménagement est créé pour développer un nouveau quartier à l'est de Lille, l'EPALE (établissement public d'aménagement de Lille Est). Cet ensemble relié au centre de Lille par un métro rapide a pour vocation d'accueillir les universités lilloises et de désengorger la ville à l'étroit dans ses murs. Ce projet d'urbanisme prévoit entre autres la création d'un pôle culturel devenu La rose des vents. La volonté des élus locaux de préserver leur autonomie va modifier ce scénario et faire naître une municipalité de pleine exercice. Parallèlement la décentralisation culturelle en plein essor impulsée par André Malraux, puis Jacques Duhamel voit des villes moyennes françaises se doter de Maisons de la Culture et de Centre d'Action Culturel émaillant l'ensemble du territoire... La rose des vents, étonnant cube de béton dessiné par l’architecte Bernard Bourgeault avec sur la facade Le Sourire de Nadja, une œuvre de Béatrice Casadesus, est inauguré en 1976 au milieu d’un champ de betteraves. D’abord imaginé essentiellement comme un lieu de répétitions pour le Centre dramatique national du Nord, le projet revient à la municipalité qui y développe un véritable projet de salle de spectacles. La direction du Centre d’Action Culturelle (CAC), salle modulable dédiée à la pluridisciplinarité artistique, est assurée successivement par Pierre-Etienne Heymann et Pierrette Garreau, qui définissent les contours du projet artistique initial de La rose des vents, essentiellement tourné vers le théâtre français.

1988

1988 : Arrivée de Didier Thibaut à la tête de La rose des vents En 1988, Didier Thibaut devient le 3ème directeur de La rose des vents. Dès lors, il met en place une programmation de théâtre contemporain et mène un important travail auprès des tutelles afin d'accroître le budget. En parallèle, il construit et fidélise le public de La rose des vents en développant un réseau de relais dans les secteurs de l’enseignement et du social.

1991

1991: La rose des vents devient Scène nationale En 1991, le théâtre est l’une des premières Scènes à être labellisée scène nationale. Ce label poursuit la politique de décentralisation du Ministère de la Culture initié dès la Libération par des personnalités telles que Jeanne Laurent, Jean Vilar, puis André Malraux, qui définissent l’exception française visant à confronter l’art et les habitants, urbains comme ruraux. Cette stabilité institutionnelle s’accompagne d’une sécurité budgétaire. C’est à cette époque que La rose des vents développe son identité artistique en prenant en compte la structuration du paysage culturel de la métropole lilloise. Le projet artistique initial fait la part belle au théâtre de textes français et wallon, préfigurant l’ouverture au transfrontalier. Mais l’émergence du théâtre post-dramatique et surtout la découverte de l’explosive école flamande bousculant les codes du théâtre traditionnel (question du corps et du mouvement autour des chefs de file Jan Fabre, Alain Platel et Jan Lauwers accueillis dès leurs débuts) déterminent les grandes orientations du projet. Celui-ci met l’accent sur la recherche de nouvelles écritures dramatiques et scéniques, sur l’émergence de formes nouvelles et des jeunes générations d’artistes. La rose des vents devient une porte d’entrée en France pour les scènes flamandes et européennes. Parmi les découvertes et fidélités artistiques, on peut citer Romeo Castellucci, Koen Augustijnen et Jean-Michel Rabeux, artiste associé durant dix années.

2005

2005 : Création du Labomatic théâtres L’originalité de ce festival était de faire cohabiter des labos de recherche permettant à une équipe artistique d’expérimenter de nouvelles idées et des spectacles achevés, fruits d’une mise en scène particulièrement prometteuse ou d’une équipe peu ou mal repérée en partenariat avec La Ferme du Buisson, la Scène nationale de Marne-La-Vallée. Labomatic théâtre à La rose des vents est fréquenté par les spectateurs de Tournai avec le soutien des Fonds Européens de Développement Régional et INTERREG.

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2008

2008 : Création du Next festival Après de longs échanges avec Courtrai et Tournai, et de nombreuses collaborations prenant la forme de soutien à la création, soutien au spectacle jeune public et accueil de compagnies internationales, le festival Next est créé en 2008 par cinq structures culturelles de l’Eurométropole et de Valenciennes : La rose des vents, scène nationale (Villeneuve d’Ascq, FR), L’Espace Pasolini, Théâtre International (Valenciennes, FR), Schouwburg Kortrijk (BE), Kunstencentrum BUDA (Kortrijk, BE), la maison de la culture de Tournai (BE) et depuis 2016 Le phénix de Valenciennes. Il propose en novembre initialement15 jours puis 3 semaines de spectacles de danse, théâtre et performances de la scène internationale, dans une dizaine de villes de la région transfrontalière. Next festival a été élu en 2015 l’un des 12 festivals les plus innovants d’Europe, en recevant le prix EFFE (Europe for Festivals, Festivals for Europe), avec une mention spéciale pour sa programmation artistique, sa vision innovante, ses partenariats internationaux, ses valeurs et son engagement pour le développement durable. Monsieur Xavier Bertrand, Président de la région Hauts de France, déclare en juillet 2017, lors de la soirée "Hauts de France en Avignon", le NEXT festival comme festival d'intérêt régional. Dans la continuité de cette annonce, les organisateurs du NEXT festival souhaitent affirmer les objectifs qu'ils se sont fixés, à savoir : _inscrire le festival dans le circuit des grands festivals internationaux en coproduisant des spectacles d'envergure internationale, _densifier la circulation transfrontalière des publics, _développer la coopération régionale avec d'autres partenaires de la Région _organiser une rencontre professionnelle pendant 2 journées durant le festival, pour rassembler les directeurs et programmateurs du monde entier (rencontres avec des artistes, débats, parcours de spectacles...).

2017

2017 : Création du festival Théâtre 100% objets La rose des vents initie en mai 2017 un nouveau temps fort dédié au théâtre d’objets et de marionnettes. L’occasion de transformer le théâtre dans ses moindres recoins en une ruche de spectateurs affairés à passer d’un spectacle et d’un espace à l’autre. Ce temps fort alterne spectacles de marionnettes traditionnelles et formes contemporaines intégrant les nouveaux media.

1994

1994 : Le méliès, cinéma art et essai, est intégré à La rose des vents Le méliès est créé en 1978 dans le quartier du Triolo. Tourné vers l'Europe et le monde, sa mission est de mettre en lumière des perles cinématographiques qui ne bénéficient pas d'une forte présence médiatique. Les plus petits partent à la découverte des techniques du cinéma et dessin d'animation par le biais des ciné-ateliers. Pour les plus grands, Le méliès propose des rencontres-débats avec les réalisateurs, des cartes blanches aux associations, des expositions, des documentaires et des apéro-ciné mensuels. Le cinéma connait de gros travaux de rénovation en 2008, et passe à la projection numérique en 2012.

2001

2001 : Création du Festival Scènes étrangères Ce festival permet de découvrir les grandes références étrangères de la vie théâtrale et les nouveaux talents internationaux, par une programmation éclatée dans différentes scènes de la métropole lilloise pendant environ 3 semaines. L'une des missions principales de ce festival était le soutien aux artistes indépendant. Sa vocation était de conjuguer l'international, la recherche et l'expérimentation sur le renouvellement des formes et émergence de nouvelles générations d'artistes. Les échanges de publics se poursuivent avec la Maison de la Culture de Tournai et se mettent en place avec Courtrai.

2012

2012 : Création du festival Prémices En partenariat avec le Théâtre du Nord, La rose des vents a créé le festival Prémices en 2012 afin de promouvoir la jeune création à travers des projets réalisés pour l'occasion ou tout récemment aboutis.

1995

1995 : Les échanges de publics avec la Maison de la Culture de Tournai démarrent

- Les scènes nationales, un réseau

Élément de la décentralisation théâtrale avec les centres dramatiques nationaux, les Scènes nationales doivent participer au développement culturel dans leur ville et leur territoire. Ce label, créé en 1990 et mis en place en 1991 par Bernard Faivre d'Arcier, directeur du Théâtre et des Spectacles au Ministère de la Culture, a permis de regrouper sous une même dénomination les maisons de la Culture, les centres d'Action Culturelle et les Centres de Développement Culturel. Il existe 71 scènes nationales en France métropolitaine et en Outre-Mer. Elles sont traditionnellement cofinancées pour partie par les collectivités locales et par le Ministère de la Culture, via les DRAC (Direction régionale des Affaires Culturelles).Les Scènes nationales se présentent, pour la plupart, sous la forme d'associations de type loi 1901. La rose des vents est dirigée par un directeur nommé par le Président de la structure. Le Conseil d'Administration est composé à majorité de membres de droits représentants l'État, les collectivités territoriales et de personnes physiques. L’association choisit le directeur de la structure en fonction de son projet artistique. Le directeur est responsable de la programmation artistique et il choisit les artistes qui seront présentés sur sa scène, en accord avec les missions imposées par l'État aux Scènes nationales. Les Scènes nationales doivent participer à la diffusion de la culture en France. Elles ont été créées dans le cadre des politiques d'aménagement du territoire, de décentralisation et de démocratisation de la culture initiées par le Ministère de la Culture et de la Communication. Ces établissements ont l'obligation de la pluridisciplinarité dans le domaine du spectacle vivant, elles doivent présenter des spectacles à la fois de théâtre, musique, danse et arts de la piste. Leurs missions sont définies dans leurs statuts. Ces statuts imposent à chaque scène nationale de « s'affirmer comme un lieu de production artistique de référence nationale dans l'un ou l'autre des domaines de la culture contemporaine, organiser la diffusion et la confrontation des formes artistiques en privilégiant la création contemporaine, participer, dans leur aire d'implantation, à une action de développement culturel favorisant de nouveaux comportements à l'égard de la création artistique, et une meilleure insertion sociale de celle-ci ». Les Scènes nationales ont également des missions de service public puisqu'elles sont soumises à la charte des missions de service public du spectacle élaborée par Catherine Trautmann, Ministre de la Culture et de la Communication, en 1998. Cette charte réaffirme le principe de pluridisciplinarité artistique en demandant aux directeurs de favoriser la diversité artistique ainsi que les partenariats avec les autres structures culturelles de proximité afin d'offrir au territoire une offre culturelle complète et développée et de participer à l'éducation culturelle de la population. Le Décret n° 2017-432 du 28 mars 2017 relatif aux labels et au conventionnement dans les domaines du spectacle vivant et des arts plastiques et en particulier l’Arrêté du 5 mai 2017 fixent le cahier des missions et des charges relatif au label « Scène nationale ». L’attribution du label est subordonnée à un ensemble de conditions: _Présenter un projet artistique et culturel d'intérêt général, de création, de production ou de diffusion d'envergure nationale ou internationale dans les domaines du spectacle vivant ou des arts plastiques, conforme au cahier des missions et des charges, _Garantir la liberté de programmation artistique, _Favoriser par tout moyen, y compris tarifaire, l'accès du public le plus large et le plus diversifié aux productions et aux œuvres, ou encore de déployer un programme d'actions et de médiation culturelles, notamment vis-à-vis des jeunes et dans le champ de l'action sociale. Aller + loin : www.scenes-nationales.fr

- Le projet artistique

Inscrite dans le réseau des Scènes nationales, La rose des vents est implantée à Villeneuve d'Ascq et rayonne sur le territoire de l'Eurométropole Lille- Kortijk -Tournai. Pour mettre en œuvre son projet artistique et culturel, elle bénéficie du soutien et de subventions publiques du Ministère de la Culture et de la Communication (Direction Régionale des Affaires Culturelles Hauts-de-France), de la Région Hauts-de-France, de la Ville de Villeneuve d'Ascq, de la Métropole Européenne de Lille et du Conseil départemental du Nord. Elle inscrit son projet dans son environnement local, régional et transfrontalier et développe des collaborations et complémentarités avec les institutions et structures culturelles du territoire. Dans le cadre de ce projet et de ses statuts, elle remplit entre autre une mission de soutien à la création théâtrale et chorégraphique des compagnies et artistes indépendants en leur donnant les moyens et les outils de production d'œuvres nouvelles. La rose des vents poursuit une politique de création, de coproduction, de soutien à des équipes associées ou en résidence. Etablissement à vocation pluridisciplinaire, elle contribue à diffuser et à faire circuler les œuvres, à confronter les esthétiques et les disciplines entre elles. Particulièrement attentive aux évolutions des arts de la scène, La rose des vents est sensible aux croisements, aux métissages des formes, aux décloisonnements. Enracinée sur le territoire de la métropole lilloise, elle participe au développement culturel de ce territoire, fait naître de nouveaux comportements face à la création contemporaine, veille à l’élargissement des publics. Le travail permanent d'action culturelle en direction des étudiants, des lycéens et collégiens, des publics en difficulté d'insertion, des salariés, des associations s'appuie sur une politique tarifaire particulièrement attractive. Le projet artistique défendu par le théâtre met l'accent sur la recherche de nouvelles écritures dramatiques et scéniques, sur l'émergence des formes nouvelles et des jeunes générations d’artistes. L'ouverture récurrente de la programmation aux artistes étrangers s'est traduite par la création d'un festival à vocation internationale Scènes étrangères, puis du Next festival en 2008 qui s'est très vite affirmé comme un rendez-vous très attendu par le public et les professionnels. Depuis 1994, La rose des vents a intégré le cinéma Le méliès, salle classée Art et Essai, Recherche et Découverte, répertoire et patrimoine, jeune public et Europa Cinémas. Géographiquement séparé de quelques centaines de mètres, il est le pendant cinéma de l’activité spectacle vivant de La rose des vents. Il adhère aux associations suivantes : _l’AFCAE : Association Française des Cinémas d’Art et d’Essai _le GNCR : Groupement National des Cinémas de Recherche _L'ACID : Association du Cinéma indépendant pour sa diffusion _De la suite dans les images (Lille), Association de salles de proximité des Hauts-de-France. Le méliès est l'une des rares salles de la métropole à proposer 3 séances jeune public (1 film) par semaine et tous les jours pendant les vacances (2 films).Comme pour le spectacle vivant, la programmation (6 films par semaine en moyenne) s’accompagne d’une politique d’action culturelle. Le méliès est partenaire des opérations départementales ou nationales en direction du jeune public (option cinéma dans les lycées, « Ecole et cinéma » dans les écoles primaires et maternelles, « Collège au cinéma », « Lycéens et apprentis au cinéma » et « Plan B », dispositif interne, dans les collèges et lycées). Le cinéma est également adhérent au dispositif « crédits loisirs » mis en place par l’espace Réussir à Lille. Trois axes se situent autour des projections : _Séances supplémentaires : pour les groupes scolaires ou non, le méliès propose d’organiser des séances supplémentaires des films de la semaine le matin ou l’après-midi. _Rencontres avec les réalisateurs : discussions et débats sont au programme chaque mois grâce à la venue régulière d’invités (réalisateurs, acteurs, critiques). _Documentation : le méliès dispose pour la plupart des films de documents édités par l’AFCAE (Association française des Cinémas d’Art et d’Essai), l'ACID ou le GNCR (Groupement national des Cinémas de Recherche).

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- L'activité de La rose des vents

Plus de 160 représentations d’une cinquantaine de spectacles chaque année Plus de 27 000 spectateurs par an, dont 42% de scolaires et étudiants et 6% du secteur social Plus de 53 000 entrées pour 350 films et 1 300 séances annuelles au cinéma Le Méliès Plus de 280 présentations de saison, 50 visites du théâtre, 120 préparations aux spectacles, et 50 interventions d’artistes, touchant plus de 13 000 personnes chaque année 4 lieux : la Grande Salle (420 places), la Petite Salle (95 places), le Méliès (167 places) et le Café du théâtre. 27 personnes dans l’équipe permanente Près de 3 millions d’euros de budget annuel

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Bureau des relations publiques Sous l’autorité du /de la secrétaire général.e, le service des relations avec les publics est responsable de l’élaboration de la politique de relations publiques du théâtre. Ses fonctions consistent à : développer et entretenir les relations avec les divers milieux de la population : groupes, établissements scolaires, comités d’entreprise, associations, l’identification des publics potentiels et des lieux de prospection, la gestion du fichier public, la définition de l’action culturelle et la coordination des actions de sensibilisation (animations, rencontres), l’organisation d’événements (présentation de saison, visites du théâtre), la diffusion d’une partie du matériel de communication, la mise en place d’actions spécifiques pour des publics particuliers, la conception et mise en œuvre de la politique tarifaire (tarifs, réductions) et de la politique d’abonnement et de ses modalités, la gestion des statistiques d’études du public. Pour aller + loin: http://www.cnt.asso.fr/metiers_formations/metier.cfm

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L'accueil et la billetterie Le service Accueil et Billetterie effectue les réservations, l’encaissement, l’édition et la délivrance des billets, ainsi que le suivi des ventes en ligne. Il assure le suivi administratif des réservations et des ventes (comptabilité de la caisse), conseille les spectateurs sur les spectacles et autres activités proposées par le théâtre. Il participe aux campagnes de relance et de promotion, propose les offres de fidélisation aux publics individuels et les tarifs préférentiels aux groupes. Il accueille, informe, conseille, oriente les différents publics en face à face, par téléphone, et par courriel et gère les préparations des spectacles jeune public. Il actualise et entretient ses connaissances sur le contenu de la programmation et de la tarification et assume le paramétrage du logiciel de billetterie ainsi que la billetterie en ligne. Il organise la gestion du bar, la préparation des loges, le planning des ouvreurs pour l’accueil du public en salle et le contrôle des billets les soirs de spectacle. La billetterie est ouverte du mardi au vendredi de 13h à 18h30 et les soirs de spectacles. Ouvreur.euse Il/Elle accueille et place le public dans la salle, en veillant au confort et à la sécurité de tous. Il/Elle délivre les programmes de salle. Pour aller + loin : http://www.cnt.asso.fr/metiers_formations/metier.cfm

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Equipe technique permanente Une spécificité de l'équipe technique de La rose des vents est d'assumer une certaine polyvalence dans ses missions. Directeur/trice technique Technicien.ne responsable des équipements d’un théâtre, qui soutient le travail des concepteurs en donnant des conseils techniques, en considérant la faisabilité et les coûts de leurs propositions. Il/Elle vérifie les plans, planifie le montage, le démontage et supervise le travail des techniciens en respect des échéances, budgets et conventions collectives. Il/Elle est responsable de la sécurité et du bâtiment. Régisseur.euse général.e Le/la régisseur.euse général.e est responsable de la préparation, de l'exploitation et de la coordination technique d'un spectacle. Il/ Elle coordonne tous les différents services (lumière, son, vidéo, plateau). Régisseur.euse lumière Le/La régisseur.euse lumière est responsable de la préparation et de la mise en place des moyens nécessaires à la réalisation lumière d'un spectacle. Les fonctions du régisseur lumière sont la préparation et mise en place des moyens électriques nécessaires à la réalisation lumière d'un spectacle en collaboration avec le régisseur lumière de l'équipe accueillie, le réglage des éclairages avant le déroulement du spectacle, la conduite lumière pendant la représentation, ainsi que la responsabilité de l'entretien du matériel d'éclairage. Régisseur.euse son Le/La régisseur.euse son est responsable de la préparation et de la mise en place des moyens nécessaires à la réalisation sonore d'un spectacle. Les fonctions du régisseur son sont le réglage des effets sonores avant le déroulement d'un spectacle et conduite son pendant la représentation, mais aussi la responsabilité de la gestion et l'entretien du matériel son. Régisseur.euse de plateau Le/La régisseur.euse plateau est responsable du plateau avant et pendant les représentations. Il/elle gère la mise en place du montage, de l'assemblage, du démontage et des mouvements des décors et accessoires de spectacle, ainsi que l'entretien du plateau et du bâtiment. Les équipes techniques intermittentes Technicien.ne / Eclairagiste / Ingénieur du son / Régisseur.euse vidéo Il/Elle participe au montage et au démontage des décors, s’occupe de la manipulation des consoles de son, d’éclairage ou de vidéo. Machiniste Il/Elle s’occupe des changements de décors, des trucages et des machines à effets spéciaux durant le spectacle. Les compagnies Acteur.rice / comédien.ne Le/La comédien.ne interprète un rôle, incarne un personnage, traduit une action et met en œuvre un texte, un scénario, un thème. Sous les directives de jeu d'un metteur en scène, il exploite toutes les techniques vocale, gestuelle, corporelle et respiratoire afin de rendre son rôle le plus crédible possible aux yeux du spectateur. Dramaturge Conseiller.ière littéraire et théâtral, il/elle est le/la plus proche collaborateur du metteur en scène. Son travail de dramaturgie se situe en amont et en aval d'un spectacle : il/elle représente en quelque sorte une "instance de réflexion". Le dramaturge et le metteur en scène se partagent la réalisation théâtrale d'une œuvre dramatique : le/la premier.ière prend en charge le travail théorique tandis que le/la second.e assure l'élaboration scénique en liaison directe avec les comédiens. Metteur.euse en scène L'acte de mettre en scène une œuvre dramatique est une activité artistique qui consiste à agencer et coordonner tous les éléments scéniques nécessaires à la représentation théâtrale. Le/La metteur.euse en scène assure la traduction d'une œuvre en un langage scénique. En un mot, adapter et concevoir la mise en espace de paroles, d'idées ou d'écrits (roman, nouvelles, poésie, pièce de théâtre...) pour la scène. Lien vivant entre l'œuvre et le public, passeur.euse d'émotions, il/elle exprime avant tout son point de vue par rapport à l'œuvre qu'il défend. Scénographe Concepteur.trice des décors qui choisit l'ensemble des éléments composant l’espace théâtral. Avec le /la metteur.euse en scène, il/elle interprète le texte et crée un univers, en tenant compte de l’espace, du temps et des personnages. Il/Elle effectue un travail de documentation historique, dessine des esquisses, trouve les proportions, les textures et les couleurs des différents éléments, puis met en forme son idée en fabriquant une maquette en trois dimensions. Artiste mais aussi technicien.ne, il/elle réalise les plans, choisit les matériaux puis coordonne la construction en atelier. Accessoiriste Artisan.e qui cherche, fabrique ou modifie les accessoires nécessaires au jeu ou au décor. Il/Elle travaille avec le scénographe et le metteur en scène pour que les objets s’intègrent dans la conception globale du spectacle. Il/Elle est parfois responsable de la gestion des accessoires pendant les représentations. Pour aller + loin : http://www.cnt.asso.fr/metiers_formations/metier.cfm

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Habilleur.euse Personne qui prépare les costumes, aide les artistes à s’habiller, à se changer et s’occupe des réparations urgentes. Costumier.ière Créateur.rice responsable de la conception des costumes. Au fil de ses recherches, il/elle discute avec le metteur en scène de l’interprétation de la pièce, de l’époque, de l’univers à créer et des personnages, proposant des images et des esquisses. Complice de l’acteur dans la construction du personnage, il/elle suggère des éléments qui modifient son jeu, comme des souliers à talon haut ou une canne. À la fin du travail de conception, il/elle dessine des maquettes souvent accompagnées d’échantillons de tissus. Il/Elle supervise ensuite la réalisation des costumes (confectionnés en atelier, achetés ou loués) ainsi que les essayages. Maquilleur.euse Il/Elle apprend à l’acteur comment transformer son visage pour compléter la silhouette du personnage et suggérer son état d’esprit, de santé, sa personnalité. Pour aller + loin: http://www.cnt.asso.fr/metiers_formations/metier.cfm

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Directeur.trice Responsable de la direction et de la programmation des spectacles et des activités d’un théâtre. Il/Elle coordonne le travail de l’ensemble du personnel artistique, technique et administratif. Il/Elle est responsable de la gestion budgétaire et des ressources humaines. Il/Elle insuffle une direction et qui propose une programmation pluridisciplinaire dans le domaine de spectacle vivant et du cinéma en mettant en avant l’émergence des formes nouvelles. Il/Elle met en œuvre un projet durable d’actions d’éducation artistique et culturelle à destination de tous les publics du territoire. Il/Elle développe des collaborations avec des institutions et des structures culturelles, sociales, éducatives et économiques du territoire. Il/Elle est aussi à la recherche de financements. En collaboration avec le/la secrétaire général.e, il/elle travaille au développement du public. Il/Elle agit comme porte-parole du théâtre auprès des médias, du milieu artistique et du public. Administrateur.trice Par définition, l'administrateur.trice est le/la responsable financier.e et administratif.ve d'une structure culturelle. Sous l'autorité du directeur, il/elle doit s'assurer que le budget alloué par l'État et les collectivités territoriales soit géré de manière harmonieuse et cohérente. Ses missions sont centrées vers la gestion administrative et financière, du personnel, l'établissement des dossiers de demande de subventions et l'encadrement de la gestion de production. Bien sûr, sa position hiérarchique dans un théâtre lui permet de participer à la mise en place de la politique d'entreprise et d'entretenir des relations avec les tutelles, les partenaires politiques et économiques, des responsables administratifs de compagnies ou de théâtres et les partenaires institutionnels. Secrétaire général.e Le/La secrétaire général.e coordonne les activités des différents services de communication, relations publiques, presse, accueil-billetterie au niveau immédiatement sub-directorial. Les principales tâches du secrétaire général.e sont : la mise en œuvre et le suivi général des décisions prises par l'instance de décision, notamment de l'accueil des artistes et des équipes techniques, la centralisation et la répartition de l'information au sein de la structure, la responsabilité des contenus rédactionnels et graphiques de tous les documents (prospection et information), la responsabilité de la conception et de la mise en œuvre de la politique de communication tant sur le plan des relations publiques que de l'information, les campagnes publicitaires sur toutes les activités du théâtre, les relations avec la ville au niveau culturel, social et scolaire, la programmation en lien avec le directeur, la coordination des services et le calendrier de saison. Production / Assistanat de direction Le/La chargé.e de production / assistant.e de direction a pour mission l’assistant administratif sur le fonctionnement de la structure et sur les activités. Il/elle assure l’administration des spectacles de la saison, des productions (tournées) et des actions culturelles : rédaction des contrats, formalités et documents administratifs, mise en paiement. Il/elle coordonne également la mise en place de la logistique d’accueil des artistes, professionnels, etc. En complément, il/elle assure les déclarations de droits d’auteurs et assiste l’administratrice pour les dossiers de demande de subvention et de formation. Sur le fonctionnement, il/elle assure le secrétariat et le suivi des réunions de bureau, CA et AG de l’association, les bilans et statistiques d’activité et de fréquentation, la coordination du fonctionnement administratif, de l’équipe d’entretien, du planning d’occupation des salles. Occasionnellement elle assure l’organisation de réceptions. Chargé.e communication Sous la responsabilité de la Secrétaire Générale, le/la chargé.e de communication initie, négocie et suit les partenariats médias et opérations publicitaires. Il/Elle assure le suivi de la presse régionale et l'élaboration des supports écrits, rassemble les contenus, fait le lien avec les intervenants (graphiste, rédactrice, imprimeur, diffuseur) et avec la secrétaire générale, assure les relectures et suit la réalisation jusqu’au bon à tirer. Il/Elle assure la mise en page des programmes de salle et fiches pédagogiques. Il/Elle suit la réalisation des teasers vidéos, et participe à la définition des envois (newsletters et invitations). Il/Elle propose, négocie et suit la réalisation d’objets de promotion. Il/Elle établit et suit le rétro-planning des actions de communication, assiste le/la Secrétaire général.e sur le suivi de projets et de la stratégie, s’assure de la réception des devis, établit les bons de commande et assure le suivi administratif. Accueil administratif, secrétariat et communication Sous l’autorité de l’assistant.e de direction, le/la secrétaire administratif.ve assure la réception physique et téléphonique du public, la gestion quotidienne de l'entrée et de la sortie du courrier (papier et emails), l'accomplissement de tâches courantes de secrétariat (classement de dossiers administratifs, tenue à jour de registres, archivage, achats de fournitures…). Ce poste se double en outre de la gestion des réseaux sociaux, de la mise à jour du site internet et de la réalisation des newsletters. Service comptabilité Le service comptable assume la responsabilité de la comptabilité générale, analytique et auxiliaire depuis la saisie des pièces (fournisseurs et clients) jusqu’aux écritures de bilan en lien avec l’expert comptable. Il assure le suivi de trésorerie, des subventions et des banques. Il gère les déclarations sociales et fiscales et réalise une veille sur l’évolution de la législation en matière comptable, fiscale et sociale. Il assure la gestion sociale (suivi des congés payés, des RTT, des arrêts de travail, de la prévoyance, de la formation, etc.) et la paie du personnel (permanents, CDD et intermittents).Pour aller + loin : http://www.cnt.asso.fr/metiers_formations/metier.cfm

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Projectionniste Technicien.nne chargé.e de la projection des films.